تقي زاده

تقي زاده

Le président iranien, Hassan Rohani, a pris son discours dans la cérémonie d'ouverture de la 28e conférence de l'Unité islamique tenue à Téhéran. Commémorant l'anniversaire de la naissance du grand prophète de l'islam et celui de son fils, Imam Sadiq (AS), il a confirmé que la situation actuelle du monde musulman exige l'unité des pays islamique.

Nous devons mobiliser les coopérations entre les pays islamiques aux différents niveaux dont celui économique. Nous devons aller de la théorie vers les activités pratiques, a-t-il précisé.


Nous ne pouvons pas à la réalisation de l'unité islamique complète sans se coopérer dans le domaine culturel. Une interprétation unique du noble coran approuvé par toutes les écoles islamiques peuvent être un bonne exemple pour la coopération entre les écoles islamique.

La crise syrienne, qui a déjà trouvé une solution avec la première conférence de Genève en juin 2012, continue malgré tous les accords négociés avec les États-Unis. À l’évidence, l’administration Obama n’obéit pas à son chef, mais est divisée entre deux lignes politiques : d’une part les impérialistes favorables à un partage du monde avec la Chine et éventuellement la Russie (c’est la position du président Obama) et, d’autre part, les impérialistes expansionnistes (réunis autour d’Hillary Clinton et du général David Petraeus).

À la surprise générale, l’éviction du directeur de la CIA et de la secrétaire d’État lors de la ré-élection de Barack Obama n’a pas mis fin à la division de l’administration, mais l’a au contraire renforcée.

Ce sont à nouveau les impérialistes expansionnistes qui ont relancé la guerre contre la République populaire de Corée, sous le prétexte d’une cyber-attaque contre Sony Pictures attribuée à Pyongyang contre toute logique. Le président Obama a en définitive souscris à leur discours et signé un décret de « sanctions ».

Il semble que les partisans de l’expansion impériale se soient d’abord regroupés pour créer le Center for a New American Security, qui a joué au sein du Parti démocrate un rôle équivalent à celui du Project for a New American Century (et aujourd’hui de la Foreign Policy Initiative) au sein du Parti républicain. À ce titre, ils ont joué un rôle important durant le premier mandat de Barack Obama et, pour certains, ont intégré l’État profond d’où ils continuent à tirer les ficelles.
Les faucons libéraux

Le Center for a New American Security (CNAS) a été créé en 2007 par Kurt Campbell et Michèle A. Flournoy.

Ces deux intellectuels avaient travaillé préalablement ensemble au Center for Strategic and International Studies CSIS). Ils y avaient dirigé la publication, deux mois après les attentats du 11 septembre 2001, de To Prevail : An American Strategy for the Campaign Against Terrorism (Pour triompher : une stratégie américaine pour la campagne contre le terrorisme) [1]. L’ouvrage glosait la décision du président Bush d’attaquer non seulement des groupes terroristes, mais aussi des États qui les soutiennent, voire des États faillis qui échouaient à les combattre sur leur sol. S’inspirant des travaux de la Task Force sur le terrorisme du CSIS, il préconisait un développement considérable des agences de renseignement afin de surveiller le monde entier. Bref, Campbell et Flournoy acceptaient la narration officielle des attentats et justifiaient la « guerre au terrorisme » qui allait endeuiller le monde durant plus d’une décennie.

En 2003, Campbell et Flournoy signaient avec treize autres intellectuels démocrates un document intitulé Progressive Internationalism : A Democratic National Security Strategy (Internationalisme progressiste : une stratégie démocrate de sécurité nationale) [2]. Ce manifeste soutenait les guerres post-11-Septembre tout en critiquant la faiblesse diplomatique du président Bush. Dans la perspective du choix du candidat démocrate en 2004, les signataires entendaient promouvoir le projet impérial états-unien (défendu par George W. Bush) tout en critiquant la manière dont il exerçait le leadership, notamment le doute qu’il avait semé parmi les alliés. Les signataires étaient alors étiquetés « faucons libéraux ».
Kurt Campbell et Michèle Flournoy lors de la cérémonie de lancement du CNAS, en 2007
Le CNAS

