تقي زاده

تقي زاده

Selon le site web militaire russe, Avia-Pro, les forces aérospatiales russes ont envoyé des avions de combat de cinquième génération en Syrie pour que ces derniers participent à de véritables opérations de combat et pratiquent des frappes conjointes en coordination avec les équipages d'autres chasseurs russes. Selon l’agence de presse russe, TASS, les Su-57 et Su-35 fonctionnaient comme un "troupeau" dans des conditions de combat réelles qui ne pouvaient être créées que sur le territoire syrien.

« L'exercice a été mené dans des conditions de combat réelles. Un groupe de chasseurs Su-35 a été impliqué dans « l’essaim » , le Su-57 a joué le rôle de l'avion de commandement et d'état-major », a-t-on appris de la même source.

Alors que l’embargo onusien sur les armes de 13 ans contre l’Iran expire à la mi-octobre, l’administration Trump a récemment pris des mesures pour prolonger les sanctions contre l’Iran, selon la Radio internationale chinoise.

Avec l’expiration de l’embargo sur les armes imposé à l’Iran, Téhéran pourrait acheter des armes à la Russie et à la Chine.

À cet égard, le représentant spécial des États-Unis pour l’Iran, Brian Hook, et l’ambassadrice américaine auprès des Nations unies, Kelly Craft, ont demandé aux 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies d’apporter leur soutien au projet de résolution qui propose une prolongation de l’embargo sur les armes imposé à l’Iran.

Et ce, alors que les diplomates chinois, après avoir pris connaissance des rapports de deux envoyés américains, ont qualifié d’impossible l’adoption de ce projet de résolution affirmant que ce texte est la continuation de la politique de « pression maximale » de l’administration Trump contre l’Iran et qu’il est donc hors de question d’en discuter.

Le Sioniste Amos Yadlin, ancien chef du renseignement de l’armée israélienne, sans doute bien au fait des hauts et des bas des capacités militaires et du renseignement sioniste, vient de faire un constat d'échec cuisant que l'axe Washington-Tel-Aviv a tout intérêt à prendre au sérieux. Il dit que la frappe du 23 juin contre Soueïda prouve une chose : « Expulser l'Iran de la Syrie n'est qu'un "vœu pieux" dans la mesure où, explique -t-il, en substance, Soueïda est une localité syrienne druze, placée sous contrôle de la Russie qui avait promis d'en écarter l'Iran, une promesse non tenue : Qu'on aille bombarder Deraa, cela veut dire qu'Israël a perdu encore un pari de plus. »

 

Mohamed Barakeh, chef du comité des affaires palestiniennes dans les territoires occupés, et Youssef Jabareen, chef du comité des relations internationales de la liste unifiée arabe au Knesset ont rencontré l’ambassadeur russe à Tel-Aviv, Antonio Victoriev.

« Cette réunion avait pour objectif de faire face au plan de l’annexion de la Cisjordanie », a écrit al-Qods al-Arabi.

Barakeh et Jabareen ont mis en garde contre les dangers de l’annexion des territoires palestiniens en Cisjordanie et les répercussions des politiques dangereuses du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu.

Ils ont également mis l’accent sur le rôle crucial de la Russie sur la scène internationale en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU et membre du comité quadripartite international pour la Palestine.

Antonio Victoriev a, pour sa part, souligné l’engagement de la Russie et de ses dirigeants à la solution à deux États et la nécessité de la création d’un État palestinien dans les frontières de 1967.

Jabareen a de son côté déclaré que l’objectif de cette réunion était de trouver un consensus international contre la décision du régime israélien d’annexions des parties de la Cisjordanie.

Des sources bien informées ont révélé que les branches militaires des groupes de la Résistance palestinienne se sont dites prêtes à répondre au plan d’occupation de la Cisjordanie et qu’elles ont reçu des ordres à ce propos de leurs dirigeants.

Le ministère iranien des Affaires étrangères a, une fois de plus, critiqué les États-Unis pour avoir imposé des sanctions « inhumaines » à la nation iranienne, affirmant que Washington bloquait l’accès de Téhéran aux médicaments nécessaires aux victimes d’attaques aux armes chimiques et à d’autres malades.

Le ministère a fait ces remarques, dimanche 28 juin, dans un tweet à l’occasion de la Journée nationale de lutte contre les armes chimiques et biologiques.

