تقي زاده

تقي زاده

Les forces de sécurité irakiennes continuaient dimanche de combattre les combattants de Daech dans les provinces de Salaheddine et d'Anbar, selon des sources en charge de la sécurité.
Dans la province de Salaheddine, au centre-nord de l'Irak, les combats s'intensifiaient depuis samedi soir entre les forces de sécurité soutenues par des milices alliées et les insurgés de Daech dans des quartiers de la ville de Baïji, à environ 200 kilomètres au nord de la capitale irakienne Bagdad, a indiqué aux médias une source chargée la sécurité provinciale.

Egalement dans cette province, les forces de la police fédérale ont mené une opération à l'ouest de la ville de Samarra, à environ 120 kilomètres au nord de Bagdad, et mis en place une ligne de défense pour protéger l'autoroute juste à l'ouest de la ville, a précisé la source.

Les combattants de Daech ont attaqué fréquemment l'autoroute à l'ouest de Samarra dans le but de couper les principales routes d'approvisionnement de la ville, a ajouté la source.

Depuis le 2 mars, les forces de sécurité et des dizaines de milliers de miliciens alliées chiites et sunnites sont engagés dans la plus grande offensive lancée pour tenter de reprendre la partie nord de la province de Salaheddine à Daech, notamment Tikrit, chef-lieu de la province, et d'autres villes et villages clés.

Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a estimé dimanche que tout accord avec l'Iran devait pouvoir être vérifié, à la veille d'une rencontre avec son homologue iranien dans le cadre des négociations sur le programme nucléaire de Téhéran.
Nous pensons qu'il faut être extrêmement ferme et que si un accord doit intervenir, cet accord doit être robuste, cela veut dire qu'il doit pouvoir être vérifié, a déclaré M. Fabius, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse à Jérusalem aux côtés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, à la pointe de l'opposition à un accord sur le programme nucléaire iranien.

M. Fabius doit rencontrer lundi à Luxembourg son homologue iranien Mohammad Javad Zarif, ainsi que leurs homologues britannique et allemand, alors que l'Iran et le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) sont engagés depuis 20 mois dans d'intenses tractations. L'accord final auquel ils espèrent aboutir d'ici au 30 juin doit garantir le caractère pacifique du programme nucléaire de l'Iran, en échange d'une levée des sanctions internationales.

La question des inspections internationales des sites nucléaires iraniens, notamment militaires, est l'un des points les plus délicats des négociations.

Les experts des deux parties sont réunis depuis début juin dans la capitale autrichienne, régulièrement épaulés par les directeurs politiques de chaque diplomatie.

C’est une obligation cultuelle que tout musulman et toute musulmane remplissant les conditions requises doivent accomplir durant le neuvième mois lunaire hégirien, le mois de Ramadhãn. De ce fait, cette obligation individuelle devient un phénomène collectif qui affecte le visage de toute une société. Il suffit de se promener dans une cité musulmane pendant le mois de Ramadhãn pour comprendre combien est importante la place que le jeûne occupe dans la religion musulmane, et pour réaliser qu’il constitue un trait saillant de l’Islam.
Pourtant, comme le laisse entendre le Coran, le jeûne n’est pas une nouveauté religieuse révélée par l’Islam; il a déjà été prescrit aux nations et aux Prophètes antérieurs à l’avènement du dernier Messager de Dieu, le Prophète Mohammad (P), et pratiqué depuis les temps les plus reculés.

Selon l’Imam ’Ali, cité par AI-Zamakh-charî (1), le premier homme à avoir jeûné fut Adam, et selon Abbas, cité par Al-Qummi (2), le Prophète David jeûnait un jour sur deux, son fils Salomon (Sulaymãn), trois jours au début de chaque mois, trois jours au milieu du mois et trois jours à la fin du mois; Jésus-Christ jeûnait tout le temps, et sa mère Marie, deux jours sur trois.
Par ailleurs, il n’y a pas que le Coran et les sources musulmanes qui signalent la pratique du jeûne dans trois religions. Ainsi, les Evangiles et la Thora en font diverses mentions; et l’histoire nous fait savoir par exemple que les Sabéens de Harrãt (3) observaient un jeûne de trente jours et que les Mecquois du pré-Islam observaient eux aussi le jeûne.

