تقي زاده

تقي زاده

L'histoire de Jésus (p) et de sa mère dans le Saint Coran

Selon les versets 35 à 49 de la sourate Al-Imran, l'histoire du Jésus (p), est la suivante:
La mère de Jésus était Marie, fille de 'Imràn. Lorsque sa mère fut enceinte d'elle, elle consacra l'enfant qu'elle portait en le laissant libre de servir au temple, pensant qu'elle portait un garçon. A l'accouchement, elle vit que c'était une fille, ce qui l'attrista et la chagrina beaucoup. Puis elle l'appela «Maryam», qui signifie «servante», Le père de Marie, 'Imrân, était mort avant sa naissance. Mais ce n'était pas la fin de l'affaire...
C'était plutôt son enfant qui était le don divin. Il s'appelle Jésus.
Jésus (paix soit sur Lui) n'est pas le Fils de Dieu
Par la suite, Allah le Très-Haut envoya à Marie l'Esprit alors qu'elle était en retraite. Il se manifesta à elle sous la forme d'un homme accompli. Il lui dit qu'il était un envoyé de son Seigneur chargé de lui faire don, par la permission d'Allah, d'un enfant, et ce sans l'intervention d'un père. Il lui annonça la bonne nouvelle des miracles prodigieux que son fils produirait. Il l'informa également qu'Allah renforcerait son enfant par l'Esprit Saint, qu'Il lui enseignerait le Livre, la Sagesse, la Thora et l'Evangile, puis qu'il serait un messager auprès des fils d'Israël avec des signes manifestes. Il l'informa de sa vie et de son histoire, puis il insuffla l'Esprit en elle. Elle devint donc enceinte comme toute femme qui porte son enfant et la grossesse, sa naissance, ses paroles et les autres aspects de son existence étaient semblables aux autres êtres humains.
Jésus (as) grandit et atteint l'adolescence. Lui et sa mère vivaient comme tous les êtres humains, mangeaient, buvaient, et faisaient face aux mêmes événements de l'existence que l'ensemble des gens, et ce jusqu'à la fin de leur vie.

Ensuite, il fut donné à Jésus (as) le message [afin qu'il le transmette] aux enfants d'Israël. Il les invita à la religion du monothéisme en disant: «En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je forme de la glaise comme la figure d'un oiseau, puis je souffle devant et, par la permission d'Allah, cela devient un oiseau. Et je guéris l'aveugle-né et le lépreux. Et je ressuscite les morts, par la permission d'Allah. Et je vous apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos demeures. Voilà bien un signe pour vous.» [1]
Notes:
1. Saint Coran (3:49)

vendredi, 24 décembre 2021 11:58

Maroc : mission de drones israéliens?

Depuis la visite du MAE sioniste au Maroc et la signature non pas des contrats d'armement mais bien des accords militaires de part et d'autre, il n'y a qu'un rapport qui ne cesse de refaire surface :

la construction de une ou deux usines de drones kamikazes au Maroc que les sources atlantistes laissent entendre être destinées non seulement à attaquer le front Polisario, mais éventuellement l'Algérie, si une guerre ainsi que le souhaitent et y poussent Américains et Israéliens venaient à éclater entre celle-ci et le Maroc.

Mais pourquoi des usines de drones ? Certains experts répondraient que la défaite US/Israël face à la stratégie asymétrique de l'axe de la Résistance est restée à travers la gorge d'Israël et que l'entité qui se croyait dans le temps roi des drones, se sentant totalement débordée, chercherait à tirer vengeance et à défier la DCA made in Russie de l'Algérie, ne serait-ce que pour que le Patriot et le Dôme de fer ne soient pas les seules DCA à ne pas avoir mériter leurs noms.

