تقي زاده

تقي زاده

Au Niger, 15 soldats ont été tués et 19 autres blessés dans une attaque menée par des terroristes, à l’ouest du pays, ont annoncé les autorités nigériennes, vendredi 24 février.

« L’attaque armée menée par un groupe d’assaillants a eu lieu mercredi soir 22 février visant une patrouille militaire, près d'In Tirzawane, non loin de la frontière malienne », a annoncé le porte-parole de l’armée nigérienne, Touré Seydou Albdoula Aziz. 

Le bilan est lourd: 15 morts et 19 blessés, selon un bilan communiqué jeudi par les autorités.

Suite à cette attaque, les opérations de nettoyage ont été lancées dans la région afin de chasser les terroristes en fuite, ajoute le porte-parole de l’armée nigérienne sans parler du nombre des assaillants ni de leur origine.

Pour l’heure, aucun groupe n’a revendiqué l’attentat mais le voisin Nigérian est une cible fréquente des attaques du groupe terroriste Boko Haram qui a récemment étendu ses actions terroristes vers le Niger.

Selon RFI, « les regards se tournent également du côté du groupe terroriste Daech, dont la branche au Sahel est dirigée par Abou Walid el-Sahraoui. D'abord parce qu'il a mené plusieurs attaques dans le nord du Niger au cours des tous derniers mois, ensuite parce que le mode opératoire est le même que lors de ses précédentes attaques: un assaut rapide, par surprise, contre une cible isolée. »

Des manifestants pro-Palestiniens ont défilé jeudi à Sydney, pour s'opposer à la visite historique de quatre jours du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou."Le rassemblement d'aujourd'hui vise à prouver qu'en Australie de nombreuses personnes sont profondément en désaccord avec la décision du gouvernement d'inviter ce criminel de guerre dans notre pays, et nous sommes du côté des victimes de Netanyahou, les Palestiniens, dont le territoire est occupé depuis 60 ans", a déclaré à Xinhua l'un des organisateurs, Damian Rigwell.

D'importantes forces policières ont été détachées pour maintenir l'ordre dans ce rassemblement, avec 80 officiers de police, des policiers à cheval, des équipes anti-émeutes et un hélicoptère de surveillance. La manifestation a été décrite par les forces de sécurité comme "pacifique".

Le rassemblement était assez calme, avec de nombreuses familles et enfants dans le cortège, ainsi que l'association Juifs pour la Palestine.

La colère des manifestants semblait être principalement dirigée à l'encontre de M. Netanyahou et des dirigeants australiens.

"Le bilan du gouvernement australien est épouvantable, à chaque fois que le gouvernement israélien commet des atrocités contre des citoyens palestiniens, le gouvernement australien est l'un des principaux défenseurs d'Israël."
 
Au moins huit personnes ont été tuées et 21 autres blessées dans une explosion qui a frappé jeudi un restaurant situé dans un quartier commercial de Lahore, chef-lieu de la province pakistanaise du Pendjab (est), ont fait savoir des responsables locaux.\Des responsables de Lahore ont démenti les informations selon lequelles une autre explosion aurait eu lieu dans le même quartier.
 
Le ministre de la Loi du Pendjab, Rana Sanaullah, a confirmé que huit corps et 21 personnes blessées avaient été transférés à l'Hôpital général de la ville, où quatre blessés se trouvent dans un état critique.
 
Nayab Haider, porte-parole de la police du Pendjab, a indiqué que l'explosion avait été déclenchée par la détonation d'explosifs dans le quartier de la Défense.
 
Des démineurs ont indiqué que l'explosion avait été déclenchée par un appareil à retardement et qu'environ 10 kilos d'explosifs avaient été utilisés.
 
L'explosion s'est produite dans un bâtiment en construction situé juste à côté du restaurant indien Bombay Chowpatty.
 
Au moins quatre véhicules et 12 motos ont été détruits dans l'explosion, qui a également endommagé quatre bâtiments voisins.
 
Des policiers, militaires et agents des services de renseignement sont arrivés sur les lieux de l'explosion et ont bouclé la zone.
 
L'armée a évacué tous les bâtiments situés sur le marché et lancé une opération de secours et de recherche.
 
Quelques jours plus tôt, le même marché avait été évacué et fouillé par les autorités policières à la suite d'une alerte à la bombe.
 
