تقي زاده

تقي زاده

De nouveaux accords ont été conclus entre l’Iran et la Syrie en matière d’énergie, a déclaré le ministre iranien des Affaires étrangères.

Dans un entretien avec le site d’actualité YJC (Club des jeunes journalistes), le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a déclaré, mardi 12 mai, que l’Iran contribuait aux plans de développement de la Syrie. « Dans la conjoncture où la stabilité et la sécurité s’installent au fur et à mesure en Syrie, Damas et Téhéran codirigent des projets économiques dont une partie concerne le domaine énergétique », a déclaré M. Zarif en réaction à des allégations selon lesquelles la Syrie aurait permis à l’Iran d’exploiter le bloc 12 dans la province de Deir ez-Zor. Le chef de la diplomatie iranienne a toutefois ajouté qu’il n’était pas au courant des détails de nouveaux accords pétroliers avec la Syrie.

Alors que la presse sioniste décrit la prochaine visite de Mike Pompeo en Israël, comme étant un conseil de guerre anti-Iran, une intéressante information vient de paraître : à peine quelques jours après avoir annoncé le retrait de deux de leurs batteries de missiles Patriot ainsi que de deux de leurs escadrons de chasseurs d'Arabie, les États-Unis annoncent le départ du premier escadron de chasseurs F-35 de l'armée américaine de la région de l'Asie de l'Ouest et son retour aux États-Unis.

Aussi les pilotes des 388ème et 419ème brigades de chasseurs de l’US Air Force ont quitté le 7 mai le Moyen-Orient pour l'Amérique, au bout de six mois de mission, selon Defence Space.

mardi, 12 mai 2020 19:17

Bennett quitte le navire!

Après l’échec des pourparlers entre le cabinet de coalition du régime israélien et le parti de droite Yamina, le ministre israélien des Affaires militaires et chef du parti, Naftali Bennett, a annoncé qu’il rejoindrait le front des opposants à Netanyahu. 

Les sources israéliennes ont fait état de la décision du Premier ministre Benjamin Neytanyahu de répartir tous les postes du cabinet entre les membres de son propre parti. Cela intervient après l’échec des négociations entre la coalition Netanyahu-Gantz avec le parti de droite Yamina, dirigé par Naftali Bennett, l’actuel ministre des Affaires militaires.

Le représentant permanent de la Russie auprès des organisations internationales Mikhaïl Oulianov prévoit une "dure bataille" au sein du Conseil de sécurité de l'ONU autour de la levée de l’embargo sur la vente d'armes à l’Iran, embargo qui expirera en octobre 2020 et dont l'Amérique cherche à obtenir coûte que côte la prorogation. Mais pourquoi est-ce une "dure bataille" pour la Russie ou en d'autres que peut faire l'Iran face aux USA que Moscou ne ferait pas? L'analyste américain, et journaliste vétéran, Gordon Duff a la réponse.  

Le haut responsable russe Mikhaïl Oulianov a tweeté, lundi soir, évoquant les efforts américains pour faire reconduire l’embargo sur les armes contre l’Iran, qu’une "bataille sérieuse" est attendue au Conseil de sécurité sur cette affaire : « Après l’adoption en 2015 de la résolution 2231 par le Conseil de sécurité, l’embargo sur la livraison à l’Iran de chars, de véhicules blindés, de l’artillerie, d’avions, d’hélicoptères, de bateaux et de missiles a été, pratiquement, annulée. Les restrictions actuelles au sujet des armements s’expiraient d’ici 18 octobre, mais les États-Unis s’emploient, corps et âme, à les reconduire. Une querelle sévère apparaîtrait, bientôt, au sein du Conseil de sécurité ».

À peine une semaine après le terrible fiasco que fut l'échec de la tentative d'infiltration d'un commando US/Colombie au Venezuela, les forces vénézuéliennes de défense aérienne ont intercepté le F-22 américain par le radar chinois JY-27 qui est en service du Venezuela.

L'armée vénézuélienne a lancé un avertissement à l'US Air Force pour qu'elle soit prête à une frappe sans préavis sur n’importe quel avion américain, y compris le F-22 avancé, si ce dernier tentait de violer la frontière du pays ou de commettre des actions provocatrices ou agressives près de l'espace aérien du Venezuela.

