Des cérémonies seront organisées ce lundi, 7 juillet à Bamako, capitale malienne, à l’anniversaire du décès de l’honorable Khadija, épouse du Prophète de l’Islam (PSL).

Les cérémonies se tiendront lundi soir, au siège de l’Association de l’Ahl-ul-Bayt(AS), avec la participation des chiites de Bamako. Le conseil des relations et des services islamiques dépendant de l’Association de l’Ahl-ul-Bayt (AS) a appelé, dans un communiqué, les musulmans à participer à ces cérémonies, ajoutant : « Le discours des religieux chiites sur les qualités de l’honorable Khadija (SA), la lecture du Saint Coran et des prières et des chants en glorification de la noble mère de l’honorable Fatima (SA) comptent parmi les plus importants programmes prévus dans le cadre de ces cérémonies. »

Dans une partie de ce communiqué, il est souligné : « L’honorable Khadija était non seulement l’épouse du dernier Prophète divin, mais la mère de l’honorable Fatima (SA). Elle a fait tout dans la voie de l’extension de l’Islam. Aujourd’hui il est du devoir des musulmans et notamment des chiite d’honorer la mémoire de cette honorable femme et de maintenir leur dépendance et leur attachement aux enseignements islamiques et à ceux qui éprouvent du dévouement pour protéger cette religion. »

La Commission des Droits de l’Homme islamiques basée à Londres a précisé que la dernière décision de la cour européenne des Droits de l’Homme soutenant l’interdiction du voile intégral dans les lieux publics est contre la liberté de l’Homme et de la religion.

Dernièrement, la cour européenne des Droits de l’Homme a approuvé la décision de la justice française concernant le voile islamique. Elle a déclaré que cette décision n’est pas à l’encontre de la Convention européenne des Droits de l’Homme, a rapporté l’Agence de presse TAGHRIB (APT).

Cette décision a été prise dans le cas d’une musulmane française. Elle était interdite de porté le voile intégral.

Le voile intégral des femmes musulmanes en Europe est une explication claire pour les frontières de la liberté, a précisé la commission islamique des Droits de l’homme.

Porter le voile intégral est une décision prise par certaines femmes musulmanes. Cela leur permet de faire librement leurs activités sociales. Mais cette décision pourrait limiter les femmes musulmanes, a souligné la commission.

Cette décision pourrait être prise par d’autres pays européens. Cela serait une insistance sur la vision islamophobe déjà installée dans les pays occidentaux, s’est inquiété la commission.

Le Hezbollah a publié un communiqué dénonçant "les agressions sionistes contre le peuple palestinien à Al-Qods, en Cisjordanie et à la Bande de Gaza."

Selon l’Agence Internationale de Presse Coranique citant Al Manar, "Le peuple palestinien est sujet aux diverses agressions sionistes, il est massacré à tout temps en sang froid, il est en proie à des raids permanents et une à oppression violente, mais il résiste toujours en face de l'occupation, refusant de se soumettre," a souligné le communiqué.

Le Hezbollah s'est surtout dit étonné à l'égard du silence arabe et international face à la "violation de la Palestine". Il a appelé à la plus vaste campagne de solidarité avec le peuple palestinien et à la mobilisation de tous les peuples arabes pour soutenir la Palestine face "au danger sioniste qui n'exclue personne".

La Haute commission électorale (Hnec) libyenne a annoncé l'annulation des résultats des élections législatives du 25 juin dans 24 bureaux de vote. Des fraudes ont été constatées lors de ce scrutin où les listes politiques avaient été bannies.

"Les résultats de 24 bureaux vote (sur 1600) ont été annulés, en raison de fraudes", a déclaré le président de la Hnec, Imed Al-Sayeh. "Une enquête est en cours et les responsables de ces fraudes vont être traduits devant la justice", a-t-il ajouté. Ces élections ont été marquées par des violences.