Lors de sa création (2007), le CNAS affirmait vouloir renouveler la pensée stratégique états-unienne après la Commission Baker-Hamilton et la démission du secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld. Le lancement eut lieu en présence de nombreuses personnalités, dont Madeleine Albright, Hillary Clinton et Chuck Hagel. À l’époque, Washington cherchait une échappatoire à son enlisement en Irak. Campbell et Flournoy entendaient préconiser une solution militaire qui permette aux armées US de continuer à occuper l’Irak sans avoir à y épuiser leurs forces. Pour poursuivre son expansion mondiale, l’impérialisme états-unien devait d’abord élaborer une stratégie contre-terroriste qui lui permette de ramener ses troupes en Irak à un format réduit.

Logiquement, Campbell et Flournoy travaillent donc avec le général David Petraeus qui venait d’être nommé commandant de la Coalition militaire en Irak parce qu’il était l’auteur du manuel de contre-insurrection de l’armée de terre US. Ils engagent un expert australien, David Kilcullen, qui va devenir le gourou du général Petraeus et concevra la Surge (la poussée). Selon lui, le retournement des insurgés irakiens est possible par la combinaison de deux facteurs (la carotte et le bâton) : d’une part un salaire sera versé aux résistants qui changeront de camp et veilleront à établir l’ordre sur leur territoire et, d’autre part, une forte contrainte sera exercée sur eux par une augmentation temporaire de la présence militaire US. Cette stratégie sera mise en œuvre avec le succès que l’on connaît : le pays traverse d’abord une phase d’intense guerre civile, puis revient lentement au calme après avoir été profondément détruit. En réalité, le retournement d’une partie de la résistance irakienne n’a été possible que parce qu’elle était organisée sur une base tribale.

De fait, durant cette période, le CNAS et le général Petraeus sont indissociables. Kilcullen devient conseiller de Petraeus, puis de la secrétaire d’État Condoleezza Rice. La fusion est telle que le colonel John Nagl, un conseiller de Petraeus, devient président du CNAS lorsque Campbell et Flournoy entrent dans l’administration Obama.

L’originalité du CNAS, c’était d’être un think tank démocrate qui collabore et intègre des faucons républicains. Il multiplie d’ailleurs les rencontres et les débats avec des membres du Project for a New American Century. Il est financé par des industriels de l’armement ou des prestataires de la Défense (Accenture Federal Services, BAE Systems, Boeing, DRS Technologies, Northrop Grumman), des financiers (Bernard L. Schwartz Investments, Prudential Financial), des fondations (Carnegie Corporation of New York, The William and Flora Hewlett Foundation, Ploughshares Fund, Smith Richardson Foundation, Zak Family Charitable Trust) et des gouvernements étrangers (Israël, Japon, Taïwan).

Durant la campagne électorale, Campbell et Flournoy publient leurs recommandations pour le prochain président : The Inheritance and the Way Forward (L’héritage et la voie à suivre) [3]. De la période Bush, ils remettent en question le principe de la « guerre préventive » et la pratique de la torture. En outre, ils préconisent de réorienter la guerre au terrorisme de manière à éviter le « choc des civilisations » qui priverait Washington de ses alliés musulmans.
Trois générations de femmes au CNAS : Madeleine Albright,
Hillary Clinton et Michèle Flournoy.
L’administration Obama

Élu président des États-Unis, Barack Obama désigne Michèle Flournoy pour surveiller la transition au département de la Défense. Logiquement, elle est nommée sous-secrétaire à la Défense chargée de la politique, c’est-à-dire qu’elle doit élaborer la nouvelle stratégie de Défense. Elle est alors le n°2 du département et gère un budget de 200 millions de dollars.

De son côté, Kurt Campbell est nommé au département d’État pour diriger le bureau de l’Extrême-Orient et du Pacifique.

Campbell et Flournoy vont alors être les promoteurs de la stratégie du « pivot ». Selon eux, les États-Unis doivent se préparer à un affrontement futur avec la Chine. Dans cette perspective, ils doivent lentement faire pivoter leurs forces armées d’Europe et du Moyen-Orient élargi vers l’Extrême-Orient.

