
تقي زاده
Pourquoi les adepts d'Ahlil Bayte(as), mettent le coran sur leur tête ?
Les chiites ouvrent le coran et le mettent sur la tête pour lire certains douas tels que certaines invocations spécifiques à la nuit du destin (laylat al qadr) rapportées dans Mafatih Al-Jinan.
Certains s’en moquent et nous attaquent sur cette pratique :
Ce qu’ils ne savent pas, c’est que cette pratique a également été rapportée dans les sources sunnites. En effet, il a été rapporté que l’imam Ali ibn Abi Taleb (as) la pratiquait quand il voulait faire des invocations à Dieu.
Le grand savant sunnite Yaqub ben Sofiane a rapporté dans son livre « Al-Ma’rifa wal Tarikh » le hadith suivant :
(…) de Abi Aoun Mohammad ben Ubaydullah Am-Thaqafi d’Abi Saleh Al-Hanafi qui dit : « J’ai vu Ali ibn Abi Taleb prendre l’un des manuscrits (du coran), le mettre sur sa tête jusqu’à ce que j’entende le bruit des pages et ensuite dire : ‘Ô Allah, ils m’ont privé de faire dans la Oummah ce que je devais faire, alors donne-moi la récompense de ce que je devais faire (…)’ «
حَدَّثَنَا عَبْدُ الْعَزِيزِ بْنُ عَبْدِ اللَّهِ الْأُوَيْسِيُّ ، ثنا إِبْرَاهِيمُ بْنُ سَعْدٍ ، عَنْ حَدَّثَنَا عَبْدُ الْعَزِيزِ بْنُ عَبْدِ اللَّهِ الْأُوَيْسِيُّ ، ثنا إِبْرَاهِيمُ بْنُ سَعْدٍ ، عَنْ شُعْبَةَ ، عَنْ أَبِي عَوْنٍ مُحَمَّدِ بْنِ عُبَيْدِ اللَّهِ الثَّقَفِيِّ ، عَنْ أَبِي صَالِحٍ الْحَنَفِيِّ ، قَالَ : رَأَيْتُ عَلِيَّ بْنَ أَبِي طَالِبٍ أَخَذَ الْمُصْحَفَ فَوَضَعَهُ عَلَى رَأْسِهِ حَتَّى لَأَرَى وَرَقَهُ يَتَقَعْقَعُ ، ثُمَّ قَالَ : » اللَّهُمَّ إِنَّهُمْ مَنَعُونِي أَنْ أَقُومَ فِي الْأُمَّةِ بِمَا فِيهِ ، فَأَعْطِنِي ثَوَابَ مَا فِيهِ » ، ثُمَّ قَالَ : » اللَّهُمَّ إِنِّي قَدْ مَلَلْتُهُمْ وَمَلُّونِي ، وَأَبْغَضْتُهُمْ وَأَبْغَضُونِي ، وَحَمَلُونِي عَلَى غَيْرِ طَبِيعَتِي وَخُلُقِي ، وَأَخْلَاقٍ لَمْ تَكُنْ تُعْرَفْ لِي ، فَأَبْدِلْنِي بِهِمْ خَيْرًا مِنْهُمْ ، وَأَبْدِلْهُمْ بِي شَرًّا مِنِّي ، اللَّهُمَّ أَمِتْ قُلُوبَهُمْ مَيْتَ الْمِلْحِ فِي الْمَاءِLe régime d’Israël interdit quiconque de filmer ses militaires
La Knesset a approuvé un projet de loi qui interdit de filmer les militaires israéliens opérant en Cisjordanie.
Dans le but d’éviter tout interrogatoire des militaires israéliens commettant toutes sortes de crimes à l’encontre des Palestiniens, le Parlement israélien, la Knesset, vient d’approuver un projet de loi visant à interdire de filmer ses militaires opérant en Cisjordanie, a apporté la chaîne Al-Mayadeen.
La loi prévoit une peine de prison allant de trois à dix ans pour tous ceux qui filment les militaires israéliens, sous prétexte que cela perturbe les opérations.
