تقي زاده

تقي زاده

Elle représente la Femme par excellence, la lumineuse perfection féminine en ce monde.

En son honneur, le jour hégirien de sa naissance fut proclamé « Journée mondiale des femmes », mettant en défi toute théorie du « genre » qui veut détruire la beauté spécifique féminine, manifestation de la Beauté divine !

 

Alors que le monde occidental est en pleine crise, rencontre de plus en plus de difficultés dans  tous les domaines économique, politique, culturel et moral ! Ses principes s’effondrent et

Les différentes théories qu’il propose pour voiler sa faillite ne sont que des écrans de fumée qui s’accumulent et polluent l’atmosphère !

Alors pourquoi vouloir imiter ces vaines illusions alors que l’Islam renferme les véritables clefs du bonheur, de la réussite et de la plénitude en ce monde et dans l’Au-delà ?!

 

À condition de les désirer ! De les chercher là où elles se trouvent. Dans les domaines de l’économie, de la culture et de la société avec une approche autre que celle occidentale, obnubilée par la recherche du profit matériel et l’adoration du monde ci bas !

Dieu Tout-Puissant dit dans Son noble Coran : {S’ils avaient cru et avaient été pieux, Nous  leur aurions certainement accordé («ouvert sur eux») des bénédictions du ciel et de la terre.}(96/al-A‘râf)

 

La culture d’un pays est comme l’air que l’on respire. Alors que dire au niveau de la maison, de la famille. de l’entourage ?Et quoi de plus beau que d’être le dépôt de la foi et de la réelle connaissance de l’Islam au sein d’une société, préparant un monde de lumière, de liberté, de savoir, de foi et de tolérance face à l’obscurantisme de plus en plus sombre de l’Occident !

En effet, Sayyida az-Zahrâ' (p) a pu mettre en exergue les éléments positifs et vivants de la femme musulmane ennoblie par l'Islam, à laquelle l'Islam a donné une place supérieure et l'a protégée contre toute injustice qu'elle peut encourir.

À travers ce que nous inspirent les faits et gestes de Sayyida az-Zahrâ' (p), la femme musulmane n'est plus une femme faible et opprimée qui n'a ni rôle ni statut. Elle n'est plus la femme qui, si toutefois on lui donne un rôle, ce rôle n'est que celui de l'épouse qui satisfait les désirs de son époux; ou celui de la nourrice des enfants et rien de plus.

  Toute en donnant l`importance au foyer familial, Elle est la femme qui a une relation sublime avec Dieu, qui tient à avoir une relation sublime avec le Messager de Dieu et son Message, qui prouve sa présence dans les domaines de la science et de la culture, qui participe à la construction de la réalité sociale et politique, qui affronte tous les ennemis de la religion.

Sayyida az-Zahrâ' (p) a incarné tout cela en aimant Dieu d'un amour qui est le plus puissant, en Lui témoignant d'une fidélité qui est la plus puissante, en communiquant avec Lui sur le plan de l'adoration et de l'obéissance qui sont les plus puissantes, et qui a suivi la voie de sa guidance.

Le Messager de Dieu (Psl) lui a adressé les paroles suivantes : "Dieu s'irrite lorsque tu es irritée et se montre satisfait lorsque tu es satisfaite". Il signale ainsi qu'elle n'était satisfaite qu'à travers la satisfaction de Dieu, et qu'elle ne s'irritait que pour la cause de Dieu.

Avec son mari Ali, le prince des croyants, Leur relation de mansuétude et de miséricorde était telle qu'ils partageaient le travail domestique. Az-Zahrâ' (p) écrasait les grains, pétrissait et faisait du pain, et le Commandeur des croyants (p) balayait la maison, et allait chercher du bois et de l'eau. C'est un leçon donné aux hommes leur signifiant de ne pas se considérer comme supérieurs et dédaigner le travail domestique et les affaires de la maison, car 'Alî (p), ne trouvait pas d'inconvénient à aider sa femme dans ce genre d'affaire, du fait que celle qu'il aidait est sa femme, qui est comme lui un être humain.

En revanche, Sayyida az-Zahrâ' (p) ne dédaignait pas le travail domestique. Pour elle, la maternité n'est pas une prison, et le mariage n'est pas une charge, comme le prétendent certains parmi ceux qui prônent la liberté de la femme. Elle a plutôt choisi d'être une épouse qui fait une très grande attention aux affaires de son époux, en réponse à l'attention qu'il en fait lui-même.