Aucun groupe n'a revendiqué l'attentat pour l'instant.
 
vendredi, 24 février 2017 12:12

la miséricorde divine

L'abondance de la miséricorde divine
Dieu, le Très-Haut, dit dans Son Noble Livre : ((Lorsque ceux qui croient en Nos signes viennent à toi, dis-leur : "Salut sur vous ! Votre Seigneur s'est prescrit à Lui-même la miséricorde)) (Coran V, 54). Il a dit aussi : ((Invoquez votre Seigneur avec crainte et désir ardent. La miséricorde de Dieu est proche de ceux qui font le bien)) (Coran VII, 56).
Dieu, le Très-Haut, affirme dans ces deux Versets que, dans la conception que l'homme se fait de Dieu doit être principalement dominée par  l'idée de miséricorde. En effet, Dieu est le Clément et le Miséricordieux, et l'existence toute entière est une manifestation de Sa miséricorde. Cela permet à l'homme de se sentir toujours proche de Dieu grâce à cette miséricorde qui englobe toute chose. Il lui permet de sentir que, proche, la Miséricorde de Dieu panse ses blessures, soulage ses douleurs, dissipe ses soucis, lui assure la satiété quant il a faim, le désaltère quant il a soif, pardonne ses péchés, réalise ses aspirations, dirige ses pas dans sa marche et ouvre toute son existence à la satisfaction de Dieu, dans ce monde-ci et dans l'Autre monde.    
La miséricorde de Dieu intervient pour rendre plus fervente la prière de l'homme, plus entendues et réalisées ses invocations et plus acceptables -auprès de Dieu- ses actions. Dans ces conditions, l'homme se rend compte qu'il ne peut aucunement se conduire sans la miséricorde de Dieu, le Très-Haut. Le Messager de Dieu (P) a dit à ce propos : "Sachez que rien ne vous sauve qu'une action conjuguée à la clémence". Il a dit aussi: "Dieu n'a créé une chose sans créer une chose destinée à la vaincre. Il a créé Sa miséricorde pour vaincre Sa colère".
La clémence est une qualité que Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire, a donnée à Son Messager (P) : ((Il vous est venu un Envoyé élu parmi vous-mêmes. Lourdes lui sont vos fatigues. Vous êtes sa passion. Aux croyants vont sa tendresse et sa miséricorde)) (Coran IX, 128). Sa Miséricorde est aussi immense et englobe tous les hommes : ((Nous ne t’avons envoyé que par miséricorde pour les univers)) (Coran XXI, 107).
 
Tout cela nous suggère, que le Musulman doit vivre et donner à la clémence une place importante dans sa vie et dans ses relations avec les autres qui l'entourent. La clémence est une recommandation que chacun doit faire aux autres dans la société islamique. Dieu, le Très-Haut, dit : ((Ils se sont conseillés mutuellement la patience et la miséricorde)) (Coran XC, 17). Le Messager de Dieu (P) l'a affirmé lorsqu'à un homme qui lui a dit: "J'aimerais que Dieu soit miséricordieux envers moi", il a répondu : "La clémence envers celui qui n'est pas clément te prive de la Miséricorde de Dieu. Et laisser la vie sauve à celui qui ne laisse pas aux autres la vie sauve fait périr la Nation". Et louange à Dieu, le Seigneur des Monde.

 
Au mois Safar, 1e jour ce mardi, c`est conseillé de de donner plus d`aumône, lire des invocations, lire le Coran,…
Voici l`invocation à lire chaque jour de mois Safar.
يا شَديدَ الْقُوى وَيا شَديدَ الْمِحالِ
"Yâ Chadîd-al- quwâ wa yâ Chadîd-al-Mihâli !
(Ô Toi dont le châtiment est sévère ! Ô Toi dont les forces sont redoutables !)
يا عَزيزُ يا عَزيزُ يا عَزيزُ
Yâ `Azîz-u, yâ `Azîz-u, yâ `Azîz-u !
(Ô Tout-Puissant ! Ô Tout-Puissant ! Ô Tout-Puissant !)
ذَلَّتْ بِعَظَمَتِكَ جَميعُ خَلْقِكَ
Thallat bi-`adhamatika jamî`u khalqika,
(Toute Ta créature s'est humiliée devant Ta Grandeur,)
فَاكْفِنى شَرَّ خَلْقِكَ
fa-kfinî charra khalqika,
(Épargne-moi donc le mal de Ta créature,)
يا مُحْسِنُ يا مُجْمِلُ يا مُنْعِمُ يا مُفْضِلُ
yâ Muhsinu, yâ Mujmilu, yâ Mun`imu, yâ muf-dhilu,
(Ô Toi le Bienveillant, ô Toi, l'Obligeant, ô Toi, le Bienfaiteur, ô Toi, le Pourvoyeur des faveurs !)
يا لا اِلـهَ اِلاّ اَنْتَ سُبْحانَكَ اِنّى كُنْتُ مِنَ الظّالِمينَ
yâ lâ ilâha illâ Anta Subhânaka innî kuntu min-adh-dhâlimîn-a
(Ö Toi, en dehors de Qui il n'y a de divinité que Toi ! "Gloire à Toi ! J'étais au nombre des injustes".)
فَاسْتَجَبْناهُ لَهُ وَنَجَّيْناهُ مِنَ الْغَمِّ وَكَذلِكَ نُنْجِى الْمُؤْمِنينَ
Fa-stajibnâ lahu wa najjaynâhu min-al-ghammi wa kathâlika nunjî-al-mu'minîn-a.
("Nous l'exauçâmes, Nous le sauvâmes de l'angoisse. Ainsi sauvons-nous les croyants".)
 
