تقي زاده

تقي زاده

La deuxième compétition internationale coranique réservée aux aveugles sera organisée par l’organisation iranienne d’owqaf du 19 au 26 avril 2017.
Selon un communiqué publié par l’organisation iranien d’owqaf, ces compétitions se tiennent pour les hommes en deux disciplines de la mémorisation intégrale et récitation.
Conditions de participation :
1. Le concurrent doit posséder la nationalité du pays qu’il représente
2. Ne pas avoir participé à des compétitions en Iran, l’année dernière
3. Etre capable de réciter le Coran dans le respect des règles de prononciation et de lecture.
4. Un concurrent ne peut participer aux compétitions que dans une seule discipline
5. Un seul accompagnateur sera accepté pour chaque pays
6. Les frais de visa, de billet et de logement du concurrent et de l’accompagnateur sont à la charge du Comité d’organisation des compétitions 
7. Documents nécessaires : Formulaire d’inscription, photocopie de la première page du passeport et deux photos d’identité
8. Le délai de déposition des documents est le 3 février 2017
Les personnes intéressées peuvent obtenir des renseignements sur le règlement des compétitions à l’adresse www.quraniran.ir
Adresse électronique : awqafiran@yahoo.com
Téléphone et Fax : 009821 64872627 
Portable : 0098 922 3782093
 Vous pouvez nous joindre sur les réseaux Telegram, wattsapp…. À  l’adresse : @awqafiran
vendredi, 20 janvier 2017 22:05

Le message du Guide aux étudiants en Europe

Le Guide suprême de la Révolution islamique, dans un message adressé aux jeunes étudiants participant à 51e réunion de l’Union des associations islamiques des étudiants en Europe, a insisté sur la nécessité pour eux d’être influents sur leur environnement et d’attirer plus de gens à la voie de Dieu.

L’honorable Ayatollah Ali Khamenei a fait allusion au fait que « la jeunesse et les années d’études à l’université » sont comme un moteur pour élever l’homme vers les causes transcendantales.

« La jeunesse et les années d’étude à l’université sont un moteur puissant qui aide l’homme à parvenir aux causes transcendantales. Hormis ces deux caractéristiques, vous bénéficiez de l’avantage d’être membre de l’influente Union des associations islamiques », a-t-il ajouté.

Il a conclu en disant : « On attend de vous que vous soyez influents sur votre environnement et que vous attiriez plus de gens à la voie de Dieu par vos paroles et vos actes. »

Le Guide suprême rend hommage à la bravoure des soldats du feu qui ont combattu l’incendie de l’immeuble Plasco.

À la suite du gigantesque incendie et de l’effondrement d’un immeuble commercial au centre de Téhéran, le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei a émis le message suivant :

« L’effondrement d’un bâtiment au centre de la Téhéran a rempli mon cœur de chagrin. Le dévouement et le courage affichés par des soldats du feu qui ont sacrifié leurs propres vies en vue de sauver celle des gens du peuple remplissent le cœur d’admiration et de chagrin.

À l’heure actuelle, tous les efforts doivent être entrepris afin de sauver la vie des personnes ensevelies. J’appelle tous les responsables à poursuivre inlassablement leurs efforts pour sauver les vies des sapeurs-pompiers prisonniers sous les décombres. »

Le président iranien Hassan Rohani. ©president.ir

 

De son côté, le président iranien, Hassan Rohani a adressé un message de condoléances à tous ses compatriotes, dans lequel il a fait part de son chagrin à l’égard des familles des sapeurs-pompiers qui, par leur sacrifice, resteront à tout jamais dans la mémoire collective iranienne.

Voici un extrait de son message : 

« Au nom de Dieu, le Clément et le plus Miséricordieux,

Le terrible incendie qui s’est déclenché dans l’immeuble Plasco a un aspect plein d’amertume invitant à méditer, mais l’épopée des pompiers qui se sont sacrifiés pour sauver la vie de leurs compatriotes a suscité chez le peuple iranien un double sentiment de deuil et de louanges devant l’esprit de sacrifice et de dépassement des enfants iraniens dignes de ce nom. »

Depuis qu’un incendie gigantesque s’est déclaré, jeudi matin, dans l’immeuble Plasco, bâtiment de 17 étages érigé au centre de Téhéran, les soldats du feu ont été dépêchés sur les lieux du drame afin de maîtriser ce fléau.

