تقي زاده

تقي زاده

Les signes inévitables précédant l'apparition de l'Imam Mahdi (que Dieu hâte son apparition) représentent les signes décisifs annonçant le jour de l'apparition, signalant son arrivée imminente. Ils sont indissociables de cet événement, car ils provoqueront un changement (violent) dans les orientations des gens. Ces signes seront une véritable secousse pour la conscience collective, les effrayant profondément, et entraîneront un bouleversement intense dans les positions et les structures. Ils représenteront un test décisif pour toutes les orientations et visions, que ce soit au niveau individuel ou des groupes.

Parmi ces signes, le cri ou l'appel précédera l'apparition de manière rapide, ne permettant ni retard ni procrastination. Le délai avant l'apparition est de six mois ou de quatre mois, comme le précisent les deux traditions suivantes :
1 - D'après al-Ḥasan ibn al-Maḥbūb, comme mentionné dans Ghaybat al-Shaykh, qui a dit : « On entendra trois voix du ciel en Rajab….» jusqu'à la fin du récit. [Ghaybat al-Tūsī, p. 439 et 440, hadith 431]
2 - Selon al-Faḍl ibn Shādhān, rapporté de Abû Baṣīr, qui a dit : « Abu ʿAbd Allāh (que la paix soit sur lui) a dit : « Le Qā'im (que la paix soit sur lui) sera appelé par son nom la nuit du 23, et il se lèvera le jour d'Āshūrāʾ, le jour où Hussein ibn ʿAlī (que la paix soit sur eux) a été tué. » [Ghaybat al-Tūsī, p. 452, hadith 458]
La nuit du 23 se réfère à la nuit du 23 du mois de Ramadan (la nuit du Destin), comme cela est bien connu.
Cela est confirmé par le récit suivant : D'après al-Ḥārith ibn al-Mughīra, de Abu ʿAbd Allāh (que la paix soit sur lui), qui a dit : « Le cri qui se produira en Ramadan aura lieu la nuit du vendredi, le 23e jour passé de Ramadan. » [Kāmāl al-Dīn, p. 650, chap. 57, hadith 6]
Le fait que l'Imam (que Dieu hâte son apparition) se lèvera le jour d'Āshūrāʾ est en accord avec les contextes de l'apparition, car il appellera à la justice pour la martyrisation de Hussein (que la paix soit sur lui) et réclamera vengeance pour son noble sang.
En particulier, la deuxième tradition se termine par les paroles : «Le jour d'Āshūrāʾ est le jour où Hussein ibn ʿAlī (que la paix soit sur eux) a été tué», comme pour indiquer que l'Imam (que Dieu hâte son apparition) apparaîtra et appellera à la vengeance pour son grand-père Hussein (que la paix soit sur lui), tué injustement et agressivement.
Les différences entre les deux traditions ne posent pas de problème. Il est possible que l'appel se répète durant les mois de Rajab et Ramadan en raison de l'importance de cet appel et de ses implications pour le jour de l'apparition.
Le cri est en effet l'un des signes importants proches du jour de l'apparition. Il se produira en Ramadan, lors de la nuit du 23, et aura pour effet de réveiller les consciences endormies face à la vérité, tout en démentant les autres.
L'appel ou le cri annoncera que 'Ali est avec la vérité, suivez-le', ce qui signifie qu'il existe un écart immense entre la communauté et la croyance en la vérité. Cette situation ne pourra être corrigée que par des miracles qui réveilleront ceux qui sont ignorants ou indifférents à la vérité. Je me demande jusqu'à quel point le détachement de la vérité et l'instabilité dans la persistance sur celle-ci iront, au point où seules des secousses des consciences et des alarmes des âmes seront nécessaires pour attirer l'attention des gens et diriger leur intérêt.
Les Imams de guidance (que la paix soit sur eux) ont veillé à clarifier les caractéristiques et les détails de cet appel pour nous faire comprendre son importance dans la détermination du jour de l'apparition, et son rôle crucial dans la révélation de ce qui a longtemps été attendu par le monde dans toutes ses tendances et orientations. L'appel aura un impact significatif sur l'orientation qui devra être suivie à ce moment-là.
D'après Ibn Maḥbūb, de al-Thumālī - et il semble que ce soit Muḥammad ibn Abī Ḥamza al-Thumālī, un homme de confiance – qui a dit : « Je demandai à Abī ʿAbd Allāh (que la paix soit sur lui) : « Abū Jaʿfar (que la paix soit sur lui) disait : ‘La sortie du Sufyānī est un événement inévitable.’ »
Il me répondit : « Oui, et la division parmi les descendants des Abbassides est inévitable, le meurtre de l’âme pure est inévitable, et la sortie du Qā’im (que la paix soit sur lui) est inévitable. »
Je lui demandai alors : « Comment sera l’appel ? »
Il répondit : « Un appel sera lancé du ciel au début de la journée : ‘Sachez que la vérité est en ʿAlī et ses partisans.’ Puis, à la fin de la journée, Iblīs (qu’Allah le maudisse) appellera : ‘Sachez que la vérité est en as-Sufyānī et ses partisans.’ À ce moment-là, les détracteurs seront dans le doute. »
Cette distinction que l'appel s'efforce de clarifier fait référence à la diversité des orientations et des doctrines qui prétendent détenir la vérité ou se revendiquer comme défenseurs de la vérité. Cependant, la confusion et le désordre dans lesquels ces orientations évoluent trompent leurs adeptes en leur faisant croire que leur méthode est correcte, alors qu'en réalité elles portent atteinte aux principes et aux valeurs véritables et tentent d'annihiler les autres. Ainsi, la confusion dans la compréhension et l'appartenance de certains peut compromettre l'intégrité de leur méthode pour identifier et suivre la vérité. Par conséquent, l'appel est une situation de sauvetage final qui identifie la vérité et guide les autres vers elle.
En revanche, le second appel qui mentionne le Sufyānī ou d'autres et les appelle vers lui, est une indication des conflits idéologiques qui agitent la communauté et conduisent ses membres à la perdition et à la confusion.