L’Allemagne a été contrainte de s’excuser après avoir effacé Israël d’une carte publiée dans le cadre d’un rapport militaire.
 
Le chef du service allemand de contre-intelligence militaire (MAD) s’est excusé pour avoir publié un rapport annuel dans lequel Israël a été effacé de la carte, a rapporté jeudi le Washington Post.

Dans ce rapport du MAD, le territoire israélien est intégré à son voisin, la Jordanie.

Le chef du service de contre-espionnage militaire, connu sous son acronyme allemand MAD, a été obligé de s’excuser.

L’omission d’Israël sur la carte qui comprenait le Moyen-Orient a été rendue publique après qu’un utilisateur de Twitter nommé Klemens Köhler a écrit : « Dans le premier rapport public de MAD, Israël manque sur la carte. »

Le ministère allemand de la Défense a répondu en affirmant que l’erreur était le produit d’un problème de « logiciel ». D’ailleurs, il a répondu à l’internaute : « Bonjour M. Köhler, c’est effectivement une erreur. Nous allons enquêter et nous vous remercier pour la remarque. »
En Syrie, Israël dit vouloir prouver aux Etats-Unis que sa campagne dite " guerre dans la guerre" contre l'Iran et ses alliés de la Résistance a été "porteuse" et qu'elle a fini, comme le prétend le ministre israélien de la Guerre, par "pousser l'Iran à y réduire sa présence". Un récent article de The National Interest conseillait d'ailleurs à Trump de pratiquer cette même campagne de guerre dans la guerre en Irak, ne serait-ce que pour éviter " une confrontation à grande échelle"avec la Résistance "tout en l'affaiblissant de manière graduelle".
 
Mais l'argument sioniste semble peiner à convaincre les Yankee au pouvoir à Washington, ce dernier ayant opté visiblement pour une "marche arrière graduelle" en Irak face à la Résistance : du retrait des Patriot et de leurs 300 accompagnateurs militaires déployés en été sur la base Prince Sultan en Arabie, près de l'Irak à l'octroie d'une nouvelle dérogation aux sanctions US contre le gaz iranien importé par l'Irak en passant par la réduction de leur présence militaire physique en Irak, les USA refusent visiblement d’emboîter le pas à Israël.  Pourquoi?  Pour avoir piloté de 2011 par qaïdistes et daechistes interposé la guerre au Levant et en Irak, les Etats-Uns savent de quel bois est fait l'axe de la Résistance.

Une récente vidéo publiée par le CGRI met en scène l'un des face-à-face "technologique" les plus spectaculaires US/Iran en Syrie. Les images montrent comment les forces de la Résistance parviennent à "s'infiltrer au centre de commandement US" et à "surveiller via la caméra du drone américain les positions de Daech". Mais ce n'est pas tout: la source proche du CGRI qui publie ces images ajoute : "Une fois la mission de reconnaissance ''iranienne" -qui a été menée "sur le dos des Américains sans que ces derniers s'en aperçoivent même"- finie, le drone américain s'écrase, faisant croire à ses opérateurs américains, planqués dans leur centre de commandement ( al-Tanf?, ndlr ) à un problème technique. Mais l'histoire n'en reste pas là."Les Américains envoie dans la foulée un second drone en mission de reconnaissance. La Résistance ne tarde pas à en prendre le contrôle et à en "pirater" le disque des données et des images pour surveiller " toujours aux frais des Américains " les agissements de leurs supplétifs daechistes.

Cette vidéo est la seconde du genre à avoir été rendue publique, la première ayant été diffusée il y a quelques temps par des sources russes.

En mars, Avia.pro a publié une autre vidéo mettant  en scène "un drone de fabrication iranienne" (Ababil) qui avait réussi à "contourner le drone américain de presque tous les côtés sans que le MQ-1 Predator ne s'en aperçoive", ce qui prouve de larges capacités iraniennes et de ses alliés à collecter des informations sur les drones de fabrication américaine voire israélienne", disait le site.

