تقي زاده

تقي زاده

Selon une Agence de presse russe, les sous-marins russes, non loin des côtes américaines, sont en mesure d’anéantir les Etats-Unis, en quelques minutes.
L’Agence de presse russe, Spoutnik, dans une menace indirecte, a annoncé que les sous-marins russes, près des côtes américaines, sont capables d’anéantir les Etats-Unis, en quelques minutes. Selon l’Agence de presse ASIA, un analyste politique a estimé que la Russie ne redoute pas le récent rapport du Pentagone, sur le déploiement des forces américaines, en Europe, et qu'elle est prête à riposter. Les récents propos tenus par le Président russe, Vladimir Poutine, sur l’équipement des forces nucléaires de ce pays de 40 missiles balistiques intercontinentaux, ont provoqué l’inquiétude du département américain à la Défense, ainsi que les Européens, a déclaré cet analyste.
En rappelant que les Etats-Unis dotés d’anciens missiles ne seront pas en mesure d’intercepter des missiles S-500 russes, cet analyste a réaffirmé que les projets, mis en avant par Martin Dempsey , chef de l'état-major américain, sur le déploiement de missiles, en Europe, n’assureront pas la sécurité des Etats-Unis.

Les efforts humanitaires et de développement déployés en faveur de millions de réfugiés syriens pourraient être réduits à néant en raison d'une grave crise de financement, a prévenu jeudi le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).
"Les programmes actuels de l'ONU pour prêter assistance aux réfugiés syriens font face à un déficit de financement de 3,47 milliards de dollars", a déclaré le HCR dans un rapport rendu public plus tôt dans la journée par le 3RP, un réseau de plus de 200 partenaires, selon un communiqué de l'ONU.

Le manque, ajoute le rapport, signifie que 1,6 million de réfugiés cette année ont vu leur aide alimentaire réduite, que 750.000 enfants ne peuvent pas être scolarisés, et que les services de santé sont considérés comme trop onéreux pour certains.

"Notre financement est dangereusement bas au point que nous risquons de ne pas être en mesure de répondre aux besoins de survie les plus élémentaires de millions de personnes au cours des six prochains mois", a déploré le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Antonio Guterres.

La Turquie a qualifié de diffamation et propagande les allégations kurdes selon lesquelles les combattants de Daech étaient passés par son territoire.
Le président de la Turquie a qualifié de diffamation et propagande les accusations selon lesquelles les combattants de Daech étaient entrés dans Kobané via la Turquie. Personne n'a le droit d'associer la Turquie a des organisations terroristes, a-t-il insisté.

Des combattants de Daech ont lancé une attaque surprise dans Kobané où ils ont mené trois attentats suicide à quelques heures d'intervalle. Des combats continuaient à faire rage dans le centre de la ville.

Au moins 57 personnes ont été tuées dans les violences de jeudi, 35 Kurdes et 22 insurgés.


Un militant kurde syrien, Arin Shekhmos, a affirmé jeudi à l'AFP que les forces de Daech qui ont attaqué Kobané étaient passées par le poste-frontière turc de Mursitpinar, à quelques kilomètres à peine de la ville syrienne.

- Critiques kurdes -

Les médias turcs ont publié jeudi des vidéos des explosions survenues à Kobané pour appuyer les dénégations de la Turquie.

L'une d'elles, extraite des caméras de surveillance du poste-frontière turc de Mursitpinar, montre un pick-up de couleur blanche roulant côté syrien avant d'exploser.

Les responsables du principal parti kurde de Turquie ont profité des attaques de Kobané pour dénoncer une nouvelle fois l'ambiguïté du gouvernement islamo-conservateur turc vis-à-vis des groupes rebelles en guerre contre Damas.

Ce n'est pas nouveau, Daech a depuis longtemps utilisé le territoire turc pour entrer et sortir (de Syrie), a déclaré à la presse Figen Yuksekdag, coprésidente du Parti républicain des peuples (HDP).

Je veux croire de toutes mes forces que les militants de Daech n'ont pas pénétré en Syrie via la Turquie, a renchéri l'autre coprésident du HDP, Selahattin Demirtas, lors d'un entretien télévisé, nous espérons que la Turquie a coupé son soutien à Daech.

Les pays occidentaux reprochent régulièrement au gouvernement turc de ne pas déployer suffisamment d'efforts pour contrôler sa frontière avec la Syrie et y bloquer le flux des combattants qui rejoignent les rangs extrémistes.