Selon la Hnec, 184 sièges (sur 200) ont été pourvus, le vote ayant été annulé dans plusieurs bureaux en raison de violences. "La Hnec attend une décision du Congrès général national (CGN - Parlement) pour pouvoir réorganiser le scrutin dans ces localités", a précisé M. Al-Sayeh.

Les résultats définitifs seront annoncés le 20 juillet, selon M. Al-Sayeh. Les listes politiques ayant été bannies, seuls des "candidats individuels" - pas forcément indépendants- avaient été appelés à se présenter. La grande majorité des vainqueurs sont méconnus du grand public.

La composition politique du futur Parlement ne sera donc connue qu'après la formation de blocs parlementaires. Mais selon des observateurs, le courant national (libéral) aurait remporté plus de sièges que les islamistes. En raison d'une faible participation (42%), plusieurs futurs députés ont été élus avec moins de 1000 voix.

Chambre des représentants

Les Libyens avaient manifesté un faible engouement pour ces élections, jugées cruciales par la communauté internationale pour sortir le pays de l'anarchie.

Les nouveaux élus de la future Chambre des représentants remplaceront le CGN, la plus haute autorité politique et législative, dont la légitimité est contestée. Il est accusé d'avoir aggravé la crise dans le pays en raison d'une lutte d'influence entre les courants libéral et islamiste.

L’islamophobie et les attaques des extrémistes de droite contre les musulmans ont augmenté cette année, en Angleterre. L’Agence chiite de presse Shafaqna citant l’Agence Mehr, a déclaré qu’une enquête effectuée entre mai 2013 et février 2014, par l’université Teesside et le centre Tel Mama, montrait que les actes islamophobes avaient augmenté après l’assassinat du soldat Lee Rigby, tué en mai 2013, et visaient spécialement les femmes voilées.

Le mois dernier, une musulmane qui portait le voile islamique, a été tuée à Colchester. D’après cette enquête, pendant cette période, 23 attaques contre les musulmans, 56 attaques contre les mosquées et des centaines de menaces sur internet, ont été enregistrées en Angleterre.

Un adolescent palestinien assassiné apparemment en représailles au meurtre de trois jeunes Israéliens a été brûlé vif après avoir été enlevé, selon les premiers rapports d'autopsie cités par les médias palestiniens samedi.

Mohammad Abou Khdeir, 16 ans, a été kidnappé mardi soir dans le quartier de Chouafat à Jérusalem-Est. Son cadavre -entièrement brûlé selon l'avocat de la famille- a été retrouvé quelques heures plus tard mercredi près d'une forêt dans la partie ouest de la ville.

Les Palestiniens ont accusé des juifs extrémistes de l'avoir enlevé et tué. Les premiers résultats d'autopsie ont indiqué la présence de fumée dans ses poumons, signifiant qu'il était encore en vie lorsque son corps a été brûlé, a rapporté l'agence palestinienne Maan, citant le procureur général Mohammad Al-Ouweiwi.

Le jeune garçon a également été blessé à la tête, mais cette lésion n'est pas la cause de la mort, a précisé le procureur. La police israélienne a expliqué samedi qu'elle refusait de dire si le meurtre de l'adolescent correspondait à un acte de vengeance après ceux de trois adolescents israéliens retrouvés morts lundi après avoir été portés disparus pendant près de trois semaines en Cisjordanie.

Des milliers de personnes ont participé aux funérailles du jeune Palestinien vendredi à Jérusalem-Est où des heurts ont éclaté entre Palestiniens et forces israéliennes pour le troisième jour consécutif. Ces violences se sont propagées samedi à trois localités arabes israéliennes du centre et du nord-est des territoires occupés.

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, candidat à l'élection présidentielle d'août, a lancé samedi sa campagne en promettant à ses partisans qu'il serait un chef d'Etat doté d'un pouvoir fort capable d'engager la Turquie dans "un nouveau départ".