Mais ceci n'est qu'une des hypothèses possible. Au fait, il y a quelque chose de parfaitement inattendu qui est sur le point de se produire en Afrique qui pourrait ne pas y être sans rapport: un scénario à la syrienne sur quoi les Yankee mais aussi les Israéliens et Ottoniens ont longtemps travaillé et dont ils jugeaient le succès acquis est sur le point de s'effondrer à la faveur des drones : la "syrisation" de l'Ethiopie. Voici comment RFI décrit cet inattendu échec des rebelles du Tigré qui, un peu à la manière d'al-Nosra, avaient pour mission de provoquer le démembrement de l'Etat éthiopien mais qui, pour cause de drones, perdent leur pari : 

Les drones éthiopiens ont largement permis la reconquête du territoire par les forces loyalistes, leur utilisation à outrance commence à inquiéter les États-Unis.En Ethiopie, le gouvernement fédéral continue de reprendre des territoires aux rebelles tigréens. L’armée éthiopienne se trouve même désormais dans le sud de la province du Tigré. Une progression qui a poussé le parti tigréen du TPLF à demander une cessation des hostilités. Cette avancée fulgurante, l’armée la doit surtout aux drones qu’elle a récemment acquis. 

Avec toutes les bonnes fois du monde, il serait difficile de croire que les UAV à l'origine de l'échec du scénario de "syrisation" de l'Ethiopie seraient le Bayraktar Tour, une créature ottonienne étiquetée turque. Aucun média iranien n'a confirmé jusqu’à présent les informations selon lesquelles ce serait les drones Ababil-3 iraniens, voire Kassef Q2 yéménites, à avoir réussi à repousser les pseudo rebelles tigréens ou mieux dit les supplétifs US.

Mais l'info aurait fait pendant plusieurs semaines la une des médias : Adis Abeba en posséderait une vingtaine Toujours est-il que la crainte US est criante de voir un nouveau terrain de guerre où la machine de guerre occidentale s'est promise de vendre des tonnes d'armements, et qui tourne à l'avantage de l'adversaire grâce aux drones et ce terrain est en Afrique.

Et si d'autres pays africains privés par les colonialistes du droit d’avoir une armée de l'air classiques se mettaient à l'heure des drones made in Résistance ? Après tout, l'Algérie n'a guère oublié les incendies de l'été en Kabylie que d'aucuns ont affirmé avoir été déclenchés par les raids aux drones israéliens. Et puis, ce sont ces mêmes drones qui tuent au Sahara. Une voire deux usines de fabrique de drones israéliens implantés au Maroc et que les opérateurs sionistes piloteraient, cela donnerait une grande liberté de mouvement dans le ciel de la région.

Mais ce serait aller trop vite en besogne. Faire et avoir recours à des drones kamikazes est une chose, pouvoir en faire une arme qui change l’équation de force, c'en est une autre. En Somalie, au Yémen ou en Afghanistan, voire au Sahel, Américains et Ottoniens ont tué des milliers de gens ces dernières décennies  Mais ont-ils gagné ? Vouloir anticiper la guerre de drones à venir contre l'Algérie ne demande pas que d'en fabriquer. Il faut savoir bien les utiliser comme le fait l'armée éthiopienne. Ceci, le peuple marocain le sait, lui qui est descendu ce jeudi dans la rue pour dénoncer le premier anniversaire de la normalisation : les drones israéliens cela veut dire la mort, la guerre infinie.

Ces rassemblements ont fait suite à l'appel lancé par le « Front marocain de soutien à la Palestine et contre la normalisation », proche du groupe islamique « Justice et charité ».Les manifestants ont scandé des slogans contre la normalisation et exigé l’abrogation de l'accord, qu'ils ont qualifié de « néfaste ».

Les forces de sécurité sont intervenues pour empêcher des marches dans certaines villes, comme Rabat et Casablanca. Un peu comme en novembre quand des manifestants ont battu massivement le pavé 

« Les occupants sionistes de la Palestine cherchent également à occuper le Maroc et à le saboter économiquement, politiquement et socialement », a déclaré Abdel Samad Fathi, un manifestant. 

Visiblement, ni les drones israéliens ni le Dôme de fer ne sont à même de leurrer le peuple marocain qui commence à s'insurger contre l'occupant sioniste. Car un Maroc colonisé ne sera qu'une machine de guerre contre le Maghreb.

vendredi, 24 décembre 2021 11:57

Ciel afghan : les USA de retour ?

Premières concessions US aux Talibans ? Huit mois après la fuite des troupes américaines de l’aéroport de Kaboul, les Yankee ont levé quelques sanctions à l’encontre des Taliban. En échange de quoi ? L’axe frériste Turquie/Qatar vient de prendre le contrôle de l’aéroport de Kaboul,quitte à faire infiltrer les USA dans le ciel afghan.

