
تقي زاده
FATIMATOU-ZAHRA (as), LA FILLE DU NOBLE PROPHÈTE (sawa) L'ÉTERNELLE LEÇON DE VIE
FATIMATOU-ZAHRA (as), LA FILLE DU NOBLE PROPHÈTE (sawa)(1)
L'ÉTERNELLE LEÇON DE VIE
Si Fâtimatou-Zahra (as) n’est pas l’insondable profondeur de la Création, elle apparaît en tout cas comme un des plus grands secrets d’Allah, un mystère de la manifestation divine qui, par essence, ne peut être expliqué entièrement sans perdre son caractère mystérieux (car on tomberait alors dans la sphère du profane, or Zahra (as) est justement d’essence sacrée).
Un hadith prophétique bien établi dans toutes les écoles atteste que « Fâtimatou-Zahra (as) est un ange à existence humaine », ce qui annonce une spécificité et une singularité à faire réfléchir.
« Les desseins de Dieu sont impénétrables », dicton plus vieux que Mathusalem ayant traversé des siècles et hanté l’esprit des religieux. En effet, nul ne peut cerner Allah à la manière d’un scientifique résolu dans son laboratoire à découvrir les plus infimes secrets de son sujet (‘’Allah ne ressemble à rien’’, ‘’Les yeux ne peuvent L’atteindre’’, ‘’Lui, Dieu, est Unique, Dieu l’Absolu. Il n’a jamais engendré, n’a pas été engendré non plus. Et nul n’est égal à Lui»).
Cela nous amène à méditer sur le destin fabuleux qu’est celui de Fâtimatou-Zahra (as).
Une raison secrète - qu’Allah seul cerne de science certaine - a fait de la fille du noble Prophète (sawa) l’unique femme parmi les 14 personnes « purifiées de purification totale » (Coran, sourate 33, verset 33). De cette position privilégiée, elle porte éternellement une gloire et une grandeur auxquelles nulle autre femme après elle ne pourra prétendre. Sa conception et sa naissance, tout à fait extraordinaires, lèvent un coin du voile sur ses particularités.
En effet, c’est après une retraite spirituelle du noble Prophète (sawa) fort à propos, durant laquelle le noble Messager (sawa) n’a été nourri que des produits du paradis, que Dame Khadidja portera dans ses entrailles la fille qui sera décrétée « Profusion, Abondance’’ par Allah. Fâtimatou-Zahra (as) est donc la fille de Mouhammad (sawa), dernier et plus grand Messager du Seigneur des mondes, et de Dame Khadidja dont la fortune a contribué, avec l’épée de l’Imam Ali (as), à l’assise solide de la religion agréée par Allah. Son mariage avec ‘’Zoulfakar’’, ‘’Saïf Allah’’, l’Imam Ali Ibn Abi Tôlib (as), d’abord célébré au ciel, puis sur la terre par son noble père, se révélera être la plus bénie des unions car c’est de cette union que seront issus 11 (Onze) des 12 (Douze) Imams immaculés, dont le premier est Ali (as), à qui est dévolue la gouvernance spirituelle et temporelle des croyants jusqu’à la fin des temps.
Voilà donc Fâtimatou-Zahra (as) : fille du dernier et plus grand Prophète Mouhammad (sawa) et du plus grand mécène féminin de l’Islam naissant dans des conditions d’hostilité exacerbées (nous aurions pu dire tout simplement ‘’mécène’’ puisque l’histoire n’a pas enregistré d’émule à Dame Khadidja en la matière) ! Ce n’est pas tout : d’après un ordre divin clair, elle deviendra l’épouse du meilleur porte-drapeau de l’Islam, le guerrier invincible et invaincu de la foi, qui eut l’honneur de coucher dans le lit du noble Messager afin que celui-ci puisse secrètement émigrer vers Médine et échapper à ses ennemis jurés qui étaient sans foi ni loi, cet Imam Ali (as) connu sans ambiguïté pour être la porte de la cité du savoir prophétique et dont l’annonce de la ‘’wilayat’’ aux masses croyantes a été un ordre d’Allah, ordre assorti de menace à l’attention du noble Prophète lui-même (sawa), ce qui en dénote la gravité et la solennité.