En tant que mère, az-Zahrâ' (p) a été un modèle et un exemple à suivre pour toute mère. Elle a éduqué ses enfants dans l'esprit d'en faire les dirigeants de la société, et non pas des simples individus dans la société. Elle leur a appris à s'attacher aux intérêts des autres plus qu'ils ne le font quant à leurs propres intérêts. C'est elle qui a dit à son fils, l'Imâm al-Hassan (p) : "O mon fils, le voisin, puis la maison !".

Un rôle avant-gardiste : Dans ses faits et gestes, az-Zahrâ' (p) montrait un attachement particulier à la science combinée à sa foi. C'est pour cette raison qu'elle apprenait de son père, le Messager de Dieu (P). De son côté, le Messager de Dieu (P) remarquait son attachement à la science. Lorsqu'elle est venue le voir pour se plaindre en raison de certains de ses problèmes, il lui a donné une feuille de palmier qui servait comme papier pour écrire, en lui demandant d'apprendre ce qui est écrit sur cette feuille. Il lui était écrit : "Que celui qui croit en Dieu et au Jour Dernier ne porte pas préjudice à son voisin ; que celui qui croit en Dieu et au Jour Dernier traite son hôte avec générosité ; que celui qui croit en Dieu et au Jour Dernier dise du bien ou se taise".

Az-Zahrâ' (p) tenait à être présente dans tous les domaines de la science et de la culture dans sa société.Elle enseignait et éduquait. Ses biographies signalent qu'elle enseignait les percepts de la religion aux femmes des Muhâjirûn (Emigrants) et des Ansâr (Partisans) qui se réunissaient chez elle. Elle dialoguait avec elles et les aidait à résoudre leurs problèmes psychologiques, éducatifs et familiaux.

Son fameux discours à la Mosquée du Prophète (P) prouve la profondeur de ce dont elle disposait en matière de connaissance et de science dans les domaines de la philosophie de l'Islam, de sa pensée et de sa loi, ainsi que la profondeur du dialogue objectif (avec ceux avec qui elle ne s'accordait pas). Elle remplissait aussi sa fonction sur le plan du jihâd lorsqu'elle sortait lors des premiers combats de l'Islam pour donner de l'eau à boire aux combattants assoiffés, pour soigner les blessés et pour aider les soldats.

Un général américain a déclaré que si la Chine prenait le contrôle du port clé de Doraleh à Djibouti, cela aurait des conséquences signifiantes pour l’armée américaine.

Le gouvernement de Djibouti a résilié le contrat de concession attribué à DP World en 2006 et repris la gestion directe du terminal portuaire de Doraleh, au nom de la souveraineté de l'État et des intérêts supérieurs de la nation, selon Dubaï Ports World, l'un des plus grands gestionnaires d'installations portuaires au monde.

Le chef du commandement américain pour l'Afrique, le général Thomas Waldhauser a averti que si Pékin prenait le contrôle du port de Doraleh, cela poserait de grands problèmes aux États-Unis. 

« La Chine s'est efforcée d'être visible en Afrique, notamment grâce à des investissements importants dans des projets d'infrastructure publique, tout en approfondissant ses liens commerciaux. Voici où se trouve le problème puisque nous ne dépenserons jamais autant que les Chinois en Afrique. Nous devons continuer à faire de petites choses qui puissent nous mener loin et préserver notre influence », a souligné, mardi 6 mars, le chef du commandement américain pour l'Afrique, le général Thomas Waldhauser, cité par l’AFP, devant une commission parlementaire.

Le général américain estime que si la Chine impose des restrictions sur l’utilisation du terminal portuaire de Doraleh, la base américaine à Djibouti se heurtera à de grands problèmes et les bateaux de la marine US auront du problème à se procurer du combustible.

Les législateurs américains ont annoncé mardi avoir reçu des rapports sur les efforts de Djibouti pour confier à la Chine le terminal portuaire de Doraleh. La Chine avait déjà établi une base militaire à quelques miles d’une base américaine sur le sol djiboutien.

« Si le contrôle du port était illégal, comment pouvons-nous dire que le gouvernement djiboutien ne mettra pas fin à notre contrat de location prématurément », a déclaré Bradley Byrne, l’élu républicain de la Chambre des représentants américaine.

Dans une lettre adressée au secrétaire américain à la Défense, James Mattis, il a fait part de son inquiétude par l’influence de la Chine à Djibouti et ses effets sur les capacités militaires et de renseignement des États-Unis.