Grâce au dévouement des pompiers et des secouristes, des dizaines de blessés, dont l’un se trouve dans un état grave, ont pu être transférés dans les hôpitaux de la ville.

Cette tour de 55 ans s’est écroulée alors que les sapeurs-pompiers combattaient les flammes et des dizaines d’entre eux sont prisonniers sous les décombres.

Les efforts se poursuivent pour sauver les pompiers ensevelis sous les ruines.

Le corps de sapeurs-pompiers de Londres a rendu hommage ce jeudi au sacrifice affiché par les pompiers téhéranais avant d’exprimer leur solidarité avec les proches des victimes de cet événement dramatique.

Le maire de Téhéran, Mohammad Baqer Qalibaf, a également loué le dévouement des soldats du feu qui ont sacrifié leurs propres vies pour sauver celle de leurs compatriotes, avant de les qualifier de « sapeurs champions ».  

Le porte-parole du corps des sapeurs-pompiers de Téhéran, Jalal Maleki, a déclaré que les opérations de sauvetage se poursuivaient sur les lieux du drame avant d’ajouter : « Jusqu’à présent, une vingtaine de pompiers ont été ensevelis et les opérations continuent pour retrouver les pompiers prisonniers sous les décombres de cet immeuble ».

« Les soldats du feu étaient en train de mener des opérations dans les étages supérieurs de l’immeuble et soudainement il s’est effondré et nous n’avons pas de renseignements sur le lieu précis où ils sont bloqués », a-t-il déploré.

L’explosion d’une voiture piégée dans la ville libyenne de Benghazi a tué vendredi une personne et en a blessé 13 autres, dont l’ancien ministre de l’Intérieur Ashour Chwayel, ont indiqué des responsables de santé et de sécurité libyennes.

Une puissante explosion a eu lieu vendredi à l’extérieur d’une mosquée dans le quartier central d’al-Majouri de Benghazi, dans l’est de la Libye après la prière du vendredi. Personne n’a revendiqué l’attentat.

Chwayel, qui a servi comme chef de la police de Benghazi après le soulèvement en Libye en 2011, a été ministre de l’Intérieur entre 2012 et 2013. 

Pour son troisième voyage à l’étranger, le président libanais se rendra le mois prochain au Caire, capitale égyptienne.

Michel Aoun, président du Liban, qui a été élu président en octobre 2016 par un vote du Parlement mettant un terme à 29 mois de vacance de la fonction présidentielle dans le pays, se rendra le 13 février en Égypte à la tête d’une délégation pour une visite de deux jours.

Le ministre libanais des Affaires étrangères, Gebran Bassil, avait déjà rencontré Abdel Fatah al-Sissi au Caire en décembre 2016. Il y avait annoncé la visite prochaine du président libanais en Égypte.

Selon le site d’information libanais Elnashra, Michel Aoun rencontrera en Égypte le président Sissi et d’autres responsables du pays.

Pendant sa visite au Caire, il est probable que Michel Aoun accepte l’invitation d’Ahmad Aboul Gheit, secrétaire général de la Ligue arabe, qui lui a demandé de donner un discours devant le Conseil de la Ligue arabe.

Depuis son entrée en fonction, le président libanais a déjà voyagé au Qatar et en Arabie saoudite. 

Le président mauritanien a déclaré que Yahya Jammeh, président sortant de la Gambie, avait accepté de quitter le pouvoir.

Mohamed Ould Abdel Aziz, président de la Mauritanie, a annoncé ce vendredi matin dans une conférence de presse conjointe avec Alpha Condé, son homologue guinéen, que le président sortant de la Gambie avait accepté de laisser le pouvoir à son successeur, a rapporté la chaîne Al-Mayadeen.

Lors de cette conférence qui s’est tenue à l’aéroport international de Nouakchott, le président mauritanien a ajouté que Yahya Jammeh s’apprêtait à remettre pacifiquement les rênes du pouvoir à Adama Barrow.

M. Condé, tout en remerciant son homologue mauritanien pour le règlement pacifique de la question gambienne, a invité toutes les parties en Gambie à s’engager sur la voie de la résolution pacifique de ce problème.

Lors de l’élection présidentielle en Gambie, Yahya Jammeh qui est en fonction depuis 1994, a perdu face à Adama Barrow. Dans un premier temps, il a accepté la défaite et félicité son adversaire, mais après une semaine, il a déclaré qu’il contestait les résultats des urnes.