وَصَلَّى اللهُ عَلى مُحَمَّد وَآلِهِ الطَّيِّبينَ الطّاهِرينَ.
. Wa callâ-llâhu `alâ Muhammadin wa âlihi-t-tayyibîn-a-t-tâhirîn-a.
{ Allah a prié sur Muhammad et sur les Membres purs et purifiés de sa Famille).
 
 

 

conférence de Munich sur la Sécurité s’est tenue du 16 au 19 février [1]. Comme chaque année, elle a réuni plus de 500 ministres et parlementaires européens, ainsi que des invités étrangers. Il s’agit de la plus importante rencontre internationale en matière de Politique étrangère et de Défense européenne.

Il y a dix ans, en 2007, Vladimir Poutine y faisait scandale en soulignant que l’intérêt des Européens n’était pas de suivre le Pentagone dans ses aventures militaires, mais de se comporter de manière indépendante [2]. Et il rappelait que son pays, la Russie, est aussi un État européen, même s’il est exclu de l’Union européenne. Les participants s’étaient gaussés de lui et de ses prétentions. Ils s’étaient unanimement jetés dans les jupes de l’Otan.

Cette fois, c’est Sergey Lavrov qui a fait scandale en appelant à un ordre mondial post-Occidental. Force est de constater que l’Otan a perdu sa supériorité en matière de guerre conventionnelle —même si elle la garde haut la main en ce qui concerne la guerre nucléaire—. Force est de constater qu’après 15 années de guerre ininterrompue au « Moyen-Orient élargi », le mirage d’un remodelage régional en micro-États de moins de 10 millions d’habitants et le phantasme d’une éradication des régimes laïques au profit d’une dictature des Frères musulmans ont échoués.

D’une manière ahurissante, les Européens persistent à poursuivre ce but, qui leur avait été imposé par Washington, mais dont le Peuple états-unien et son président Donald Trump ne veulent plus. Aussi s’appuient-ils sur l’État profond états-unien (c’est-à-dire le gouvernement de continuité de Raven Rock Mountain qui organisa les attentats du 11-Septembre). Leurs dirigeants politiques ne cessent de dénoncer préventivement le racisme et l’islamophobie supposés de Donald Trump, eux qui ont applaudi lorsque George W. Bush et de Barack Obama tuaient plus de 3 millions de personnes. Leur presse ne cesse d’insulter Donald Trump qu’elle présente comme un fantasque incapable [3].

Horrifiés par les propos de Donald Trump selon qui l’Otan est « obsolète », ils ont été rassurés par les déclarations de ses ministres qui leur ont pourtant dit la même chose : sous sa forme actuelle l’Otan n’a plus de raison d’être ; il faut la transformer en une alliance défensive et si vous voulez en faire partie, il vous faudra consacrer 2 % de votre budget de Défense.

Obsédés par leur délire impérialiste, les Européens étaient effrayés par un possible abandon de leurs investissements anti-Russes en Ukraine et en Syrie. Là encore, ils ont été rassurés par des déclarations pourtant floues à souhait. Les ministres de Trump leur ont redit qu’ils ne céderaient aucun intérêt vital US en Ukraine et qu’ils poursuivraient une « solution politique en Syrie ». Pourquoi donc les Européens ont-ils compris que le Peuple états-unien a des intérêts vitaux sur les bords du Dnipro et qu’une « solution politique en Syrie » signifie le remplacement de la République par les Frères musulmans ? Simplement parce que c’est ce que leur avait appris l’administration Obama. Celle qui a été désavouée par le Peuple états-unien.