Les Palestiniens ont soumis jeudi un premier dossier de documents à la Cour pénale internationale (CPI) en vue de la convaincre d'ouvrir une enquête sur d'éventuels crimes de guerre israéliens.
L'Etat de Palestine a promis de coopérer avec la Cour, notamment en lui fournissant des informations pertinentes, et c'est ce qu'elle fait aujourd'hui, a déclaré le ministre palestinien des Affaires étrangères, Ryad al-Malki, aux journalistes devant le bâtiment de la CPI, à La Haye. Les informations fournies par l'Etat de Palestine ne peuvent que mener à l'ouverture d'une enquête dans les plus brefs délais, a assuré le ministre.

La procureure Fatou Bensouda avait ouvert en janvier un examen préliminaire afin de déterminer si elle disposait d'assez d'éléments pour ouvrir une enquête sur des crimes de guerre présumés dans la bande de Gaza à l'été 2014.

Le dossier déposé jeudi porte sur deux affaires. La première concerne des crimes présumés commis à Gaza lors de l'offensive israéleinne, qui a tué 2.200 Palestiniens, des civils pour la plupart. La deuxième porte sur la colonisation israélienne de la Cisjordanie occupée.

Obtenir justice est essentiel pour les victimes palestiniennes, mortes ou vivantes, a affirmé M. El-Malki : la Palestine a choisi de chercher à obtenir justice et non la vengeance.

Le groupe Daech a repris pied dans la ville kurde syrienne de Kobané, cinq mois après en avoir été chassé, et est entré dans celle de Hassaké, qu'elle tente de s'emparer depuis un mois. Selon la télévision syrienne, les combattants du groupe terroriste sont entrés à kobanés depuis la Turquie.
Ces percées dans ces secteurs kurdes du nord de la Syrie interviennent après une série de revers des insurgés face aux forces kurdes dans la province de Raqa, notamment la perte de la ville de Tall Abyad, qui permettait au groupe extrémiste d'acheminer des armes et combattants depuis la Turquie.

A Kobané, des affrontements opposaient jeudi des rebelles de Daaech aux forces kurdes dans le centre de cette ville frontalière de la Turquie, dévastée après quatre mois d'intenses combats fin 2014.

Au Sud de la Syrie, les rebelles armés se préparent à mener une grande opération, dont le but est d’occuper la ville de Deraa. En réaction au projet des rebelles armés, qui veulent attaquer la ville de Deraa, l’armée syrienne a renforcer ses fortifications autour de la ville de Deraa, pour pouvoir mieux la défendre, face aux attaques des rebelles armés et des groupes terroristes. 
Des sources bien informées ont dit au journaliste de la chaîne libanaise, Al-Mayadeen, que les rebelles armés, concentrés, dans le Sud de la Syrie, mènent une grande opération, pour occuper la ville de Deraa. Ces rebelles ont reçu des formations militaires et des armements, de la part des Etats-Unis, qui les contrôlent, depuis Amman, la capitale de la Jordanie.
Il est prévu que cette opération des rebelles armés soit menée par 1.500 soudards, 40 véhicules armés et 30 chars d’assaut.
La cellule de commandement des rebelles, située en Jordanie, a demandé aux autres groupes armés, qui se battent contre le gouvernement du Président Bachar al-Assad, de se mettre en état d’alerte, pour pouvoir entrer en action, dès le déclenchement de cette opération des rebelles armés contre la ville syrienne de Deraa, opération, qui pourra commencer, dans quelques heures, selon les sources proches des rebelles syriens.
En réaction à l’opération des rebelles armés et des terroristes, dans le sud du pays, l’armée syrienne a entamé de vastes attaques à l’artillerie contre les positions des rebelles armés et des terroristes.
Les avions de l’armée syrienne ont pris pour cibles les positions des terroristes près des frontières entre la Syrie et la Jordanie.
Selon les dernières dépêches parvenues de Syrie, il y a quelques heures, les terroristes ont entamé leur opération, en attaquant les postes de contrôle de l’armée, aux alentours de la ville de Deraa. Le but de cette première phase de l’attaque des terroristes contre Deraa est de briser les lignes défensives de l’armée syrienne, autour de Deraa. Dans le même temps, l’armée a installé sa 25e division, à Deraa, pour défendre la ville et empêcher les terroristes de prendre en main le contrôle de Deraa.

