تقي زاده

تقي زاده

Devant le Congrès, un ancien de la guerre d'invasion de l'Irak de 2003, pressenti pour le poste de chef du Pentagone Liyod a dit dans la nuit de mardi à mercredi 21 janvier, qu'il compatit revoir la présence US dans le golfe Persique puisque les troupes US avaient besoin à être redéployer à l'effet de contrer la Chine: Evidemment la perspective de la "menace iranienne" tout comme l'engagement US " à sécuriser Israël" n'a cessé de refaire surface dans le discours de cet ex collabo de Collin Powel, n'empêche que cette tendance à la marche arrière a été bien perceptible. Quelques heures auparavant, les Emirats, littéralement débordés par cette vaguer de reconstitution d'alliance en cours qui s'abatte sur lui à l'approche de l'investiture de Biden-l’Égypte vient de reprendre ses liens avec la Turquie- a annoncé vouloir suspendre la suppression du visa avec Israël jusqu'à l'été 2022 en attendant des évolutions futures. Certes l'attitude littéralement colonialiste des touristes israéliens à Dubai et à Abou Dhabi y est pour quelque chose Ben Zayed, ne serait jamais allé jusqu'à revenir sur cette mesure phare de l'accord d'Abraham, si le contexte le lui n'avait pas dicté.

La France envisage des « actes symboliques » par rapport aux crimes commis à l’époque de la colonisation et de la guerre d’Algérie, mais annonce qu’il n’y aura « ni repentance ni excuses », a annoncé ce mercredi l’Élysée dans un communiqué.

Plus de 60 ans après la fin de la guerre d’Algérie (1954-1962), les relations entre Paris et Alger restent tendues en raison des crimes commis par la France pendant la colonisation et les huit années de la guerre d’indépendance d’Algérie après 130 ans de colonisation française.

Macron est le premier président de la République française né après la fin de la guerre d’Algérie. Il avait confié à l’historien Benjamin Stora de lui remettre un rapport sur la colonisation et la guerre d’Algérie, rapport qui a été remis à l’Élysée ce mercredi.

L’historien a préconisé, notamment, de créer en France une commission « Mémoire et vérité », chargée de proposer des « initiatives communes entre la France et l’Algérie sur les questions de mémoire » afin de réconcilier les deux rives de la Méditerranée, mais exclut la nécessité de toute excuse aux Algériens.

Emmanuel Macron participera à trois journées de commémorations dans le cadre du 60e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie en 1962.

L’Algérie a demandé à maintes reprises à Paris de présenter ses excuses aux Algériens pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis pendant la colonisation.

Aux États-Unis, le sénateur républicain Rand Paul a vivement critiqué Joe Biden et son candidat pour le poste de secrétaire d’État, Antony Blinken.

Lors d’une réunion de la Commission des relations étrangères du Sénat américain qui a eu lieu pour examiner la candidature de Blinken, le sénateur républicain Rand Paul (Kentucky) a vivement critiqué Blinken pour son soutien, depuis de longues années, à la politique de « changement de régime » dans la région de l’Asie de l’Ouest.

Le sénateur républicain a commencé ses propos en mettant en question le rôle de Blinken dans l’intervention de l’OTAN en Libye (2011) et son soutien à l’invasion militaire américaine en Irak (2003). Rand Paul, a qualifié ces actions militaires de « catastrophiques ».

Le sénateur Rand Paul a estimé que Joe Biden était lui aussi un partisan de la politique de « changement de régime » dans la région. Le sénateur républicain a ajouté que Blinken continuait aussi à soutenir l’idée d’un changement de régime en Syrie et de la dépense de grandes sommes d’argent pour former de soi-disant « forces rebelles modérées ».

Pour en donner un exemple, Rand Paul a précisé que l’administration de l’ancien président Barack Obama avait dépensé 250 millions de dollars pour former 60 rebelles, ce qui, selon lui, était un gaspillage d’argent.

 
jeudi, 21 janvier 2021 11:14

Nouveau fiasco de Riyad à Maarib

La coalition saoudienne a lancé une opération pour réoccuper les zones nouvellement libérées du sud de la province de Maarib. Mais la situation s'est inversée sur le champ de bataille grâce à la vigilance des combattants yéménites : des centaines de mercenaires pro-Riyad ont été pris en embuscade.

Selon Mashregh News, ces derniers jours, la frontière commune entre les secteurs de Jabal Murad et Rahba dans le sud-ouest de la province de Maarib a été le théâtre d'affrontements violents entre les combattants yéménites et des éléments de la coalition saoudienne, affrontement qui se poursuivent toujours.

 

Aujourd’hui, mercredi 20 janvier, deux convois militaires américains ont été attaqués en Irak. 
Un convoi logistique, appartenant aux militaires occupants américains, a été attaqué lorsqu’il circulait sur une route reliant le village de Youssefiyeh à Bagdad. 
Le deuxième convoi a été frappé dans la région d’Abou Ghraib. Ces deux attaques ont été revendiquées par le groupe de Résistance Qassem al-Jabbarine. 
Qassem al-Jabbarin a jusqu’ici revendiqué des attaques visant les convois militaires américains en Irak. Le groupe de Résistance réaffirme qu’il entend faire pression sur les occupants américains pour qu’ils quittent l’Irak.