L’heureuse mère des deuxième et troisième Imams sanctifiés, Al-Hassan et Al-Hussein (as), les deux princes des jeunes du paradis, c’est encore elle, Fâtimatou-Zahra (as). Et, par ricochet, par une sorte de fil d’Ariane en permanence sauvegardé et protégé par Allah Lui-même, elle devient la bienheureuse grand-mère des neuf derniers Imams immaculés descendant d’Al-Hussein (as) par le lien doré inoxydable conçu par la science divine.
Ce qui précède met en évidence le rang spécial et la haute stature de Fâtimatou-Zahra (as). On peut aisément comprendre que le destin qui est le sien relève des prérogatives exclusives d’Allah. Tout comme Allah a choisi en toute science et en toute sagesse Ses Messagers qu’il députa à travers le temps et l’espace, Il choisit Fâtimatou-Zahra (as) pour un rayonnement qui traversera le reste du temps d’ici-bas.
L’infaillibilité est une grâce divine que le Seigneur des mondes accorde à ceux de Ses créatures choisies. C’est, par exemple, le cas, entre autres, de l’Imamat accordé au noble Prophète Ibrahim et à ses descendants qui n’ont pas commis de torts contre eux-mêmes : le saint Coran l’atteste éloquemment et, aussi, la formule de l’invocation des bénédictions divines sur Mouhammad et sa famille connue sous le nom de « salât Ibrahimiya », pratiquée au moins cinq fois quotidiennement pendant les prières par certains de nos frères d’une autre chapelle islamique, en renouvelle la véracité. Les femmes atteignent l’infaillibilité, nous le croyons. Allah, dans Sa sagesse infinie, nous en donne dans le saint Coran la preuve et l’exemple à travers Mariama (la Vierge Marie, mère heureuse divinement choisie pour porter l’enfant Nabi Issa ou Jésus, autre grande manifestation du mystère divin). Marie, la Vierge, donne miraculeusement naissance à Jésus, et Fatimatou-Zahra, dont l’essence a été tirée du paradis, est devenue la pierre angulaire des « Gens de la Maison » appelés à nous aider à nous sauver de la damnation suprême, à échapper à l’enfer éternel, au besoin par leur intercession. C’est là notre grand espoir, c’est là notre grande espérance d’hommes et de femmes pécheurs peuplant la terre...
Directeur de l’Agence « Djannatou Ahlil Bayt » et du journal « La Sakina-Achoura » (République du Mali)
3 Janvier 2021, c'est le premier anniversaire du martyre du Général Qasem Soleiman.
Le meurtre de Soleimani par les États-Unis "constituait une violation du droit international et de la charte des Nations unies, et une violation manifeste de la souveraineté de l'Irak".
L'élimination de l'ombre sinistre des terroristes Takfiri, dont le Daech(ISIS), dans la région était le point culminant du service du général Qassem Soleimani aux pays de la région et à l'humanité.
Le général Qassem Soleimani croyait en la dignité de la Oummah islamique, en l'unité du monde islamique, en la lutte contre le régime sioniste et les puissances anti-islamiques, et il était l'une des figures les plus importantes pour contrecarrer les complots maléfiques de l'Amérique pour le Moyen-Orient et l'Asie occidentale.
Le martyre de l'honorable commandant du monde islamique n'avait pas seulement affecté la nation de l'Iran islamique, mais aussi tous les opprimés et les gens de droite.
En plus il avait aussi des profonds connaissances sur la spiritualité et l'éthique de l'Islam.
Ayatullah Khamenei, le guide suprême a affirmé devant le comité pour la commémoration du «martyr» que «Soleimani concrétisait les valeurs iraniennes» comme «le courage» et «l'esprit combattant». Selon lui, «c'est ainsi qu'il est devenu le héros de la nation iranienne» toute entière.
Pour rappel, suite à cet acte terroriste de la Maison Blanche, le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique a tiré plusieurs missiles balistiques sur la base américaine de Ain al-Assad dans la province irakienne d'Al-Anbar dans la matinée du 9 janvier.