Certes chacun voit l’épreuve de force à laquelle se livrent d’un côté l’administration Trump et de l’autre le « gouvernement US de continuité ». Le sol a tremblé lorsque Donald Trump a exclu la CIA et l’état-major interarmes du Conseil de Sécurité nationale [4]. Chacun a pu observer la manière dont, en retour, la CIA a refusé l’accréditation Défense à six conseillers du président, a accusé le conseiller de Sécurité nationale d’être un espion russe et l’a contraint à la démission, et comment elle poursuit quatre autres responsables de l’équipe présidentielle. Mais perdre quelques batailles ne signifie pas perdre la guerre et il est désolant que les Européens —asservis depuis si longtemps— n’en aient pas conscience. Comment peut-on croire que Donald Trump allait balayer en quelques jours un « État profond » si puissant ? Et comment peut-on s’imaginer que ses premières défaites vont le faire renoncer ? [5]

Au cours des dernières années, cette Conférence sur la Sécurité était un moyen pour l’Allemagne de servir de trait d’union entre les États-Unis et leurs partenaires européens. Cette année, elle n’a eu pour seul but que de contraindre les dirigeants européens à confirmer leur allégeance à l’État profond US, sans tenir compte ni de la volonté exprimée par le Peuple états-unien, ni du changement à la Maison-Blanche.

Un document préparatoire, rédigé par les organisateurs allemands de la conférence, a été remis aux participants. La presse s’est bien gardée d’en parler. On peut y lire un article de Volker Perthes, l’auteur du plan Feltman de capitulation totale et inconditionnelle de la République arabe syrienne [6]. Cet éminent « expert » y livre sa vision du « Moyen-Orient élargi », ou plutôt : la vision du « gouvernement de continuité US » [7].

- 1. [Même si l’on n’est pas parvenu à la remodeler,] cette région ne sortira pas indemne des guerres et du « printemps arabe ». [Nous n’aurons pas fait tout cela pour rien].
- 2. Le conflit entre l’Arabie saoudite et l’Iran s’est transformé en un conflit sectaire sunnites/chiites [qui masque nos ambitions géopolitiques].
- 3. Pendant que chacun est happé par ce faux conflit religieux, personne ne s’occupe de la situation des Palestiniens [pour le plus grand bien de l’État colonial israélien].
- 4. Alors que les Européens sont unanimement fatigués de ces flots de sang loin de chez eux et souhaitent enfin le triomphe de la Confrérie des Frères musulmans, personne au Moyen-Orient élargi ne s’avoue encore vaincu.
- 5. Durant la guerre en Syrie, les alliances n’ont cessé de se faire et de se défaire au plan régional, la dernière en date étant celle unissant la Russie, la Turquie et l’Iran, qui ne devrait [heureusement] pas durer plus longtemps que les autres.
- 6. La Syrie et l’Irak ne vaincront le terrorisme et ne trouveront la paix qu’à travers des gouvernements inclusifs [c’est-à-dire en acceptant d’introduire Al-Qaëda et Daesh dans leurs gouvernements].
- 7. Tout cela ne pourra se terminer, pour l’ensemble des populations du Moyen-Orient élargi, que par une grande conférence internationale au cours de laquelle les Occidentaux détermineront leur avenir, comme au Congrès de Vienne (1814) la Quadruple alliance décida du sort du reste du monde.

Décidément, ni face au vote du Peuple états-unien, ni face à la Résistance des Peuples arabes, les dirigeants européens ne changent. Seuls les Peuples européens peuvent les renvoyer.

[1] Münchner Sicherheitskonferenz, site officiel.

[2] « La gouvernance unipolaire est illégitime et immorale », par Vladimir Poutine, Réseau Voltaire, 11 février 2007.

[3] « Contre Donald Trump : la propagande de guerre », Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 février 2017.

[4] “Presidential Memorandum : Organization of the National Security Council and the Homeland Security Council”, Donald Trump, Voltaire Network, 28 January 2017.

[5] « L’Otan suspend ses opérations en Syrie », Réseau Voltaire, 16 février 2017.

[6] « L’Allemagne et l’Onu contre la Syrie », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie) , Réseau Voltaire, 28 janvier 2016.

[7] « No order, no hegemon. The Middle East in flux », Volker Perthes, Security Challenges (Germany), Voltaire Network, February 16,2017.