Certains de nos opposants critiquent la possibilité que l'Imam Mahdi (que Dieu hâte sa réapparition) vive plus de mille ans. Ils disent que cela dépasse les durées de vie humaines habituelles, comme l’a mentionné un professeur de la Faculté de la Da'wa Islamique en Libye, Ali Hussein al-Sa'eh, dans un article publié dans le numéro 10 de la revue de la faculté, en 1993, page 213, intitulé "Notre héritage et la balance de la critique". Comment y répondre ?_

Il n'y a aucun obstacle rationnel ou pratique qui empêche un être humain de vivre plusieurs siècles, et cela peut être expliqué de deux manières :

La première explication est qu'il est logiquement possible pour un être humain de vivre longtemps, car cela n'est pas impossible sur le plan rationnel. Il existe des précédents confirmés par le Coran dans certaines de ses versets, comme dans l'histoire de Noé (paix sur lui), qui a vécu parmi son peuple pendant mille ans moins cinquante années, sans compter sa vie avant la prophétie. Comme le dit le verset : "Et Nous avons certes envoyé Noé à son peuple, et il est resté parmi eux mille ans moins cinquante années."
Le verset indique que la longévité d'un être humain pendant plusieurs siècles, bien que peu commune dans ce temps, est logiquement possible en soi. [Voir : Mafatih al-Ghayb, vol. 25, p. 42.]

L'autre explication est que l'extension de la durée de vie d'un être humain à plusieurs centaines d'années est possible sur le plan pratique, c'est-à-dire que sa réalisation dans le monde à quelques preuves le confirmant.
En voici deux exemples :

La première preuve : Les sources des sunnites ont établi que le Dajjal (l'Antéchrist) était présent du temps du Prophète (paix et bénédictions sur lui) et qu'il restera jusqu'à la fin des temps. Ainsi, Muslim rapporte dans son Sahih que le Prophète (paix et bénédictions sur lui) a dit : "Il n’y a pas eu de création plus grande depuis la création d’Adam jusqu’à l’Heure que le Dajjal" [Sahih Muslim, vol. 8, p. 207, chapitre : (Concernant les autres hadiths sur le Dajjal), numéro du hadith : (7582)].
Dans les deux Sahihs (Sahih al-Bukhari et Sahih Muslim), il est mentionné que le Dajjal est décrit comme : « un homme de grande taille, à la peau rouge, aux cheveux crépus, avec un œil droit aveugle. » Dans le Musnad d'Ahmad, il est dit : « Celui qui lui ressemble le plus parmi vos hommes est Abd al-Uzza ibn Qattan » [Voir : Sahih al-Bukhari, vol. 6, p. 2577, chapitre : (Le tawaf autour de la Kaaba en rêve), numéro du hadith : 6623 ; Sahih Muslim, vol. 1, p. 108, chapitre : (Mention du Christ Dajjal), numéro du hadith : 447 ; Musnad Ahmad, vol. 3, p. 264, établi par Ahmad Shaker, numéro du hadith : 2854, avec une chaîne de transmission authentique].
L'albani a dit : « Le hadith est explicite en ce sens que le Dajjal, bien qu'étant le plus grand des êtres humains, a des caractéristiques humaines, d'autant plus qu'il a été comparé à Abd al-Uzza ibn Qattan » [Silsilat al-Ahadith al-Sahihah, vol. 3, p. 191].
La deuxième preuve : De nombreux sunnites croient en la vie de Khidr (paix sur lui) et qu'il restera jusqu'à la fin des temps. Certains de leurs savants ont rédigé des ouvrages pour prouver cela, parmi lesquels :
● "Irshad al-Ikhlas li Hayat al-Khidr wa Ilyas" (Guide de la sincérité concernant la vie de Khidr et d'Ilyas) écrit par Muhammad ibn Abi al-Khayr al-Qazwini (décédé en 620).
● "Juz' fi Hayat al-Khidr" (Un recueil sur la vie de Khidr) écrit par Abdullah ibn As'ad ibn Ali al-Yafii (décédé en 768 H).
● "Risala fi al-Khidr wa Hayatihi" (Lettre sur Khidr et sa vie) écrite par Muhammad ibn Imam al-Kamaliyya (décédé en 874 H).
● "Risala fi Hayat al-Khidr" (Lettre sur la vie de Khidr) écrite par Abdul Rahman ibn Abi Bakr al-Suyuti (décédé en 911 H).
● "Risala fi Hayat al-Khidr" (Lettre sur la vie de Khidr) écrite par Najm al-Din ibn Muhammad al-Ghayti al-Iskandari (décédé en 981 H).
● "Al-Hadhir fi Amr al-Khidr" (Prudence concernant la question de Khidr) écrit par Ali ibn (Sultan) Muhammad al-Qari (décédé en 1014 H).
● "Risala fi Hayat al-Khidr wa Ilyas" (Lettre sur la vie de Khidr et d'Ilyas) écrite par Abdullah ibn Muslih al-Din al-Nuri (décédé en 1061 H).
● "Al-Qawl al-Dall 'ala Hayat al-Khidr" (L'opinion qui prouve la vie de Khidr) écrit par Noah ibn Mustafa al-Rumi (décédé en 1070 H). »