Interrogé sur ces acquis et capacités, le directeur du département de la géopolitique au centre d'études stratégique iranien, le général Mohammad-Hassan Nami, souligne que le "bond en avant" des "systèmes d'interception et de "contournement" anti-drone iranien", bond en avant "manifesté en été 2019 "quand l'Iran a intercepté avant d'abattre un RQ Global Hawk" ou plus récemment en mars, "lorsqu'un F-18 Super Hornet US est tombé dans le leurre de la DCA iranienne avant de s'approcher dans l'espace aérien du pays : "la liste est longue : en décembre 2011 un drone furtif RQ-170 US a été capturé; en octobre 2016, le CGRI a annoncé avoir intercepté et capturé un drone MQ-1 US; en juin 2019, un Global Hawk américain a été abattu; en janvier 2020 le CGRI a détruit une grande partie des centres de contrôle des drones de l’armée américaine dans la base Aïn al-Asad en Irak. Et ce n'est pas, les forces iraniennes ont déjà capturé ou piraté des drones de type MQ-9 Reaper dans des zones d'opérations en Irak et en Syrie sans que les Américains le comprennent. Ces d'ailleurs ce même savoir qui a aidé nos forces armées à surprendre l'armée américaine à Aïn al-Asad".

Et le général d'ajouter :" L'Iran continue à réduire l'écart entre sa technologie militaire avec celle des Etats-Unis mais suivant une logique asymétrique qui rend les Américains totalement désarmés et c'est cela qui s'appelle l'équation de dissuasion.' Après avoir dévoilé fin avril, trois super drones d'une portée de 1500 kilomètres, l'Iran vient d'annoncer la mise au service d'un autre appareil, propre à donner du grain à moudre aux Américains aussi bien en Syrie qu'en Irak. "Meraj" est le nouveau drone de la force terrestre du Corps des gardiens de la Révolution islamique qui a récemment été testé avec succès. C'est la réplique iranienne du  drone américain AAI Aerosonde mais en mieux.

Le drone Meraj a été exposé, pour la première fois, en septembre 2019 lors du défilé militaire du 22 septembre (début de la semaine de la Défense sacrée, NDLR). Pesant 33 kg, il est capable de porter une charge de 5 kg. Sa vitesse de vol maximal est de 140 km et il peut atteindre une altitude de 12 000 pieds. Il sera installé sur un camion-lanceur. Il s'en détachera dès que le camion atteindra une vitesse déterminée. Ce procédé permet au drone de s’envoler et d’atterrir simplement, sans avoir besoin d’une bande particulière. Cela est d'autant plus important pour la force terrestre du CGRI que l’Iran est un vaste pays et que Meraj saura servir aux opérations de reconnaissance et surtout à la surveillance des frontières du pays et à la lutte contre les groupes terroristes. Et sur ce point sa zone d'opération pourrait être extérieure. Bref les Américains savent bien qu'une guerre dans la guerre contre l'Iran comme le leur préconisent leurs pantins sionistes, n'est pas une partie de plaisir.
« Avec 51 décès enregistrés au cours des dernières vingt-quatre heures, le nombre de victimes du Covid-19 s’élève à 6 640 en Iran », a annoncé dimanche le porte-parole du ministère iranien de la Santé, Kianouch Jahanpour. Le bilan quotidien de nouveaux cas d’infection a également diminué atteignant 1.399.
 
Le nombre de cas confirmés officiellement, qui inclut les décès et les guérisons, est de 107 603.

Selon les rapports, 86 143 malades atteints de Covid-19 ont été guéris à ce jour dans le pays et ont quitté l’hôpital, ce qui représente environ 80 % des patients touchés par le virus mortel.

« Au total, 556 699 tests de diagnostic du Covid-19 ont été effectués dans 126 laboratoires du pays », a-t-il encore annoncé.
Que Forbes met en garde l'armée américaine contre ce qu'il qualifie d"extension de la base chinoise à Djibouti", un Djibouti dont le président pro-Pékin Guelleh fait face à de multiples tentatives de déstabilisation, c'est que l'heure de face-à-face s'approche comme l'a déjà prévu des rapports récemment publiés par l'armée chinoise, la Covid-19 ayant finalement servi à sortir l'antagonisme sino-américain de son seul contexte économique.
 