"Nous faisons le premier pas vers un nouveau départ", a déclaré M. Erdogan devant une foule de partisans enthousiastes au cours de son premier meeting électoral à Samsun (nord).

M. Erdogan, qui a annoncé le 1er juillet sa candidature à la présidentielle, a été acclamé bruyamment par les partisans de son Parti de la justice et du développement (AKP) agitant des drapeaux turcs et des bannières du parti.

M. Erdogan a fait un choix symbolique en organisant à Samsun son premier meeting électoral car c'est dans ce port de la mer Noire que le fondateur de la Turquie moderne, Mustafa Kemal Ataturk a engagé la guerre d'indépendance de la Turquie contre les puissances étrangères en 1919.

"95 ans plus tard, nous entamons la campagne pour la présidentielle à Samsun, un nouveau pas pour une nouvelle Turquie", a dit le Premier ministre.

Le Premier ministre islamo-conservateur, auquel ses adversaires reprochent de vouloir imposer ses valeurs religieuses musulmanes au détriment du régime laïque du pays, reste l'homme politique le plus populaire et devrait remporter facilement le premier tour de la présidentielle le 10 août.

M. Erdogan a rappelé qu'il entendait renforcer les pouvoirs du président, qui sera élu en août pour la première fois au suffrage universel, alors que cette fonction, exercée par le président sortant Abdullah Gul, était jusque-là principalement protocolaire.

Selon le Secrétaire adjoint de l'organisation du développement du commerce de l'Iran, Mir Aid Badri, allégement des sanctions antiranies, résultat de l'accord de Genève (conclu en novembre 2013) entre l'Iran et le G5 + 1, il a encouragé les anciens clients du pays Perse à reprendre son économique et échanges de liens.

Nous avons actuellement la demande européenne et même il y a des rivalités entre les pays européens à coopérer et à investir en Iran, dit Badri pour ensuite mettre en évidence que Téhéran, à son tour, est prévue pour cette année quelque 47 milliards de dollars d'exportations.

Afin d'atteindre cet objectif et l'augmentation des investisseurs étrangers, le fonctionnaire perse dit l'envoi de conseillers commerciaux dans différents pays, la signature d'accords commerciaux et l'accroissement du commerce avec les pays voisins.

Il a également révélé la décision du gouvernement iranien pour créer au moins dix branches de l'organisation du développement du commerce de l'Iran dans les différents pays, dont le Liban, l'Irak, l'Afghanistan, la Chine et la Russie.

À la fin de ses remarques, Badri mis leurs espoirs d'atteindre un accord final entre l'Iran et G5 +1 (USA, Le Royaume-Uni, la Russie, la Chine et la France et l'Allemagne) et l'ouverture de l'environnement politique, qui, à son avis, fait revivre l'entrée des investisseurs étrangers dans le pays perse.

L'assouplissement des sanctions contre l'Iran par l'accord conclu à Genève (Suisse) entre ce pays et a attiré Sextet Téhéran, la capitale de l'Iran, un grand nombre de bureaux de vente dans le monde entier, y compris aux Pays-Bas, France, Allemagne, Italie et Corée du Sud.