An-Nawawi a dit : « La majorité des savants s'accorde à dire qu'il est vivant et présent parmi nous, et cela est accepté par les soufis ainsi que par les gens de piété et de connaissance. Les récits concernant ses apparitions, ses rencontres, ses enseignements, ses réponses, et sa présence dans des lieux saints et des endroits vertueux sont trop nombreux pour être comptés et plus célèbres pour être cachés. »
Cheikh Abu Amr ibn al-Salah a déclaré : « Il est vivant selon la majorité des savants et des pieux, et le grand public partage cet avis. » Il a ajouté : « Seuls quelques hadithistes se sont écartés en niant cela. »
Al-Thalabi, le commentateur, a dit : « Khidr est un prophète qui vit longtemps selon toutes les opinions, et il est caché des regards, c'est-à-dire des regards de la plupart des gens. Il a également été dit qu'il ne mourra qu'à la fin des temps. » Al-Thalabi a mentionné trois avis sur la période à laquelle Khidr aurait vécu : soit du temps d'Abraham (paix sur lui), soit peu après lui, soit bien plus tard [Voir : Sharh al-Nawawi 'ala Muslim, vol. 15, p. 518].

En outre, il apparaît que la question de la longévité exceptionnelle d'un être humain n'est pas impossible, ni sur le plan rationnel ni sur le plan pratique ; elle est simplement une question de possibilité.
Comme le dit Sayyid Muhammad Baqir al-Sadr : « Il ne fait aucun doute que l'extension de la durée de vie humaine à des milliers d'années est logiquement possible ; car cela n'est pas impossible d'un point de vue abstrait et il n'y a pas de contradiction dans une telle hypothèse ; car la vie, en tant que concept, ne suppose pas une mort rapide, et il n'y a pas de débat à ce sujet. Il n'y a également aucun doute ni débat sur le fait que cette longue durée de vie n'est pas possible de manière pratique, comme les possibilités pratiques de descendre dans les profondeurs de la mer ou de monter sur la Lune. En effet, les connaissances et les outils scientifiques actuels, disponibles à travers l'expérience humaine contemporaine, ne permettent pas d'étendre la durée de vie humaine à plusieurs centaines d'années. C'est pourquoi même les personnes les plus désireuses de vivre et les plus capables d'exploiter les possibilités scientifiques n'ont qu'une durée de vie conforme aux normes habituelles. [Recherche sur l'Imam Mahdi (que Dieu hâte sa réapparition).