A vrai dire, Daech K (Khorassan) qui aurait dû déclencher la guerre Taliban/chiites a échoué et ce Daech-là en est désormais à s’acharner sur les sunnites. Mais les USA réussiront-ils leur pari ?

La Turquie et le Qatar ont convenu d'exploiter conjointement l'aéroport international de Kaboul en Afghanistan, ont indiqué jeudi des sources diplomatiques à l'agence de presse Anatolie.

Après des discussions entre les comités des deux pays, un protocole d'accord a été signé entre les sociétés turque et qatarie pour exploiter l'aéroport en collaboration sur la base d'un partenariat d'égal à égal, ont indiqué des sources diplomatiques.

Le protocole d'accord a été signé lors de la visite du ministre turc des Affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu à Doha pour la septième réunion du Haut comité stratégique Turquie-Qatar, tenue le 7 décembre.

Un comité mixte composé de responsables turcs et qataries devrait se rendre à Kaboul, la capitale afghane, pour discuter de l'accord avec le gouvernement intérimaire du pays, ainsi que des demandes et des attentes de la partie afghane.

Les vols ont été suspendus au principal aéroport international d'Afghanistan à Kaboul après que les troupes américaines ont détruit des équipements et le système radar de l’aéroport international d'Afghanistan avant de quitter le pays.

Plus tôt, Reuters avait rapporté que des responsables des Émirats arabes unis, rival du Qatar, avaient également contacté les Talibans au sujet de la gestion de l'aéroport de Kaboul.

Bien que la gestion de l'aéroport de Kaboul présente peu d'avantages économiques, elle donne à tout pays la possibilité de recueillir des informations sur les personnes voyageant en Afghanistan.

C’est dans ce contexte que les États-Unis ont formellement exempté hier mercredi 22 décembre les responsables américains et onusiens, faisant des affaires avec les Talibans, de sanctions pour tenter de maintenir le flux d'aide à l'Afghanistan qui s'enfonce de plus en plus dans une crise humanitaire.

Le département du Trésor américain a délivré mercredi trois autorisations générales visant à faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire en Afghanistan.

« Cependant, il n’était pas clair si cette décision ouvrirait la voie aux paiements proposés par l’ONU d’environ 6 millions de dollars aux Talibans ou pas », a noté Reuters.

Reuters a rapporté mardi en exclusivité un plan de l'ONU visant à subventionner l'année prochaine les salaires mensuels du personnel du ministère de l'Intérieur de l’Afghanistan dirigé par les Talibans qui gardent les missions diplomatiques et humanitaires de l'ONU et à leur verser des allocations alimentaires mensuelles, une proposition qui a soulevé la question de savoir si les paiements violeraient les sanctions américaines.

« Le département du Trésor a refusé de dire si la nouvelle licence exempterait les paiements proposés par l’ONU des sanctions américaines contre les Talibans », a ajouté Reuters.

Après avoir qualifié les Talibans de groupe terroriste pendant des années, Washington a ordonné le gel de ses avoirs aux Etats-Unis et interdit aux Américains de mener des échanges économiques avec eux.

Deux licences permettent aux responsables américains et à ceux de certaines organisations internationales, telles que les Nations unies, de s'engager à des transactions avec les Talibans dans le cadre d’affaires officielles.

Une troisième licence protège les organisations non gouvernementales (ONG) des sanctions américaines contre les talibans pour travailler sur certaines activités, dont des projets humanitaires.

Le haut responsable républicain de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants américaine a critiqué la décision de l’administration du président démocrate Joe Biden.

L’adoption de trois autorisations générales américaines intervient alors que des responsables de divers pays, comme la Chine, ont critiqué Washington pour avoir continué à bloquer les fonds de l’Afghanistan aux États-Unis.

vendredi, 24 décembre 2021 11:55

Iran: navires cibles attaqués

En présence du contre-amiral de la marine Alireza Tangsiri, commandant du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le quatrième jour des exercices conjoints « Grand prophète-17 » s'est déroulé avec des tirs de missiles de croisière à moyenne portée et des opérations aériennes par des drones navals du CGRI.

Des missiles de croisière ont été tirés avec succès depuis des plateformes flottantes et côtières et ont touché simultanément une cible spécifique en mer.