Selon les experts interviewés par des chaînes israéliennes, la loi menace avant tout les médias et tous ceux qui veulent savoir ce qui se passe réellement sur le terrain. Accuser les caméramans de menacer la sécurité d’Israël démontre que l’armée israélienne viole non seulement toutes les lois internationales lorsqu’il s’agit des Palestiniens, mais aussi limite la liberté d’expression et des médias.
De plus, le ministre israélien de la Sécurité intérieure, Gilad Ardan, cherche à garantir l’impunité des forces de police, notamment de celles des frontières, a noté le correspondant de la chaîne Al-Mayadeen.
L'expansion de la présence turque en Syrie entraînera-elle un face-à-face avec la Russie ?
La Russie ne s’est pas encore sérieusement opposée aux actions militaires turques dans le nord de la Syrie, mais les nouveaux accords d’Ankara avec Washington sur Manjib inquiètent Moscou et Damas.
« Les États-Unis et la Turquie préparent une feuille de route commune sur la façon de résoudre la situation à Manbij », rapporte le journal Izvestia. Depuis deux ans, la ville est sous le contrôle des miliciens kurdes, considérés comme terroristes par Ankara.
Désormais, les Kurdes quittent progressivement la ville et les forces turques et américaines patrouillent dans les zones en conflit à la périphérie de Manbij.
Cette situation a suscité l’ire des autorités de Damas et de Moscou.
Les troupes turques devraient bientôt entrer dans cette ville du nord de la Syrie. Les responsables d’Ankara ont prévenu qu’ils avaient l’intention d’élaborer une feuille de route pour les autres régions syriennes que contrôlent les Kurdes, dont Kobané et Raqqa, en coordination avec l’armée américaine.
Réaction brutale de Damas
Les accords conclus entre Washington et Ankara ont été vivement critiqués par Damas, qui n’a nullement été consulté au préalable à ce sujet.
Le ministère syrien des Affaires étrangères a réitéré que le gouvernement s’opposait fermement à la présence des troupes américaines et turques à la périphérie de Manbij et que cela constituait une violation flagrante de son intégrité territoriale.
Dans de telles circonstances, la Russie n’a toujours pas réagi aux accords entre la Turquie et les États-Unis. Selon des sources d’information citant des diplomates russes, Moscou campe sur une position neutre ; une neutralité qui fait le jeu de Recep Tayyip Erdogan en vue des prochaines élections présidentielles.
Le silence de Moscou, un feu vert donné à Ankara
En outre, la situation autour de Manjib et la montée de la pression turque sur les Américains profitent indirectement à la Russie. Le retour de ces zones sous l’égide de Damas semble impossible dans la conjoncture actuelle, mais contrairement à Washington, Moscou peut au moins ouvrir un dialogue constructif avec Ankara au sujet de la Syrie.
Ainsi, bien que les autorités turques prétendent respecter l’intégrité territoriale de la Syrie, elles n’ont pas l’intention de retirer leurs troupes des zones frontalières.
Au cours des deux dernières années, la Turquie n’a fait qu’intensifier graduellement sa présence militaire en Syrie sans coordination avec Moscou. Mais elle a obtenu gain de cause grâce au mutisme de ce dernier.
Mer de Chine orientale : des lasers chinois auraient aveuglé l’US Air Force
Des pilotes de l’US Air Force survolant la mer de Chine orientale ont été la cible de plus de 20 tentatives d’aveuglement au laser au cours des 10 derniers mois, en plus d’un certain nombre d’attaques similaires en Afrique de l’Est.
Plus de 20 cas d’utilisation de lasers pour tenter d’aveugler les pilotes de l’US Air Force survolant la mer de Chine orientale ont été recensés depuis septembre 2017, a rapporté le Wall Street Journal.
Les lasers ont été utilisés pour cibler les opérations aériennes américaines dans le Pacifique, avec 20 incidents enregistrés depuis septembre de l’année dernière, selon un responsable militaire américain qui a déclaré, sous le couvert de l’anonymat, que des lasers, probablement d’origine chinoise, avaient été projetés sur des avions américains.
