تقي زاده

تقي زاده

dimanche, 30 janvier 2022 23:37

Les Su-35 bombarderont les bases US

Dans son article, le politicien russe, Alexandre Nazarov estime qu’une guerre russo-américaine semble être imminente en Syrie.

Le jeudi 27 janvier, la Russie a demandé au Conseil de sécurité de l'ONU le retrait immédiat de toutes les forces étrangères illégalement présentes sur le territoire syrien.

Après que les États-Unis ont rejeté l'ultimatum russe sur les garanties de sécurité, un conflit militaire entre les États-Unis et la Russie semble devenu inévitable.

Les États-Unis tentent d'imposer une « guerre par procuration » à la Russie et de provoquer un conflit militaire entre la Russie et l'Ukraine, dans lequel ils tentent également d'impliquer l'Europe. Dans le même temps, Washington cherche à affaiblir la Russie et l'Europe, assurer la loyauté de l'Europe et imposer un embargo contre la Chine.

dimanche, 30 janvier 2022 23:36

La colère anti-US couve sous les cendres

Un aviateur américain a été retrouvé mort près d’une base militaire dans le nord-est du Japon.

Un aviateur américain a été retrouvé mort dans sa maison, près de la  base aérienne de Misawa, dans le nord-est du Japon, selon le site web Stars and Stripes. L’identité de l’aviateur n’a pas été annoncée pour les raisons de sécurité.

« La cause du décès est actuellement inconnue et fait l'objet d'une enquête », a annoncé, dans un communiqué, le commandant américain de la base de Misawa. « Des détails supplémentaires seront fournis en attendant le résultat de l'enquête », a-t-il ajouté.

dimanche, 30 janvier 2022 23:34

Paris tourne le dos aux USA?

Les présidents iranien et français ont discuté, lors d’une conversation téléphonique, de l’essor des relations bilatérales, des questions régionales et des négociations sur la levée des sanctions à Vienne.

Le président iranien, Ebrahim Raïssi, a évoqué la politique de « pression maximale » des États-Unis qui a tourné au fiasco, soulignant que la République islamique d’Iran avait prouvé sa volonté et son sérieux pour parvenir à un accord, et tout effort de l'autre partie à cet égard devrait inclure la levée des sanctions, la vérification et une garantie valable.

« La stabilité et la sécurité de la région ne pourront être assurées que grâce aux solutions interrégionales et les interventions étrangères ne serviront à rien là-dessus », a déclaré l’Ayatollah Raïssi.

Il a ensuite appelé la communauté mondiale à porter une attention toute particulière à la crise humanitaire au Yémen et au blocus pesant sur le peuple yéménite.

De son côté, le président français, Emmanuel Macron, a réservé à la République islamique d’Iran le droit de rester méfiante face aux États-Unis.

M. Macron a également dénoncé les agressions militaires visant le peuple yéménite, notamment les récentes attaques.

Les deux présidents se sont également penchés sur les évolutions en cours dans la région, notamment la situation au Liban.

dimanche, 30 janvier 2022 23:33

Une méga-arnaque baptisée Accord d'abraham

En 2020, peu de temps après l'annonce de la normalisation des relations entre les Émirats arabes unis et le régime sioniste, les dirigeants émiratis ont été choqués par la sérieuse opposition des sionistes à l'achat par les Émirats d'avions de chasse F-35 aux États-Unis. L'opposition sioniste était si forte qu'elle a poussé Trump à abandonner la vente d'avions de combat F-35 aux Émirats arabes unis. Cet acte des sionistes a eu lieu alors que l'accord final entre les deux parties n'avait pas encore été signé.

Les dirigeants émiratis étaient choqués et on entendait des rumeurs selon lesquelles, les Émirats avaient l'intention de revenir sur l'annonce officielle de la normalisation avec le régime sioniste. Tous les appareils diplomatiques du régime sioniste et de l'Occident ont été mobilisés pour empêcher cette décision. En effet, dans un jeu tactique, les Américains ont essayé de garder les deux côtés. À cet égard, ils ont annoncé que les chasseurs qui seraient vendus aux Émirats seraient totalement différents de ceux plus récemment vendus au régime sioniste.