« Aujourd’hui, par le biais de leurs sanctions inhumaines, les États-Unis empêchent (l’exportation) des médicaments nécessaires aux victimes d’armes chimiques ; les médicaments nécessaires pour d’autres victimes ainsi que les médicaments nécessaires pour divers malades », a déclaré le ministère.

Lors d’une vidéoconférence, tenue samedi 27 juin, à l’occasion de l’anniversaire d’une attaque chimique meurtrière, menée en 1987 sous l’ancien dictateur irakien Saddam Hussein contre la ville iranienne de Sardasht, dans la province de l’Azerbaïdjan occidental, le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a déclaré que les États-Unis n’avaient respecté aucun principe des droits de l’homme, soit en fournissant des armes chimiques à l’Irak contre l’Iran, soit en imposant des sanctions et en poursuivant le terrorisme économique contre le peuple iranien.

« Même dans la lutte contre le coronavirus et la récente pandémie catastrophique qui a touché le monde entier, le gouvernement américain reste campé sur sa position », a-t-il déclaré.

Un important marasme économique pèse sur l’Arabie saoudite en raison de la baisse de ses revenus étrangers, de la pandémie de coronavirus et de la perte des revenus liés au pèlerinage.

Le pétrole constitue 77 % de ce que l’Arabie saoudite exporte. La propagation de coronavirus et la guerre pétrolière entre Riyad et Moscou ont fait chuter les cours de brut et les ont même ramenés, à une certaine période de temps, à moins de 20 dollars. La baisse du revenu en devise de Riyad ferait tourner au fiasco l’ambitieux programme « Vision 2030 » du prince héritier Mohammed ben Salmane.

En plus, les difficiles conditions économiques que vit l’Arabie saoudite ont poussé Riyad à entreprendre des mesures d’austérité afin de son compenser son déficit budgétaire, alimenté en grande partie par la guerre contre le Yémen qui a considérablement augmenté les dépenses militaires des Saoudiens.  

Cela dit, la classe moyenne et la couche démunie en Arabie saoudite souffrent d’une pression accrue.

Le ministre iranien de la Défense a assisté le jeudi 25 juin 2020 à la cérémonie de la mise en service de 3 nouveaux avions de chasse Kossar livrés à l’Armée de l’air de la République islamique d’Iran.

« Le 22 août 2018, le premier avion de chasse Kossar a été livré à l’Armée de l’air. En octobre de la même année, la ligne de production de cet avion Jet ultra-avancé de la fabrication 100% iranienne a été mise en marche. Aujourd’hui nous nous témoignons de la livraison de 3 nouveaux avions de chasse Kossar à l’armée de l’air. Cela approuve les efforts des experts de l’Organisation iranienne de l’Industrie aérienne au sein du ministère de la Défense », a déclaré le général de brigade Amir Hatami.

Le ministre iranien de la Défense a considéré l’acquisition de la technologie de la fabrication d’avion de chasse par l’Iran comme un grand exploit militaire pour le pays.
Amir Hatami a précisé : « Aujourd’hui, l’Iran a la capacité de se doter de toutes les plateformes aériennes. Grâce à la coopération des sociétés iraniennes basées sur connaissance et des Universités du pays, nous nous trouvons dans un niveau si élevé que l’Iran pourra fabriquer même les équipements encore plus avancés dans le domaine de l’industrie aérienne. »

« La fabrication de ces avions de chasse transmet ce message aux Américains que leurs sanctions anti-iraniennes ont entrainé des résultats inverses en donnant à l’Iran cette motivation de fabriquer tous les équipements dont il a besoin », a ajouté le général de brigade Hatami.

L’avion de chasse Kossar est équipé d’une avionique de quatrième génération et d’un système de conduite de tir très avancé. Certains pays étrangers ont déjà entamé des négociations avec l’Iran en vue d’acheter cet avion de chasse de fabrication iranienne. L’Iran est le seul pays musulman dans le monde entier qui a pu atteindre la technologie de la production des avions de chasse.

Kossar est un terme coranique qui signifie « abondance ». Ce mot se réfère également à l’honorable Fatima la fille unique du prophète Mohammad et l’épouse de l’Imam Ali le premier Imam chiite.