C'est ce qu'a annonce l'ambassadeur russe en Irak : " en 2013, de nombreux contrats d'armements ont été signés avec l'Irak et cette année, la Russie envisage de vendre davantage d'armements à l'Irak". " 2013-2014 a été marqué par la signature de nombreux contrats de coopération dans divers domaines et les deux parties sont satisfaites du niveau de leurs coopérations actuelles, a affirmé Iliya Morgonov au journal Izvetzia. " les coopérations irako-russe seront d'ailleurs fondées sur ces contrats ". Alors que l'Irak se trouve en plein guerre contre le terrorisme takfiri, les Etats Unis, signataires d'un accord sécuritaire avec Bagdad , ont refusé de lui livrer des avions de chasses et des hélicoptères pour l'appuyer dans cette guerre. la Russie de Poutine a au contraire apporté son plein soutien à Bagdad en livrant à l'armée irakienne des Sukhoï 25. " les sukhoï livrés à l'Irak l'ont été dans le cadre des contrats signés, a fait remarquer l'ambassadeur. interrogé sur la présence des sociétés russes en Irak, l'ambassadeur a affirmé : " il n'existe aucune menace contre les compagnies pétrolières russes qui sont actives dans le sud de l'Irak . c'est une région calme et nos sociétés se trouvent dans cette partie du pays. l'ambassadeur n'a pas écarté la possibilité d'une offensive des terroristes de Daech contre la Jordanie puis contre l'Arabie saoudite avant de déclarer : " il s'agit d'une menace sérieuse et réelle et personne ne peut prévoir ce qui se passe dans la tête des chefs de cette organisation terroriste"

« La guerre semble être transférée de la Syrie en Irak. Certains acteurs régionaux acheminent le processus des conflits et des guerres vers une destination qui peut embraser tout le Moyen-Orient et risque d'aboutir à une confrontation directe entre deux ou trois pays » a averti Shamus Kooke, dans un article publié dans Counter Punch. Les terroristes takfiris se sont emparés, actuellement, de certaines régions de l'Irak où ils se livrent à des exactions et à des crimes et poursuivent leurs actes de violences. Les régions où sont positionnées les terroristes sont entourés de pays qui ont peu des terroristes ou qu'ils les soutiennent. Et l'auteur de cet article de poursuivre : « Après l'offensive des terroristes contre l'Iran, Téhéran et Damas, deux alliés de Bagdad, se sont dits prêts à fournir leur aide à la lutte contre les terroristes. en revanche, les Etats-Unis, Israël et les monarchies arabes du Golfe persique ont perdu dans une grande mesure leur alliance et leur amitié en raison de leurs clivages comportements mutuels. A titre d'exemple, les Etats-Unis ont annoncé, officiellement, soutenir tout sort de lutte contre les terroristes, tandis qu'ils appuient, officieusement, les terroristes d'Al-Qaïda, takfirs et les Baathistes et les alimentent en fonds et en armements. La raisin de ce soutien accordé par Washington s'explique par la guerre que les terroristes mènent depuis plus de trois ans en Syrie. Selon les aveux de ces mêmes terroristes, s'il n'y avait pas le soutien de l'Occident, un terme aurait été mis à leurs activités terroristes beaucoup plus tôt auparavant. Lorsque les terroristes Takfiris ont lancé une attaque contre l'Irak ; l'Iran et la Syrie se sont, dit, immédiatement, disponibles, à fournir leur aide à ce pays. Le Secrétaire d'Etat américain, John Kerry a mis en garde le gouvernement syrien contre toute attaque aérienne contre les positions des terroristes Baathistes. Or la question qui se pose est de savoir que font les Etats-Unis et Israël à un moment où la Syrie et l'Iran appellent, incessamment, à barrer la route à l'offensive des terroristes en Irak ? la réponse est tout à fait claire. Is intensifient la guerre contre le gouvernement syrien et Bashar al-Assad afin de revivifier et renforcer les terroristes takfiris et Baathistes en Irak et en Syrie. L'Irak est obligé d'acheter des avions de combat auprès de la Russie pour combattre les terroristes, car les Etats-Unis ont investi beaucoup sur les terroristes en Irak et en Syrie. En effet, on ne peut pas attendre d'autre action que cela de la part de Washington. Plus le Moyen-Orient est enfoncé et sombré dans les affrontements et le chaos, plus les Etats-Unis pourront appliquer leurs politiques colonialistes dans la région. En outre, il ne faut perdre de vue le rôle d'Israël et des lobbies sionistes dans l'adoption des décisions états-uniennes. En vérité, ce qui est appliqué par Washington est une partie de l'exigence israélienne d'assurer son existence, sa sécurité et ses intérêts.