Djibouti est un pays de la Corne de l’Afrique, situé sur la côte ouest du débouché méridional de la mer Rouge. Il est limitrophe de la Somalie, de l’Éthiopie, de l’Érythrée et du Yémen.  

Les États-Unis y ont quelque 4.000 effectifs.

 

En Irak, pour une visite d’État de trois jours le premier vice-président iranien, Eshaq Jahangiri a rencontré, mercredi 7 mars, à Bagdad le Premier ministre irakien, Haïdar al-Abadi.

Lors de ce tête-à-tête, il a salué les relations solides qu’entretiennent l’Iran et l’Irak.

Haïdar al-Abadi a précisé qu’il existait un large éventail de domaines d’ententes entre les deux pays et que les désaccords étaient rares.

« L’histoire le démontre, l’Iran et l’Irak sont entrecroisés, notamment à travers la culture et le partage d’une même religion qui est l’islam », s’est félicité le chef du gouvernement irakien.

Les deux pays, a-t-il poursuivi, cherchent à consolider les relations bilatérales sur le plan économique, politique, culturel, commercial et dans bien d’autres domaines.

Eshaq Jahangiri a, pour sa part, souligné l’importance de l’Irak dans la région et les relations étroites des deux pays tout en apportant la garantie que l’Iran restera aux côtés de l’Irak au cours du processus de reconstruction.

« Les systèmes de défense antiaérienne S-300 que l’Iran a achetés à la Russie sont désormais opérationnels », a annoncé le Pentagone au Sénat des États-Unis.

Le directeur de l’agence du renseignement militaire du Pentagone, le général Robert Ashley, a présenté un rapport à la commission des forces armées du Sénat américain concernant la capacité actuelle de la défense antiaérienne de la République islamique d’Iran.

Bien que le système S-300 soit un système défensif, le général Ashley souligne que l’installation de ce système en Iran est une source d’inquiétude pour les États-Unis et Israël.

« Avec le système S-300, la DCA iranienne se dote de missiles à longue portée », a-t-il souligné. Les autorités militaires américaines et israéliennes prétendent qu’il est absolument nécessaire que les États-Unis vendent plus d’avions F-35 à Israël pour que l’aviation israélienne garde sa « supériorité » par rapport à la défense iranienne.

D’après le rapport du général Ashley au Sénat des États-Unis, l’Iran continue à développer ses armes conventionnelles pour augmenter sa force de dissuasion et pouvoir contrôler les points stratégiques comme le détroit d’Hormuz en cas de conflit militaire majeur.

Quant à la puissance balistique de la République islamique d’Iran, le directeur de l’agence du renseignement militaire du Pentagone a déclaré que l’Iran continuait à optimiser ses missiles, en augmentant leur portée et leur précision.

Le président russe espère que les armes nucléaires ne seront plus jamais utilisées dans le monde, en précisant que la Russie n’y recourrait que si elle était attaquée.

Vladimir Poutine a annoncé, ce mercredi 7 mars, que la décision d’utiliser des armes nucléaires par la Russie ne pourrait être prise que lors de représailles.

« La décision d’utiliser des armes nucléaires ne peut être prise que dans le cas où nos systèmes d’alerte enregistrent non seulement le lancement de missiles, mais prévoient aussi précisément les trajectoires de vol et l’heure d’impact des ogives sur le territoire russe. C’est ce que l’on appelle une contre-attaque réciproque, quand nous avons le droit légitime de riposter », a indiqué le président russe.

« Oui, ce sera une catastrophe globale pour l’humanité, ce sera une catastrophe globale pour le monde, mais en tant que citoyen russe, comme chef de l’État russe, je veux poser cette question : pourquoi a-t-on besoin d’un monde sans la Russie ? »

Vladimir Poutine a également rappelé que la Russie n’était pas l’unique pays possédant des armes nucléaires. Outre les États-Unis, la Chine, la France, le Royaume-Uni et la Russie, le président russe a également mentionné l’Inde, Israël et le Pakistan comme puissances nucléaires non reconnues.

« Si ces pays ont des armes nucléaires, pourquoi la Russie ne devrait-elle pas en posséder ? », a poursuivi M. Poutine en posant cette question rhétorique.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qassemi, a rejeté les propos du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, concernant l’envoi d’armes iraniennes au Yémen.