La tentation du diable : les raisons du regain d’intérêt pour Israël
LES PAYS ARABES FACE A LEUR RESPONSABILITE
La tentation du diable : les raisons du regain d’intérêt pour Israël
L’inimaginable il y a quelques années encore se déroule sous nos yeux. Sous le fallacieux prétexte de « faire la paix », des pays Arabes vivent dans la tentation de renouer leurs relations avec Israël. Le dernier en date ? Les Emirats Arabes Unis et Bahreïn. Au nom de la haine qu’ils vouent à l’Iran, plusieurs monarchies pétrolières franchissent le rubicond. Comme toujours, le schisme entre Sunnites et Chiites continue à profiter aux ennemis de l’Islam…
Après l'Egypte en 1979 et la Jordanie en 1994, les Émirats arabes unis sont le troisième pays arabe à reconnaître officiellement l'Etat d'Israël. Cette normalisation intervient alors même qu'aucune solution ne se dessine dans le conflit israélo-palestinien depuis de très longues années. Le génocidaire Benjamin Netanyahu a parlé d'une « nouvelle ère » entre Israël et les pays arabes et appelé les voisins des EAU à suivre le même chemin. Le lâchage des Palestiniens par leurs frères Arabes se poursuit alors qu’Al-Quods n’est toujours pas libéré…
Ce dernier acte dans la« normalisation » entre Israël et certains pays de la Ummah pourrait probablement ouvrir la porte à des accords de paix avec d'autres pays arabes comme on l’a vu avec Bahreïn en attendant l'Arabie saoudite. On a vu récemment que le royaume saoudien a autorisé le survol de son espace aérien à des aéronefs de l’Etat juif. Et des sources concordantes font état d’une rencontre secrète entre le prince Mohamed Ben Salmane d’Arabie saoudite et le Premier ministre Israélien. En tout cas, cette tendance modifierait profondément les équilibres géopolitiques au Proche-Orient en rompant définitivement l'isolement d'Israël dans la région et en renforçant sa position face à l'Iran. Mais surtout au grand détriment du monde musulman
Cet accord a surpris tout le monde même si l'existence de relations officieuses entre l’Etat sioniste et des pays arabes est un secret de polichinelle. Depuis les accords d'Oslo en 1993, c’est comme si on avait ouvert la boîte de Pandore alors que les droits des Palestiniens continuent à être bafoués en toute impunité. La défaite de Donald Trump et l’arrivée de Joe Biden à la Maison-Blanche pourrait-elle changer la donne ? En tout cas, le lobby juif aux Usa reste
le groupe de pression le plus influent avec celui des armes à feu. Dans les milieux judéo-chrétiens américains, on tente vaille que vaille de former une alliance entre les pays arabes sunnites et l'Etat juif pour contrer la menace iranienne. Mais il semble que ce soit une liaison à trois.Les monarchies pétrolières cherchent coûte que coûte à s’attirer les faveurs de Washington qu’elles pensent obtenir en courbant l’échine devant Israël
Obnubilés par la menace que fait peser l'Iran, économiquement affaiblie à cause des iniques sanctions qu’elle subit depuis des décennies, mais militairement très puissante, des pays arabes estiment que l'alliance avec Israël prévaut sur la question palestinienne. L'accord entre l’Etat hébreu et les Emirats d’une part, avec Bahreïn d’autre part, n'exige aucune concession de la part de l'Etat juif hormis la suspension d'un processus d'annexion de la Cisjordanie qui n'avait pas encore débuté. « Un accord a été trouvé pour mettre fin à toute annexion supplémentaire », a récemment affirmé le prince héritier, Mohammed ben Zayed Al-Nahyane sur la chaîne Al Arabiya. Sauf que le Premier ministre israélien a martelé le contraire, en affirmant qu'Israël avait « reporté », mais « pas renoncé ». « J'ai apporté la paix, je réaliserai l'annexion », a-t-il expliqué. De qui se moque-t-on ?
En réalité les causes de la reconfiguration des alliances au Proche-Orient sont plus anciennes. Cela résulte principalement de la réorientation de la politique extérieure des États-Unis sous l’administration Obama, celle dite du pivotement vers l’Asie-Pacifique. Pour se consacrer à ce projet, l’ancien Président a remis les “clés de la région” à la théocratie chiite au détriment des alliés traditionnels de l’Amérique, les pays arabes sunnites. Confrontés aux mêmes menaces existentielles que représente la puissance iranienne (via le croissant chiite du Yémen au Liban, en passant par l’Irak et la Syrie), Israël et les pays du Golfe, hormis le Qatar, se sont rapprochés pour mettre en place une coalition, basée sur des intérêts partagés et bien compris. Initialement discrète, elle est désormais officielle. Et après les Émirats, d’autres États du Golfe tels que Bahreïn ou Oman devraient annoncer à leur tour leur normalisation. Toutefois, « l’accord d’Abraham », ainsi que les juifs nomment leur alliance avec les Emirats, n’est pas un accord de paix comme ceux signés entre Israël et l'Egypte en 1979 ou avec la Jordanie en 1994, ces deux pays ayant eu de forts affrontements guerriers, mais plutôt du début de la feuille de route marquée par Washington pour normaliser les liens entre un Etat du Golfe, avec lequel Israël avait déjà des contacts en matière de renseignements et d'échange d'armes.
