Les Personnes susceptibles d'être dispensées de jeûner

Dieu ne prescrit pas à Ses serviteurs ce qui dépasserait leur capacité. C'est là un principe fondamental dans toute obligation promulguée en Islam, principe qui montre la Justice, la Bonté et la Miséricorde de Dieu.

En effet, Dieu dit dans le noble Coran:

"Ouiconque d'entre vous, verra la nouvelle lune jeûnera le mois entier. Celui qui est malade ou celui qui voyage jeûnera ensuite le même nombre de jours.»(Coran: I/ 185)

Certaines catégories de personnes sont autorisées légalement à ne pas accomplir l'obligation de jeûne.

Ce sont:

1-Les personnes âgées qui ne supporteraient pas le jeûne.

2-Les assoiffés morbides, c'est-à-dire les personnes atteintes du besoin excessif de boire.

3-Une femme enceinte dont la grossesse est avancée et qui pourrait souffrir des effets du jeûne.

4-La nourrice qui manque de lait, lorsque le jeûne est susceptible de lui nuire ou de nuire à son nourrisson

Pour la première et la seconde catégories (les personnes âgées et les assoiffés morbides) I'acquittement d'une aumône expiatoire consistant en environ trois-quarts de kilogrammes d'alimentation (blé ou autres denrées alimentaires) est obligatoire.

Pour la troisième et la quatrième catégories (la femme enceinte et la nourrice), l'acquittement de cette aumône expiatoire n'est obligatoire que si la non-observance du jeûne est motivée par la crainte de nuisance pour le foetus ou le nourrisson (et non pas à la femme enceinte ou la nourrice).

En outre le jeûne ultérieur de remplacement est obligatoire pour la femme enceinte (d'une grossesse avancée) la nourrice (manquant de lait), et l'assoiffé morbide (s'il était guéri un jour de sa maladie).

L’islamophobie en France a provoqué l’extension des discriminations et des inégalités au niveau de l’enseignement, de l’emploi et de l’habitat chez les musulmans.

Selon le site PressTV, en raison de l’islamophobie grandissante dans les pays occidentaux, la communauté musulmane dans différentes villes en France est confrontée aux mauvais traitements et à l’intolérance.

Ayant pour titre « Musulmans à Marseille », le rapport d’ «Open Society Foundation », montre que les musulmans de cette ville sont confrontés à une profonde faille et aux immenses inégalités au niveau de l’éducation, de l’emploi et de l’habitation.

Le rapport ajoute à ses découvertes, quelques propositions faites aux responsables locaux et nationaux, à la communauté musulmane et aux autres groupes minoritaires, aux ONG, associations et médias.

Les bilans montrent qu’entre 30 à 40% des habitants de Marseille sont musulmans. La constitution française prive les citoyens non européens du droit de participer aux élections nationales.

Sans tenir compte un tiers de l’électorat musulman de Marseille, cette loi touche tous les deux groupes à savoir les anciens et les nouveaux émigrants dépourvus de nationalité française.

Deux personnes ont été tuées en Birmanie lors de nouvelles violences des bouddhistes contre les musulmans à Mandalay, dans le centre du pays, a annoncé une source policière jeudi.

Lors de ces violences survenues après l'attaque d'un commerce musulman, "il y a eu deux morts", a déclaré à l'AFP sous couvert de l'anonymat un responsable de la police de la deuxième ville du pays. Il n'a donné aucun détail sur l'identité des victimes ou les circonstances de leur mort.

Les émeutes ont commencé mardi soir lorsqu'une foule de centaines de bouddhistes armées notamment de pierres ont attaqué cette échoppe tenue par des musulmans et d'autres bâtiments, et également incendié une voiture.

La police a dû utiliser des balles en caoutchouc pour disperser la foule armée de pierres, de bâtons et de couteaux, selon la presse officielle.

La Birmanie a été secouée depuis 2012 par plusieurs vagues de violences des bouddhistes contre les musulmans ayant fait des milliers de morts et 140.000 déplacés, principalement des musulmans.

Les émeutes avaient commencé en Etat Rakhine, dans l'ouest du pays, les bouddhistes ont attaqué la minorité rakhine et musulmans, la minorité apatride la plus persécutée du monde.

Les violences antimusulmans avaient ensuite fait tache d'huile dans plusieurs régions du pays, avec un épisode particulièrement violent et des centaines de morts en mars 2013 dans la ville de Meiktila, à une centaine de kilomètres de Mandalay.

Les violences visant les musulmans de Birmanie, qui représentent au moins 4% de la population, avaient mis en lumière une islamophobie latente dans un pays très majoritairement bouddhiste.