Dans une interview ce mercredi à l’agence ISNA, le porte-parole de la diplomatie iranienne a déclaré : « Cette semaine, le chef de la diplomatie française a visité Téhéran, et lors de ses rencontres avec les autorités iraniennes, il a été longuement informé de la position de Téhéran dans les évolutions de la région. »

Bahram Qassemi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. (Photo d’archives)

Bahram Qassemi a ajouté que les autorités avec lesquelles a discuté le ministre français des Affaires étrangères ont expliqué la position de Téhéran envers les actions déstabilisatrices de certains pays de la région et de leurs soutiens occidentaux, notamment pour propager le terrorisme et l’extrémisme, rappelant que ces derniers n’hésitaient pas à agresser d’autres pays du Moyen-Orient.

Quant au Yémen, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a souligné que Téhéran ne jouait aucun rôle dans cette crise qui a commencé par une agression militaire saoudienne.

Il a critiqué aussi la France et d’autres puissances occidentales pour avoir accordé leur soutien politique et militaire à l’Arabie saoudite dans la guerre qu’elle a imposée au Yémen.  

« Quand ils n’ont pas de réponses logiques pour justifier leur rôle dans l’exportation d’immenses quantités d’armements à un pays agresseur comme l’Arabie saoudite, les autorités occidentales se mettent à accuser injustement d’autres pays comme l’Iran », a précisé Bahram Qassemi.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a affirmé que Téhéran avait décrit clairement sa position sur la crise du Yémen, en annonçant qu’il ne possède aucune arme au Yémen, pays qui est d’ailleurs soumis à un blocus total imposé par les pays agresseurs.

« Au lieu de diffuser leur point de vue inexact sur les événements du Moyen-Orient, les autorités des pays occidentaux devraient adopter une vision plus réaliste pour comprendre que le retour au calme et à la stabilité ne sera possible qu’avec la fin des agressions militaires », a conclu le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères.

Lors d’une séance de l’Assemblée nationale, le 6 mars, le ministre français des Affaires étrangères a été interrogé sur la vente d’armements à l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, malgré leur implication directe dans la guerre contre le Yémen. Au lieu de répondre à cette question, Jean-Yves Le Drian a déclaré que l’Iran possédait une grande quantité d’armements au Yémen.

Dans une autre partie de cette interview, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a condamné aussi la déclaration conjointe de l’Égypte et de l’Arabie saoudite, qui ont accusé injustement la République islamique d’Iran d’intervenir dans les affaires des pays arabes.

Dans cette déclaration publiée à l’issue de la visite du prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, au Caire, l’Arabie saoudite et l’Égypte ont également accusé l’Iran d’avoir envoyé des armements au Yémen.

Le porte-parole de la diplomatie iranienne a souligné que ces accusations non fondées proférées contre Téhéran ne pourraient pas faire oublier les erreurs que ces mêmes pays ont commises au Yémen et par rapport aux événements dans d’autres pays de la région.

Les présidents iranien et turc se sont entretenus au téléphone au sujet de la Syrie.

Selon le quotidien turc Daily Sabah, le président turc Recep Tayyip Erdogan et son homologue iranien Hassan Rohani ont discuté de la crise en Syrie et de la trêve dans la Ghouta orientale, lors d’une discussion téléphonique, ce mercredi 7 mars.

« Les deux présidents ont mis l’accent sur une coopération Iran-Turquie-Russie pour pouvoir faire respecter le cessez-le-feu en Syrie et ont confirmé le besoin urgent d’envoyer des aides humanitaires aux habitants de la Ghouta orientale », a indiqué Daily Sabah citant des sources proches de la présidence.

MM. Rohani et Erdogan se sont également penchés sur la réunion tripartite qui aura lieu, à Istanbul au mois d’avril, entre les présidents turc, russe et iranien et au cours de laquelle sera abordée la crise en Syrie.

Selon la chaîne de télévision LBCI, qui s’est référée à des sources proches au président turc, Hassan Rohani et Recep Tayyip Erdogan se sont promis d’accélérer le rythme des efforts destinés à faire respecter la trêve humanitaire dans la Ghouta orientale.

Le mardi 6 mars, le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères a annoncé, lors d’un point de presse, que les présidents turc, iranien et russe se réuniraient au mois d’avril à Istanbul pour examiner la situation en Syrie.

Le président de la Commission pour la sécurité nationale et la politique extérieure du Parlement de la République islamique d’Iran confirme les liens sécuritaires, politiques et militaires entre l’Iran et la Russie.

Alaeddine Boroujerdi a déclaré, ce mercredi 7 mars, que l’Iran et la Russie coopéraient sur les plans militaire, sécuritaire et politique ainsi que dans la reconstruction de la Syrie.