Les forces antiterroristes d'Irak sont arrivées, vendredi 24 février, dans dans le premier quartier occidental de Mossoul. 

Sami al-Arezi, un commandant des forces d'élite irakiennes, a déclaré que ses éléments avaient libéré une base militaire et un village dans le sud-ouest de Mossoul avant d'entrer dans un quartier résidentiel.

Le 18 février, les forces irakiennes ont repris l'opération de libération de Mossoul, après une pause de quelques semaines. L'Est de Mossoul a déjà été libéré fin 2016, à l'issue de mois d'affrontements avec les terroristes de Daech.

Par ailleurs, l'armée a repris ce vendredi le contrôle d'un hôpital et de la base militaire Ghozlani dans le sud-est de Mossoul.  

L'armée irakienne tire une roquette sur une position de Daech, lors d'une bataille près de la base militaire Ghozlani, au sud-est de Mossoul, le 23 février 2017. ©Reuters

Les Hachd al-Chaabi (Unités de mobilisation populaire d'Irak) ont, pour leur part, libéré une importante voie de communication de Daech, à l'ouest de Mossoul. Le commandant Abou Kazem al-Mayahi a annoncé la libération du quartier stratégique d'al-Mahlabiya qui servait aux terroristes de voie de communication.

"C'est le même quartier duquel Daech s'est emparé de Mossoul, le 10 juin 2014. Il s'agissait de la voie de communication la plus importante par laquelle les terroristes circulaient entre l'Irak et la Syrie", a ajouté Al-Mayahi.

Rappelons que jeudi 23 février, l'armée irakienne a repris aux terroristes l’aéroport de Mossoul. 

Le gouvernement sud-africain a annoncé aujourd’hui, jeudi 23 février 2017, qu’il était décidé à sortir de la CPI et que la décision de justice qui a été rendue hier et qui a invalidé le retrait n’y changerait rien.

Le ministre sud-africain de la Justice, Michael Masutha, vient en effet de faire comprendre qu’il y avait peu de chance que Pretoria revienne sur sa décision et que cette question, d’ordre politique, relève des compétences du seul gouvernement sud-africain.

Hier, mercredi, la Haute Cour de Pretoria a décidé que la lettre de retrait adressée à la CPI en octobre était inconstitutionnelle pour la simple raison que le Parlement n’avait pas été consulté au préalable.

Saisi par l’opposition, le juge sud-africain a même ordonné au président Zuma de revenir sur-le-champ sur la décision de se retirer de la Cour pénale internationale.

C’est en octobre 2016, après avoir été fortement critiqué pour son refus d’arrêter sur son sol le président soudanais à l’encontre duquel existait un mandat d’arrêt de la CPI, que Pretoria a annoncé sa décision de se retirer de cette juridiction.

Il existe depuis plusieurs mois un mouvement d’insoumission généralisée de l’Afrique à l’encontre de la CPI, mais l’Afrique du Sud sera le premier État à quitter l’institution si elle va au bout de son projet.

La visite en Algérie de la chancelière allemande a été reportée à cause d’une « bronchite aiguë » du président Abdelaziz Bouteflika.

La chancelière allemande Angela Merkel a reporté lundi au dernier moment sa visite en Algérie à cause d’une « bronchite aiguë » du président Abdelaziz Bouteflika qui est donc « indisponible temporairement ».

« Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, en “indisponibilité temporaire” à cause d’une “bronchite aiguë”, a une santé extrêmement précaire, multipliant les séjours hospitaliers, notamment en France, depuis plus de dix ans », a rapporté l’AFP.

L’Algérie s’était préparée pour accueillir la chancelière allemande, Angela Merkel : les drapeaux de l’Allemagne avaient été hissés dans divers points à Alger, la capitale, avant qu’on annonce l’indisponibilité temporaire du président algérien, Abdelaziz Bouteflika.

Mme Merkel a donc reporté son déplacement, qui aurait dû avoir lieu lundi 20 février, à une date inconnue.

La décision a été prise conjointement par les autorités algériennes et allemandes, a indiqué le communiqué de la présidence algérienne cité par le journal Al-Hayat rappelant qu’une nouvelle date serait fixée pour la visite en Algérie de la chancelière allemande.

La chancellerie allemande a confirmé la nouvelle en rappelant qu’il s’agissait d’une décision de dernière minute : « Le gouvernement algérien a demandé à la dernière minute de reporter le voyage, et la chancelière a accédé à ce souhait », a précisé la chancellerie allemande.