Le Pacte de Quincy de 1945 entre le roi Abdel Aziz Ibn Saoud, fondateur du royaume d'Arabie saoudite, et le Président des États-Unis Franklin Roosevelt et comment l’Arabie Saoudite est devenue de fait, la vache laitière des Etats-Unis d’Amérique qui assure sa domination par des tensions, des conflits et des  guerres à travers le monde.
Les relations entre l’Arabie Saoudite et les Etats-Unis d’Amérique  se sont renforcées davantage avec  la signature du pacte du Quincy qui est le surnom donné à la rencontre du 14 février 1945 sur le croiseur USS Quincy (CA-71) entre le roi Abdel Aziz ibn Saoud, fondateur du royaume d'Arabie saoudite, et le Président des États-Unis Franklin Roosevelt, de retour de la conférence de Yalta, en Crimée, à l'insu des Britanniques qui n’étaient pas du tout au courant de la rencontre en tant que Puissance dominatrice d’alors du Royaume de l’Arabie Saoudite. Ce qui fut fait, et le Président américain proposa à Abdel Aziz  Ibn Saoud de le rencontrer, ainsi que l'empereur d'Éthiopie Hailé Sélassié Ier et le roi Farouk d'Égypte, à cette l'occasion.
Le Président Roosevelt rencontre les trois chefs d'État le même jour, alors que son croiseur mouille dans le lac Amer (en plein canal de Suez, ainsi protégé de toute attaque par un sous-marin), en Égypte.
Le Président Roosevelt et le Roi Ibn Saoud dans leurs discussions auraient abordé le sujet de l'avenir de la dynastie saoudienne et du pétrole arabe et sur un pacte, garantissant à la monarchie saoudienne une protection militaire en échange d'un accès au pétrole, et  d’obtenir l’appui du roi pour la création d’un foyer national juif en Palestine, qui serait chargé de garantir éventuellement la sécurité de ces installations pétrolières  et la protection des intérêts géostratégiques des Etats-Unis au Moyen-Orient   chose qui lui fut acceptée. Et Israël fut créé et reconnu trois  ans après, sur cette base en 1948, par les Nations-Unis, pour assurer les intérêts des Usa, des Arabes et de l’occident de manière générale. Dans cette discussion, fut également abordé la question du départ des Français et l'indépendance des deux pays la Syrie et du Liban, conformément aux accords de Sykes-Picot de 1920.
Le fameux pacte s’articule sur quatre points, ci-après:
1)- La stabilité de l’Arabie saoudite fait partie des « intérêts vitaux » des États-Unis qui assurent, en contrepartie, la protection inconditionnelle de la famille Saoud et accessoirement celle du Royaume contre toute menace extérieure éventuelle ;
2)-Par extension, la stabilité de la péninsule arabique et le leadership régional de l’Arabie saoudite font aussi partie des « intérêts vitaux » des États-Unis ;
3)-En contrepartie, le Royaume garantit l’essentiel de l’approvisionnement énergétique américain, la dynastie saoudienne n’aliénant aucune parcelle de son territoire, les compagnies concessionnaires ne seraient que locataires des terrains. Aramco bénéficie d'un monopole d'exploitation de tous les gisements pétroliers du royaume pour une durée d'au moins soixante ans ;
4)-les autres points portent sur le partenariat économique, commercial et financier saoudo-américain.
Ce pacte dont l’objectif principal  consiste à ce que les États Unis garantissent la Sécurité du Royal d'Arabie Saoudite contre du Pétrole, poussa les partenaires stratégiques à créer ensemble la compagnie nationale Saoudienne de Pétrole sous le nom de: Saudi Aramco parfois appelée Aramco (Arabian American Oil Company) qui est une compagnie pétrolière publique saoudienne, dont l’exploitation a commencé, le 29 mai 1933, quand le gouvernement saoudien, suite à l'intervention de Karl Twitchell, signe un accord de concession avec Standard Oil of California (Socal), permettant à cette dernière de faire des prospections pétrolières en Arabie saoudite.
On se souvient avant cela, au milieu des années 70, du  Front Sandiniste de Libération Nationale (FSLN), marqué par dix ans de guérilla, les opérations insurrectionnelles, la clandestinité, l’exil au Nicaragua.
Pour un petit rappel historique, l'administration Reagan fournissait une aide secrète aux Contras, (Les Contras (terme espagnol signifiant « contre-révolutionnaires »), appelés aussi « Résistance nationale », étaient des groupes armés en guerre contre le gouvernement sandiniste au Nicaragua. Le soutien des États-Unis à ces groupes a été fortement médiatisé par le scandale de l'affaire Iran-Contra), depuis novembre 1981, mais l'amendement Boland de 1982 mit fin à l'aide militaire quand on découvrit que la CIA supervisait des actes de sabotage au Nicaragua sans en informer le Congrès. L'amendement Boland, effectif à partir de décembre 1983 et jusqu'à septembre 1985, interdisait à la CIA et aux autres agences gouvernementales de fournir une aide militaire secrète.
L'administration Reagan a contourné cette disposition en faisant appel au Conseil de sécurité national (NSC), qui n'était pas explicitement visé par cette loi, pour superviser l'envoi d'aide secrète.
Le financement des USA (légal avant l'amendement Boland) envers les Contras, outre les formations militaires à la guerilla, s'élevait à plus de 100000 dollars de l’époque par an.
Le plan était coordonné par Oliver North du Conseil de sécurité nationale. La vente d’armes à l’Iran et le financement des Contras contourne non seulement la politique de l’Administration, mais aussi la législation passée par le Congrès connu comme l’amendement Boland. Les officiels de l’administration soutiennent que outre la restriction du Congrès de financer les Contras ou toute affaire, le Président (l’Administration) pouvait continuer à trouver des moyens alternatifs de financement pour les entités et gouvernements étrangers 5Arabie Saoudite). Les Contras finançaient une grande part de leurs activités par le Narco-trafique, cet élément conjugué aux exactions effectuées sur les populations civiles par les Contras avaient poussés le Congrès à majorité démocrate à interrompre l'aide financière aux Contras.
L’Arabie Saoudite contribua aussi à cette aide sans restriction aucune. Riyad ne voulait pas que l’affaire s’ébruite et ils n’avaient qu’une faible confiance dans les capacités de la CIA à garder un secret. Au printemps 1984, les Saoudiens avaient déjà proposé une aide de huit à dix millions de dollars soit près de un million de l’époque par mois. Ils précisaient que l’opération devait se faire dans le plus grand secret et constituait une affaire qui restera à jamais cachée. C’est à cette période que l’Iran avait intensifié ses menaces sur le trafic pétrolier dans le golfe persique. Le Président américain assura le roi Fahd de son soutient en cas de confrontation avec l’Iran et lui fournit une certaine quantité de missiles ‘’Stinger’’ sans les restrictions habituelles apportées à ce type de transaction.
On se souvient tous encore, du rôle de l’Arabie saoudite dans la guerre d’Afghanistan lorsqu’elle finançait et soutenait (avec les Américains et les Pakistanais) les moudjahidines (Oussama Ben Laden) contre les Soviétiques, puis plus tard, à partir de 1994, les Talibans avec qui elle partage le même corpus politico-religieux du wahhabisme…

