
تقي زاده
Nous devons prendre en considération l'unité islamique comme notre stratégie contre l'arrogance mondiale
Après la prise de l'ambassade des Etats-Unis par des étudiants iraniens, ils ont trouvé des documents montrant que les Etats-Unis avaient financé un projet pour trouver les divergences entre les sunnites et les chiites, a-t-il marqué.
Après la révolution islamique, nous avons constaté que ce projet avait ses fruits et ils(les Américains) ont largement profité de la discorde au sein du monde musulman, a-t-il ajouté.
Il ne faut jamais avoir confiance en Amérique
L’organisation du Mawlid par Al Azhar
Des tendances pro-russes et pro-iraniennes au sein de l’armée turque
Le gouvernement turc envisage de remplacer ses représentants pro-atlantistes auprès de l’Otan par ceux qui ont des tendances pro-russes et pro-iraniennes, écrit le quotidien britannique The Times.
Le journal prétend avoir des documents sur cette nouvelle stratégie militaire turque. Les anti-atlantistes, partisans de la Russie, de la Chine et de l'Iran, seront avantagés pour remplacer les pro-occidentaux.
Une fuite de courriels des hauts officiers turcs licenciés, adressés au commandant suprême des forces alliées de l'Otan en Europe, Curtis Scaparrotti, un général quatre étoiles, révèle la préoccupation de ces derniers face à la montée grandissante des sentiments patriotiques et antioccidentaux au sein de l’armée turque toujours selon The Times.
« Certaines des nouvelles autorités turques auprès de l’Otan, remettent en cause les valeurs de l’Otan et affichent leurs haines à l’égard des organisations occidentales, tout en soutenant des pays comme l’Iran, la Russie et la Chine. », précise encore ce quotidien.
Alep: les terroristes hésitent à appliquer l'accord russo-américain
Le chef du groupuscule terroriste de Jaich al-Islam, Mohammad Alouch, a déclaré que "les groupes rebelles" n'ont pas encore répondu à la proposition russo-américaine de sortir d'Alep.
La chaîne de télévision saoudienne Al-Hadath citant le chef des terroristes de Jaich al-Islam a rapporté que "les rebelles" n'ont pas encore pris une position officielle concernant la proposition russo-américaine de permettre aux terroristes de quitter la ville syrienne d'Alep et qu'ils étaient en train d'étudier cette proposition.

Le chef des terroristes de Jaich al-Islam s'est dit, toutefois, favorable à certaines parties de cette proposition notamment en ce qui concerne la création des couloirs humanitaires et la sortie sécurisée des terroristes de la ville.
A en juger par des informations diffusées par des sources d'information, les ministres russe et américain des Affaires étrangères se sont accordés dimanche soir sur le retrait des groupes armés et des terroristes de l’est d’Alep dans 48 heures.
La Russie et la Syrie se sont engagées à créer des couloirs humanitaires sécurisés afin de permettre aux terroristes et aux groupes armés de quitter Alep.
Explosion dans une cathédrale copte au Caire
Le bilan a progressivement augmenté de cinq à 20, puis 25 morts au minimum au fur et à mesure des opérations de secours sur le site. Aucun mouvement n'a revendiqué dans l'immédiat cette explosion, qui a été entendue dans tout le quartier.
Explosion dans une cathédrale copte au Caire
Le bilan a progressivement augmenté de cinq à 20, puis 25 morts au minimum au fur et à mesure des opérations de secours sur le site. Aucun mouvement n'a revendiqué dans l'immédiat cette explosion, qui a été entendue dans tout le quartier.
L'armée syrienne contrôle 90% d'Alep-Est
L'armée contrôle désormais totalement Cheikh Saïd, a déclaré à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'ONG: Les forces de l'armée contrôlent maintenant 90% d'Alep-Est, qui était jusqu'à récemment un bastion de la rébellion syrienne, a-t-il ajouté.
Seconde ville du pays et ex-capitale économique de la Syrie, Alep était coupée en deux depuis 2012, entre l'Est tenu par les rebelles et l'Ouest sous contrôle gouvernemental.
En moins d'un mois, une opération de l'armée, soutenue par des combattantsde la résistance libanaise ainsi que par de violents bombardements aériens syriens et russes, a chassé les rebelles de l'essentiel du territoire qu'ils tenaient dans la cité.
Des frappes aériennes ont touché les quartiers rebelles tout au long de la nuit, jusqu'à l'aube, a précisé l'ONG.
"La Russie est en Syrie pour lutter contre le terrorisme"
La Russie n'est en Syrie que pour lutter contre le terrorisme, a déclaré l'ambassadeur russe au Liban.
Lors d'une cérémonie dimanche dans le quartier Azarieh au sud du Liban, Alexandre Zaspekin, ambassadeur de la Russie à Beyrouth a affirmé que son pays est en Syrie à la demande du gouvernement syrien pour lutter contre le terrorisme.
Mettant en exergue la situation dans la région, les affaires intérieures de la Russie et le message annuel du Président Poutine, Zaspekin a dit que la Fédération de la Russie est en mesure de contrer tout défi au sein du pays ou dans la région.
"LA Russie s'apprête à s'allier et à s'unir avec tous les pays ayant la volonté de coopération", a noté l'ambassadeur russe en ajoutant que les positions de Donald Trump, le nouveau Président des Etats-Unis et sa volonté de lutter contre le terrorisme sont suivies de près par la Russie.
Sur la question palestinienne, le diplomate russe a signalé que les pays arabes et le Palestiniens devraient choisir une position unique pour arriver à une solution.
Interrogé sur la situation au Liban, l'ambassadeur russe a qualifié de bonne la scène politique libanaise tout en insistant sur la nécessité de résoudre certains dossiers le plus tôt possible avec l'arrivée au pouvoir de général Michel Aoun.
Donald Trump menace de ne plus reconnaître une "Chine unique"
Le président élu des États-Unis a menacé de ne plus reconnaître le principe de la « Chine unique », qui a conduit Washington à interrompre en 1979 ses relations diplomatiques avec Taïwan, si Pékin ne fait pas de concessions en matière commerciale.
Le président élu américain Donald Trump avait provoqué de vives réactions, le 2 décembre, en ayant une conversation téléphonique avec la présidente de Taïwan, Tsai Ing-wen, échange inédit depuis 1979, qui avait été interprété comme une brèche dans la politique d'une « Chine unique » en vigueur aux États-Unis.
Dimanche 11 décembre, il a menacé explicitement, lors d’une interview sur Fox News, de ne plus reconnaître la « Chine unique » si Pékin ne faisait pas de concessions, notamment en matière commerciale.
« Je ne sais pas pourquoi nous devons être liés à une politique d'une Chine unique, à moins que nous ne passions un accord avec la Chine pour obtenir d'autres choses, y compris sur le commerce », a-t-il estimé.
Cette politique de la « Chine unique » avait été reconnue par Jimmy Carter. Elle avait conduit Washington à interrompre en 1979 ses relations diplomatiques avec Taïwan.
Donald Trump avait, pendant la campagne électorale, vivement dénoncé l’agressivité commerciale de la Chine, et menacé d’imposer des taxes d’importation de 45 % sur ses produits. Ce sujet avait cependant été évité lors du premier entretien du milliardaire avec le président chinois, Xi Jinping, pendant lequel ce dernier avait plaidé pour un « respect mutuel ».
Avec Le Monde