Elles ont en outre été accompagnées de campagnes de moines bouddhistes radicaux appelant à boycotter les magasins musulmans ou encore réclamant des lois pour limiter les conversions et les mariages interreligieux.

L'assemblée générale du conseil d’Etat grec a rejeté l’appel à l’interdiction de la construction de mosquée à Athènes. Selon le site d’information World Bulletin, les autorisations pour la construction d’une mosquée à Athènes ont provoqué l’opposition des politiciens du parti de droite, Golden Dawn, qui a lancé une compagne contre les musulmans et le projet de la construction de leur mosquée.

Le projet de la construction de la première mosquée d’Athènes a obtenu les autorisations nécessaires il y a 8 mois, après des années d’efforts menés par les musulmans et les travaux de construction vont bien commencer.

On s’attend à ce que cette mosquée se construise à Votanikos au centre d’Athènes, six mois après le lancement des opérations de construction.

Athènes avaient de nombreuses mosquées sous l’empire ottoman mais après l’indépendance de la Grèce et notamment après l’émigration des chrétiens turcs vers la Grèce, et des musulmans vers la Turquie, les mosquées de la ville ont été fermées ou retransformées.

Des efforts ont été menés par les musulmans au cours de ces dernières années pour construire des mosquées dans Athènes mais ces efforts n’ont jamais abouti. Athènes est la seule capitale européenne dépourvue de mosquée.

Pour faire face à la menace que représente le groupe terroriste takfiri, Daesh, le gouvernement jordanien a décidé de déployer 3.000 militaires, sur ses frontières avec la Syrie et l’Irak. Prochainement, le gouvernement jordanien entraînera, au moins, 3.000 gardes-frontières et les équipera d’armes sophistiquées, avant de les déployer, sur ses frontières avec la Syrie et l’Irak, pour empêcher l’infiltration des terroristes de Daesh, sur son sol, a écrit, le quotidien américain, "World tribune", citant les responsables jordaniens. "L’armée et les forces de sécurité renforceront leur surveillance des frontières de ce pays avec l’Irak", a annoncé Hussein Hazzaal-Mdjali, ministre jordanien de l’Intérieur. Et ce, alors que les autorités jordaniennes ont, récemment, révélé que les agents de l’Agence Centrale du renseignement, (CIA), ont entraîné, en 2012, sur une base secrète, en Jordanie, les terroristes de Daesh.

L’armée israélienne a déployé le système de défense aérienne, «Dôme de fer», aux alentours de Qods, dans le Sud de la localité de Mazyaïn, dans le Nord-Ouest de Qods, a-t-on appris de la chaîne de télévision Al-Mayadine. C’est la première fois qu’une batterie anti-missile est active, aux alentours de cette ville, selon cette chaîne. La chambre opérationnelle de ce système est située, sur une base, à proximité de la bande de Gaza. Par ailleurs, les bataillons d’Ezzeddine Qassam ont annoncé qu’ils ne resteraient jamais silencieux, face aux agissements des militaires sionistes, en Cisjordanie. "Israël pourra, toujours, déclencher l’attaque, mais ce ne sera pas lui qui décidera d’y mettre fin", ont ajouté les bataillons d’Ezzeddine Qassam. Ces bataillons ont promis de riposter aux agressions du régime sioniste contre les Palestiniens.

"Pour ce qui est du nombre de ses centrifugeuses, l’Iran n’acceptera aucune restriction, lors des négociations, à Vienne", a affirmé le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, adjoint aux affaires juridiques et internationales et membre de l’équipe négociatrice iranienne.

"Tous les chiffres donnés, en ce qui concerne le nombre de centrifugeuses, relèvent de l’imagination débridée de certains médias étrangers et personnes qui sont animés d’intentions bien particulières", a déclaré, jeudi, dans la soirée, Abbas Araqtchi, à l’issue de sa rencontre, à Vienne, avec la délégation russe, en précisant que la teneur des négociations sera déterminée, seulement, à la table. Jeudi, citant les sources occidentales, Reuters avait annoncé que, lors de ce tour des négociations, l’Iran diminuerait le nombre de ses centrifugeuses. Dans le même temps, la porte-parole de Catherine Ashton a fait part de la rencontre de ce vendredi matin entre Araqtchi et Schmidt. Les négociations entre les délégations iraniennes et les 5+1 ont commencé, jeudi matin, à Vienne, présidées par le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad-Jawad Zarif, et la Cheffe de la diplomatie de l’UE, Catherine Ashton. Ces négociations ont duré 2 heures, à la suite desquelles une réunion a eu lieu entre les vice-ministres iranien et américain des Affaires étrangères, à l’hôtel où sont logées les délégations négociatrices.