Le CNAS est tellement en vogue que de nombreux collaborateurs vont entrer dans l’administration Obama :
Rand Beers deviendra secrétaire à la Sécurité de la Patrie,
Ashton Carter, sous-secrétaire à la Défense chargé des acquisitions, puis secrétaire à la Défense,
Susan Rice, ambassadrice aux Nations unies, puis conseillère nationale de sécurité,
Robert Work, adjoint du secrétaire à la Défense,
et encore :
Shawn Brimley, conseiller spécial du secrétaire à la Défense pour la stratégie, puis directeur de la planification au Conseil de sécurité nationale,
Price Floyd, assistant adjoint du secrétaire à la Défense pour les relations publiques,
Alice Hunt, assistante spéciale au département de la Défense,
Colin Kahl, assistant adjoint du secrétaire à la Défense pour le Proche-Orient, puis conseiller de sécurité nationale auprès du vice-président,
James Miller, sous-secrétaire à la Défense adjoint pour la politique,
Eric Pierce, adjoint du chef du département de la Défense chargé des relations avec le Congrès,
Sarah Sewall deviendra, en 2014, sous-secrétaire d’État pour la Démocratie et les Droits de l’homme,
Wendy Sherman deviendra, en 2011, sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques,
Vikram Singh, conseiller spécial du secrétaire à la Défense pour l’Afghanistan et le Pakistan,
Gayle Smith, directrice pour le Développement et la Démocratie au Conseil national de sécurité,
James Steinberg, adjoint de la secrétaire d’État,
Jim Thomas, assistant adjoint du secrétaire à la Défense pour les Ressources,
Edward (Ted) Warner III, conseiller du secrétaire à la Défense pour le contrôle des armements.

le site américain Global Fire Power spécialisé dans le militaire, le technique et l'économie a publié un rapport analytique de l'Iran à " titre de l'un des plus puissants pays du Moyen Orient". " l'Iran est l'un des pays les plus puissants du Moyen Orient qui en dépit des sanctions onusiennes s'est doté des capacités nucléaires. il existe de graves tensions entre l'Iran et les Etats Unis depuis déjà plusieurs décennies et pourtant les iraniens possèdent des missiles qui pourraient même atteindre le sol américain - ndlr: la maneuvre est bien perceptible. les Etats Unis cherchent à faire entrer les missiles iraniens sur la scène des néfociations nucléaires. " le site poursuit :" l'Iran occupe le huitième rang mondial en termes de nombre de soldats et de militaires et le pays possèderait quelques 545000 forces militaires prêtes à se battre , ce qui le place tout de suite après la Corée du sud, la Corée du nord et le Pakistan. l'armée iranienne dispose aussi de chars , de navires de guerre , d'avions de chasse et son budjet militaire s'élève à quelque 6.3 milliards de dollars. ce qui distingue l'Iran d'autres pays de la région c'est que ce pays est capable de fabriquer de quoi se défendre ou attaquer ses ennemis. l'Iran est à même de produire des chars , des sous marins, . il peut procédé à des techniques de rétroingénierie pour concevoir des drones . et si cet Iran là arrive à fabriquer des bombes atomiques , il pourra chambouler de nombreuses équations" le rapport qui s'accompagne de nombreuses photos poursuit : " il se peut que l'Iran ne soit pas encore une superpuissance mais ce pays a des capacités qui l'ont rendu capable de faire face aux pressions américaines, européennes et onusiennes"

« la marine iranienne a envoyé, ce matin, de sévères sommations, en langues anglaise, farsi et arabe, aux navires et bateaux américains US, présents au Nord du Golfe persique », a annoncé une source bien informée au sein de la marine irakienne, dans une interview avec la chaine Al-Sumeriya News. « Hier soir, un navire américain, présent au Nord du Golfe persique a insecte une un bateau de pêche iranien, ce qui suscité la vive protestation de la flotte marine iranienne et c'est pour cette raison qu'elle en envoyé, ce matin, via des radis, de sévères sommations en langues anglaise, arabe et persane à la flotte US présente dans le Golfe persique », a précisé encore cette source.