Enfin, même de nos jours, le jeûne demeure une pratique religieuse observée par les adeptes de nombreuses religions. En effet, les Juifs jeûnent un jour par an, et les plus pratiquants d’entre eux jeûnent les lundis et les jeudis en souvenir de Moïse(4); certains Chrétiens continuent d’observer le Carême, lequel consiste en une période de quarante-six jours d’abstinence et de privations entre le Mardi Gras et le jour de Pâques, pendant laquelle, à l’exception des dimanches, on jeûne. Même dans l’Hindouisme, certains adeptes de cette religion jeûnent en diverses occasions religieuses; et dans le Bouddhisme, les moines observent parfois une certaine forme de jeûne.

La constance de la pratique du jeûne dans les différentes religions et à travers les différentes phases de l’histoire de l’humanité montre que cette forme d’abstinence est du moins très bénéfique, sinon un bien nécessaire pour l’homme. Il est naturel donc que l’Islam, la dernière religion révélée et le message final de Dieu pour la créature, redonne à cette prescription divine, un peu oubliée et souvent déformée, sa place réelle et complète, et précise les règles de son accomplissement, généralise sa pratique, et souligne ses effets bénéfiques.
En Islam, le jeûne n’est pas un simple acte individuel de piété, accompli occasionnellement, par quelques fidèles pieux comme c’est le cas dans d’autres religions, mais une obligation prescrite à toute la communauté, à quelques exceptions près. Le jeûne n’y consiste pas non plus en une simple privation alimentaire, mais en l’observation d’un ensemble cohérent de prescriptions d’ordre alimentaire, physique, spirituel et moral qui affecte le comportement de l’individu et transforme les habitudes de la société.

Notes:

1. Cité dans Tafsîr Al-Kach-chãf, Tome I, p.225.

2. Voir: «Safinat Al-Bihãr», Chapitre: Al-Çawm.

3. Voir: «Pourquoi Jeûner» M. Hamidullãh, p.7.

4. Ibid.

Source: «Le Jeûne de Ramadhãn: sa signification et ses statuts», Compilation: Abbas Ahmad al-Bostani, La Cité du Savoir, Montréal, 1998.

L’État Islamique, (Daech), l’armée terroriste, entraînée par les Etats-Unis, en Jordanie, tente de déstabiliser les anciennes républiques de l’ex-URSS, d’après Alexander Bortnikov, Directeur du FSB russe, l'héritier du KGB. “Je voudrais attirer l’attention sur le processus d’activation et d’expansion de la zone d’influence du terrorisme international”, a dit Bortnikov, pendant une réunion, au centre anti-terroriste du CIS“. L’EI est en son centre. Il crée des cellules, dans différentes régions du monde, et dit, ouvertement, qu’il a l’intention de déstabiliser la situation du CIS et de l’Asie Centrale.”Les Kurdes pensent que “80% des groupes de l’EI, en Syrie, sont des anciens résidents du Nord-Caucase et de la moyenne Volga”. Les remarques de Bortnikov révèlent que la véritable cible de l’EI n’est pas les Etats-Unis, ni Israël, mais, bel et bien, la Russie. En février, le leader tchétchène, Ramzan Kadirov, a accusé la CIA et d’autres services de renseignement occidentaux d’exploiter les médias sociaux, pour recruter des hommes russes, pour l’EI. Kadirov a, aussi, dit “les leaders de ces gangs terroristes, (en Syrie et en Irak), sont des agents de la CIA et d’autres agences de renseignement”. C’est un fait documenté, bien que, totalement, ignoré par les médias de masse, que la CIA a orchestré avec le Royaume-Uni, le Pakistan et l’Arabie saoudite, les efforts de miner l’URSS et ses états musulmans, durant l’occupation soviétique de l’Afghanistan, et durant la guerre semée par la CIA. L’agent du MI6 britannique, Abou Qatada, a levé des fonds, pour le Jihad tchétchène, et la tristement célèbre mosquée de Finsbury Park de l’Imam Abou Hamza al-Masri, un informateur du MI5, (contre-espionnage) britannique, à Londres, a levé des fonds, pour, à la fois, le Jihad, en Tchétchénie, et pour le camp Darunta de Ben Laden, au Pakistan. De plus, la CIA a, aussi, travaillé à déstabiliser les Balkans, un fait bien documenté par les médias, en Europe, mais, largement, ignoré, aux Etats-Unis. L’effort de convertir les Balkans en un “havre de paix”, pour Jihadistes fanatiques, fut aidé par la CIA et le Pentagone. En 1993, l’agent de la CIA, Oussama Ben Laden, a soi-disant installé son #2 Aïman al-Zawahiri, pour gérer l’opération Al-Qaïda, aux Balkans. En Irak, où il est dit que l’EI a émergé d’Al-Qaïda, en Irak, beaucoup d’Irakiens pensent que l’EI est un pur produit de la CIA, une accusation que le "New York Times" (NdT: la voix de la CIA, ne l’oublions jamais…), a minimisé, comme n’étant qu’une “théorie du complot” des plus folles. 
Sources : Infowars ; traduit par Résistance71