Nous avons tous des erreurs dans la vie. Parfois, nous acceptons la responsabilité de nos erreurs et parfois on les justifions.  Par exemple, on dit que la plupart des gens font ça.
mais rappelez-vous toujours un nombre élevé n'est pas un signe d'avoir raison.
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Nous avons tous des erreurs dans la vie. Parfois, nous acceptons la responsabilité de nos erreurs et parfois on les justifions.  Par exemple, on dit que la plupart des gens font ça.
Mais il vaut mieux regarder le mot de (la plupart des gens) dans le Saint Coran.

- " Mais beaucoup de gens ne savent pas" [1]
- "mais la plupart d'entre eux ne sont pas reconnaissants"[2]
- "mais la plupart des gens n'y croient pas."[3]

Et aussi:
- "et la plupart d'entre eux sont des pervers"[4]
- "Mais la plupart d'entre eux ignorent"[5]
- "Et, pour la plupart, Tu ne les trouveras pas reconnaissants" [6]

Plus intéressant est que Dieu dit dans le Saint Coran: "Et si tu obéis à la majorité de ceux qui sont sur la terre, ils t'égareront du sentier d'Allah: ils ne suivent que la conjecture et ne font que fabriquer des mensonges." [7]

Habituellement, les personnes compétentes sont dans un groupe dont le nombre est petit.
Allah dit dans le Saint Coran: "alors qu'il y a eu peu de Mes serviteurs qui sont reconnaissants" [8]
- "ceux qui avaient cru avec lui étaient peu nombreux" [9]

Donc, rappelez-vous toujours un nombre élevé n'est pas un signe d'avoir raison.

Notes:
[1] Saint Coran (7:187) وَلَـٰكِنَّ أَكْثَرَ النَّاسِ لَا يَعْلَمُونَ
[2] Saint Coran (10:60) وَلَـٰكِنَّ أَكْثَرَهُمْ لَا يَشْكُرُونَ
[3] Saint Coran (11:17) وَلَـٰكِنَّ أَكْثَرَ النَّاسِ لَا يُؤْمِنُونَ
[4] Saint Coran (9:8) وَأَكْثَرُهُمْ فَاسِقُونَ
[5] Saint Coran (6:111)  وَلَـٰكِنَّ أَكْثَرَهُمْ يَجْهَلُونَ
[6] Saint Coran (7:17) وَلَا تَجِدُ أَكْثَرَهُمْ شَاكِرِينَ
[7] Saint Coran (6:116)  وَإِنْ تُطِعْ أَكْثَرَ مَنْ فِي الْأَرْضِ يُضِلُّوكَ عَنْ سَبِيلِ اللَّهِ ۚ إِنْ يَتَّبِعُونَ إِلَّا الظَّنَّ وَإِنْ هُمْ إِلَّا يَخْرُصُون
[8] Saint Coran (34:13) وَقَلِيلٌ مِّنْ عِبَادِيَ الشَّكُورُ
[9] Saint Coran (11:40) وَمَا آمَنَ مَعَهُ إِلَّا قَلِيلٌ

lundi, 29 juin 2020 10:44

L’unicité dans le culte

L’unicité dans le culte


L’unicité dans le culte est le principe commun, et la règle sur laquelle sont unanimes toutes les écritures célestes. En un mot: le but principal de la mission des prophètes et messagers de Dieu, selon le Coran, est de rappeler ce principe: 
“Nous avons envoyé un Messager dans chaque communauté, (pour leur dire): adorez Allah et évitez les idoles.». (Sourate 16/36).
 Tous les musulmans reconnaissent ce principe dans leurs prières quotidiennes, ils disent: “c’est Toi seul que nous adorons ». (Sourate 1/5). En effet, l’obligation d’adorer uniquement Dieu, et s’abstenir d’adorer autre que lui, est un fait incontestable; nul ne s’oppose à cette règle générale, mais, le débat concerne plutôt des actes et des pratiques, si ces actes et ces pratiques relèvent-ils de l’adoration autre que celle de Dieu ou non? Pour en savoir plus, il faudra d’abord définir logiquement la notion d’adoration, afin de distinguer ce qui est culte et ce qui ne l’est pas, mais qui fait plutôt sous forme de déférence et de respect. Il n’y a aucun doute sur l’interdiction d’adorer les parents, les prophètes et les saints, mais les respecter est une obligation de nature monothéiste: “Et ton seigneur a décrété que vous n’adoriez que lui, et que vous soyez bienveillants envers père et mère ». (Sourate 17/23)

