تقي زاده

تقي زاده

Le géant pétrolier saoudien Aramco et les aéroports d’Abha et de Jizan ont été pris pour cible par les combattants yéménites.

Le porte-parole des Forces armées yéménites, le général de brigade Yahya Saree, a déclaré, mercredi 29 janvier, dans un communiqué, que l’unité de missile et de drone du Yémen avait pris pour cible la compagnie pétrolière d’Aramco, à Jizan, les aéroports d’Abha et de Jizan, ainsi que la base militaire de Khamis Mushait et d’autres endroits délicats au cœur du sol saoudien.

« Cette campagne aérienne a été lancée en réaction à la récente intensification par l’Arabie saoudite de ses frappes aériennes visant le Yémen », a précisé Yahya Saree.

Il a ensuite annoncé que l’armée yéménite et les Comités populaires, liés à Ansarallah, avaient réussi à neutraliser un méga-plan hostile qui visait Sanaa. « Lors d’une contre-attaque réussie, les combattants yéménites ont repoussé les mercenaires à la solde de la coalition saoudienne de toutes les régions de Nehm et leur ont imposé d’importants dégâts », a précisé le général de brigade Yahya Saree.

Et d’ajouter : « Nos forces ont continué de faire des percées vers l’ouest de la ville de Maarib et elles ont même libéré plusieurs villes dans les provinces de Maarib et d’al-Jawf. Au total, 2 500 kilomètres carrés ont été libérés lors de cette opération de grande envergure ».

Yahya Saree a réaffirmé que des milliers de mercenaires de l’ennemi avaient été tués, blessés ou capturés et que 17 brigades et 20 bataillons de la coalition d’agression saoudienne avaient été démantelés.

« Deux brigades ont été démantelées à Sirwah et trois autres à al-Jawf d’autant plus que les combattants yéménites ont permis, selon un ordre de leur commandement, à des centaines de forces de l’ennemi de prendre la fuite », a-t-il expliqué.

En réaction au soi-disant « plan de paix » des États-Unis, annoncé mardi soir par Donald Trump, le général de brigade Yahya Saree a fait part de la parfaite solidarité de la nation yéménite avec les Palestiniens face à ce « complot américano-israélien ».

Suite à cette annonce, la compagnie nationale saoudienne d’hydrocarbures d’Aramco a refusé de commenter le rapport.

La Résistance a aussitôt réagi aux tout récents commentaires du président américain Donald Trump qu’il a prononcés lors d’une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, à la Maison-Blanche.
Dans la foulée, Sami Abou Zohri, porte-parole du Hamas, a qualifié d’« hostiles », les propos de Donald Trump sur son soi-disant « plan de paix ». Sami Abou Zohri a ajouté que les propositions de Donald Trump sur Qods n’étaient que des « conneries ».
 
Interviewé par Reuters, le porte-parole du Hamas a déclaré : « Les déclarations de Trump étaient hostiles et provoqueront une bonne vague de colères ».
 
Et d’ajouter : « Ce qu’a dit Trump sur Qods ; ça relevait de bêtises (conneries) et Qods sera à jamais la terre des Palestiniens. Les Palestiniens combattront ce plan et Qods restera pour toujours un territoire palestinien ».
 
Le Secrétariat permanent de la Conférence internationale du Parlement islamique d’Iran sur le soutien à l’Intifada palestinienne a condamné le prétendu «accord du siècle» des États-Unis comme une tentative de formaliser l’occupation de la Palestine.
 
Dans un communiqué publié mardi, il a déclaré qu’en dévoilant le «Deal du siècle», le président «raciste et terroriste» des États-Unis cherche à officialiser l’occupation de la Palestine.
 
Le communiqué souligne que la seule solution légitime à la crise actuelle est celle proposée par la République islamique d'Iran, qui exige un référendum permettant à tous les Palestiniens de décider de leur avenir..
 
Le Hezbollah libanais a annoncé qu’aucun complot et aucune trahison ne peut fouler aux pieds les droits des Palestiniens dans leur pays.

Dans un communiqué, le Hezbollah a dénoncé le « deal de la honte » annoncé par l’administration Trump, ajoutant qu’elle chercher à éliminer les droits légitimes des Palestiniens.
 
De son côté, Mahfoudh Monavvar, un commandant du Jihad islamique de la Palestine, a appelé les Palestiniens à recourir à une stratégie nationale pour neutraliser le Deal du Siècle.
 
« Concernant toute question qui concerne la nation palestinienne, les États-Unis ne pourront pas être une partie impartiale », a-t-il souligné.
 
Dans une interview exclusive avec la chaîne de télévision yéménite al-Masirah, Mahfoudh Monavvar a déclaré que Donald Trump entendait sauver la face à l’aide du Deal du siècle qu’il avait dévoilé dans le cadre de ses visées électorales.
 
Quant à la Russie, le ministère des Affaires étrangères a déclaré que la position des Palestiniens et des pays arabes vis-à-vis du Deal du siècle ou le soi-disant « plan de paix » des États-Unis était plus important que la position de Moscou, mais celui-ci allait pourtant examiner le dossier.
 