" L'Iran a été l'une des principales victimes du terrorisme au cours des trois dernières décennies , en fait, nous croyons que ces accusations contre un pays qui a toujours coopéré au niveau international pour lutter contre le terrorisme , l'extrémisme et la violence sont rien de plus qu'un projection " par les Américains , il a expliqué le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères , Marzie Afkham.

Après avoir décrit les charges répétitives USA Afkham souligné que la divulgation de ces informations contredit les réalités existantes et détourne-il ajouté.

À son avis, l'accent politique sur le phénomène catastrophique et inhumain du terrorisme et de l'utilisation de critères dualistes est la principale source de ce dilemme complexe et son extension.

De même il a évoqué les dommages qui ont eu à subir pays au cours de la dernière année en raison du terrorisme, leurs sponsors et l'indifférence de certains pays à cet égard.

Dans ce contexte, Afkham a fait valoir que le mouvement de présence et libre de terroristes aux États-Unis et d'autres pays qui parrainent, le manque de politiques cohérentes de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme et de l'indifférence aux crimes du régime israélien contre les mesures du peuple palestinien sérieusement contesté les prétentions de Washington dans la lutte contre le terrorisme et approuvés une fois de plus la fausseté de ces rapports.

Le Département d'État des États-Unis rendu public jeudi son rapport annuel sur le terrorisme, ce qui correspond à 2014, dans lequel il a accusé l’Iran, le Soudan et la Syrie de soutenir le terrorisme.

Les allégations des États-Unis viennent de ce pays d'Amérique du Nord , la tête d'un des raids aériens de la coalition menées contre le groupe terroriste takfiri EIIL ( Daesh en arabe) en Irak depuis Août 2014 et a commencé une campagne militaire similaire en Syrie à mettre fin en Septembre , cependant, leurs offensives ont échoué à arrêter la progression des terroristes.

Iran, quant à lui, dans son soutien de la lutte antiterroriste aux gouvernements de la Syrie et de l'Irak depuis le début, et certainement l'air vraiment appelé anti-Daesh coalition terrorisme final.

Selon divers rapports, y compris les informations à fournir ex-annaliste de la National Security Agency des États-Unis (NSA, pour son sigle en anglais) Edward Snowden, l'EIIL a été formé avec la complicité des services de renseignement des États-Unis, le Royaume-Uni et le régime israélien.

dimanche, 21 juin 2015 14:59

Grexit : Washington met en garde !

Le Secrétaire américain au Trésor Jacob Lew a mis en garde contre les conséquences d’une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro. « Le retrait de la Grèce de la zone euro portera des coups durs à l’économie et au peuple de ce pays », a averti le Secrétaire américain au Trésor, Jacob Lew, à l’antenne de la chaîne CNN. Jacob Lew a affirmé qu’il n’était pas en mesure de présager les conséquences d’un retrait de la Grèce de l’Euroland, « mais il est clair que cela aboutira à une forte baisse de l’économie grecque », a-t-il précisé. Athènes a jusqu’au 30 juin pour s’entendre avec les créanciers internationaux et recevoir les nouvelles tranches d’un prêt d’un montant de sept milliards, deux-cent-millions d’euros. L’Union européenne et le Fond Monétaire International (FMI) disent que la Grèce doit élabore des plans censés réduire ses grosses dettes.