Celui que le président américain Joe Biden a choisi pour occuper le poste de secrétaire d'État, a accusé, mardi 19 janvier, la Turquie, membre de l'OTAN, de ne pas agir comme un allié et a déclaré que Washington examinerait si de nouvelles sanctions étaient nécessaires contre Ankara pour son acquisition d'un système de défense aérienne russe.

Le mois dernier, Washington a imposé des sanctions attendues depuis longtemps à l’industrie de la défense turque pour son acquisition de systèmes de défense antimissile S-400 à Moscou, ce que la Turquie a qualifié de « grave erreur ».

À 48 heures de son départ, le président sortant des États-Unis Donald Trump a signé, lundi soir, un décret visant à limiter l'utilisation de drones fabriqués par la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord qu’il considère comme « les pays rivaux des États-Unis ». 

Les agences américaines sont chargées d'enquêter sur les menaces posées par ces engins et, en fonction de leurs résultats, devront prendre des décisions.
La Maison-Blanche reconnaît, dans un communiqué, que l’utilisation des engins produits par « nos rivaux » menace la sécurité nationale et l’économie des États-Unis.
Mais pourquoi cette interdiction ? 

Qui a fait exploser une centrale atomique en Turquie? le jour où Biden prête serment, une centrale atomqiue vient d'exploser en Turquie au milieu du black-out total des médias. Un certain nombre de bâtiments résidentiels ont été endommagés lors d'une explosion survenue dans une centrale nucléaire en construction en Turquie. 

Le bureau du gouverneur de la province méridionale de Mersin a déclaré tard le 19 janvier qu'une «explosion contrôlée» avait eu lieu sur le site en construction de la centrale nucléaire d'Akkuyu, qui avait endommagé les maisons résidentielles voisines.

Le bureau du gouverneur a déclaré qu'une commission avait été créée pour «déterminer les dommages» dans la région de Büyükeceli sans manquer de préciser que «les citoyens ayant subi des dégâts seraient indemnisés» .Il a également indiqué qu'une équipe des forces de police avait été chargée d'enquêter sur l'explosion. «L'incident fera l'objet d'une enquête sous tous ses aspects et les procédures nécessaires seront des entreprises en ce qui concerne les responsables», indique le communiqué.

La déclaration officielle est intervenue après que Ali Mahir Başarır, membre du principal parti d'opposition, le Parti républicain du peuple (CHP), a annoncé sur les réseaux sociaux que deux grandes explosions s'étendaient sur le site en construction de la centrale électrique vers 18 h 20, heure locale.

Le ministre yéménite de la défense a déclaré que de nouveaux équipements militaires seraient bientôt dévoilés, ajoutant que ces systèmes entraîneraient des changements majeurs dans la stratégie de guerre et la contre-agression de la coalition saoudienne-émiratie.
Tout en qualifiant les Etats-Unis de terroristes, il a déclaré que Washington défend l'agression et tue des nations. Les groupes terroristes ont été créés par les États-Unis.

Le ministère de la défense et l'état-major interarmées du Yémen sont en train de moderniser les équipements militaires du pays sous la stricte supervision du Conseil politique suprême, a-t-il déclaré.

Il a souligné que l'oppression et l'agression contre le peuple yéménite ont conduit au développement de l'équipement militaire, notant que les forces armées yéménites ont été équipées d'un équipement avancé et d'une guerre militaire qui est utilisée pour défendre le pays.

Le ministre de la défense yéménite a déclaré que de nouveaux équipements militaires seraient bientôt dévoilés, ajoutant que ces systèmes entraîneraient des changements majeurs dans la stratégie de guerre et la contre-agression de la coalition saoudienne-émiratie.

Al-Atefi a souligné que l'invasion du Yémen ne sera arrêtée que par la force, soulignant que le Yémen jouit de cette capacité et a réussi à faire de bons progrès dans la fabrication d'armes lourdes, semi-lourdes et légères ainsi que de missiles balistiques surface-surface.

"Nous avons tous entendu dire qu'Ansarullah du Yémen a été qualifié de groupe terroriste par les États-Unis. Cela n'a pas d'importance pour nous au Yémen. Tout le monde sait qu'il s'agit de questions politiques. Personne n'a le droit et ne peut traiter de terroriste quelqu'un qui défend son pays et sa nation", a ajouté le ministre yéménite de la défense.
 
Des sources syriennes ont rapporté que les Etats-Unis ont transféré 70 éléments terroristes de Daech à la base militaire d'Al-Tanf dans le sud-est de la Syrie.
Des sources locales en Syrie ont rapporté lundi que les Etats-Unis ont transféré 70 terroristes de Daech des prisons de la province d'al-Hasakah à la base d'Al-Tanf.

Les sources ont déclaré à l'agence de presse SANA que les États-Unis ont transféré les terroristes de la prison d'al-Thanawiya al-Sanaiya à al-Hasakah, qui est contrôlée par des militants kurdes syriens, à al-Tanf. La base est située près de la frontière jordano-irakienne et est l'un des principaux centres des troupes américaines en Syrie.

Selon les sources, les forces américaines à Al-Tanf soutiennent les terroristes dans la région et leur fournissent des armes et des équipements, et le transfert des terroristes de Daech est destiné à servir les intérêts des États-Unis.

Al Mayadeen a récemment signalé que des hélicoptères américains transfèrent quotidiennement et en plusieurs étapes des prisonniers de Daech depuis un certain nombre de prisons du nord-est de la Syrie vers des bases américaines en Irak.