Devant la réticence de Jammeh à quitter le pouvoir, le Sénégal et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CÉDÉAO) avaient déclaré mercredi soir qu’ils étaient prêts à intervenir militairement en Gambie pour assurer la passation de pouvoir.

Les forces des armées sénégalaise et nigériane sont entrées jeudi soir en Gambie pour restaurer l’État de droit dans le pays.

Pourtant, la CÉDÉAO a déclaré vendredi matin qu'elle suspendait temporairement l'intervention militaire en Gambie, en vue de poursuivre les négociations avec Yahya Jammeh.

Le Nigeria est le théâtre de multiples manifestations, manière d'insister sur l'impératif de la libération du président du Mouvement islamique du Nigeria (MIN), le cheikh Ibrahim Zakzaky.

Selon la chaîne iranienne Al-Alam, ces manifestations ont eu lieu, jeudi 19 janvier, dans diverses villes du pays. Les manifestants dénoncent l'indifférence du gouvernement d'Abuja quant au verdict de l'appareil judiciaire qui a décrété la libération du cheikh Ibrahim Zakzaky et de son épouse.

Le 2 décembre dernier, une cour fédérale d'Abuja a jugé illégale la détention de Zakzaky et de son épouse et ordonné aux autorités un délai de 45 jours pour les libérer.

Les contestataires qui ont battu la pavé à Kano et dans diverses ville nigérianes ont appelé les responsables du pays à se soumettre à l'ordre de la Cour fédérale, sans aucune condition.

Amnesty International et Human Rights Watch ont appelé à la libération du président du Mouvement islamique du Nigeria (MIN), emprisonné déjà depuis un an.

    

Des responsables au Pentagone ont révélé que des chasseurs américains B2 avaient pris pour cible un camp d’entraînement et d’autres positions de Daech en Libye et que quelques terroristes avaient ainsi été tués.

Selon ces sources, le Pentagone et les membres de la coalition internationale présidée par Washington seraient en train de faire le bilan de ces attaques, mais il semblerait que 90 % des éléments de Daech auraient péri.

Les attaques ont eu lieu dans un désert situé en dehors de la ville de Syrte. Il s’agit des premiers bombardements des États-Unis après la décision prise lundi par Barack Obama d’intensifier la lutte contre Daech.

Jusque-là, Washington avait limité ses opérations à quelques quartiers à l’intérieur et aux alentours de Syrte et toute attaque en dehors de ce cercle devait requérir au préalable une autorisation de la Maison-Blanche.

Barack Obama, qui quittera officiellement la Maison-Blanche demain, vendredi 20 janvier 2017, a donc décidé il y a quelques jours d’autoriser le Commandement des États-Unis pour l'Afrique (AFRICOM) à procéder à des attaques contre Daech en dehors du cercle habituellement autorisé.

Selon l’article du Wall Street Journal, le Pentagone a commencé ses attaques aériennes sur Syrte le 1er août 2016. 

En 2011, les États-Unis et leurs alliés européens sont intervenus en Libye suite à la guerre civile qui a mis fin au règne du dictateur libyen Mouammar Kadhafi. Les interventions étrangères ont contribué à l'effondrement de l'État dans ce pays.

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) a suspendu temporairement son intervention militaire en Gambie.

Le patron de la Commission de la Cédéao, Marcel Alain de Souza a déclaré ce vendredi matin que la Cédéao suspendait temporairement l'intervention militaire en Gambie, en vue de poursuivre les négociations avec Yahya Jammeh, candidat malheureux des récentes élections présidentielles.

" Pour Yahya Jammeh, cela est considéré comme la dernière occasion de céder pacifiquement le pourvoir au président légitime et élu gambien Adama Barrow, sinon la Cédéao entamera dès aujourd'hui une intervention militaire sur le sol gambien", a-t-il averti.

La télévision d’État gambienne GRTS a rapporté jeudi 19 janvier, au soir, qu'une délégation de haut niveau composée du Liberia, de la Mauritanie, de la Guinée et de l'ONU devrait se rendre ce vendredi en Gambie afin de mener des négociations avec Yahya Jammeh.

Sur le même volet, le Conseil de sécurité de l'ONU a émis jeudi soir une résolution appelant au transfert du pouvoir au président élu Adama Barrow.

Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont accordé le feu vert à la Cédéao pour pénétrer le territoire gambien.