Le dernier cas s’est produit au cours des deux dernières semaines, a indiqué le responsable, qui a précisé qu’aucun des incidents n’avait entraîné de blessures.
Les lasers sont de faible puissance et se trouvent en vente libre. Ils pourraient avoir été utilisés par des pêcheurs chinois ou des ressortissants d’autres pays de la région. Toutefois, Washington n’écarte pas la responsabilité des autorités chinoises.
Les attaques ressemblent à des incidents survenus au début de l’année 2018 à Djibouti en Afrique de l’Est, suite auxquels des aviateurs militaires américains ont subi des blessures légères aux yeux après avoir été exposés à des lasers qui, selon l’armée américaine, provenaient d’une base militaire chinoise voisine.
L’incident de Djibouti a incité les États-Unis à protester officiellement auprès de Pékin, même si les représentants officiels n’ont pas confirmé si les lasers utilisés dans le Pacifique étaient de qualité militaire ou commerciale.
Israël n’est pas prêt à entrer dans une prochaine guerre (TV israélienne)
Les unités militaires israéliennes, dont l’armée de l’air, l’armée de terre et le corps blindé mécanisé, ne sont disposées à participer à aucune guerre, selon un rapport de l’unité de surveillance du ministère israélien de la Sécurité intérieure.
En allusion à d’autres points faibles du régime israélien, la chaîne de télévision israélienne KONE a annoncé que l’incompétence des individus qui ont des postes importants au sein des centres militaires ainsi que les sous-effectifs au sein de l’armée avaient des effets négatifs sur la disposition de ce régime à participer à une quelconque guerre.
Le Pentagone va héberger les migrants dans des bases éloignées
L’US Navy élabore des plans pour héberger des dizaines de milliers d’immigrants dans des bases éloignées des grandes villes.
Donald Trump a été confronté à des jours d’indignation contre la politique de « tolérance zéro » qui a vu des milliers d’enfants séparés de leurs parents avant de reculer et de signer un décret visant à garder les familles unies.
Le Time Magazine vient de révéler un document interne de la marine américaine qui va mettre en place de nouveaux centres de rétention aux États-Unis. Ce sont principalement des bases aériennes désaffectées qui devraient être utilisées. Il s’agit de pouvoir y détenir des dizaines de milliers de migrants supplémentaires à court terme.
Ce document est une réponse à la demande de l’administration Trump, qui a réclamé la mise à disposition de tout bâtiment pouvant être utilisé pour loger des migrants. En cas de manque de bâtiments, des tentes dites « temporaires » seront installées sur d’anciennes pistes d’atterrissage, selon Washington.
Les Britanniques sont invités à ne plus se rendre en Arabie saoudite ni aux Emirats arabes unis
Le gouvernement britannique met en garde ses ressortissants contre les attaques balistiques qui menacent l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.
Vu le risque élevé de tirs de missiles que courent l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, le gouvernement britannique a publié un communiqué dans lequel il a mis en garde ses ressortissants qui y résident ou qui désirent y voyager.
Le gazoduc sous-marin Iran-Oman est sur la bonne voie
Le ministre omanais du Pétrole a déclaré qu’en dépit des sanctions anti-iraniennes des États-Unis, son pays a l’intention de poursuivre le projet de gazoduc reliant le sultanat à l’Iran.
Le projet de gazoduc sous-marin, concernant lequel un accord a été trouvé en 2013, transfère un milliard de pieds cubes de gaz par jour à Oman, gaz qui sera probablement transformé et converti en GNL.
« Nous allons toujours de l’avant », a déclaré Mohammed al-Rumhy, avant la réunion officielle de l’OPEP vendredi.
« Formellement, nous attendons toujours le détail des sanctions. Concrètement, nous envoyons les documents d’appels d’offres aux entreprises intéressées dans le monde entier », a-t-il ajouté.
