تقي زاده

تقي زاده

Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié d’injustifiées les tentatives de Washington d'accuser la Russie et la Chine d’aggravation de la tension sur la péninsule coréenne.

Moscou a appelé une nouvelle fois la communauté internationale à éviter toute action qui pouvait aggraver la crise dans la péninsule coréenne, a rapporté Fars News.

Moscou qualifie d'injustifiées les tentatives des États-Unis et d'autres pays de jeter la responsabilité de la situation créée autour du programme nucléaire balistique de la Corée du Nord sur la Russie et la Chine, a déclaré lundi le ministère russe des Affaires étrangères, selon Sputnik.

«Nous appelons toutes les parties concernées à s'abstenir de toute mesure pouvant provoquer une nouvelle escalade de la tension. Nous considérons comme injustifiées les tentatives des représentants des États-Unis et de certains autres pays de rejeter la responsabilité de ce qui se passe en Corée du Nord sur la Russie et la Chine, accusant presque Moscou et Pékin de "flatter" les ambitions balistiques nucléaires de la Corée du Nord», est-il indiqué dans un communiqué du ministère russe.

En même temps, Moscou a rappelé que la Russie et la Chine avaient conjointement mis au point une «feuille de route» excluant le recours à la force ou la menace et offrant une solution complète à tous les problèmes sur la péninsule coréenne, y compris le problème nucléaire, par des moyens politiques et diplomatiques à travers l'établissement du dialogue sans conditions préalables, a ajouté cette source.

Auparavant, Niki Haley, l’ambassadrice américaine auprès des Nations Unies, avait dit que toute nouvelle résolution du Conseil de sécurité qui n’accentuaient pas les tensions internationales sur le Corée du Nord n’étaient pas valables.

Elle avait également dit que le temps pour parler de cette question avait touché à sa fin et que le règlement pacifique de cette crise signifiait pour le dirigeant de la Corée du Nord que «la communauté internationale n’a pas l'intention sérieuse de la mettre à défi».

Le ministère russe des Affaires étrangères s’est dit dans son communiqué préoccupé par les récentes évolutions régionales et a considéré le tir d’essai de missile balistique effectué vendredi dernier par la Corée du Nord comme une violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU.

En allusion au déploiement de nouvelles unités de défense balistique américaines en Corée du Sud, Moscou s’est dit inquiet de la multiplication des actions militaires des pays comme les États-Unis, la Corée du Sud et le Japon.

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères pour les pays arabes et africains s’est rendu ce mardi 1er août à Moscou pour s’entretenir avec les autorités russes des récentes évolutions régionales.

Hossein Jaberi-Ansari, vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé du département arabo-africain et négociateur en chef du processus d’Astana, a quitté Téhéran ce mardi dans la matinée à destination de la Russie pour discuter avec les autorités de ce pays.

Il participera au nouveau tour de réunion de la commission politique mixte irano-russe à laquelle participent son homologue russe Mikaël Bogdanov et représentant spécial du président russe pour le Moyen-Orient et le vice-ministre de la défense, le lieutenant Alexander Fomine.

Le diplomate iranien rencontrera également les responsables du Centre d’études de la Fédération de Russie et des personnalités politiques russes.

Le représentant du président russe Vladimir Poutine pour la Syrie, Alexandre Lavrentiev, s’était rendu le 15 juillet en Iran pour s’entretenir avec Ali Chamkhani, le secrétaire du Conseil Suprême de la sécurité nationale et Jaberi-Ansari.

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères pour les pays arabes et africains avait récemment effectué des visites en Syrie et en Irak.

Environ 331 mineurs palestiniens ont été arrêtés par le régime sioniste entre janvier et mai cette année, une augmentation de 62 % par rapport aux chiffres de 2012 à 2015, c’est ce qu’a révélé hier l’ONG Défense des Enfants International – Palestine (DCIP). 
D’après un rapport sorti par l’association de défense des droits, les forces israéliennes maltraitent régulièrement les enfants palestiniens, les privant de nourriture, leur portant des coups et les empêchant d’avoir accès à un conseil juridique.

Le directeur du Programme de Responsabilisation de DEIP, Ayed Abu Eqtaish, a déclaré : « Au cours de la décennie, le mauvais traitement des enfants palestiniens dans le système de détention militaire israélien a été généralisé et systématique. »
 
« Des mauvais traitements et des tortures persistantes et institutionnalisées des enfants palestiniens au déni systématique de leurs droits à une procédure officielle, émerge un système de contrôle très éloigné de la justice. »

Les rapports de DEIP sur les affaires jugées entre janvier et juin ont également montré que 81 % des enfants palestiniens ont été fouillés à corps en détention, deux tiers se sont vus refuser un conseil juridique avant l’interrogatoire et trois seulement ont eu la présence d’un parent pendant le procès.

