تقي زاده

تقي زاده

Pour le président français Emmanuel Macron, avec les évolutions actuelles en Turquie, Ankara n’a aucune chance d’adhérer à l’Union européenne.

Macron a exhorté la Turquie à plutôt se pencher sur un partenariat avec l’Union européenne, au lieu d’une entrée dans l’Union.

Macron a tenu ses propos à l’issue d’une rencontre avec son homologue turc, Recep Tayyib Erdogan, en visite officielle à Paris et en réponse aux déclarations du chef d’État turc qui a indiqué que son pays était « fatigué » d’attendre une éventuelle adhésion à l’Union européenne, rapporte l’AFP.

« Il faut repenser cette relation non pas dans le cadre du processus d’intégration, mais peut-être d’une coopération, d’un partenariat. Et aussi préserver l’ancrage de la Turquie et du peuple turc dans l’Europe et de faire que son avenir se construise en regardant l’Europe et avec l’Europe préserver l’ancrage de la Turquie à l’Europe », a indiqué le dirigeant français lors d’une conférence de presse avec son homologue turc.

Macron a souligné que les récents développements concernant « l’état de droit » en Turquie « ne permettaient aucune avancée du processus d’adhésion engagé.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est déplacé à Paris pour améliorer les relations fragiles entre Ankara et l’Union européenne.

En novembre 2016, le Parlement européen a demandé le gel des négociations concernant l’adhésion de la Turquie dans l’Union en raison, notamment, des mesures jugées « disproportionnées » prises par Ankara contre ses opposants suite à la tentative de coup d’État de juillet 2016.

Des centaines d'habitants des localités de Bila, Beit Sahem et Yalda sont descendus dans la rue de Damas pour contester contre les groupes terroristes qui font obstacle à la réconciliation nationale, au renforcement de la sécurité et à la stabilité dans la région.

Dénonçant la présence néfaste des individus armés étrangers, les manifestants ont scandé « non au terrorisme et au takfirisme mais oui à la paix et à la réconciliation ». Ils ont ainsi accentué leur tendance à coopérer avec l’État pour un retour à la sécurité et la stabilité dans la région, ont rapporté les sources locales.

Les terroristes baptisés Jaysh al-Ababil ont tiré sur la foule pour terroriser et disperser les manifestants.

Les manifestants de ces localités ont, à maintes reprises, protesté contre la présence des takfiristes et ont revendiqué leur départ du Rif sud de Damas. Ils sont allés jusqu’à avoir des affrontements directs avec les terroristes du Front al-Nosra.

Une des principales organisations humanitaires autrichiennes a dénoncé vendredi la suppression d'une page Facebook qui avait recueilli plus de 20.000 messages de soutien à un bébé né le jour du Nouvel An et ciblé par des messages racistes.
Saluée par la presse populaire comme le "premier bébé viennois de l'année", la petite Asel, née le 1er janvier à 00H47 dans une clinique de la capitale autrichienne, s'est attirée des flots de commentaires racistes sur internet, en raison notamment du voile porté par sa mère sur les photos.


La réaction de l'ONG catholique Caritas, une des principales organisations d'aide aux migrants en Autriche, ne s'est pas fait attendre: son responsable viennois, Klaus Schwertner, a répliqué par une campagne de soutien en ligne au bébé.


"La haine sur internet a atteint une dimension totalement inédite en ciblant un nouveau-né innocent", s'est-il indigné, dénonçant "le franchissement d'une ligne rouge".


Plus de 20.000 messages de sympathie avaient été recueillis jeudi sur une page Facebook dédiée, avant que celle-ci ne soit désactivée par le réseau social dans la nuit.


Selon Schwertner, la page a probablement fait l'objet d'une campagne concertée de signalements, qui a abouti à sa mise hors ligne. Il a solennellement appelé le réseau social à en rétablir l'accès.


"Cher Mark Zuckerberg (patron de Facebook, ndlr), que se passe-t-il ? Je ne peux pas le croire: mon message pour un #flowerrain pour Ansel le bébé de Nouvel an et ses parents a disparu durant la nuit !", a-t-il écrit.


"Ne laisse pas faire ! Nous voulons montrer que l'amour est supérieur à la haine, dans la vraie vie comme sur Facebook", ajoute Schwertner.

La publication de messages haineux à l'égard du bébé s'inscrit dans un contexte de crispation en Autriche autour des questions de l'islam et des migrations, deux sujets concernant lesquels le nouveau chancelier conservateur Sebastian Kurz, qui gouverne en coalition avec l'extrême droite, a promis une ligne dure.