Depuis 2002, le consensus régnait parmi les pays arabes sur le fait que la résolution du conflit israélo-palestinien était une condition sine qua non pour une normalisation des relations avec Israël, qui occupe la Cisjordanie et Jérusalem-Est depuis 1967. Aujourd’hui, il ne fait aucun doute qu’il existe un lien étroit entre la persistance de ce conflit et l’absence de pressions américaines sur Israël à cause des relations privilégiées qui lient les deux pays. Ces relations qui remontent au début des années 1950, lorsque le gouvernement israélien abandonne sa neutralité pour prendre position aux côtés des Américains pendant la guerre de Corée, avaient connu un essor considérable après la guerre arabo-israélienne de juin 1967. A partir de 1976, Israël devient le plus important bénéficiaire de l’aide américaine à l’étranger avec plus de trois milliards de dollars par an. Mais comment expliquer ce refus des administrations américaines successives d’exercer quelque pression sérieuse sur le gouvernement israélien pour l’amener à répondre aux exigences de la paix ? L'assimilation d'Israël à l'Occident, - à tort ou à raison – et sa culture ont amené l'élite politique américaine à s'identifier à elle, contribuant par là au renforcement de l'alliance entre les deux pays. En outre, la représentation que se fait cette même élite américaine des intérêts nationaux des Etats-Unis au Proche-Orient la pousse à soutenir Israël et à utiliser sa force pour protéger les intérêts américains dans cette région et faire pression, quand cela est nécessaire, sur les Arabes. Mais, est-ce qu'Israël est susceptible, à un moment donné, de constituer un fardeau pour la politique américaine au Proche-Orient ? On ne saurait le penser car les Américains pensent avant tout à l’argent. Un argent majoritairement détenu par les juifs aux Usa.
Par Cheikh Oumar TALL
L'Iran contient la troisième vague de COVID-19 plus rapidement que prévu : Le président Rouhani
Soulignant le rôle important du Guide de la Révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, dans l'expression des directives pour la pandémie, il a ajouté que le Guide suprême a souligné la nécessité de respecter les protocoles sanitaires basés sur des considérations religieuses et juridiques.
Le chef de l'exécutif a toutefois noté que l'ensemble du pays, au lieu de quatre villes, connaît une situation appropriée en termes de propagation du coronavirus.
Il a en outre mis en garde contre une nouvelle vague de propagation du coronavirus au cours des deux prochains mois de l'hiver, exhortant les gens à respecter tous les protocoles lorsqu'ils se rendent à des réunions de famille ou utilisent des véhicules de transport public.
M. Rouhani a poursuivi en disant que le Covid-19 était également un test historique pour les pays et leurs dirigeants dans le monde entier, ajoutant que certains États accordaient une attention excessive à leurs problèmes économiques et réfutaient d'imposer des restrictions ; ainsi, en fin de compte, ils exposaient à la fois l'économie et la population à de graves problèmes.
Apocalypse : des frappes de missiles conjuguées d'Ansarallah-Gaza contre les ports israéliens en mer Rouge et en Méditerranée?
Plus personne au monde n'ose désormais traiter à la légère les mises en garde d'Ansarallah, plus personne et surtout les Israéliens! Alors que le fameux sous-marin Dauphin que l'entité sioniste s'est fait offrir sur le dos du contribuable allemand et dont elle a imprudemment annoncé le départ il y a une semaine pour le golfe Persique où il devrait contribuer aux frappes aéronavales US contre l'Iran, semble s'arrêter net à l'entrée du détroit de Bab el-Mandeb, par crainte d'avoir à essuyer l'une des centaines de mines marines qui y sont plantées, la Résistance yéménite vient de promettre une méga surprise pour l'année 2021 : déjà qu'en Syrie, cette année a plutôt mal commencé avec une spectaculaire attaque hybride contre la base US à Deir ez-Zor, il n'y a aucune raison que cette surprise, Ansarallah ne la fait pas avant Riyad à Tel-Aviv.