Le géant pétrolier français Total a annoncé en mai dernier qu’il mettrait un terme à sa coopération avec l’Iran, à la veille du 4 novembre, date où les sanctions américaines contre l’Iran seront entrées en vigueur. Total avait signé un accord de 2 milliards de dollars pour développer l’immense gisement gazier de Pars-Sud.
Oman a besoin de gaz pour répondre à sa demande croissante et accroître son approvisionnement à partir du Qatar à travers le pipeline Dolphin qui traverse les Émirats arabes unis.
Selon l’Agence d’information sur l’énergie aux États-Unis, la consommation dans le sultanat a plus que doublé au cours de la décennie 2006-2016.
Le pays exporte également des volumes importants de gaz à travers ses usines de GNL, mais a dû consacrer la majeure partie de la production de ces usines pour la demande intérieure.
Oman ne fait pas partie de l’OPEP, mais coopère avec le cartel.
Le ministre omanais du Pétrole a également déclaré que son pays dispose d’une capacité de production d’un million de barils de pétrole par jour et peut, si nécessaire, augmenter sa production en quelques semaines, selon l’ISNA.
Bien qu’Oman ait l’intention de poursuivre le projet de gazoduc iranien, al-Rumhy a déclaré que son pays avait besoin de plus d’informations et de plus amples détails concernant les sanctions américaines contre l’Iran.
La Jordanie pourrait attaquer l’armée syrienne à Deraa
La Jordanie a acheminé un important convoi militaire sur les frontières avec la Syrie.
À peine trois jours après la visite inopinée du Premier ministre israélien en Jordanie où il aurait évoqué avec le roi Abdallah II la capitulation avec le dossier palestinien, entre autres, les informations font état de l’envoi d’un important convoi militaire jordanien sur les frontières avec la Syrie.
En concertation avec la Syrie et la Russie, la Jordanie aurait dû remettre le contrôle du passage frontalier al-Nassib à l’État syrien, passage par où ont transité des milliers de terroristes depuis le début de la guerre.
Face aux pressions dont a fait l’objet le royaume hachémite de la part de ses alliés saoudien et israélien, la Jordanie serait-elle prête à attaquer l’armée syrienne à Deraa ? Toujours est-il que l’armée jordanienne aurait envoyé un grand convoi de chars et de militaires à la frontière syrienne de Deraa, jeudi 21 juin au soir.
La nuit où la Syrie a imposé de nouvelles règles de confrontation à Israël
Dans la nuit de mercredi 9 à jeudi 10 mai 2018, un échange de frappes sans précédent a eu lien entre Israël et la Syrie.
Les médias dominants, ainsi que certains médias « alternatifs » comme Russia Today, se sont empressés de relayer la version des faits de l’armée israélienne, selon laquelle le régime israélien aurait « riposté » à une « attaque iranienne menée par la Force Al-Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique » consistant en un tir de « vingt roquettes » contre des positions israéliennes dans le Golan occupé, dont quatre auraient été « interceptées par le Dôme de Fer » israélien et les autres se seraient « écrasées en territoire syrien », aucun dégât n’étant recensé en Israël.
Israël aurait répondu à cet « acte d’agression » inédit par une « opération de grande envergure » qui aurait détruit « l’ensemble de l’infrastructure iranienne en Syrie », afin de dissuader la République islamique de toute velléité de frappe future.
Ce récit prend pour argent comptant les postulats, données et mythes de la propagande de l’entité sioniste – qui impose aux médias israéliens une censure militaire permanente, exposant tout contrevenant à une peine de prison ; et à en lire les médias internationaux, on pourrait croire que comme les sanctions économiques américaines, cette censure est extraterritoriale –, mais aucun d’entre eux ne résiste à l’analyse.
L’agresseur est indubitablement Israël, qui a réalisé plus d’une centaine de frappes contre la Syrie depuis le début du conflit. Après la mise en scène chimique de Douma, ses agressions se sont intensifiées avec les attaques contre la base syrienne T-4 le 9 avril, qui ont notamment tué sept forces iraniennes.
