تقي زاده

تقي زاده

Il y a des minutes que la cérémonie de fermeture de la 32e conférence de l’Unité Islamique est commencée.
  
 
Avec la présence des invités iraniens et étrangers, la cérémonie de la fermeture de la 32e conférence de l’Unité islamique est débutée dans la capitale iranienne.

Ali Laridjani chef du parlement iranien , Ammar Hakim chef du courant national irakien, Mohammad Hussein Mohaqeq l’adjoint du chef pratique de l’Afghanistan, cheikh Hassan Akhtari secrétaire général du Conseil mondial de l’Ahlulbayt, Ebrahim Mohammad Deylami membre du bureau politique d’Ansarullah du Yémen et Taher al-Massri ex-premier ministre de la Jordanie prendront leur discours dans la cérémonie.

Dévoiler les livres, honorer les personnalités distinguées du rapprochement islamique, présenter les rapports des commissions et la prononciation de la déclaration final sont des programmes de la cérémonie de fermeture de la 32econférence de l’Unité Islamique.
A l’aide de Dieu, la 32e conférence de l’Unité Islamique a eu lieu conformément à l’anniversaire du noble prophète de l’islam et celui de son fils le vénéré Imam Sadiq.
La conférence est tenue en présence de plus de 900 personnalités religieuse, politiques et universitaires issues de quatre coins du monde.
Les participants de cette conférence ont eu l’occasion de rencontrer le Guide suprême de la Révolution islamique d’Iran. Ils ont profité des recommandations du leader iranien qui ouvre de nouveaux horizons devant les musulmans. Le leader iranien a invité tous les musulmans à soutenir la Palestine.

La cérémonie d’ouverture est commencée par le discours précieux du président iranien et la cérémonie de fermeture de la 32e conférence de l’Unité islamique est fini par le discours du chef du parlement iranien.

Les participants de la conférence ont participé à des réunions et des commissions dans lesquels ils ont vérifié les questions du monde musulman, du Réveil islamique, de l’unité islamique. La question de la Palestine était au centre des questions vérifiées par les participants de cette conférence. Egalement, les invités de la 32e conférence de l’unité Islamique ont exprimé leur respect pour le fondateur de la Révolution islamique.

Les résultats de ces trois jours de la conférence sont ci-dessous :
Les participants ont insisté que l’idéal de la Palestine est la question centrale de l’oumma islamique et le régime sioniste est le premier ennemi du monde musulman. Donc, tous les efforts doivent être convergés pour contrer le régime sioniste. Parce que ce régime est une tumeur cancérogène qui est planifié pour affaiblir le monde musulman.

Les participants de la 32e conférence ont insisté sur la nécessite de l’unité islamique et de la fin des conflits intérieurs et régionaux en connaissant les ennemis. Ils ont également insisté sur l’insistance sur les points communs et sur l’invitation au dialogue entre les pays et les forces influentes dans les pays islamiques.

Les oulémas participants à la conférence de l’unité islamique ont exprimé leur opposition au Deal du siècle de Trump. Ce deal vise à faire oublier les Palestiniens et leur idéal. L’annulation du droit du retour fait partie de ce complot.

Les participants de la conférence ont exprimé leur soutien au peuple palestinien dans leur lutte contre les crimes du régime sioniste. Ils ont également demandé la fin du blocus oppressant de Gaza. Ils ont exprimé leur gratitude envers la résistance courageuses des défenseurs de Gaza et envers la résistance des Palestiniens dans tous les territoires de la Palestine.

Les participants ont exprimé leur opposition à toute forme de normalisation des relations politique, commerciale, culturelle et sportive avec le régime sioniste. Il est obligatoire pour tout musulman de contrer le régime sioniste avec tous ses moyens.
Les participants ont exprimé leurs soutiens aux enfants de l’oumma islamique qui suivent la voie de la résistance dans la région. La résistance est la seule voie efficace dans la lutte contre le régime sioniste.

Les participants ont demandé à la communauté internationale et tous les pays de stopper la guerre au peuple du Yémen. Ils ont demandé une paix avec la participation de tous les groupes yéménites.

Les oulémas et les penseurs présents dans la conférence ont insisté sur la continuité de la voie du Réveil islamique et celle du défunt Imam Khomeiny.

