تقي زاده

تقي زاده

Le réacteur à eau lourde d'Arak ne pourra pas produire du plutonium utilisable pour fabriquer l'arme atomique redoutée par les Occidentaux, a déclaré vendredi Ali Akbar Salehi, le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA) à l'agence Isna.

Le réacteur de recherche d'Arak ne pourra pas produire du plutonium utilisable dans la fabrication d'une arme atomique, car ce plutonium restera dans le coeur du réacteur pendant un an, a déclaré M. Salehi.

Le plutonium destiné à la fabrication d'une arme atomique ne doit rester que 3 ou 4 semaines, sinon il contient d'autres éléments qui empêchent son utilisation à des fins militaires, a-t-il assuré.

De plus, l'Iran ne possède pas d'usine de retraitement pour purifier le plutonium, a insisté M. Salehi.

Le réacteur à eau lourde d'Arak est l'une des principales inquiétudes des pays occidentaux et d'Israël, qui redoutent que Téhéran ne l'utilise pour construire l'arme atomique.

Ce réacteur pourrait entrer en fonction au premier trimestre 2014. Dans l'accord de Genève conclu le 24 novembre avec les grandes puissances, Téhéran s'est engagé a ne pas y installer de nouveaux équipements et à ne pas construire d'usine de retraitement de plutonium.

Lorsque les caméras de l'Agence internationale de l'énergie atomique seront installées dans le réacteur et pourront fonctionner 24 heures sur 24 et que les inspecteurs de l'agence pourront le visiter, il n'y aura plus d'inquiétude à avoir, a ajouté M. Salehi.

L'Iran a affirmé à plusieurs reprises que le réacteur à eau lourde d'Arak faisait partie des lignes rouges dans ses négociations avec les grandes puissances.

Selon Washington, l'un des points essentiels de l'accord de Genève, dont les modalités pratiques sont encore en cours de discussion, est que l'Iran s'engage à ne pas construire d'usine capable de traitement.

Quatre militaires américains sont détenus par les autorités libyennes, a annoncé vendredi soir le département d'État, disant chercher à obtenir leur libération.

Nous pouvons confirmer que quatre militaires américains sont actuellement détenus par le gouvernement libyen, a écrit dans un bref communiqué la porte-parole de la diplomatie américaine, Jennifer Psaki.

Nous cherchons à établir les faits et à assurer leur remise en liberté, a ajouté la responsable américaine, précisant que les autorités américaines étaient en contact avec des responsables libyens sur ce dossier.

Le ministère des Affaires étrangères américain n'a donné aucun autre détail sur les circonstances et le lieu de ces détentions de militaires américains.

le régime sioniste cherche à exhorter des dizaines de milliers de juifs français à quitter la France pour vivre en Israël. c'est Maariv qui fait écho à la décision d'Israël de mettre en application un plan spécialement destiné à faciliter l'immigration des juifs d'origine française , plan qui devrait devenir effectif au cours des quatre premiers mois de 2014. le ministère israélien de l'immigration prévoit pour 2014 l'immigration des dizaines de milliers de juifs israéliens aux Etats Unis, en Grande Bretagne et au Canada. en effet la courbe de l'immigration s'est bien inversée depuis quelques années , les juifs préférant de quitter Israël plutôt que de s'y rendre vivre. une équipe au sein du ministère a été d'ailleurs créée pour tirer au clair les raisons de cette disgrâce dans la quelle est tombée " la terre promise"!! or l'enquête menée par cette équipe est loin de refléter toute la réalité : elle recommande de changer la nature de l'habitat des colons et de créer davantage d'emplois pour rendre plus attrayant Israël " Or le problème n'est pas tant la précarité des conditions de vie, le chômage au sein de la société israélienne que la mission que les grandes puissances ont fixée pour Israël depuis sa création : la déstabilisation du Moyen Orient. une Entité qui est par définition un vecteur déstabilisant ne pourrait jamais offrir à ses habitants un bon habitat.

Après l'échec du complot israélo-américain visant à renverser le gouvernement syrien, le nouveau plan de l'alliance est basée sur la modification de la sécurité au Liban, a averti vendredi la haute gamme de parlementaire iranien Alaedin Boroujerdi.

Il a averti le président de la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée consultative islamique d'Iran (Majles) la sécurité nationale et, ensuite exhorter toutes les factions politiques libanaises à maintenir l'unité, plus que jamais, pour déjouer le complot de l'ennemi.

" Il ne fait aucun doute l'implication sioniste dans l'explosion (ce vendredi) à Beyrouth (capitale du Liban). Le régime sioniste a tracé de nombreux plans pour perturber la sécurité intérieure du Liban, et vise à semer la discorde et attiser la guerre civile au Liban, " Boroujerdi a externalisé.

Avec ces mots, le vice- Persique a condamné l'attaque meurtrière, qui a eu lieu jeudi matin dans le centre de Beyrouth, où au moins cinq personnes ont été tuées, y compris l'ancien ministre des Finances libanais, Mohammad Shatah, et un autre de 70 ont été blessées.