Nous devons voir maintenant quel est l’élément qui distingue “le culte” de “la vénération »? 
Comment la même action dans d’autres cas (telle que la prosternation des anges pour Adam, et la prosternation de Ya’aqoub(as) et ses enfants pour Youssouf(as)) devient un acte monothéiste, tandis que cette même action devient d’autres cas un acte d’idolâtrie. 
Cette question est clairement répondue dans la thèse précédente relative à l’unicité de Dieu dans l’administration. Certes, l’adoration (le culte interdit) c’est la soumission d’un homme devant un objet ou devant une personne en croyant qu’ils détiennent la destinée du monde ou une de ses parties, ou bien qu’ils détiennent le choix et le destin de l’homme, ainsi que de ses affaires, en d’autre terme: son seigneur.
Tandis que si la soumission faite devant n’importe quel être sans cette croyance, et qu’elle faite seulement par respect pour un noble serviteur de Dieu, ou par respect pour quelqu’un qui est à l’origine d’une bonté, et d’une largesse envers un homme; ce genre d’acte devient simplement un respect et une révérence, et non un culte. 
 
C’est cette même raison qui fait que la prosternation des anges pour Adam, ou la prosternation de Yaaqoub et ses enfants pour Youssouf ne peuvent être qualifiées d’idolâtrie et de culte, car cette prosternation émane de leur croyance en Adam et en Youssouf, en plus de leur position honorable auprès de Dieu, comme des serviteurs, et non la croyance en seigneurie ou en leur divinité. 
 
Au regard de cela, on peut justifier ce que les musulmans font dans les lieux saints par respect pour les saint, car il est évident qu’embrasser les saints mausolées, ou exprimer la joie le jour de la naissance du prophète (sawas), et le jour du début de sa mission, ces actes ne traduisent que le respect et l’affection qu’on a pour le Noble Prophète (sawas), et ils n’ont aucun rapport avec la croyance en sa divinité. 
Il en est de même pour les autres pratiques telles que: écrire des poésies, faire l’éloge des saints, ou faire des oraisons en leur mémoire. Cela est aussi valable pour la protection du patrimoine islamique, et l’édification des mausolées à la mémoire des personnalités religieuses, tout cela est loin d’être de l’idolâtrie et de l’hérésie. 
 
Le fait que cet acte ne revêt l’idolâtrie, et qu’il provient de l’affection qu’on a pour les amis de Dieu (et non une croyance en leur divinité). Et le fait qu’il ne soit pas une hérésie, car tous ces actes ont un fondement coranique et narratif sur la base de l’obligation d’aimer le prophète(sawas) et sa famille. Les actes de vénération de cette nature sont encouragés par le Coran et la sunnah. 
En revanche, la prosternation des idolâtries pour leurs idoles est strictement interdite du fait qu’elle provient d’une croyance qui les divinise, en croyant qu’elles ont le pouvoir de gérer une partie des affaires des gens… du moins, les polythéistes croyaient que ces idoles détenaient certains pouvoir....

L’expansion de l’injustice parmi les signes de l'avènement d'Imam Mahdi(as)


Quant aux signes qui annoncent la venue de l’Imam (aj) mais pas inéluctablement, ils sont nombreux. Certains sont déjà apparus et d’autres restent encore à apparaître. Nous nous contenterons d’indiquer quelques-uns. 
Celui qui est le plus connu: que le monde se remplira d’injustices, d’incroyances, de corruptions et de péchés. “A la fin des temps, il va descendre sur ma Nation une épreuve terrible, de leur pouvoir. Les gens n’entendront pas d’épreuve pire que celle-là, jusqu’à ce que la place devienne étroite pour eux et que la terre se remplisse d’injustices et d’iniquités. Ensuite, Dieu Tout-Puissant enverra un homme par l’intermédiaire duquel Dieu Tout-Puissant remplira la terre de justice et d’équité comme elle fut [précédemment] remplie d’injustices et d’iniquités. Les habitants du ciel et ceux de la terre en seront satisfaits. Dieu Tout-Puissant n’a pas introduit d’atomes de la terre qu’Il ne fera sortir, ni de gouttes d’eau du ciel qu’Il ne versera en abondance sur eux…” (Du Messager de Dieu (sawas), ‘Aqdad ad-Durar p114, Bishârat al-Mustafâ p250 & dans le même sens, dans al-Amâlî de sheikh Tûsî, p512)