Forbes craint les quatre sous-marins nucléaires que la Chine s'apprêterait à installer sur sa base, pour faire comprendre que l'option nucléaire n'est pas non plus à écarter. Reste à savoir si pour cette bataille stratégique à venir, Pékin qui tourne autour de l'une des artères commerciales les plus vitales pour la Chine à savoir le détroit de Bab el-Mandeb, compte uniquement sur sa propre force ou qu'il compte élargir son camp et s'allier aux forces "amies fiables".

Les Etats-Unis ont d'ailleurs prévu tout : quatre bases militaires à Socotra, à Aden, à Zuqar, à Mahra érigées par Emirats et Arabie interposés et même des missiles Patriot à Shebwa. La Chine peut-elle compter sur Riyad? Jusqu'ici de juteux contrats d'armements signés avec l'Arabie ont empêché Pékin de choisir son camp, les intérêts économiques ayant primé. Mais le statut quo ne peut perdurer. Pékin va-t-il frapper à la porte d'Ansarallah? Il aurait intérêt. Une mesure prise il n'y a pas si longtemps en défaveur de Riyad prouve que Pékin commence à s'interroger : depuis que l'Arabie des Salmane a perdu sa bataille de pétrole contre la Russie, la Chine a réduit sensiblement ses achats aux Saoudiens. Elle ne pourrait pas non plus ne pas suivre les évolutions de la guerre au Yémen où Ansarallah contrôle depuis un certain temps la stratégique al-Jawf et que la Maarib pétrolifère tomberait pour un oui ou pour un non entre ses mains...

Bref Forbes évoque la perspective d'une guerre en se penchant sur des travaux chinois pour élargir sa base maritime à Djibouti : « La marine chinoise est devenue plus active dans l'océan Indien et au Moyen-Orient. Mais l'une des pierres angulaires de sa portée croissante est une base navale outre-mer à Djibouti dans la Corne de l'Afrique. Des images satellites récentes indiquent que la Chine poursuit ses travaux à la base de soutien fortifiée. Elles montrent que le quai est maintenant pratiquement terminé, il devrait donc pouvoir bientôt accueillir des navires'".

Et la revue d'ajouter : "La base, la première à l'étranger de la Chine, a été construite en 2017, mais les quais sont toujours en construction. Elle est substantielle avec un intérieur bien aménagé et un grand tablier d'hélicoptère. Il n'y a aucun signe de tunnels de protection pour les navires, contrairement à certaines bases en Chine, mais elle est sans aucun doute destiné à être défendable. Le périmètre extérieur est fortifié comme un château moderne avec des bermes abruptes surmontées de tours et de deux rangées de murs. Il y a même des créneaux. Les travaux majeurs sur une jetée de 1 120 pieds semblent avoir été terminés à la fin de l'année dernière. C'est juste assez long pour accueillir les nouveaux porte-avions, porte-avions d'assaut ou autres grands navires de guerre chinois. La base pourrait facilement accueillir quatre sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire de la Chine si nécessaire. Mais elle est encore relativement limitée. Il semble donc naturel que la Chine cherche à augmenter les quais. La nouvelle activité peut pointer vers un deuxième quai ou jetée près du premier".

Forbes souligne ensuite la perspective d'un face-à-face à venir en précisant "la proximité des bases chinoises avec les installations occidentales qui " est un sujet de préoccupation pour les forces armées occidentales". " La base chinoise l n'est qu'à environ 7 miles de la base expéditionnaire de la marine américaine au camp Lemonnier. Créée en 2001, elle est la seule base permanente de l'armée américaine en Afrique. Et c'est à moins de 8 km du port principal de Djibouti que les navires de guerre de la marine américaine et européenne visitent fréquemment. En mai 2018, le département américain à la Défense s'est officiellement plaint auprès du gouvernement chinois de l'utilisation de lasers sur des avions depuis la base. Deux aviateurs ont été blessés".