Les groupes terroristes envisagent, en occupant les hauteurs de la colline al-Hamar, de créer un triangle au sud syrien courant sur le sol syrien jusqu’à la Jordanie et les hauteurs de Golan.
Une semaine après l’attaque contre Quneitra, les groupes armés n’ont pas fait des avancées considérables, mais les affrontements entre les groupes terroristes sur le sort du front du sud syrien s’intensifient et les opérations militaires se multiplient.
Dans un rapport le quotidien libanais al-Safir se penche sur les dernières évolutions du sud syrien et écrit : « les terroristes ont visé par obus mortier la cité de Harfa sur Jabal al-Cheikh.
Mais les sources locales ont annoncé que pour le moment la cité Hazar, à majorité Druze, n’est plus menacée, une région reprise, on disait, selon les informations fournies par les terroristes, mais la nouvelle a été tout de suite démentie.
Les groupes terroristes soutenus par le groupe terroriste de l’Armée Libre en Syrie ont annoncé dans des communiqués consécutives, leurs liens au Front al-Jonubiya ou front du sud.
Ils ont insisté dans leurs communiqués qu’ils n’entreront pas en interaction avec le groupe terroriste de Jeych al-Fatah, le même groupe composé des terroristes du Front al-Nosra et d’Ahrar al-Cham soutenu par l’Arabie, le Qatar et la Turquie. Ce qui veut dire que d’innombrables terroristes sont présents et actifs dans la région avec des divergences internes et rivalités qui opposaient leurs chefs.
Selon les spécialistes des questions militaires, il paraît que les agissements des groupes terroristes sont axées pour le moment sur les combats éclatés entre les groupes terroristes sur les hauteurs avoisinants les villes et les villages de Quneitra, car les hauteurs d’al-Hamar qui relie les régions de Hazar, Harfa, Beit-Jin et ses champs sont le point axial entre Hazar et la ville al-Bath.
Selon les experts, les hauteurs d'al-Hamar donnent sur les villes d'al-Bath et Hazar.
alors pour prendre le contrôle des montagnes de Haramoun et les lier à celles de Qalamoun, les terroristes n'auront qu'à bouger via les axes d'al-Hamidya, Bariqat et bayr-Ajam et d'autre part de celui de BeitJin, al-Mazraa, Hazar et Harfa afin d'encercler la ville comme un arc!
Les groupes terroristes à Rif-ouest de Derra tentent d'avancer via l'axe d'al-rafid, al-Sovissat et al-Masdaniyat. Leur but est de s'emparer des hauteurs de Bozaq et d'al-Cha'ar pour encercler la ville. Mais les habitants épaulés par l'armée et les force de la résistance ont fait à échouer les terroristes dans leur objectif.
Il y a deux zones dans la région qui portent le nom d'al-Hamar.
La première constitue les hauteurs d'al-Hamar de l'est et la deuxième ceux de l'ouest et qui se trouvent à rif ouest de Dera aux côtés des montagnes d'al-Jabiya et d'al-Jamou. Cette région est depuis presque un an sous contrôle des terroristes. L'armée syrienne a réussi à reprendre la partie septentrionale d'al-Hamar, mais les terroristes en dominent toujours d'autres zones.
Pour les groupes terroristes cette guerre est importante car une fois reussis ils peuvent
une nouvelle fois relier, via une zone de tampon qui s'étend jusqu'à Khan al-Cheikh à Rif-Damas et à Jabata al-Khachb et Beit jin, les hauteurs de Golan à la plaine de Houran et le Qouta de l'ouest.
Ainsi ils peuvent mettre fin au contrôle de l'armée syrienne sur ses bases à Quneitra.
De même si les terroristes occupent les hauteurs d'al-Hamar, ils créeront une autre zone tampon au sud qui s'étend du sol syrien jusqu'à la Jordanie et les hauteurs du Golan occupés.
Mais le point important est pour le moment la cité de Hazar surtout que les unités de l'armée syrienne ont réussi à en briser le blocus et s'en approcher.

jeudi, 25 juin 2015 00:50

Ramadhãn, le mois de la patience

Le jeûne de Ramadhãn, tel qu’il est prescrit par l’Islam est le moyen par excellence d’apprendre à patienter. Cette vérité évidente et concrète pour tous ceux qui accomplissent le jeûne, est clairement soulignée dans les Textes sacrés qui présentent cette obligation cultuelle comme synonyme de "patience". En effet, selon une Parole divine révélée au Prophète, Dieu a dit:
"Toutes les bonnes actions des descendants d’Adam sont récompensées de dix à sept cents fois leur mérite sauf la patience, pour laquelle Je décide la récompense Moi-même. Or, la patience, c’est le jeûne."(1)

Le Prophète lui-même a dit du mois de Ramadhãn qu’il est: "Le mois de la patience, laquelle est récompensée par le Paradis".(2)
L’Imam Al-Sãdiq a conseillé: «Si un homme venait à être victime d’un grand mal, qu’il jeûne, car Dieu a dit: "Demandez l’aide de la patience ...", c’est-à-dire, du jeûne.»(3)

Notes:

Al-Hor Al-`Âmilî, "Al-Wassãil", Tome VII, p.295.