La coalition d'opposition Mars 14 accuse les autorités syriennes d'être derrière l'attaque, qui a été fortement rejetée par le gouvernement de Damas.

Plus récemment, le Liban a été le théâtre d'attentats similaires .Un incident similaire, enregistrée en face de l'ambassade d'Iran à Beyrouth, en Novembre laissé 25 morts, dont l'attaché culturel iranien à Beyrouth, le hojatolislam Ebrahim Ansari.

Le Congrès des États-Unis et d'autres organismes gouvernementaux du pays est sous l'influence du «lobby sioniste» et a l'intention de présenter leurs pétitions, et a tenu ce mercredi le président du Comité des relations étrangères du Parlement de l'Iran (Majles), Vahid Ahmadi.

"Après les pourparlers de Genève et de l'accord conclu entre l'Iran et le groupe 5 +1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, la France, la Russie et la Chine, plus l'Allemagne) le lobby sioniste a porté tous ses efforts pour empêcher la réalisation de la dispositions de l'alliance ", a-t-il dit.

Ahmadi a précisé que les autorités américaines en adoptant une approche raisonnable, ils doivent éliminer la méfiance. À son avis, les positions illogiques des responsables américains affectent l'accord conclu à Genève et de contester un pacte final.

Jeudi dernier, le département du Trésor des États-Unis introduites ses sanctions liste noire 19 personnes et compagnies iraniennes et étrangères, les accusant de «soutien » pour le programme nucléaire de l'Iran.

Le législateur persan ajouté que cette nucléaire médiation contrevient à l'esprit de l'accord conclu le 24 Novembre à Genève, en Suisse, entre l'Iran et le G5+1.

Pour sa part, Téhéran dénonce Washington cette mesure, la qualifiant d'exemple de la nature «peu fiable» de l'administration américaine.

La politique de la République islamique d'Iran est de poursuivre et de réaliser l'accord conclu Novembre dernier avec le G5+1 (États-Unis, Royaume-Uni, la Russie, la Chine et la France et l'Allemagne) à Genève, en Suisse, a déclaré conseiller du Guide suprême de la révolution islamique pour les affaires internationales, Ali Akbar Velayati.

" Tout est prêt à signer l'accord final ", a assuré Velayati, et a ensuite déclaré que, sans aucun doute, si les partenaires (membres du Sextet), en particulier les États-Unis, violent le pacte de Genève perdre leur prestige à yeux de la communauté internationale.

" Les Américains n'ont pas le choix de se conformer à leurs engagements à l'accord de Genève, puisque, après son échec en Irak, en Afghanistan, au Liban et en Syrie, certainement veulent pas que leur position dans la région et l'Iran avance dans un adresse qui ne leur sont pas favorables ", a déclaré Velayati.

Après avoir fait référence à la dernière mesure prise par le département du Trésor des États-Unis d'inclure près de vingt entreprises et les particuliers sur la liste noire par «soutien » pour le programme d'énergie nucléaire, Velayati a déclaré que les déclarations contradictoires des États-Unis cherchant à satisfaire le régime israélien.

Enfin, il a réitéré la position de l'Iran concernant l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire dans le contexte des normes internationales comme le Traité de non-prolifération des armes nucléaires (TNP ), et veiller à ce que le pays perse ne demandera pas la permission de personne à utiliser des installations nucléaires pacifiques qui ont été développés par des experts iraniens.

Un «espion travaillant pour le MI6», les services britanniques du renseignement extérieur, a été arrêté dans la province de Kerman, dans le sud-est de l’Iran, a affirmé samedi une source judiciaire citée par l’agence de presse IRNA.

«Grâce aux efforts des forces de sécurité iraniennes, un espion travaillant pour le MI6 a été arrêté», a déclaré Dadkhoda Salari, le responsable de la Cour révolutionnaire de Kerman, alors que l’Iran et la Grande-Bretagne tentent de rétablir leurs relations diplomatiques, gelées depuis fin 2011.

«Il a rencontré des officiers des services britanniques du renseignement en personne à onze reprises, à l’intérieur du pays et à l’étranger, et leur a fourni des renseignements», a ajouté M. Salari, précisant que le suspect avait reconnu les faits et que son procès était en cours.

Aucun détail n’a été donné sur la nationalité ni l’identité du suspect.

Cette annonce intervient au lendemain de la première visite à Londres du nouveau chargé d’affaires iranien «non résident», Hassan Habibollah-Zadeh, depuis sa nomination le mois dernier.

Le Royaume-Uni a lui aussi nommé un chargé d’affaires «non résident» à Téhéran, Ajay Sharma, qui a effectué sa première visite en Iran la semaine dernière.