Suite à l’annonce américaine de retrait de l’accord sur le nucléaire iranien, de nouvelles frappes israéliennes ont ciblé des positions syriennes mardi 8 mai dans la banlieue sud de Damas, et mercredi 9 mai à Quneitra, au sud du pays.
Incontestablement, la Syrie n’a fait que riposter à une énième agression, avec une fermeté qui a ébranlé Israël et l’a contraint à sortir du mutisme auquel il se confine habituellement.
La riposte syrienne – et non iranienne – a consisté en un tir de plus de cinquante – et non pas vingt – roquettes contre quatre bases militaires israéliennes sensibles dans le Golan occupé, qui ont causé des dégâts matériels et même des pertes humaines selon Al-Manar, le média du Hezbollah. Celles-ci n’ont pas été rapportées par la presse israélienne du fait de la censure militaire drastique interdisant de mentionner l’agression initiale d’Israël, d’évoquer un tir de plus de vingt roquettes, d’identifier leurs cibles et de parler des dommages infligés, ce afin de rassurer la population à l’intérieur et de permettre aux capitales occidentales vassales d’égrener leur refrain du sacro-saint-droit-d’Israël-à-se-défendre.
La chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen a précisément identifié les postes militaires frappés :
1- un centre militaire de reconnaissance technique et électronique ;
2- le poste de sécurité frontalière et de renseignement 9900 ;
3- un centre militaire de brouillage électronique ;
4- un centre militaire d’espionnage de réseaux sans fil et filaires ;
5- une station de transmission ;
6- un observatoire de l’unité d’armes de précision pendant les opérations au sol ;
7- un héliport de combat ;
8- le quartier général du commandement militaire régional de la brigade 810 ;
9- le centre de commandement du bataillon militaire à Hermon ;
10- le quartier général d’hiver d’une unité spéciale alpine.
Le succès des frappes israéliennes, qui, à en croire le ministre israélien des Affaires militaires Avigdor Lieberman, auraient détruit presque « l’ensemble de l’infrastructure iranienne », est largement exagéré : les responsables militaires russes, dont les radars ont suivi ce combat en temps réel, ont annoncé que plus de la moitié des 60 missiles tirés par 28 F-15 et F-16 israéliens – ainsi que des 10 missiles sol-sol – ont été interceptés. L’armée syrienne recense trois morts et deux blessés, une station radar et un entrepôt de munitions détruits et des dégâts matériels sur des unités de défense antiaérienne syriennes.
La présence même de bases militaires iraniennes et/ou d’importants contingents iraniens en Syrie est une fable : l’Iran n’y dispose que d’une présence modeste (essentiellement composée de conseillers militaires, effectivement issus du Corps des gardiens de la Révolution Islamique), contrairement au Hezbollah ou à la Russie.
Tout reportage objectif sur ces événements devrait ressembler à celui de Robert Fisk : « Les Américains ont dû être informés en amont des dernières frappes israéliennes de la nuit dernière, supposément contre les forces iraniennes en Syrie après une attaque supposée de roquettes iraniennes contre les forces israéliennes sur le Golan – et il est important d’utiliser le mot “supposé” et de ne pas prendre tout cela pour argent comptant. »
En effet, ces prétendues attaques inattendues étaient annoncées depuis des jours par l’armée israélienne, qui avait déjà mené une prétendue « frappe préventive » – bien plutôt une provocation – le 8 mai.
La « ligne rouge » que cette soi-disant présence iranienne constituerait pour Israël est démentie par le fait que Tel-Aviv n’a cessé, depuis le début du conflit, de ralentir la progression de l’armée syrienne et, sous de multiples prétextes (livraison d’armes au Hezbollah, riposte à des tirs réels ou supposés depuis le Golan, etc.), d’assister les groupes terroristes armés de toutes les manières possibles : armes, informations, frappes aériennes coordonnées avec les offensives, soins médicaux aux terroristes, etc.