Année 2021 commence fort : les troupes US criblées de missiles à Deir ez-Zor
Pour une Amérique qui n'a cessé ces derniers temps de faire voler ses vieux B-52 le long des frontières syro-irakiennes, non loin de Mayadin ou encore d'Abou Kamal, soit deux villes stratégiques de Deir ez-Zor dont la population a célébré jeudi par milliers, la mémoire du grand général Soleimani, c'est symptomatique :
En 2019, drones et bombardiers US-Israël ont massacré éhontément, pas moins de 41 combattants irakiens et alliés de l'armée syrienne, au point de passage Qaëm-Abou Kamal, se targuant même d'avoir affaibli l'axe de la Résistance sur une voie de transit stratégique devant relier l'Irak à la Méditerranée via la Syrie, en 2020, les USA, totalement aux abois en Asie de l'ouest aussi bien en Irak où ils viennent de subir en une semaine une 11ème attaque contre leurs troupes, qu'au Liban où l'affaire de la double explosion du 4 août au port de Beyrouth s'est littéralement retournée contre Washington ou encore, au Yémen où les Patriot, après avoir échoué à Djeddah, viennent encore d'échouer à assurer la protection de l'aéroport d'Aden, ce cœur stratégique de l'emprise maritime US sur la Mer rouge, les USA sont une proie facile!
Qaani: la riposte à l’assassinat du général Soleimani pourrait avoir lieu en territoire américain
« La riposte à l’assassinat de Qassem Soleimani pourrait même avoir lieu à l’intérieur des États-Unis », a déclaré le commandant en chef de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique. Mercredi, le commandant en chef de la Force Qods, le général Qaani a affirmé devant les députés iraniens que Trump, pompeo, la chef de la CIA se trouvaient désormais en tête de la liste noire iranienne soit les personnes directement impliquées dans le meurtre terroriste du général Soleimani
L'Iran a identifié 48 autres ressortissants américains impliqués dans l'assassinat du 3 janvier 2020 du commandant en chef de l'axe de la Resistance dont la mémoire est célébrée ce vendredi et samedi de Gaza au Yémen en passant par la Syrie le Liban et l'Iran bien sûr. Ce vendredi le général Qaani a tenu un discours particulièrement percutant où il a mis en garde les États-Unis.
Lors d’une cérémonie, tenue ce vendredi 1er janvier au matin, à l’Université de Téhéran, pour commémorer le premier anniversaire de l’assassinat de Qassem Soleimani, le général de corps d’armée, Ismaïl Qaani a déclaré que le martyr Soleimani était le héro de la nation iranienne et de l’Ummah islamique. « Il a brisé le pouvoir de l’Arrogance », a-t-il martelé.
Les troupes US privées de leurs bases au Koweït et en Syrie
À la veille du 1er anniversaire de l'assassinat du grand général Soleimani et du commandant en chef des Hachd, un 11eme convoi militaire US a été attaqué.
Le site d’information Saberine News a rapporté dans un communiqué que « Ashab al-Kahf » (Compagnons de la grotte), l'un des groupes de la Résistance avait attaqué le convoi US laissant en fumées et en cendres des véhicules américains.
G. Soleimani : le Hezbollah se vengera des États-Unis et d'Israël
Au premier anniversaire de la mort en martyre du haut commandant de la Résistance, le général Soleimani, l’armée israélienne attend une intensification des tensions avec les combattants de la Résistance sur le front nord des territoires occupés.
«Le général Soleimani est un véritable chef de file de la lutte sur le chemin de Dieu, avant et après son martyre. Nous sommes des hommes d'action et nous prendrons notre revanche sur les États-Unis », a déclaré le président du Conseil exécutif du Mouvement de la Résistance libanaise (Hezbollah), Seyed Hashem Safi al-Din.
Après avoir écarté la Chine du projet de développement de Faw, les USA s’en prennent aux pétroliers?
Sur fond des tentatives de Washington de mettre fin aux investissements de la Chine en Irak, une mine de 30 kilogrammes attachée à la coque d'un pétrolier affilié à l’Oil Export Company (SUMO) a été découverte près du port de Faw dans la province irakienne de Bassora.
Dans l’après-midi du jeudi 31 décembre, un objet non identifié attaché à la coque d'un navire a été repéré dans les eaux internationales, à 45 km des ports irakiens de Um Qasr et de Faw, a indiqué le communiqué publié par le bureau du renseignement irakien.