Le nouveau ministre de l'Intérieur d'extrême droite Herbert "Kickl va vous renvoyer au pays. C'est l'homme qu'il faut", a notamment estimé un internaute dans un message d'hostilité adressé à la famille du bébé.


A l'issue d'un séminaire gouvernemental, Kurz a confirmé vendredi que l'Autriche réduirait drastiquement le bénéfice des allocations familiales pour les bénéficiaires vivant à l'étranger.


Jeudi, le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, patron du parti populiste FPÖ, avait souhaité que les demandeurs d'asile soient cantonnés dans des casernes et que leur suivi ne soit plus assuré par des ONG comme c'est majoritairement le cas aujourd'hui.

h24info

 
 
samedi, 06 janvier 2018 10:50

Anniversaire du Christ, symbole de la paix

وَأَيَّدْنَاهُ بِرُوحِ الْقُدُس : et Nous l’avons renforcé du Saint-Esprit. La vache 87

 Anniversaire du Christ, symbole de la paix

Plus de 1,5 million d'exemplaires du Saint Coran ont été imprimés en Iran au cours des neuf derniers mois de l'année(depuis 21 mars 2017), a indiqué un responsable iranien.

S'adressant à l'IQNA, Azizollah Mortazavi, directeur du département de relecture de l'organisation Dar-ol-Quran Karim, a précisé que le nombre exact d'exemplaires du Coran imprimés dans le paysà cette période était 1,606 million.

Il a ajouté que le nombre de Corans publiés au cours de la même période il y a un an était de 1,529 million.

Le Dar-ol-Quran Karim est affiliée à l'Organisation iranienne pour le développement islamique.

Il supervise les activités coraniques et accorde des autorisations pour la publication de Coran dans le pays.

L'Iran est un pays à majorité musulmane au Moyen-Orient. L'Islam est la religion de plus de 99% des Iraniens.

Un grand nombre d'habitants de Téhéran, capitale iranienne, sont descendus dans la rue, ce vendredi 5 janvier, à l'issue de la prière du vendredi, afin de protester contre les récents troubles en Iran. Les manifestants ont été particulièrement en colère contre les ingérences de ces derniers jours du président américain, Trump et de son entourage. 

Des manifestations similaires ont eu lieu dans d'autres villes du pays.

L'infiltration des fauteurs de trouble dans les rangs des manifestations sociales qui ont duré du 28 décembre au 4 janvier ont provoqué des débordements dans quelques villes de provinces. Un lourd bilan de 21 morts est à regretter, surtout dans de petites villes où les casseurs s'en sont pris aux bâtiments publics, aux casernes de pompier.  Le Commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique, le général Jafari, a annoncé mercredi  3 janvier la fin de la "sédition" et un retour au calme. 

Depuis mercredi deux cellules terroristes ont été démantelé, une à l'ouest de l'Iran et l'autre dans la ville de Boroujerd dans la province de Lorestan (ouest de l'Iran). Selon les forces de sécurité, les personnes arrêtées se revendiqueraient du groupuscule terroriste des Mojaheddin du peuple. 

Pyongyang réponde ce vendredi 5 janvier à la main tendue de la Corée du Sud et accepte l’offre de discussions avec Séoul proposée mardi prochain qui est un premier geste de détente depuis 2015 entre les deux voisins. Cette annonce est intervenue quelques heures après que Washington et Séoul ont convenu de reporter leurs manœuvres militaires initialement prévues pendant les JO, des exercices qui, chaque année, contribuent à aggraver la situation sur la péninsule.

"La Corée du Nord nous a faxé ce matin un message, indiquant qu'elle acceptait la proposition de discussions le 9 janvier faite par le Sud", rapporte l'AFP citant un responsable du ministère sud-coréen de l'Unification, responsable des relations avec le Nord. La rencontre aura lieu à Panmunjom, village frontalier où fut signé le cessez-le-feu de la guerre de Corée (1950-53), et portera notamment sur les jeux Olympiques de Pyeongchang (9 au 25 février) en Corée du Sud et sur "la question de l'amélioration des relations intercoréennes", selon le porte-parole du ministère de l'Unification Baek Tae-Hyun.

Cette reprise de dialogue intervient après deux années de dégradation du climat sur la péninsule. Les deux Corées ont dès lors remis en service mercredi leur liaison téléphonique qui était coupée depuis 2016, continuant à jouer l'ouverture malgré les railleries du président américain Donald Trump qui s'était vanté d'avoir un bouton nucléaire "beaucoup plus gros" que celui de Kim Jong-Un. 

Pour les analystes, le jeune Kim a marqué un point, poussant déjà Trump et  son homologue sud-coréen Moon Jae-In à reporter leurs manœuvres conjointes qui  «n'auraient pas lieu durant la période olympique». L'objectif étant que "les forces des Etats-Unis et de la Corée du Sud puissent concentrer leurs efforts sur la sécurité des Jeux", a confirmé la Maison Blanche dans un communiqué.