Dans une autre phase des exercices, les opérations aériennes des drones navals ont eu lieu avec succès lors desquelles un drone simultanément a frappé deux cibles de l'ennemi fictif.

Observer les positions ennemies, contrôler et surveiller la zone générale du détroit d'Ormuz figuraient à l'ordre du jour de la quatrième journée des exercices.

Le contre-amiral Alireza Tangsiri a déclaré en marge de l'opération : « La fabrication de missiles de croisière navals dans le pays est effectuée par de jeunes scientifiques. La furtivité, la haute précision, la résistance à la guerre électronique, sont quelques-unes de leurs caractéristiques. »

« Dotées de radars optiques et de capteurs thermiques, les drones de reconnaissance à longue portée de la marine du CGRI ont d'abord pénétré la zone géographique de l’ennemi fictif. Et puis les drones de combat et kamikazes de haute précision ont réussi à détruire les positions ennemies dans les plus brefs délais », a-t-il précisé. 

« En ce quatrième jour, 3 drones aux capacités différentes dans les domaines du combat, de la reconnaissance, de l'optique et de la polyvalence ont été utilisés simultanément, ce qui est unique en son genre », a souligné Alireza Tangsiri.

vendredi, 24 décembre 2021 11:53

Manœuvres navales: le CGRI innove!

Pour la première fois, un missile de croisière avec une portée de 180 kilomètres a été tiré depuis le navire logistique transatlantique « Martyr Roudaki », appartenant à la Force navale du Corps des gardiens de la Révolution islamique, au quatrième jour de l’exercice Grand Prophète-17 qui se déroule dans les eaux du Sud.

Le navire transatlantique « Martyr Roudaki » est un navire lourd, polyvalent et à longue portée qui est en mesure de transporter différents types de drones et de systèmes de missiles, de défense antiaérienne et de radar.   

 

Le navire, avec un poids de 12 000 tonnes, une longueur de 150 mètres et une largeur de 22 mètres, est équipé d’une antenne réseau à commande de phase 3D, de missiles sol-sol, sol-air, de systèmes de télécommunication intégrés très sophistiqués réservés aux guerres électroniques, de systèmes de missile 3-Khordad, de drones et de bateaux. Tous ces équipements ont été conçus et fabriqués de A à Z en Iran.

Le navire « Martyr Roudaki » ressemble à une ville flottante qui est prête à accomplir les missions transatlantiques pour garantir la sécurité des trajectoires maritimes et secourir, si nécessaire, les navires cargos et les navires de pêche de l’Iran et des pays de la région.

Mais le quatrième jour de l'exercice a également été marqué par le tir conjugué drone-missiles de croisière.

Lors de cette phase de manœuvre, des missiles de croisière ont été tirés à partir de plates-formes flottantes et côtières avant d’atteindre simultanément leur cible en mer.

 

Dans une autre partie de l’exercice, un drone a frappé en même temps deux cibles appartenant à l’ennemi fictif, alors que les forces impliquées dans la manœuvre surveillaient la zone générale du détroit d’Hormuz.

 

L’amiral Alireza Tangsiri, commandant de la Force navale du Corps des gardiens de la Révolution islamique, a déclaré que les missiles de croisière maritimes de fabrication iranienne étaient furtifs, résistants aux guerres électroniques et d'une très grande précision, grâce à leurs radars très puissants.

 

L’amiral Tangsiri a ajouté que les drones à longue portée de la Force navale du Corps des gardiens de la Révolution islamique avaient identifié le champ d’opération de l’ennemi fictif par leurs radars optiques et thermiques avant de transférer immédiatement les images du champ de conflit au centre de commandement.

« Les drones d’assaut de haute précision intelligents ont ensuite détruit les cibles ennemies en peu de temps. »

Chose inouïe, trois drones, ayant différentes fonctions comme attaque, reconnaissance et optique ont été exploités lors des opérations du quatrième jour de la manœuvre.   

Dix clash anti US à Qamichli et Hassaké juste après une fin novembre-début décembre marqué par cinq attaques aux missiles contre al-Omar, Connoco, al-Tanf et Kharab al-Jisr et ce alors même que les Yankees commencent à avoir bien peur du martien de leur présence en Irak où cinq de leurs convois ont été frappés en deux jours. La Russie, elle, largement inquiète quant aux évolutions en Ukraine semble juger désormais réellement nocive la présence US.