Compte-tenu de ces faits, le Royaume d’Arabie Saoudite deviendra de fait, le 51ème Etats de Etats-Unis et sa vache laitière  qui assurerait le financement de la plupart du temps, à travers  des structures  et des  particuliers, de fondations ou d’organisations originaires de l’Arabie Saoudite, du moins de manière indirecte et discrète des mouvements Wahhabites-Salafistes subversifs jugés terroristes à travers le monde tels que : Ansar Dine- Al-Qaïda au Maghreb islamique et en Afrique - Boko Haram- Chebabs- en ASIE- Abou Sayyaf- Al-Qaïda- Émirat du Caucase- Jemaah Islamiyah- Lashkar-e-Toyiba- Mouvement islamique d'Ouzbékistan- Mouvement islamique du Turkestan oriental- Talibans au Moyen-Orient - Al-Qaïda dans la péninsule arabique- Ansar Beït al-Maqdess- Daech- Front al-Nosra…
Dans les années 1990, Riyad a été très influente dans les guerres des Balkans puis dans les troubles du Caucase. C’est d’ailleurs à partir de 1990 que Moscou interdit le wahhabisme sur son sol et expulse les imams d’origine ou sous influences saoudiennes.
En conclusion, toute cette politique expansionniste des États-Unis en collaboration avec le Royaume d’Arabie Saoudite, sa vache laitière  a souvent été marquée par des mesures visant à créer des tensions, des conflits et des guerres , afin de stimuler l’économie de guerre américaine et étendre son influence dans le monde à travers la théorie “Ordo ab Chao” (ordre à partir du chaos ou désordre constructif) qui est une expression souvent associée à la franc-maçonnerie, symbolisant l’idée que l’ordre peut émerger du chaos qui est considéré par certains comme un état initial de désordre  à partir duquel l’ordre et la structure se forment qui visent à encourager l’investissement et la consommation, par des guerres, des conflits et des tensions à travers le monde.
C’est ainsi que l’Arabie Saoudite deviendra le 51eme Etats des Etats-Unis, trahissant ainsi l’Islam et les Musulmans.