Mais les sanctions américaines décrétées ces dernières semaines contre Pyongyang n'ont donc pas eu d'effet, le dirigeant nord-coréen ayant réussi à pousser ses adversaires à se mettre à la table du dialogue.

 
 
 

Ils ne l'ont pas obtenu via le faux référendum, ils tentent de l'avoir via une résurgence de Daech. Les Etats-Unis travaillent ardemment à une remise sur les rails de Daech dans la ville pétrolifère de Kirkouk. Des résidus des terroristes se cacheraient dans des quartiers et parfois parmi les réfugiés. 

Une quarantaine d'entre eux ont été abattus jeudi 4 janvier par les forces irakiennes lors de l'opération de la sécurisation de la ville de Hawija, appartenant à la province de Kirkouk.

Le même jour, une dizaine de terroristes ont été arrêtés. Ladite opération de la sécurisation couvre la ville de Hawija et ses localités avoisinantes ainsi que plusieurs autres régions de la province de Kirkouk et elle a débuté jeudi 4 janvier au matin.

Cette opération implique les militaires de l'armée régulière, les unités blindés et les combattants des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi).

Moins d'un an après la fabrication d'un premier porte-avions chinois, la Chine a déjà commencé à construire un autre porte-avions qui serait le troisième.

Le porte-avions 001A, de fabrication chinoise, a été mis à l'eau, en avril 2016 et le deuxième porte-avions "Made in China" sera opérationnel pendant les mois à venir.

"La réalisation de ces projets suit un rythme bien rapide. Il n'a fallu que 10 mois après que la cale sèche a été remplie d'eau pour la première fois en avril jusqu'au test de ce porte-avions en mer. Le projet sera achevé d'ici février 2018", a-t-on appris d'une source militaire qui l'a confié au quotidien anglophone chinois South China Morning Post.

Baptisé Shandong, du nom d’une province de l’est du pays, le deuxième porte-avions chinois ressemble beaucoup à Liaoning, porte-avions racheté à l’ex-URSS et ensuite rénové par la Chine. Shandong dispose d'une rampe ascendante à l'avant pour aider les avions à décoller. Selon la même source, "la fabrication du troisième porte-avions semble plus compliquée et difficile par rapport à celle des deux derniers porte-avions".

L'un des objectifs de la construction du porte-avions 003 est d'utiliser un système de lancement électromagnétique sur lequel ont beaucoup travaillé l'US Navy pendant les dernières années. La Chine compte posséder quatre porte-avions d'ici 2030., un objectif qui n'est pas sans rapport avec les tensions croissantes en mer de Chine où les Américains continuent à multiplier les provocations anti-chinoise via des manœuvres maritimes avec leurs alliés régionaux. 

L'armée syrienne a lancé, jeudi 4 janvier, une opération militaire d’envergure contre les positions des groupes terroristes à Haresta dans la banlieue-est de Damas.

 

Neutralisant une offensive des terroristes, l’armée syrienne a lancé son attaque depuis plusieurs axes aux alentours de Harsata et réussi à libérer plus de 20 immeubles résidentiels et à entamer ses opérations de nettoyage dans la région, ont rapporté les sources syriennes.

Les forces de l’armée syrienne ont également capturé 4 terroristes avant d’éliminer 25 autres, dont un chef du groupe criminel Tahrir al Cham, alliance dirigée par l'ex-Front al-Nosra, ancienne branche syrienne d'al-Qaïda.

Plusieurs localités aux alentours de Harsata sont depuis une semaine encerclées par les groupes terroristes, mais les forces qui se trouvent à l’intérieur et qui les défendent ont fait jusqu’à présent échouer toute tentative d’infiltration des terroristes dans la région.

L’armée syrienne a annoncé un renforcement des effectifs dans la région pour lancer son opération. Un grand nombre de militaires ont été déployés dans le quartier d’al-Qaboun et attendent l’ordre d’intervention.

L’armée devrait poursuivre son opération en profondeur dans la ville de Harsata afin de repousser une offensive potentielle des terroristes contre ses positons aux alentours des bureaux gouvernementaux de sécurité et agricole.

Pour empêcher tout acheminement d’aide aux terroristes, l’unité d’artillerie de l’armée syrienne épaulée par l’aviation du pays a pris pour cibles les positions des groupes takfiris dans la région.  

« Les terroristes et leurs alliés payeront très cher », ont prévenu les sources militaires syriennes avant de promettre l’élimination totale des terroristes et le rétablissement de la sécurité dans la région.