Interviewé par la chaîne de télévision Al-Mayadeen, le haut parlementaire iranien a déclaré : « Qu’Israël sache qu’il ne peut plus continuer ses attaques contre le territoire syrien. »

Il a ajouté que les coopérations militaires, sécuritaires et politiques entre l’Iran et la Russie étaient de nature stratégique.

« La prochaine réunion tripartite entre l’Iran, la Russie et la Turquie revêt une importance toute particulière à ce stade », a-t-il ajouté.

Alaeddine Boroujerdi, haut parlementaire iranien. (Photo d’archives)

M. Boroujerdi a expliqué qu’une coopération sérieuse était en cours entre Téhéran, Ankara et Bagdad en vue de neutraliser le complot des États-Unis destiné à démembrer l’Irak et à favoriser la séparation du Kurdistan irakien.

Le samedi 10 février au matin, les médias ont fait part du crash d’un avion de combat israélien du type F-16 qui survolait le Golan occupé. Quelques minutes plus tard, les médias ont annoncé que la DCA syrienne avait intercepté et abattu ce F-16 israélien.

Cet événement a prouvé que le régime israélien ne pouvait plus violer l’espace aérien syrien et attaquer là où il désirait.

Les services culturels iraniens en Thaïlande ont organisé pendant deux jours, une réunion interreligieuse entre musulmans et bouddhistes. 
La réunion a été organsiée avec le concours de l’université de Kuala Lumpur, une série de réunions en présence de représentants du gouvernement thaïlandais, d’invités iraniens, d’une centaine de personnalités religieuses bouddhistes et islamiques du Myanmar et du Sri Lanka, d’intellectuels de Thaïlande et de personnalités musulmanes et bouddhistes. 


Ces réunions ont pour thèmes, la tolérance religieuse et la cohabitation pacifique.

La réunion précédente avait été organisée en 2015 à Téhéran, avec la participation de personnalités bouddhistes du Myanmar, de Thaïlande et du Sri Lanka, par le Centre iranien de la culture et des relations islamiques.  

Des éléphants à la recherche de nourriture ont tué 10 réfugiés rohingyas au Bangladesh au cours de plusieurs incidents, a rapporté mardi l'ONU, en annonçant un plan pour instaurer "une coexistence pacifique" entre les animaux et les camps de réfugiés. 
 
Quelque 700.000 membres de la communauté musulmane rohingya ont fui la Birmanie depuis août pour s'installer au Bangladesh voisin à la suite d'une campagne de répression militaire dénoncée par l'ONU comme un "nettoyage ethnique".
 
L'arrivée massive de ces réfugiés a entraîné l'installation de nombreux camps dans la zone frontalière de Cox's Bazar, dont Kutupalong qui est devenu le plus grand camp de réfugiés du monde.

Les conditions de vie des réfugiés restent extrêmement difficiles malgré l'aide internationale, et le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) a souligné que la menace des éléphants était devenue une nouvelle source d'inquiétude.

"La zone occupée aujourd'hui par le camp de Kutupalong a longtemps été un habitat important des éléphants d'Asie. Il y a environ 40 éléphants dans cette région et ils se déplacent entre le Bangladesh et la Birmanie à la recherche de nourriture", a précisé le HCR dans un communiqué.

"Quand les éléphants sauvages essayent de traverser le camp, ils entrent inévitablement au contact des humains, et c'est là le danger", a ajouté l'agence.

"Dix réfugiés ont ainsi été tués par des éléphants effrayés à l'intérieur de ces camps. D'autres ont simplement été blessés et ont perdu le peu de choses qu'ils possédaient", a poursuivi le communiqué.

Le HCR a annoncé qu'il avait formé un partenariat avec l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui aide les gens au Bangladesh à vivre aux côtés des éléphants sauvages.

Le programme va enseigner aux réfugiés comment se comporter face à un éléphant et également comment le dissuader d'entrer dans le camp.

Influencés par un fort nationalisme bouddhiste, une majorité des Birmans considèrent les Rohingyas comme des étrangers et les voient comme une menace à la prédominance bouddhiste du pays.

La Birmanie et le Bangladesh ont conclu un accord en novembre sur le retour des Rohingyas dans l'État Rakhine (ouest de la Birmanie).

Mais les experts de l'ONU et les ONG humanitaires estiment que les conditions ne sont pas réunies pour un tel retour et demandent que les rapatriements s'effectuent uniquement sur la base du volontariat.