Le Pacte de Quincy de 1945 entre le roi Abdel Aziz Ibn Saoud, fondateur du royaume d'Arabie saoudite, et le Président des États-Unis Franklin Roosevelt et comment l’Arabie Saoudite est devenue de fait, la vache laitière des Etats-Unis d’Amérique qui assure ses guerres et Conflits dans le monde.
Cheikh Chérif MBALLO
Chercheur-Directeur
Du Centre Islamique de Recherche et de Documentation
(CIRED)
Les relations entre l’Arabie Saoudite et les Etats-Unis d’Amérique  se sont renforcées davantage avec  la signature du pacte du Quincy qui est le surnom donné à la rencontre du 14 février 1945 sur le croiseur USS Quincy (CA-71) entre le roi Abdel Aziz ibn Saoud, fondateur du royaume d'Arabie saoudite, et le Président des États-Unis Franklin Roosevelt, de retour de la conférence de Yalta, en Crimée, à l'insu des Britanniques qui n’étaient pas du tout au courant de la rencontre en tant que Puissance dominatrice d’alors du Royaume de l’Arabie Saoudite. Ce qui fut fait, et le Président américain proposa à Abdel Aziz  Ibn Saoud de le rencontrer, ainsi que l'empereur d'Éthiopie Hailé Sélassié Ier et le roi Farouk d'Égypte, à cette l'occasion.
Le Président Roosevelt rencontre les trois chefs d'État le même jour, alors que son croiseur mouille dans le lac Amer (en plein canal de Suez, ainsi protégé de toute attaque par un sous-marin), en Égypte.
Le Président Roosevelt et le Roi Ibn Saoud dans leurs discussions auraient abordé le sujet de l'avenir de la dynastie saoudienne et du pétrole arabe et sur un pacte, garantissant à la monarchie saoudienne une protection militaire en échange d'un accès au pétrole, et  d’obtenir l’appui du roi pour la création d’un foyer national juif en Palestine, qui serait chargé de garantir éventuellement la sécurité de ces installations pétrolières  et la protection des intérêts géostratégiques des Etats-Unis au Moyen-Orient   chose qui lui fut acceptée. Et Israël fut créé et reconnu trois  ans après, sur cette base en 1948, par les Nations-Unis, pour assurer les intérêts des Usa, des Arabes et de l’occident de manière générale. Dans cette discussion, fut également abordé la question du départ des Français et l'indépendance des deux pays la Syrie et du Liban, conformément aux accords de Sykes-Picot de 1920.
Le fameux pacte s’articule sur quatre points, ci-après:
1)- La stabilité de l’Arabie saoudite fait partie des « intérêts vitaux » des États-Unis qui assurent, en contrepartie, la protection inconditionnelle de la famille Saoud et accessoirement celle du Royaume contre toute menace extérieure éventuelle ;
2)-Par extension, la stabilité de la péninsule arabique et le leadership régional de l’Arabie saoudite font aussi partie des « intérêts vitaux » des États-Unis ;
3)-En contrepartie, le Royaume garantit l’essentiel de l’approvisionnement énergétique américain, la dynastie saoudienne n’aliénant aucune parcelle de son territoire, les compagnies concessionnaires ne seraient que locataires des terrains. Aramco bénéficie d'un monopole d'exploitation de tous les gisements pétroliers du royaume pour une durée d'au moins soixante ans ;
4)-les autres points portent sur le partenariat économique, commercial et financier saoudo-américain.
Ce pacte dont l’objectif principal  consiste à ce que les États Unis garantissent la Sécurité du Royal d'Arabie Saoudite contre du Pétrole, poussa les partenaires stratégiques à créer ensemble la compagnie nationale Saoudienne de Pétrole sous le nom de: Saudi Aramco parfois appelée Aramco (Arabian American Oil Company) qui est une compagnie pétrolière publique saoudienne, dont l’exploitation a commencé, le 29 mai 1933, quand le gouvernement saoudien, suite à l'intervention de Karl Twitchell, signe un accord de concession avec Standard Oil of California (Socal), permettant à cette dernière de faire des prospections pétrolières en Arabie saoudite.
On se souvient avant cela, au milieu des années 70, du  Front Sandiniste de Libération Nationale (FSLN), marqué par dix ans de guérilla, les opérations insurrectionnelles, la clandestinité, l’exil au Nicaragua.
Pour un petit rappel historique, l'administration Reagan fournissait une aide secrète aux Contras, (Les Contras (terme espagnol signifiant « contre-révolutionnaires »), appelés aussi « Résistance nationale », étaient des groupes armés en guerre contre le gouvernement sandiniste au Nicaragua. Le soutien des États-Unis à ces groupes a été fortement médiatisé par le scandale de l'affaire Iran-Contra), depuis novembre 1981, mais l'amendement Boland de 1982 mit fin à l'aide militaire quand on découvrit que la CIA supervisait des actes de sabotage au Nicaragua sans en informer le Congrès. L'amendement Boland, effectif à partir de décembre 1983 et jusqu'à septembre 1985, interdisait à la CIA et aux autres agences gouvernementales de fournir une aide militaire secrète.
L'administration Reagan a contourné cette disposition en faisant appel au Conseil de sécurité national (NSC), qui n'était pas explicitement visé par cette loi, pour superviser l'envoi d'aide secrète.
Le financement des USA (légal avant l'amendement Boland) envers les Contras, outre les formations militaires à la guerilla, s'élevait à plus de 100000 dollars de l’époque par an.
Le plan était coordonné par Oliver North du Conseil de sécurité nationale. La vente d’armes à l’Iran et le financement des Contras contourne non seulement la politique de l’Administration, mais aussi la législation passée par le Congrès connu comme l’amendement Boland. Les officiels de l’administration soutiennent que outre la restriction du Congrès de financer les Contras ou toute affaire, le Président (l’Administration) pouvait continuer à trouver des moyens alternatifs de financement pour les entités et gouvernements étrangers 5Arabie Saoudite). Les Contras finançaient une grande part de leurs activités par le Narco-trafique, cet élément conjugué aux exactions effectuées sur les populations civiles par les Contras avaient poussés le Congrès à majorité démocrate à interrompre l'aide financière aux Contras.
L’Arabie Saoudite contribua aussi à cette aide sans restriction aucune. Riyad ne voulait pas que l’affaire s’ébruite et ils n’avaient qu’une faible confiance dans les capacités de la CIA à garder un secret. Au printemps 1984, les Saoudiens avaient déjà proposé une aide de huit à dix millions de dollars soit près de un million de l’époque par mois. Ils précisaient que l’opération devait se faire dans le plus grand secret et constituait une affaire qui restera à jamais cachée. C’est à cette période que l’Iran avait intensifié ses menaces sur le trafic pétrolier dans le golfe persique. Le Président américain assura le roi Fahd de son soutient en cas de confrontation avec l’Iran et lui fournit une certaine quantité de missiles ‘’Stinger’’ sans les restrictions habituelles apportées à ce type de transaction.
On se souvient tous encore, du rôle de l’Arabie saoudite dans la guerre d’Afghanistan lorsqu’elle finançait et soutenait (avec les Américains et les Pakistanais) les moudjahidines (Oussama Ben Laden) contre les Soviétiques, puis plus tard, à partir de 1994, les Talibans avec qui elle partage le même corpus politico-religieux du wahhabisme…