Le conseiller à la sécurité nationale John Bolton et d’autres républicains faucons de l’administration américaine chercheraient à persuader Donald Trump de bombarder les installations militaires de l’Iran en Syrie, rapporte le magazine américain The New Yorker.

Il n’y a pas de doute que le niveau d’influençabilité du président Trump est élevé, mais les efforts de John Bolton et de ses semblables seraient plutôt animés par l’inefficacité des sanctions contre l’Iran.

Dans l’esprit du magnat de l’immobilier, toute action est évaluée selon ses dommages et intérêts. Or, comme Israël est menacé depuis ses frontières du nord et du sud par l’axe de la Résistance et l’une des priorités de la politique étrangère des États-Unis est la sécurité de ce régime, il semblerait que le rapport du New Yorker fasse partie du plan de la « guerre douce » (Softwar) entreprise conte l’Iran en Syrie.

La plupart des bases américaines dans la région du Moyen-Orient sont dans le collimateur des missiles balistiques iraniens d’une portée d’au moins 2.000 km. Alors, avant d’agir sur la base de ses émotions, Donald Trump ferait mieux de consulter ses compères.

La Macronie est inquiète et la réaction de son président en porte les traces : alors même que les informations font état de l'implication directe des terroristes d'Al-Nosra  dans l'attaque chimique contre Alep, le président Emmanuel Macron refuse de condamner le coup. Depuis Bruxelles, il demande même à ce que les informations concernant cette attaque soient remises aux instances internationales concernées, ce qui veut dire que la version russe de l'attaque chimique de samedi qui a fait 107 blessés, est remise en cause par la France. Mais qu'est-ce qui se passe au juste?  L'agence de presse russe Sputnik a rapporté ce lundi que les éléments terroristes du Front al-Nosra avaient déplacé aujourd'hui 50 missiles « retouchés ». Cette même agence se réfère à des "sources locales" pour rapporter que ces missiles avaient été manipulés par des "experts français" et qu'ils "contenaient dans leurs ogives des produits toxiques tels que le gaz chlore".

Ces missiles auraient été initialement situés sur l’une des bases d’al-Nosra près de la prison centrale de la ville d’Idlib (nord-ouest de la Syrie) et ils auraient été ensuite transférés ailleurs pour être distribués entre différentes groupes terroristes, ajoute Sputnik.

Un avion-espion US a survolé la mer Noire alors que les tensions entre la Russie et l’Ukraine se sont intensifiées.

Au lendemain de l’incident naval entre l’Ukraine et la Russie dans le détroit de Kertch qui relie la mer d'Azov à la mer Noire, un avion militaire américain se dirige vers les côtes de Crimée, affirment les médias ukrainiens, selon Sputnik.

Les projets des États-Unis de sortir du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), à la perspective de déploiement de missiles en Europe, vont à l’encontre des lois internationales. L’éventuel retrait des USA du FNI pourrait déclencher une nouvelle course aux armements, a averti le vice-ministre russe des Affaires étrangères.

Cité par l'agence de presse russe TASS, Sergueï Riabkov a annoncé lors d’une conférence de presse ce lundi que « Moscou se prépare à l’hypothèse du pire scénario », autrement dit, au déploiement de missiles américains dans le continent européen.

Le président américain, Donald Trump a annoncé le 20 octobre son intention de retirer les États-Unis du Traité FNI, accusant Moscou de le violer et soupçonnant la Chine de développer activement des armes. Le vice-ministre russe des Affaires étrangères ainsi que le signataire historique russe de ce document, Mikhaïl Gorbatchev, ont averti Washington du danger de cette initiative, évoquant la possibilité d'une riposte.

« Nous ne voulons pas décevoir, une nouvelle fois, nos alliés; c’est pourquoi notre stratégie militaire sera fondée sur l’hypothèse du pire scénario. Nous riposterons au plus haut niveau, avec le maximum d’efficacité et le minimum de dépense », a précisé M. Riabkov.

La Russie ne néglige pas le fait que le déploiement en Europe de missiles américains puisse placer le continent tout entier en première ligne dans l'hypothèse d'un conflit d'envergure entre les États-Unis et la Russie, tandis que le territoire américain resterait relativement préservé.