mercredi, 07 janvier 2015 01:00

Qalamoun, perdu?!

selon une source syrienne, les principales localités de la région stratégique de Qalamoun restent aux mains des forces syriennes qui de surcroit, mènent à l'aide de l'Armée de l'Air syrienne d'intenses raids contre les régions situées entre Qalamoun Est et Ouest. les unités de l'armée ont lancé ces derniers jours et en tirant profit des combats inter terroristes entre Jaysh al Islam et Jaysh al Oma une vaste offensive sur tous les axes de Ghouta est . les cités de Kfar Batna , de Beit Saham et de Hamouriya ont été ainsi le théâtre de très violents affrontements. parallèlement à ces opérations menées par les unités d'infanterie et d'artillerie de l'armée syrienne , l'aviation a violemment bombardé les positions d'Al Nosra à Douma après avoir constaté des agissements sur l'axe Mairie /Tal Kurdi ou encore la cité Mideaa. l'artillerie lourde a visé de son côté l'axe des jardins de Arbaïn : ces frappes ont permis aux unités d'infanterie de l'armée syrienne sur l'axe Harssata Al Sanawiya; les soldats syriens ont repoussé les tentatives d'infiltration terroristes contre la région de Al Zabdani. à Qalamoun, les sources syriennes font état de l'emprise totale des forces syiennes sur les principaux axes et les principaux points de la région de Qalamoun. un assaut d'Al Nosra contre Al Massroub a été ainsi repoussé. les terroristes ont lancé un appel à la mobilisation de fond mais les renforts sont droit tomber dans un piège tendu par les soldats syriens. le résultat ? des dizaines de morts dans les rangs des terroristes. selon cette source, de vastes frappes aériennes ont été menées contre les régions situées de Qalamoun de l'est et de l'ouest . les forces d'infanterie ont patrouillé les cités de Raas al Aïn, de Rankos, de Falita, de Raas al Maraa. ces cités ont été expurgées de la présence des terroristes .

Le site du journal Algemeiner le souligne : " l'industrie militaire iranienne consacre une grande partie de ses efforts à la conception de ses missiles performants . l'Iran envisage de détruire Israël via plusieurs scénarios militaires et politiques. le missile Fateh 110 que l'Iran a fabriué a une portée assez longue pour frapper n'importe quel point sur le territoire israélien depuis le nord au sud. alors que Téhéran négocie à Vienne et à Genève , l'Iran militaire produit des missiles de longue portée et l'Iran politique fait en sorte que ces missiles tombent effectivement entre les mains du Hezbollah et du Hamas. les stratèges israéliens se trouvent donc confrontés à de nouveaux défis et ils le savent. ils devront assurer la défense d'Israël afce à un Iran qui peut bien nuire" de plus en plus de journaux athlantistes évoquent une prétendue "menace balistique iranienne" , manière d'introduire la puissance balistqiue iranienne à l'agenda des discussions.

Lorsqu'on voit la situation du monde musulman, on constate que les ennemis ont préparé de nombreux plans pour atteindre aux intérêts des musulmans, a déclaré le Dr. Mohammad Reza Golrou, chef du comité d'exécution de la 28e conférence de l'Unité islamique.
La 28e conférence de l'Unité islamique sera tenue dans une situation différente de celles des années précédentes en présence des penseurs, des oulémas et des élites musulmans venus de quatre points du monde, a-t-il souligné.

La 28e conférence de l'unité islamique, nommée ''Umma islamique, les défis et les stratégies'', sera tenue du 7 au 9 janvier à Téhéran. 500 penseurs musulmans issus de 65 pays participeront à cette conférence, a-t-il indiqué.

Pour faire des pas et aller de l'unité théorique vers l'unité pratique, les invités de différentes couches sociales; les femmes, les professeurs, les commerçants, les représentants des partis politiques et les oulémas de résistance sont invités à participer à la conférence de cette année, a-t-il précisé.