Les responsables algériens et allemands devaient débattre de la question des flux migratoires de l’Afrique vers l’Europe, de questions de sécurité et de l’économie.

Le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a récemment effectué une visite à Berlin où il a signé avec le gouvernement allemand environ 30 notes d’entente dans divers domaines.

La chancelière allemande cherche à déclarer l’Algérie, le Maroc et la Tunisie comme des « pays d’origine sûre » aptes à accueillir migrants et réfugiés, en faisant adopter une loi, actuellement bloquée par l’opposition. Merkel insiste depuis des mois sur le rôle crucial que doivent jouer à ses yeux les pays du Maghreb afin d’endiguer le flux de demandeurs d’asile qui fuient misère et conflits pour tenter de gagner l’Europe via la Méditerranée, selon l’AFP.

Une telle classification de ces trois pays d’Afrique du Nord permettrait aux autorités allemandes de rejeter plus facilement les demandes d’asile des ressortissants de ces pays comme étant « manifestement infondées », a écrit le site Kapitalis.

"L'image des États-Unis dans le monde qui remonte à une période terminée depuis longtemps (...) a cassé cette image et aujourd'hui, il y a de graves menaces de guerre ", a-t-il souligné jeudi le ministre iranien de la Défense Brigadier général Hussein dehqân.

À l'heure actuelle, il a continué, Washington n'a même pas le courage nécessaire à la confrontation directe, face à face avec l'Iran. "La défense de la trajectoire du pays perse est sûr et satisfaisant", a-t-il souligné.

Selon le commandant de l'armée iranienne, est considérablement améliorée portée et la précision des missiles balistiques iraniens, tout cela grâce à la technologie et les efforts des scientifiques et des experts de l'industrie de la défense nationale.

«Notre industrie aérospatiale de défense et est dans les niveaux avancés et notre croisière et des missiles balistiques ont la portée et la précision nécessaires», a déclaré le ministre iranien.

Par conséquent, il a conclu, la République islamique d'Iran bénéficie d'un haut niveau de stabilité et de sécurité aux niveaux régional et international, ainsi que d'être «à l'abri» à toutes les menaces et de l'intrigue.

A plusieurs reprises, les autorités iraniennes ont souligné la grande capacité iranienne dans le secteur de la défense pour donner une réponse forte à toute menace ou action à la palangre armée.

Pendant ce temps, ils ont mis l'accent sur le caractère dissuasif de ces réalisations et de prétendre que le développement de leurs capacités militaires vise à protéger sa stratégie de défense et de dissuasion avant que les hostilités de leurs ennemis.

"Israël doit laisser aucune exigence dans les territoires palestiniens et la construction de colonies là-bas," a déclaré parlement mardi la Corée du Nord, Choe Thae-bok, cité par l'agence de nouvelles iranienne Mehr.

Choe, qui a également assisté à la sixième Conférence internationale de soutien à l'Intifada palestinienne, déchirée à Téhéran (capitale persan), a condamné les tentatives du régime pour légitimer Israël d'étendre ses colonies illégales dans les territoires palestiniens.

Ces mesures, a-t-il ajouté, entraînent la mort d'un grand nombre innocent, donc la question palestinienne continue et l'avenir du Moyen-Orient reste sombre, mais "la victoire finale ira à la nation palestinienne."

"Interventions Pour établir la paix au Moyen-Orient, devrait être empêché des États-Unis et tous les pays devraient s'efforcer de rechercher une solution à la question palestinienne sur la base de la volonté des Palestiniens eux-mêmes. Ces efforts, il se fera dans le cadre d'une action commune ", a-t-il dit.

Les autorités nord-coréennes ont également réaffirmé le soutien de Pyongyang à la lutte palestinienne pour la libération de leurs territoires, et soulignent que "la République populaire démocratique de Corée (RPDC) poursuivront leur alliance et l'unité avec l'Iran et la Palestine."

Le parlementaire nord-coréenne la plus élevée a également saisi l'occasion pour dénoncer les menaces et les pressions exercées par Washington contre Pyongyang pour son programme nucléaire. Dans ce contexte, il a souligné que son pays «a l'intention d'augmenter sa puissance de dissuasion nucléaire et comme une mesure pour faire face à l'impérialisme américain».

La Corée du Nord a toujours justifié son escalade nucléaire et militaire par la nécessité de défendre ce qu'il considère comme des mouvements provocateurs de la Corée du Sud et les États-Unis.