Et la mise en garde s'ensuit : « Nous n'avons pas encore vu comment la Chine utilisera cette nouvelle base pour soutenir sa marine, mais l'investissement est important. Il semble peu probable qu'elle soit destiné à un usage occasionnel uniquement. De plus, une analyse suggère que la Chine pourrait considérer le Pakistan ou le Myanmar comme un autre lieu de base. Quel que soit le niveau d’activité de la nouvelle base, il s’agit d’un changement important dans la capacité navale de la Chine en eau bleue. »

Un récent rapport interne indiquait à la Chine qu'une guerre avec les Etats-Unis est plus que possible. L'un des terrains pourrait en être Bab el-Mandeb et là le seul Djibouti ne saurait lui être de grand recours.
Ziad Abdul Sahib, chef du centre libanais des fatwas, a déclaré : « Les événements récents ont changé l'approche et la vision occidentales dans une large mesure, et les Occidentaux ont réalisé que le vrai succès et le bonheur n’existaient que dans une foi sincère en Dieu, le Tout-Puissant ».
Lors de la quatrième réunion virtuelle (webinaire) sur « Les questions posées par l’épidémie de Corona », organisée à Beyrouth le 8 mai 2020, avec l'aide des services culturels iraniens au Liban, et l'Agence internationale de presse coranique (Iqna), Ziad Abdul Sahib, chef du Centre libanais des fatwas, a déclaré que cette épidémie avait changé le monde et que les grandes puissances et les prétendants à l'empire, comme les États-Unis et d'autres pays, avaient échoué dans cette crise.
 
 Ziad Abdul Sahib a dit : « L'incapacité de ces pays à faire face à ce petit virus invisible à l'œil nu, est étonnante. La puissance de Dieu a détruit le pouvoir des avions, des technologies et des installations militaires de façon étonnante. Le coronavirus est un message divin à toute l'humanité et montre que l’arrogance et l’égoïsme doivent s’agenouiller devant la puissance divine. »
 
« Les Occidentaux, a-t-il ajouté,  se tournent aujourd'hui de plus en plus vers l'islam comme alternative à leur terreur. Nous devons être fiers de la charia islamique et du Saint Prophète (as), du Saint Coran et de nos enseignements prophétiques. L'éveil islamique et les conversions à l'islam se répandent de jour en jour dans le monde et en Occident. Les événements récents, en particulier le coronavirus, ont largement changé les attitudes et les opinions des Occidentaux, et ont mis en évidence la valeur de la foi et de la spiritualité. »
 
Le chef du centre libanais des fatwas a souligné : « Les Occidentaux ont compris que le bonheur n'était pas seulement matériel et que la foi en Dieu apportait la paix et la tranquillité, et éliminait le besoin de sédatifs et de somnifères. Les journaux américains ont écrit que les médecins les plus célèbres et les plus respectés avaient confirmé que le Prophète de l'Islam avait parlé il y a 1400 ans, des maladies infectieuses et de la manière de les traiter.»
 
«  Nous avons tous entendu les prescriptions et les recommandations des médecins en matière de prévention, comme le lavage et le nettoyage des mains, et que le coronavirus se contamine par le nez et la gorge. Par la grâce de Dieu, la purification du lieu de prière et des vêtements, les ablutions et le ghusl, le lavage des mains, le rinçage du nez et de la bouche cinq fois par jour, sont des règles de l’Islam sans compter le ghusl avant la prière du vendredi, les Tawaf lors du Hadj et les fêtes islamiques, auxquels participe une grande foule de musulmans, qui sont aussi des règles de l’islam », a-t-il dit.
 
Cette réunion virtuelle rassemblait des penseurs de différents pays pour une approche réfléchie après l'échec du concept de « village mondial » et des théories de « la fin de l'histoire ». 
 
Participaient à cette conférence virtuelle l’Hodjat ol-islam Sadegh Akhavan, professeur au centre islamique de Qom, qui a parlé de la « crise d'identité mondiale et de l'effondrement des théories juridiques », Idris Hani, écrivain et chercheur marocain, qui a fait un discours sur « les perspectives du village mondial et les théories de la fin de l’histoire et du conflit des civilisations », et l’Hodjat ol-islam Mohammad Shaqir, chercheur et professeur à l'Université du Liban, qui a prononcé un discours sur « Le déclin du village mondial et la troisième voie ».
 
Cette réunion virtuelle était animée par Khezr Nabha, professeur de philosophie et de théologie à l'Université du Liban, et s’est terminée avec des réponses aux questions des téléspectateurs.