« Le déploiement de missiles Mk-41 qui entrent dans la composition du système de défense Aegis Ashore transgresse le Traité FNI. Ce système permet aux États-Unis d’employer des missiles de croisière de moyenne portée et d’autres armes offensives », a-t-il ajouté.

mardi, 27 novembre 2018 08:48

Beyrouth refuse le "cadeau" militaire russe

Après plusieurs mois d’hésitation, le Liban a fini par rejeter l’offre militaire de la Russie ; une mesure prise apparemment pour des raisons techniques, mais qui cache des raisons purement politiques.

Au Liban tout comme en Russie, tout le monde sait que les États-Unis ne tolèrent aucune coopération militaire entre Beyrouth et Moscou, écrit le journal libanais Al-Akhbar.

À peine quelques jours avant la fête de l’indépendance du Liban, ce pays s’excuse de refuser des munitions offertes par le ministère russe de la Défense. Des millions de balles pour différents types de fusils et une grande quantité de munitions en tout genre, dont la valeur est estimée à cinq millions de dollars. Et voilà que Beyrouth rejette cette offre, sous prétexte que les munitions offertes par la Russie ne sont pas compatibles avec les armements dont dispose l’armée libanaise. Or, l’on sait que l’armée libanaise dispose déjà de dizaines de milliers de mitrailleuses Kalachnikov PK et qu’elle aura donc besoin de balles pour les charger.

Le journal Al-Akhbar rappelle ensuite que le régime israélien, « l’ennemi du Liban », possède le plus grand arsenal d’armes fabriquées en Occident, à quoi s’ajoute une quantité d’armes fabriquées par l’ex-bloc soviétique qui égalerait à elle seule les réserves d’armements militaires de certains pays arabes.

Pour ceux des analystes qui suivent de près les relations de la Russie avec l'Ukraine, le brusque regain de tension en mer Azov ne peut être compris sans qu'il soit placé aux côtés d'un autre événement tout autant significatif lequel s'est produit presque le même en Syrie.

C'est presque à croire que les trois bâtiments ukrainiens qui ont violé les eaux territoriales russes provoquant une riposte immédiate, ont agi de concert avec les terroristes qui depuis la zone démilitarisée à Idlib, ont lancé le samedi 24 novembre une attaque chimique contre Alep, suscitant là aussi une réponse immédiate de l'aviation russe. L'Occident est-il sur le point de mettre sous une pression conjuguée la Russie à la fois sur le front syro-ukrainien et ce, à l'approche du sommet du G20 où Trump devra rencontrer Poutine? Le message est clair : l'Occident pourrait à la fois embraser le front syrien et ukrainien, si la Russie ne se montrerait pas coopérative. 

« Le Plan global d’action conjoint [PGAC, accord sur le nucléaire iranien] est un acquis important ; l’Iran a entièrement respecté ses engagements dans le cadre de cet accord. » C’est ce qu’a déclaré le vice-ministre iranien des Affaires étrangères pour les affaires politiques.

Lors d’un séminaire sur la coopération nucléaire irano-européenne organisé à Bruxelles, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères pour les affaires politiques, Abbas Araqtchi, a rappelé que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), en tant qu'instance internationale observant les activités nucléaires iraniennes, avait à 13 reprises confirmé la fidélité de l’Iran envers ses engagements. « Pourtant, l’Iran n’a jusqu'ici pas encore touché les bénéfices économiques du PGAC », a ajouté le diplomate iranien.

D’après le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, les États-Unis, en faisant revenir les sanctions anti-iraniennes, ont largement réduit les bénéfices de cet accord pour l’Iran.

« Le PGAC est un accord international qu’ont bafoué les États-Unis, ceux-là mêmes qui punissent les pays qui le respectent », a souligné Abbas Araqtchi, et d’ajouter que « préserver l’accord nucléaire est une responsabilité internationale ».

Le vice-ministre des Affaires étrangères a cependant affirmé que l’accord nucléaire n’aurait aucune chance de rester en vigueur, si l’Iran ne parvient pas à en tirer des bénéfices.

La tenue de la commission des droits de l’Homme fait partie de la troisième journée de la conférence internationale de l’Unité Islamique.
La troisième journée de la 32e conférence de l’Unité Islamique commence avec la réunion de la commission des droits de l’Homme.

La réunion de cette commission dure deux heures et les activistes de ce domaine expriment leur point de vue dans cette commission.

La 32e conférence de l’Unité Islamique a lieu à Téhéran en présence des participants iraniens et étrangers.