Mais les sionistes se sont fermement opposés à la signature d’un contrat sur la vente des F-35 américains aux Émirats arabes unis, ce qui, selon Abou Dhabi, était une condition pour la normalisation des relations avec Israël.

La pire découverte US en Irak après avoir pris pour cible des missiles-roquettes ce vendredi à Victory, en plein aéroport militaire de Bagdad? L'existence d'une DCA particulièrement forte, bien plus forte que le C-RAM ou Avenger ou Patriot à Samarra à Salaheddin, dont le feu a fait fuir un MC-9 américain! Samedi soir, le bruit des explosions a été entendu dans le ciel de la région d'Ad-Dawr dans la ville irakienne de Samara, selon la chaîne Telegram Saberin News. « Le bruit des explosions concernait le tir de la DCA dans la ville de Samarra sur des drones appartenant à l’armée américaine, qui effectuaient une mission de localisation des positions des combattants des unités de mobilisation populaire (les Hachad al-Chaabi), sans autorisation.

La chaîne Telegram du mouvement al-Nujaba a également indiqué que des sources de sécurité irakiennes avaient déclaré avoir pris pour cible un drone-espion américain survolant la province de Salaheddine. Le drone tentait de pénétrer dans l'espace aérien de Samarra, selon la même source.

 

La Chine a implanté des dizaines de sociétés fictives dans les territoires occupés par Israël afin d'avoir accès à une technologie militaire de pointe. Des informations militaires « confidentielles » israéliennes auxquelles pourraient désormais accéder la Chine, finiront-elles par tomber aux mains de la Résistance ?

Des dizaines de fausses entreprises de haute technologie ont vu le jour à travers les territoires occupés par Israël pour servir la dernière campagne de la Chine visant à extraire le savoir-faire militaire avancé des industries de défense israéliennes, selon un article de DEBKAfile, publié le 29 janvier.

"Une feuille de route industrielle", une "stratégie basée sur la gestion, l'orientation, la supervision de la production et son soutien" et ce, dans le strict objectif d'une "accélération de la production, de la création de l'emploi et de la production de la richesse", voici en quoi a consisté le cadre tracé par le Leader de la Révolution iranienne, ce dimanche lors d'une audience accordée aux acteurs économiques et industriels.

N'en déplaise aux détracteurs de l'Iran, détracteurs qui n'ont cessé tout au long des 40 dernières années de faire chanter économiquement, financièrement l'Iran, soit par des sanctions, soit par des restrictions, détracteurs dont le néolibéralisme s'est transformé, comble du ridicule, en ces temps de marasme économique liés au Covid 19, en un méga piège qui étouffe la production nationale, qui élargit le gouffre de la dette extérieure, quitte à réduire les exportations, l'Ayatollah Khamenei peut se féliciter au cinquième mois du mandat de Raïssi à la tête de l'exécutif non seulement des "points marqués dans la bataille" pour l’indépendance de l'économie iranienne face au dollar, mais encore du fait que "les sanctions US ont totalement perdu leurs impacts psychologiques et réels sur le marché iranien", l'Iran ayant enregistré non seulement une hausse de ses exportations non pétrolières grâce à un approfondissement net de ses liens avec ses voisins sur fond de son ancrage à l'Est, mais encore un élargissement substantiel de ses ventes pétro gazières via un mécanisme de troc dé-dollarisé qu'il maintient dans ses liens avec la Chine, mais aussi avec des États comme lui, producteur du pétrole et sanctionné par les USA, comme le Venezuela. Ce mois de janvier Bloomberg a fait un double aveu : l'Iran a vendu 1,5 million de barils à la Chine; le Venezuela a doublé sa production pétrolière grâce aux condensats de gaz que les Iraniens transportent aux Caraïbes et qui y servent à "ranimer" les puits de pétrole vénézuéliens et à faire du pétrole lourd que l'Iran importe, en échange et revend à des clients. Miracle économique anti-sanctions, n'est-ce pas?  