Compte-tenu de ces faits, le Royaume d’Arabie Saoudite deviendra de fait, le 51ème Etats de Etats-Unis et sa vache laitière  qui assurerait le financement de la plupart du temps, à travers  des structures  et des  particuliers, de fondations ou d’organisations originaires de l’Arabie Saoudite, du moins de manière indirecte et discrète des mouvements Wahhabites-Salafistes subversifs jugés terroristes à travers le monde tels que : Ansar Dine- Al-Qaïda au Maghreb islamique et en Afrique - Boko Haram- Chebabs- en ASIE- Abou Sayyaf- Al-Qaïda- Émirat du Caucase- Jemaah Islamiyah- Lashkar-e-Toyiba- Mouvement islamique d'Ouzbékistan- Mouvement islamique du Turkestan oriental- Talibans au Moyen-Orient - Al-Qaïda dans la péninsule arabique- Ansar Beït al-Maqdess- Daech- Front al-Nosra…
Dans les années 1990, Riyad a été très influente dans les guerres des Balkans puis dans les troubles du Caucase. C’est d’ailleurs à partir de 1990 que Moscou interdit le wahhabisme sur son sol et expulse les imams d’origine ou sous influences saoudiennes.
En conclusion, toute cette politique expansionniste des États-Unis en collaboration avec le Royaume d’Arabie Saoudite, sa vache laitière  a souvent été marquée par des mesures visant à créer des tensions, des conflits et des guerres , afin de stimuler l’économie de guerre américaine et étendre son influence dans le monde à travers la théorie “Ordo ab Chao” (ordre à partir du chaos ou désordre constructif) qui est une expression souvent associée à la franc-maçonnerie, symbolisant l’idée que l’ordre peut émerger du chaos qui est considéré par certains comme un état initial de désordre  à partir duquel l’ordre et la structure se forment qui visent à encourager l’investissement et la consommation, par des guerres, des conflits et des tensions à travers le monde.
C’est ainsi que l’Arabie Saoudite deviendra le 51eme Etats des Etats-Unis, trahissant ainsi l’Islam et les Musulmans.

Cheikh Chérif MBALLO
Chercheur-Directeur
du Centre Islamique de Recherche et de Documentation
(CIRED)

Dakar, le jeudi, 15 août 2024

Le président iranien Massoud Pezeshkian s’est adressé à la nation lors d’une interview télévisée, samedi soir, et pour la première fois depuis son entrée en fonction à la fin du mois dernier, en tant que neuvième président de la République islamique.

S’adressant en direct à la nation, le président s’est engagé à rester fidèle à ses promesses électorales, à respecter l’honnêteté et à faire tout ce qui est en son pouvoir pour assurer la prospérité du pays. 

Pour le président de la République, satisfaire les Iraniens constitue le critère d’efficacité de son gouvernement. 

 

Trois policiers israéliens ont été tués lors d’une fusillade dans le gouvernorat d’al-Khalil, dans le sud de la Cisjordanie, dimanche matin, a rapporté le correspondant de la chaîne d’information libanaise, Al Mayadeen.

Selon le journal israélien Maariv, l’attaque a eu lieu près du point de contrôle de la ville de Tarqumiyah dimanche matin. Deux officiers ont été tués sur place et le troisième a succombé à ses blessures plus tard à l’hôpital. 

Une source de sécurité israélienne a déclaré que plusieurs hommes armés ont ouvert le feu en direction d’une voiture sur la route 35, et que les forces d’occupation sont à la poursuite des tireurs.

Selon les médias israéliens, les tireurs ont ouvert le feu sur la voiture de police depuis un véhicule qui passait par là, avant de s’enfuir à pied.