Le rapport explique que l’un des plus jeunes enfants détenus était Suheib, garçon de 12 ans d’un camp de réfugiés de la région de Ramallah occupée. On a prétendu qu’il jetait des pierres quand il a été jeté à terre par des officiers israéliens, puis contraint, battu et les yeux bandés. Il a ensuite été retenu toute la nuit dans un poste de police où on l’a interrogé et privé de nourriture pendant 24 heures.
 
Dans une autre affaire, un garçon de 13 ans, connu seulement comme Anas M., a été torturé alors qu’un soldat israélien l’agrippait par le cou et tentait de l’étrangler.
 
Israël poursuit jusqu’à 700 enfants tous les ans dans les tribunaux militaires. Le mois dernier, DEIP a tenu une séance de congrès sur la situation des enfants palestiniens pendant les 50 ans d’occupation illégale, concluant que les actions d’Israël contre les mineurs vont au-delà de toute logique sécuritaire.
 
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Où sont les organisations des droits de l'homme pour défendre les droits des enfants opprimés du Yémen, de la Palestine et de la Syrie? S'est interrogé l'ayatollah Araki dans son discours à la conférence des ''Musulmans et l'affrontement de l'extrémisme et du terrorisme''.
La religion de l'islam et toutes les religions divines appellent l'humanité à l'unité. la réalisation de la paix et de la justice entraîne la mise en place de l'unité, a dit l'ayatollah Araki dans la conférence tenue dans la ville brésilienne de Sao Paolo à laquelle ont participé de nombreuses personnalités religieuses et sociales.

Nous sommes confrontés à un phénomène qui menace toutes les sociétés humaines. Ce phénomène avec une grande capacité militaire n'accorde de grâce pour aucune nation et aucune religion, a-t-il averti.

Je condamne les crimes commis au Yémen, en Irak, en Syrie et en Palestine. Où sont des organisations de défense des droits de l'homme pour défendre les enfants opprimés du Yémen, de la Palestine, de la Syrie et d'autres régions islamiques?, A-t-il insisté.

Est-ce que les Palestiniens n'ont pas le droit d'avoir des droits primitifs et réclamer leurs territoires ancestraux.  Est-ce que les enfants palestiniens n'ont pas le droit de vivre. Pourquoi les Palestiniens de Gaza qui veulent vivre en paix doivent être sous le blocus?, a-t-il interrogé.

La politique générant des discordes des Etats-Unis a de mauvaise influence dans de différentes régions du monde. Les Etats-Unis déclarent publiquement créer Daech. Les Etats-Unis soutiennent franchement les courants terroristes dans la région du Moyen-Orient, a-t-il déploré.

Les gens qui défendent la liberté et la paix doivent penser pour trouver des solutions à des dangers qui menacent l'humanité. Ces efforts doivent être suivis au niveau politique et international, a-t-il proposé.

A la fin de son discours, l'ayatollah Araki a remercié le gouvernement du Brésil pour préparer la situation pour réaliser cette conférence.
 

Face au quasi-consensus au Congrès, la Maison-Blanche a fait part dimanche de son soutien à la proposition de loi de la Chambre des représentants qui prévoit de nouvelles sanctions contre l’Iran, la Russie et la Corée du Nord.

Le texte faisait l’objet de résistance de la part de la Maison-Blanche, car il vise à lier les mains de Donald Trump pour l’empêcher, éventuellement, de lever des sanctions existantes contre Moscou. Le président américain, soupçonné de sympathies pour Vladimir Poutine, serait ainsi placé de facto sous la surveillance du Congrès.

« Nous soutenons la législation actuelle, et nous continuerons à travailler avec la Chambre et le Sénat pour imposer ces sanctions sévères contre la Russie, jusqu’à ce que la situation en Ukraine soit pleinement résolue », a déclaré la porte-parole de la Maison-Blanche, Sarah Sanders, sur la chaîne ABC.

Un accord de principe a été trouvé ce week-end au Congrès américain pour voter la semaine prochaine de nouvelles sanctions contre la Russie, l’Iran et la Corée du Nord.

Le Sénat avait adopté à la quasi-unanimité le 15 juin une proposition de loi de sanctions contre la Russie et contre l’Iran, mais le texte était depuis bloqué à la Chambre des représentants, où les négociations ont finalement abouti samedi, explique l’AFP.

Malgré l’approbation de la Maison-Blanche, Sarah Sanders a déclaré que « le texte du projet de loi n’est pas bien écrit » et Anthony Scaramucci, le nouveau directeur de la communication de la Maison-Blanche, a dit ignorer si Donald Trump signerait ou non le projet. « Je pense que sa décision ne tardera pas », a-t-il affirmé.