Al-Hor Al-`Âmilî, "Al-Wassãil", Tome VII, p. 222.

Al-Hor Al-`Âmilî, "Al-Wassãil", Tome VII, p. 298.

Source: «Le Jeûne de Ramadhãn: sa signification et ses statuts», Compilation: Abbas Ahmad al-Bostani, La Cité du Savoir, Montréal, 1998.

« Les américains ont l'intention d'en finir avec l'industrie nucléaire de l'Iran, mais les autorités iraniennes, dans les dialogues, cherchent un accord pratique, juste, logique et cohérent avec les intérêts du peuple iranien et en respectant les lignes rouges de la République islamique d'Iran sur son programme nucléaire », a déclaré le leader de la révolution islamique, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei.

Lors d'une réunion tenue mardi avec les membres de l'exécutif iranien et des hauts fonctionnaires du pays Perse, l'Ayatollah Khamenei a dénoncé un fardeau excessif de l'Occident dans le dialogue nucléaire Iran-G5+1 et y est retourné pour délimiter précisément les lignes rouges du programme nucléaire de la République islamique.

Selon le dirigeant iranien, même si nous méfier de Washington, Téhéran a été donnée au dialogue sur son programme nucléaire et à accepter certaines conditions, mais les américains insistent, ont posé un fardeau excessif et compliqué les pourparlers.

"Si nous réfléchissons et analyser les demandes des américains, véritables ambitions sont évidentes, c'est-à-dire mettre fin à l'industrie nucléaire iranienne (...) devenir une caricature, une image vide de contenu", a-t-il souligné.

Selon lui, si américains atteignent leurs objectifs dans ces pourparlers, ils ont obtient un grand succès, parce qu'ils vont avoir vaincu le peuple d'Iran indépendant; et donc, met en garde, les deux sont battent.

Iran, souligne, depuis le début des revendications logique proposée de pourparlers nucléaires à la contrepartie comme, par exemple, la levée des sanctions injustes et illégales en échange de quelques concessions, mais préserver son industrie nucléaire.

Ensuite, l'Ayatollah Khamenei a mis en évidence les lignes rouges de la République islamique d'Iran sur son programme nucléaire, insistant sur le fait qu'il ne doit pas traverser pendant les dialogues.

L'Iran n'envisage pas d'arrêter leur nucléaire industrie « sine die », dit, puisque pour le leader perse la suspension de la recherche et développement pour une longue période de 10 ou 12 ans, comme la demande américaine, est inacceptable.

Insiste également sur la levée complète de toutes les sanctions monétaires, financières et bancaires contre son pays, le jour de la signature d'un accord nucléaire permanent.

Le pays de Perse n'acceptera aucune inspection ou accès à ses installations militaires, pas des entrevues avec des scientifiques nucléaires, fait remarquer.

Après le nettoyage des régions, placées sous l'emprise d'Al-Nosra, à Qalamoun, le Hezbollah innove, dans ses méthodes de combat. Les opérations de nettoyage ont commencé, simultanément, sur trois axes, de Al-Qusseir, des collines d'Al-Ghaa, de Raas Baalbek et de Al-Jarajir. Les combattants du Hezbollah ont eu recours à différentes tactiques, dont celles basées sur l'usage des drones, à l'aide desquels ils identifient les repaires terroristes de Daech et d'Al- Nosra, dans les montagnes de Qalamoun. Les drones de reconnaissance du Hezb ont, ces derniers jours, et, à plusieurs reprises, localisé le rassemblement des commandants de Daech, autour des collines d'Erssal. Dans le même temps, les combattants du Hezb prennent pour cible de leurs missiles les rassemblements des chefs terroristes, ce qui s'est, effectivement, produit, à plusieurs reprises, ces derniers jours. La dernière attaque du Hezb a coûté la vie aux hauts commandants daechistes, Abou Aecha al-Libi, Al Zahouri et Al-Mohssen, entre autre. Ces arttaques ont, littéralement, paralysé le mouvement des terroristes de Daech, à Raas Baalbek, à Al-Ghaa et à Erssal. Le Hezbollah a, ainsi, visé, et avec une très grande précision, Daech, dans les vallées de l'Est d'Erssal, en tuant Abou Belgheyss al-Eraghi, l'un des chefs terroristes de Daech. Les dernières informations font état de très violents combats, dans les rangs de Daech, et entre les chefs terroristes. Les terroristes ont, ainsi, retourné leurs armes contre leur imam de la prière collective, Al-Moghadassi, le tuant, lui et son épouse. La tactique qu'utilise le Hezbollah consiste à éliminer les commandants takfiris, à détruire leur QG, et ce, afin de faciliter le nettoyage complet de Qalamoun.