Au Sénégal, nouvelle journée de mobilisation en soutien à la Palestine au pied de la grande mosquée de Dakar à l’appel de la société civile. Parmi les participants, le Premier ministre et président de l'ex-Pastef, Ousmane Sonko. Ce qui a été largement scandé lors de cette mobilisation, c'est un appel à la fin des hostilités et plus de pression sur Israël.

Comme à chaque manifestation, les slogans et les prières pour leurs « frères palestiniens » ont rythmé les prises de parole. À la tribune, se sont relayés des représentants du culte musulman, mais aussi de la société civile.

Dans un communiqué lu par un de leurs membres, plusieurs associations appellent à changer d’approche : « Il est impératif que des actions concrètes soient prises pour mettre fin à cette tragédie. Des sanctions économiques, politiques et diplomatiques contre Israël doivent être prises. Les appels à la retenue ne suffisent plus, il faut s'investir davantage pour soutenir les frères palestiniens. »

Une vision que partage Ousmane Sonko, Écharpe floquée du drapeau palestinien autour du cou. « Il faut aujourd'hui rassembler tous ceux qui dénoncent cette injustice. Travailler à une solution politique d'isolement d'Israël. »

Le Premier ministre sénégalais, qui a expliqué être présent ici à la demande du président de la République, a aussi dénoncé l’incapacité des pays africains à s’unir en soutien à la cause palestinienne : « Si on en est là, c'est lié à nos multiples divisions. Nous sommes incapables de parler d'une seule voix. Même si on reste entre nous, nous sommes là à nous chamailler sur des détails insignifiants. »

Ils étaient des milliers à descendre dans la rue et à manifester dans le nord de Tel-Aviv en guise de protestation contre le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et son cabinet, qui font obstacle à la conclusion d’un accord d’échange de prisonniers avec le Hamas.

Dans le cadre d’une manifestation anti-Netanyahu, des milliers israéliens ont installé, ce samedi 31 août, de nombreuses tentes le long de la rue Rothschild, centre financier de Tel-Aviv. Ils ont appelé à l’accélération du processus de la conclusion d’un accord de trêve permettant l’échange de prisonniers.

Mercredi dernier, le Forum des familles des captifs israéliens a également conduit un convoi de véhicules de la place des Prisonniers de Tel-Aviv jusqu’à la frontière de la bande de Gaza, faisant écho aux mêmes demandes d’un accord d’échange urgent.

Dans un communiqué, le Forum a exprimé son inquiétude quant au sort des captifs, affirmant que « la possibilité de ramener tout le monde chez soi diminue de jour en jour ».

Le Yémen a ciblé un navire à destination de la Palestine occupée dans le golfe d’Aden en soutien aux Palestiniens de la bande de Gaza, a indiqué le porte-parole des forces armées yéménites.

Le général de brigade Yahya Saree a fait ces remarques dans un communiqué, samedi 31 août, un jour après que deux missiles ont ciblé le porte-conteneurs Groton battant pavillon libérien dans le golfe d’Aden.

« Nous avons mené une opération militaire ciblant le navire Groton dans le golfe d’Aden parce que la société qui en était propriétaire a violé la décision du Yémen d’interdire l’entrée aux ports de la Palestine occupée », a-t-il expliqué, sans manquer de préciser que l’opération avait été menée avec de nombreux missiles et drones et que la frappe avait été précise. 

Au quatrième jour de l'assaut israélien sur la Cisjordanie, la ville de Jénine est « coupée du monde » alors que les troupes du régime bloquent l'accès à l'aide pour les Palestiniens et poursuivent leurs raids meurtriers sur le territoire occupé.

Selon un reportage d'Al-Jazeera, des troupes israéliennes étaient stationnées samedi 31 août aux abords du camp de réfugiés de Jénine, bloquant l'accès à l'aide pour les Palestiniens qui s'y trouvent.

Un habitant de Jénine a déclaré à l'AFP qu'ils étaient « coupés du monde ». « L'eau est coupée. L'électricité est coupée, le système d'égouts ne fonctionne plus. Toutes les infrastructures sont détruites, nous n'avons plus aucun service qui fonctionne. »

Les forces du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) ont réussi à arrêter un membre du groupe terroriste Jaïsh al-Adl dans la province du Sistan-Baloutchistan, dans l’extrême sud-est de l’Iran.

L’arrestation a eu lieu dans le district de Pishin du comté de Rask, a indiqué le CGRI, le samedi 31 août.

Selon la même source, l’arrestation a eu lieu dans le cadre d’une opération de surveillance et après une intervention rapide des forces du quartier général Qods de la force terrestre du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) dans la province. 

Blessé par balle lors de l’opération du CGRI, le terroriste a été transféré à l’hôpital, où il reçoit des soins.

Selon le rapport, le terroriste en question avait par le passé participé à une attaque armée contre le quartier général de la force volontaire Basij et le commissariat de police de Pishin.