Le journal israélien, Haaretz a prétendu qu'Israël examine une intervention directe en Syrie. Selon les sources bien informées israéliennes, citées par le quotidien Haaretz, d'importants changements sont prévus dans les heures à venir pour la Syrie, ce qui contraindra Israël à décider d'une intervention directe sur ce territoire. Hamad Awidat, un journaliste druze de Majdal Shams écrit à ce propos: "Certains groupes cherchent à aplanir le terrain à la présence d'Israël dans la région occupée de Golan; des efforts sont également en cours pour anéantir l'armée syrienne mais cette armée a su sauvegarder le contrôle de certaines bases stratégiques dont les hauteurs de la colline d'al-Hamar et les ponts stratégiques terrestres, région que le Front al-Nosrah cherche à dominer pour pouvoir ainsi étendre son influence à Qalamoun." Hamad Awidat a, aussi, évoqué des projets qui envisagent le soutien à apporter par Israël aux minorités en Syrie, qu'il veut en effet exploiter comme un atout pour parvenir à ses buts.

dimanche, 21 juin 2015 14:56

De grand manque de nourriture à Mossoul

Une source a informé sur le manque de nourriture dans la ville irakienne de Mossoul qui est sous l'occupation des combattants de Daech. 17 habitants de Mossoul ont péri à cause de la famine, a déclaré la source.
De nombreux civils meurent chaque jour dans les hôpitaux de Mossoul à cause du manque de la nourriture, a dit Saeed Mamouzeyni, responsable de la presse du parti démocrate du Kurdistan irakien.

17 personnes ont déjà perdu la vie à l'hôpital Al-Jomhuri de Mossoul à cause de la famine. Cette crise s'est jour pour jour aggravée, a-t-il souligné.

Le groupe terrorisme Daech s'est emparé de la ville Mossoul juin dernier. Actuellement, cette ville est passe une situation humanitaire très difficile.

La diplomatie américaine accuse l'Iran un Etat soutenant le terrorisme international, a dit vendredi la diplomatie américaine, en dépit du processus historique de négociations entre Washington et Téhéran sur le programme nucléaire iranien.
L'Iran a continué de soutenir des groupes terroristes tout autour de la planète, a pointé le département d'Etat dans son rapport annuel mondial sur le terrorisme.

La République islamique figure depuis 1984, aux côtés de la Syrie et du Soudan, sur une liste noire américaine d'Etats soutenant le terrorisme. Cuba a été retiré de cette liste fin mai.

Washington dénonce notamment le rôle des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, et l'appui militaire apporté par Téhéran en Syrie et en Irak.

L'Iran aide l'Irak et la Syrie de lutter contre le groupe extrémiste Daech (EI).

L'actuelle situation irakienne est une occasion exceptionnelle. Les cheikhs qui se sont entrés courageusement dans le champ de défense de l'unité de l'Irak deviendront éternels dans l'Histoire du pays, a déclaré Sayed Moussa Moussawi, l'adjoint du secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques dans une rencontre avec des cheikhs sunnites de la province Al-Anbar de l'Iran.
Après la disparition de l'empire Ottoman, trois complots ont été formulés par l'arrogance mondiale dans le monde musulman; le premier, l'arrogance mondiale et le régime sioniste ont essayé d'empêcher la constitution d'une puissance qui défend la religion islamique, a-t-il souligné.

Le deuxième complot consiste à mettre la séparation entre les chiites et les sunnites. Le Royaume-Uni a débuté ce procès qui est ensuite suivi par les Etats-Unis et le régime sioniste, a-t-il indiqué.

Le troisième complot consiste à réduire le pouvoir des cheikhs et des tribus. L'ennemi pense toujours que le pouvoir des cheikhs et des tribus constitue un obstacle face à ses complots, a-t-il marqué.

Les cheikhs et les chefs des tribus soutiennent toujours les frontières iraniennes. Par exemple, au début de la révolution islamique, les Etats-Unis et les ennemis de la révolution islamique essaient de créer des complots dans la région de Kurdistan iranien. Ce complot est neutralisé par les cheikhs et les chefs des tributs, a-t-il rappelé.

Lors de cette rencontre, cheikh Moussawi a expliqué les objectifs et les programmes que le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique suivent dans le domaine de l'unité islamique.