« S’il [Trump] met son veto, nous surmonterons son veto », a assuré le sénateur démocrate Ben Cardin sur Fox, certain que la loi serait in fineadoptée à une très large majorité.

Une fois la loi adoptée à la Chambre, le Sénat revotera, sans doute avant les vacances de la mi-août.

Avec AFP

Deux Palestiniens ont trouvé la mort samedi dans des affrontements avec les forces de l'ordre israéliennes près de Jérusalem lors des manifestations, au lendemain de violences meurtrières provoquées par les nouvelles mesures de sécurité à l'entrée de l'esplanade des Mosquées.
Depuis une semaine, les heurts sont quotidiens entre forces de sécurité israéliennes et manifestants palestiniens, qui dénoncent l'installation par Israël de détecteurs de métaux aux accès du troisième lieu saint de l'islam, dans la vieille ville de Jérusalem. Mais jusqu'à vendredi ces affrontements n'avaient fait que des blessés.

Samedi, un Palestinien de 17 ans est mort quelques heures après avoir été grièvement blessé par balle dans des heurts à El-Azariyé, en Cisjordanie occupée, juste à l'est de la ville sainte, selon le ministère palestinien de la Santé.

Non loin de là, à Abou Dis, un autre adolescent palestinien, âgé de 18 ans, est mort d'après la même source.

La veille, trois Palestiniens ont perdu la vie dans des affrontements avec les forces de sécurité à Jérusalem-Est et en Cisjordanie. Et trois Israéliens ont été tués par un Palestinien à leur domicile dans une colonie israélienne près de Ramallah en Cisjordanie occupée.

Dans un communiqué daté de Bruxelles, le Quartette (Etats-Unis, Russie, Union européenne, ONU) a dit avoir pris acte des "assurances du Premier ministre d'Israël (Benjamin Netanyahu) selon lesquelles le statu quo sur les lieux saints serait préservé et respecté".
 
Le Conseil de sécurité des Nations Unies convoquera une réunion d'urgence lundi matin pour discuter des violences à Jérusalem, ont fait savoir samedi des diplomates.
 
Cette réunion sera tenue à huis clos, selon la mission de la Chine auprès des Nations Unies, qui assume la présidence du Conseil de sécurité en juillet.

"La Suède, la France et l'Egypte demandent au Conseil de sécurité de l'ONU de discuter immédiatement des moyens de soutenir les appels à la désescalade des tensions à Jérusalem", a indiqué sur son compte Twitter Carl Skau, coordonnateur de la mission de la Suède au Conseil de sécurité.

Dans un communiqué publié samedi, les représentants du Quartet pour le Moyen-Orient, à savoir la Russie, les Etats-Unis, l'Union européenne et les Nations Unies, ont exprimé leur profonde préoccupation face à l'escalade des tensions.

"Les représentants du Quartet ont réaffirmé que la violence accentue la défiance et qu'elle est fondamentalement incompatible avec la résolution pacifique du conflit israélo-palestinien", souligne le communiqué.
Les réunions de l’OCI n’ont jamais eu de résultats et ont même été parfois au détriment des Palestiniens.
Après l’attaque de trois Palestiniens contre les occupants sionistes, le 14 juillet 2017, dans l’enceinte de la mosquée d’Al Aqsa, deux soldats sionistes ont été abattus et les trois jeunes Palestiniens sont tombés en martyrs. L’entrée de la mosquée a été fermée et la prière du vendredi interdite, puis des   détecteurs de métaux ont été installés par la police sioniste qui ont suscité la colère dans tous les territoires occupés.
 
Dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, Mohammad Ali Al-Hakim, spécialiste des questions politiques et responsable de l’Agence d’information « Al-Nakhil », a déclaré que ces portiques de sécurité avaient été installés pour tester la résistance des Palestiniens et des peuples arabes et islamiques.
 