En ce sens, le Leader de la Révolution islamique a affirmé : « Nos responsables sont chargées de deux tâches principales : premièrement, la création d'un plan stratégique pour l'ensemble de l'industrie du pays et (en particulier certaines industries) ; deuxièmement, la gestion centralisée. Certes, je suis contre l'implication de l'État et des agences gouvernementales dans les activités économiques, mais je suis d'accord pour qu’ils donnent des conseils et supervisent et contribuent à ce que la gestion des ressources se fasse de façon équitable ». Que les néolibéraux appellent ceci du protectionnisme, l'Iran n'en a rien à cirer l'essentiel c'est que le secteur privé ne vampirise pas la production nationale. 

Tel-Aviv et Washington envisagent de reprendre les pourparlers indirects sur la démarcation des frontières maritimes entre les territoires occupés et le Liban, et ce, sans coordination avec Beyrouth et bien que des points obscurs subsistent dans le dossier.

Cité par l’agence de presse iranienne, Tasnim, Mohammad Hoteit, analyste politique et militaire libanais, affirme que la Maison Blanche a annoncé officiellement la visite prochaine à Beyrouth de l’émissaire américain Amos Hoekstein, récemment nominé comme médiateur dans les pourparlers indirects entre le Liban et le régime sioniste, sans préparation et coordination préalables avec le Liban.

Le ministère israélien de l'Énergie, ajoute-t-il, a également annoncé que les pourparlers sur le tracé de la frontière maritime avec le Liban reprendraient la semaine prochaine, sans toutefois annoncer comment et selon quelle formule.

Selon l’expert libanais, l’affaire soulève de nombreuses questions sur le retour du Liban à la table des négociations indirectes avec le régime sioniste alors que ce dernier s'est retiré des pourparlers avec le soutien des États-Unis et après que Beyrouth a présenté le plein respect de ses droits dans la région contestée comme une condition exigeante.

Alors que les responsables libanais n’ont pas encore adopté une position anonyme en la matière, poursuit Hoteit, Washington et Tel-Aviv ont interdit aux compagnies d’exploration étrangères de mener une quelconque opération dans la zone contestée tant qu'un accord n'aura pas été conclu sur la démarcation de la frontière maritime entre le Liban et les territoires occupés.

Et lui d’avertir que dans des circonstances où le Liban s’épuise sous les pressions, le siège et les sanctions américaines ainsi que celles imposées par des États du golfe Persique, la décision de Washington et de Tel-Aviv s’inscrit dans le cadre du plan visant à profiter au maximum des tensions dans le pays de sorte à lui fermer toutes les voies de sortie à la crise économique.

Les Émirats arabes unis ont-ils commencé leur « deuxième retrait » du bourbier yéménite en retirant les forces de leurs alliés des « Brigades des Géants » de la guerre de Maarib et en les renvoyant dans leurs « bases » en Occident ? Est-ce la menace d’Ansarallah de bombarder l'exposition « Expo » à Dubaï qui a précipité cette étape « sans surprise » ? Quelle sera la réponse saoudienne ?

Dans un article paru par le journal Rai Al-Youm, le célèbre journaliste du monde arabe Abdel Bari Atwan a écrit : « En donnant l'ordre à leurs « Brigades des Géants» du sud d'arrêter leurs opérations militaires contre les forces d’Ansarallah dans les gouvernorats de Maarib et de Shabwa, les Émirats arabes unis ont « acheté » leur sécurité et leur stabilité, et ont pleinement répondu au message « éloquent » envoyé par le Mouvement Ansarallah à travers ses missiles et ses avions de guerre qui ont bombardé les villes d'Abou Dhabi et de Dubaï lundi dernier. En effet, les attaques d’Ansarallah ont montré que le coût de l'entrée des EAU sur le champ de bataille dans les provinces de Shabwa et Maarib serait très élevé pour Abou Dhabi. »