Les activistes des droits de l’Homme, en Irak, ont annoncé l’exécution de 480 Chiites, dans la prison de Badoush, à Ninive. Selon l’agence Fars, citant Sawt Al-Irak, le centre des droits de l’Homme, à Bassora, a annoncé que les terroristes takfiris de l’Etat islamique, en Irak et au Levant, (Daesh), ont exécuté 480 prisonniers, originaires de Bassora, dans la prison de Badoush, à Ninive, parce qu’ils étaient de confession chiite. Le Centre des droits de l’Homme, à Bassora, qui qualifie cette démarche, de massacre, a appelé la Communauté mondiale à réagir. Par ailleurs, la police de Salaheddin a fait part d’une opération militaire menée par les forces de l’armée irakienne, à 60 km de Tikrit, au cours de laquelle 6 éléments de Daesh ont été tués, et 18 autres, arrêtés. Dans le même temps, le Pentagone a confirmé, mardi, l’envoi d’hélicoptères "Apache", en Irak. Ils doivent être déployés, à Bagdad, à en croire le Pentagone, qui n’a pas donné davantage de détails.

Le congrès américain vient d'adopter une loi qui lui permet de sanctionner  n'importe quelle banque ou institution en transaction financière avec le Hezbollah. selon Al Safir qui rapporte cette information, un certain nombre de représentants démocrates et républicains, forts du soutien de l'AIPAC , ont fait voter cette nouvelle loi qui autorise ' toute démarche diplomatique, et législative et exécutive " pour " lutter contre les activités du Hezbollah " et afin de couper son financement . Le Trésor US est donc en charge d'identifier les banques centrales qui violerait cette loi et qui soutiendrait le WHezbollah avant de leur imposer des sanctions. cette loi qui devra être votée par le sénat prévoit une période de 45 jours pour présenter son premier rapport à la commission parlementaire , rapport renouvellable tous les six mois. la loi laisse toutefois un echapatoire aux banques qui violeraient l'oukase. 90 jours avant la présentation du rapport en question au congrès, la banque centrale fautive devra cesser toute coopération au Hezbollah ou alors son gouvernement devra donner des garanties en ce sens . selon les analystes politiques , il s'agit d'un casis belli financier que les Etats Unis lancent au mouvement de la Résistance alors que le front irakien s'est embrasé et que les sources font état d'une intensification de la guerre dans les semaines à venir contre la Syrie.

L’Organisation pour la Justice et le Développement des droits de l’homme a fait état d’un plan terroriste de l’EIIL visant à assassiner les grandes personnalités chiites dont l’ayatollah Sistani, Sayed Hassan Nasrallah et Moqtada Sadr.

Selon le quotidien égyptien Addostour, cette organisation des droits de l’homme a rédigé un rapport sur les efforts communs menés par l’EIIL et les salafistes libanais, soulignant que les terroristes de l’EIIL cherchaient à assassiner les grandes personnalités en Irak, au Liban, en Syrie et en Iran.

Le bureau de consultation de cette organisation, dirigé par Zeydan al Qanaï a fait état d’un plan des groupes salafistes et de l’EIIL visant à assassiner Nouri al Maleki, premier ministre irakien, président syrien Bachar al Assad et de plusieurs références chiites irakiennes, syriennes, libanaises et iraniennes, ajoutant que les noms de l’ayatollah Sistani et de Moqtada Sadr figuraient sur la liste de ces groupes.

Selon ce rapport, ce plan a pour but de déclencher une vaste guerre confessionnelle entre chiites et sunnites et servir les plans de l’EIIL en ce qui concerne la formation d’un Etat islamique sunnite dans une région contrôlée par les Etats-Unis et l’Arabie.

Tallal al Zobi, député de la Coalition Motahedoun a fait état de la formation d’une nouvelle coalition, Coalition Nationale, par les coalitions sunnites comme Motahedoun, al Arabia, Diali Howeitana, al Wafa lil Anbar et les députés indépendants.

Al Zobi a annoncé la formation de cette coalition lors d’une conférence de presse chez Ossama al Najifi, chef de la Coalition Motahedoun, après une rencontre entre Salih al Matlak, chef de la coalition Al Arabia, al Najifi et Salim al Jabouri, chef de Diali Howeitana.

Il a ajouté : « Cette coalition est ouverte sur toutes les forces et personnalités. »

Ce alors que l’ayatollah Sistani avait appelé les chefs politiques à choisir le nouveau premier ministre avant la réunion du parlement.