« Ce complot ne peut être désamorcé que par la lutte armée. Si les musulmans acceptent de passer par ces portiques, ils auront assurément contribué à la réussite de ce complot sioniste. Si certains gouvernements arabes plient devant Israël, les peuples eux, ne plieront pas. La réunion de lundi de l’OCI sur cette question, n’aura aucun résultat, comme cela a toujours été le cas à cause des ingérences du régime saoudien qui est un régime mercenaire à la solde d’Israël. La nomination de Ben Salman comme prince héritier, était un complot sioniste. Les gens le savent et les nombreuses rencontres officielles qui ont eu lieu entre les Arabes et les sionistes, le montrent bien. La mosquée d’Al Aqsa est une ligne rouge que les sionistes ne doivent pas franchir et les différents groupes palestiniens doivent s’unir et savoir que la seule solution est la lutte armée. Les divisions entre les pays islamiques et les différents groupes palestiniens profitent au régime sioniste et assurent sa sécurité. Les Nations Unies n’ont fait que condamner et appeler au calme depuis 1948, et nous avons vu des pays arabes prendre des positions que même les pays occidentaux ne défendaient pas. Si le Hezbollah libanais, le Hamas et les forces de mobilisation irakiennes s’unissent, cela marquera la fin du régime sioniste. Le front de résistance depuis 1948, a offert des milliers de martyrs et les combattants irakiens ont réussi à venir à bout des groupes terroristes takfiris de Daesh qui sont les agents des sionistes dans la région. Les Arabes et les musulmans n’ont aucun problème avec les juifs, le problème est l’occupation sioniste. Il est nécessaire de faire disparaitre cette tumeur qui est apparue dans le monde de l’islam et qui est à l’origine des problèmes en Syrie et en Irak, et de l’apparition des groupes terroristes de Daesh, d’Al-Nosra et d’Al Qaeda », a-t-il dit.     
dimanche, 23 juillet 2017 01:05

Le soudan a suspendu son soutien au Hamas

Dans son rapport annuel sur la situation du terrorisme à travers le monde, le département d’État américain a qualifié le Soudan de « partenaire » puisqu'il avait suspendu son soutien direct au Hamas.

Les États-Unis se sont satisfaits du progrès du Soudan dans la lutte anti-terroriste, l’administration de Trump a annoncé le 11 juillet qu’elle se donnait trois mois supplémentaires de réflexion avant de lever ou non toutes les sanctions.

Le rapport américain prétend également que l’Iran est le soutien le plus principal au terrorisme international.

Le texte ajoute que l’Iran ne cesse de soutenir les groupes de Résistance palestiniens et le Hezbollah libanais.

Le premier rapport annuel du département d'État avait par ailleurs accusé l’Iran d’être impliqué dans l’instabilité en Irak, en Syrie et au Yémen.

Une autre partie du rapport fait allusion à de nouvelles approches du gouvernement soudanais envers le terrorisme international.

Pour rappel, le Soudan est classifié depuis 1993 par les États-Unis en tant que soutien aux groupes terroristes. Nonobstant, les relations Washington-Khartoum se sont améliorées ces dernières années.

Selon le rapport américain, la lutte anti-terroriste constitue aujourd’hui la priorité de Khartoum, jugeant Khartoum « partenaire coopératif de la Maison Blanche » dans la lutte contre le terrorisme.

Le département d’État américain a également salué la suspension des soutiens apportés par Khartoum au mouvement palestinien du Hamas.

Le porte-parole de la diplomatie iranienne vient de réagir au communiqué de la Maison-Blanche concernant la détention d’espions américains en Iran.

Bahram Qassemi affirme alors dans un premier temps : « Les déclarations de la Maison-Blanche prouvent une fois de plus leur ingérence dans les affaires intérieures de l’Iran et cela est tout simplement inacceptable. »

Qassemi ajoute : « L’appareil judiciaire, les tribunaux et les juges de la RII sont tout à fait indépendants, à l’instar de toutes les démocraties. Nos responsables de la justice agissent conformément aux lois iraniennes et dans le respect de la séparation des pouvoirs. La publication de communiqués menaçants n’influe nullement sur le travail de nos juges. »

À cet égard, Qassemi a rappelé aussi que la nation iranienne avait montré depuis 40 ans qu’elle ne pouvait être dominée et qu’elle ne céderait devant aucun acte de chantage ou pression. Il a invité aussi les autorités américaines à employer un ton plus respectueux envers la nation iranienne.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères ajoute : « Des accusations graves pèsent sur les personnes citées dans le communiqué de la Maison-Blanche. Leur dossier est suivi par la justice iranienne. Concernant Robert Levinski, comme nous l’avons répété à maintes reprises aux autorités américaines, cela fait des années que nous n’avons plus de nouvelles de lui ; c’est-à-dire depuis qu’il a quitté le sol iranien. »

Le haut responsable iranien a rappelé aussi les nombreux cas de manquements à leurs obligations relevés chez les Américains et il a alors sommé leurs responsables de libérer les Iraniens injustement détenus dans les prisons américaines, en demandant aussi par là de ne plus poursuivre de manière injustifiée des Iraniens se trouvant en dehors du territoire américain.

Qassemi a indiqué à ce sujet qu’il y a peu un Iranien est décédé à la suite d’une demande d’extradition.

Vendredi, la Maison-Blanche a tenté d’exercer de nouvelles pressions sur l’Iran en « sommant » Téhéran de rapatrier rapidement des Américains détenus sous peine de se voir infliger de « nouvelles sanctions ».

Le communiqué de Trump indiquait que Téhéran s’exposait à « de graves conséquences » si les Américains qui y sont détenus ne sont pas libérés et renvoyés en Amérique.