La 28e conférence de l'Unité islamique sera commencée mercredi matin avec le discours du président iranien, Hassan Rohani. Les commissions de la conférence seront organisées mercredi après-midi et jeudi. La grande fête de l'anniversaire de la naissance du noble prophète de l'islam sera tenue au mausolée de l'Imam Khomeiny, fondateur de la République islamique d'Iran, a-t-il expliqué.

Après la présentation de trois personnalités distinguées du monde musulman, vendredi, la cérémonie de la fermeture de la conférence de l'Unité islamique aura lieu avec le discours du président du parlement iranien, Ali Larijani, a-t-il ajouté.

Abdul-Malik al-Houthi, chef du mouvement yéménite Ansar Allah a affirmé que l’anniversaire de la naissance du Noble Prophète de l’islam présentait une bonne occasion à la communauté musulmane de s’unir.

Selon le site de la chaîne d’information Al Alam, le chef du mouvement Ansar Allah a indiqué : « En formant des groupes takfiristes et en en profitant, l’ennemi cherche à fatiguer la communauté musulmane et de la faire négliger de ses véritables ennemis (Etats-Unis et Israël). »
Il a ajouté : « La grande faille au sein des musulmans leur a ôté l’occasion de jouer un rôle efficace au niveau international et ce alors que les arrogants bénéficient d’horribles moyens pour prendre les nations musulmanes pour cible et les faire errer du droit chemin. »
Faisant allusion à ce que l’homme a aujourd’hui plus que jamais besoin des principes maux à côté des progrès matériels, il a souligné : « Par leurs actions irréfléchies, les musulmans ont ouvert les portes de la politique sur les gouverneurs oppresseurs et les ennemis profitent de ces chemins pour s’ingérer dans les affaires des musulmans. »
Al-Houthi a exprimé ses regrets de voir les ennemis prendre le contrôle des prises de décision politiques chez les musulmans, ajoutant : « En formant des groupes takfiristes et en en bénéficiant, l’ennemi cherche à épuiser la communauté musulmane et la faire négliger des Etats-Unis et Israël comme ses véritables ennemis. »

« Cent : classification des plus influentes personnalités de l’histoire » est le titre d’un livre écrit par Michael Hart, astrophysicien américain, édité pour la première fois en 1978 et réédité pour la seconde fois en 1992.

Selon le site d’information Amaana, le livre présente le Prophète Mohammad (PSL) comme l’homme le plus influent de l’histoire de l’homme et Newton et Jésus (AS) occupent les places suivantes.
Hart explique dans son livre : « Puisque les chrétiens sont plus nombreux que les musulmans on peut s’interroger sur les raisons pour lesquelles le nom de Mohammad est placé en tête de la liste, mais il est le seul homme de l’histoire à agir avec un succès extraordinaire sur les dimensions spirituelles et matérielles. »
Michael Hart ajoute : « Mohammad [PSL] a fondé l’une des plus grandes religions de l’histoire et était un dirigeant d’influence. Aujourd’hui même, des siècles après son décès, il continue à exercer son influence. »
L’astrophysicien américain écrit : “Aucun recueil aussi détaillé que le Coran ne subsiste des enseignements de Jésus. Le Coran est du moins pour les musulmans, aussi important que la Bible pour les chrétiens. Mohammad [PSL] doit son influence au Coran. »
Parmi les personnalités iraniennes citées dans le livre on peut trouver Mani (au 83e rang), le grand Cyrus (au 86e rang) et Zoroastre (au 93e).

le site israélien Walla confirme : des centaines de militaires ayant participé à la guerre de 50 jours contre Gaza vivent depuis des troubles psychiques et psychologiques. " Ces militaires ont perdu leur équilibre psychologique à cause des missiles et des tunnels sous terrains des palestiniens ! le nombre impressionnant des soldats devenus ainsi déséqulibrés a même pris de court la hiérarchie de l'armée israélienne" Haaretz avait annoncé il y a quelques jours le nombre de militaires israéliens qui s'étaient donnés la mort en 2014, nombre en hausse par rapport à 2013. 14 militaires israéliens dont des officiers se sont suicidés depuis la fin de la guerre contre Gaza.