Les relations directes entre la Grande-Bretagne et l’Iran étaient gelées depuis la mise à sac fin 2011 de la représentation britannique à Téhéran par des manifestants qui protestaient contre l’annonce de nouvelles sanctions de Londres contre Téhéran, en raison de son programme nucléaire controversé.

Mais les deux pays n’avaient pas formellement rompu leurs relations. Oman représentait jusque-là les intérêts iraniens au Royaume-Uni, et la Suède était chargée des intérêts britanniques en Iran.

L’élection en juin du modéré Hassan Rohani à la présidence iranienne a permis d’améliorer les relations entre les deux pays, qui ont nommé le 11 novembre deux chargés d’affaires.

Un «espion travaillant pour le MI6», les services britanniques du renseignement extérieur, a été arrêté dans la province de Kerman, dans le sud-est de l’Iran, a affirmé samedi une source judiciaire citée par l’agence de presse IRNA.

«Grâce aux efforts des forces de sécurité iraniennes, un espion travaillant pour le MI6 a été arrêté», a déclaré Dadkhoda Salari, le responsable de la Cour révolutionnaire de Kerman, alors que l’Iran et la Grande-Bretagne tentent de rétablir leurs relations diplomatiques, gelées depuis fin 2011.

«Il a rencontré des officiers des services britanniques du renseignement en personne à onze reprises, à l’intérieur du pays et à l’étranger, et leur a fourni des renseignements», a ajouté M. Salari, précisant que le suspect avait reconnu les faits et que son procès était en cours.

Aucun détail n’a été donné sur la nationalité ni l’identité du suspect.

Cette annonce intervient au lendemain de la première visite à Londres du nouveau chargé d’affaires iranien «non résident», Hassan Habibollah-Zadeh, depuis sa nomination le mois dernier.

Le Royaume-Uni a lui aussi nommé un chargé d’affaires «non résident» à Téhéran, Ajay Sharma, qui a effectué sa première visite en Iran la semaine dernière.

Les relations directes entre la Grande-Bretagne et l’Iran étaient gelées depuis la mise à sac fin 2011 de la représentation britannique à Téhéran par des manifestants qui protestaient contre l’annonce de nouvelles sanctions de Londres contre Téhéran, en raison de son programme nucléaire controversé.

Mais les deux pays n’avaient pas formellement rompu leurs relations. Oman représentait jusque-là les intérêts iraniens au Royaume-Uni, et la Suède était chargée des intérêts britanniques en Iran.

L’élection en juin du modéré Hassan Rohani à la présidence iranienne a permis d’améliorer les relations entre les deux pays, qui ont nommé le 11 novembre deux chargés d’affaires.

Beyrouth(IQNA)- Le mouvement de la résistance islamique libanais (Hezbollah) a appelé dans un communiqué les Libanais à participer largement, le vendredi 20 décembre, aux cérémonies organisées en souvenir du martyr Lakkis, commandant du Hezbollah.

Selon le site d’information Al Ahd, le Hezbollah a demandé dans ce communiqué aux Libanais de participer largement aux cérémonies qui se tiendront en souvenir du martyr Hassan Lakkis, commandant du Hezbollah qui a récemment été assassiné.

Les cérémonies se tiendront au complexe Sayed al Chohada au Sud de Beyrouth et Sayed Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah libanais prononcera un discours lors de ces cérémonies.

Les cérémonies commencent à 14 : 30, heure locale, et le discours de Nasrallah portera sur les nouvelles règles de dissuasion de la résistance libanaise face au régime sioniste.

Hassan Lakkis était l’un des hauts commandants du Hezbollah libanais qui a assassiné en martyr, le mardi soir 3 décembre, devant sa maison, par des inconnus.

Kuala Lumpur(IQNA)- La 4e conférence internationale des recherches coraniques se tiendra les 14-15 avril 2014 à l’université de Malaya à Kuala Lumpur.

Selon le site d’information CQR, cette conférence sera organisée par le centre des recherches coraniques de l’université de Malaya et le département du Coran et des hadiths de l’Académie des Etudes Islamiques de l’université de Malaya.

Au cours de cette conférence, seront examinés les recherches coraniques dans le domaine de l’interprétation du Saint Coran, les lois et les modèles coraniques et les miracles, les nouvelles découvertes en sciences et en technologie dues au Saint Coran, les méthodes de recherches employées dans l’exploitation du Saint Coran et des sciences coraniques ainsi les travaux des centres et des institutions scientifiques au service du Saint Coran.

Les responsables de l’organisation de cette conférence ont invité les départements du Coran de l’université islamique et internationale, des centres de recherche coranique et des études islamiques, des sociétés scientifiques spécialisées dans les études coraniques et des sciences coraniques, les organisations et instances internationales liées aux recherches coraniques et les spécialistes et chercheurs coraniques à participer à cette conférence.

Les volontaires à participer à la conférence peuvent envoyer le résumé de leurs travaux en anglais, en arabe ou en malayen, avant le 1er février 2014, au secrétariat de la conférence.