Selon le site web américain, South Front, les militaires syriens et les forces populaires continuent de resserrer l’étau autour des effectifs de la coalition dirigée par les États-Unis dans la région nord-est de la Syrie.

 

Jeudi le régime saoudien a frappé à trois reprises Sanaa tout comme ce vendredi. Les heures à venir seront cruciales, Ansarallah ayant lancé déjà un sans précédent avertissement.

Au Yémen, un membre du Conseil politique d'Ansarallah a déclaré que l'armée et la Résistance yéménite fourniraient bientôt une riposte foudroyante aux frappes aériennes de l'armée saoudienne contre Sanaa.

 

Le journal électronique Rai Al-Youm s’est penché dans une note sur l’arrière-plan de la reconnaissance officielle du régime sioniste concernant son implication active dans l'assassinat de l'ancien commandant de la Force Qods du Corps des gardiens de la révolution islamique(CGRI), le général Qassem Soleimani. 

Le général israélien et ancien chef de la division du renseignement militaire « Aman », Tamir Hayman, a admis mardi 21 décembre publiquement et pour la première fois qu'Israël avait participé à l'assassinat du général Qassem Soleimani, menée par les États-Unis en 2020.

Il a évoqué les assassinats du général Qassem Soleimani et de Baha Abou al-Ata, haut commandant du groupe Jihad islamique, comme deux actions importantes de son mandat à la tête de la division Aman.

« On ne connaît pas les motivations derrière cet aveu officiel du général israélien Tamir Hayman mais avec ce degré de clarté, il aura de graves conséquences : il rend légitime toute opération de représailles contre des cibles israéliennes en dehors de la Palestine occupée », a rapporté le journal.

vendredi, 24 décembre 2021 11:44

Le convoi de la coalition attaqué

Ces deux derniers jours, 5 convois logistiques US ont été attaqués à Bassora, Babel, Nasseriya et Salahedine et Bagdaf ce qui fait douter de ce que le porte-parole du commandement des opérations conjointes irakiennes, le général de division Tahseen al-Khafaji, a déclaré mercredi comme quoi il n’y aurait plus de "troupes étrangères en Irak, à l'exception d'un nombre limité de conseillers."

Le commandement des opérations conjointes irakiennes a prétendu mercredi que « toutes les forces étrangères, chargées d’une mission de combat, en Irak, avaient quitté le pays ».

Al-Khafaji a ajouté que la mission des forces étrangères en Irak est passée du combat au conseil. Evidemment, Khafaji n'a pas précisé en quoi les Irakiens dont le pays est occupé depuis 2003 de façon intermittente par les Américains, pourraient avoir besoin des conseils de l'occupant qui renonce ici au treillis militaire au profit du passeport diplomatique pour pouvoir rester et continuer à nuire sous le masque de conseiller ou retranché derrière la "coalition".

Mais aux dernières nouvelles, le premier convoi de l'OTAN vient d'être attaqué à Salaheddine. Ce qui devrait bien tirer la sonnette d'alarme à l'adresse des Britanniques et des Français qui ont désormais pour mission de servir de boucliers aux Yankees. 

La mort subite de l'ambassadeur d'Iran à Sanaa, Hassn Irlo, qu'une grosse campagne de désinformation du camp d'en face, commencée déjà dès son évacuation tardive pour cause d'opposition de Riyad, tend à mettre non pas sur le compte de Covid-19 mais bel et bien d'une quelconque d’opération israélo-américano britannique, n'a rien changé à la donne, l'offensive d'Ansarallah à Maarib battant son plein même après la disparition d'Irlo, ce qui fait tomber littéralement à l'eau les verbiages saoudo atlantistes autour de la mort de l'ambassadeur.  Au fait s'il est vrai que le  diplomate a été un vétéran de la guerre, et que cette thématique n'a cessé ces derniers jours d'être exploité par le camp d'en face, il est autant vrai que rien n'obligeait Hassan Irlo à endosser les habits de la diplomatie, à prôner sans cesse une solution diplomatique à la crise, sa présence ayant pu prendre une nature exclusivement militaire sans même qu'elle se fasse connaitre du grand public.