La diplomatie russe a souligné qu’il ne revenait pas aux Américains de décider des solutions au Moyen-Orient.
 
Lors d’une conférence de presse conjointe ce mardi 28 janvier à la Maison-Blanche avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, le président américain Donald Trump a expliqué les détails de son soi-disant « plan de paix » connu sous le nom de Deal du siècle.
 
Donald Trump a prétendu que la publication du Deal du siècle constituait un « pas en avant dans le sens de la paix pour Israël » et « contre l’extrémisme ».
 
En allusion à sa visite dans la région, Trump a déclaré avoir été « navré » de découvrir les mauvaises conditions de vie des Palestiniens.
 
Le président des États-Unis a ajouté qu’aucun plan proposé jusqu’ici pour résoudre le conflit arabo-israélien n’avait eu autant de détails que le Deal du siècle.
 
Par la suite, Trump a ajouté que la ville de Qods resterait la « capitale indivisible » du régime israélien.
 
Avec son plan pour la Palestine, le président des Etats-Unis montre qu'il décide pour le monde sans avoir consulté aucun pays.
Attendu depuis plusieurs années et concocté par Jared Kushner, gendre et conseiller du président Trump, le plan du président américain doit être présenté ce mardi à Washington, en présence du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Il est déjà largement rejeté par l'Autorité palestinienne et par le Hamas.

Après plusieurs reports, le plan de paix américain pour le Proche-Orient, baptisé le "très grand plan" par Donald Trump, sera dévoilé mardi 28 janvier à partir de 12 h 00 (18 h 00 à Paris) par le président des États-Unis aux côtés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, mais en l'absence d'un représentant palestinien. Ce plan, salué comme "historique" par Israël, n'a que peu de chances d'aboutir tant il est rejeté d'avance, avec force, par les Palestiniens.
 
L'armée américaine rest très silencieuse après avoire perdu un avion sophistiqué en Afghanistan. Les talibans prétendent avoir abattu l'avion militaire.
Un bombardier E-11A de l’Armée de l’Air américaine, a été abattu par les talibans lors d’une opération de renseignement dans la province de Ghazni, dans l’est de l’Afghanistan. Selon les rapports, tous les militaires à bord qui étaient « membres de la CIA » ont été tués.

Quelques heures après l’incident, un porte-parole des talibans a publié une déclaration sur Twitter revendiquant une nouvelle attaque cette fois ci-contre l’hélicoptère de l’armée afghane aux environs de Sharana, capitale de la province afghane de Paktika.

« Ce soir, après l’incident de Ghazni, un hélicoptère militaire ennemi a été abattu près de Sharana, la capitale de la province de Paktika, il a été complètement détruit. Tous les occupants de l’appareil sont morts », a-t-il indiqué.

L’hélicoptère du renseignement de la CIA et l’hélicoptère de l’armée afghane ont été abattus par les talibans alors que l’écrasement en série des hélicoptères américains et afghans se poursuit depuis plusieurs mois.

En mai 2019, un hélicoptère américain s’est écrasé dans la province de Helmand, suivi d’un accident d’hélicoptère de l’armée afghane dans la région d’Hairatan de la province de Balkh. Un autre accident d’hélicoptère dans le district de Sayedabad de la province de Wardak s’est également produit. Près de l’aéroport de Kandahar, trois hélicoptères de l’armée se sont aussi écrasés en une journée et il y a trois jours, un autre hélicoptère de l’armée est tombé dans la ville de Kajaki, dans la province de Helmand.

Les crashs en série des hélicoptères américains et afghans surviennent alors que l’ancien conseiller afghan pour la sécurité nationale, Rahmatullah Nabil, a averti à la mi-janvier dans une déclaration que les talibans étaient équipés d’un système de défense antiaérienne à savoir : les roquettes à l’épaule.

« Compte tenu des récentes évolutions dans la région, je pense qu’il ne serait pas surprenant, si l’accord de paix entre les talibans et les États-Unis n’est pas finalisé d’ici le printemps ou l’été, de voir les talibans être équipés d’un système de défense aérienne portable qui changera la donne en leur faveur », avait déclaré M. Nabil.

Il est à noter qu’après l’invasion de l’Afghanistan par l’Armée rouge soviétique, les Russes avaient une supériorité majeure sur les combattants afghans (Moudjahidines) en raison de leur capacité de combat aérien, mais qu’après un certain temps, une fois les Afghans équipés de missiles antiaériens et de lance-épaules, la donne a changé et le cours de la guerre a été modifié en faveur de ces derniers qui ont réussi à renverser 270 hélicoptères et aéronefs de l’ex-Union soviétique.

Les B-52 de l'US Air Force que les Américains disent avoir mobilisés pour frapper les "infrastructures iraniennes" ont-ils déjà fait faire pschitt à l'image de l'USS Abrams Lincoln qui a pris la fuite cette semaine au bout de 10 mois de "mission" dans le golfe Persique et sans jamais oser franchir les contours de la mer d'Oman ? 

Le site Al-Masdar News qui avait fait état du déploiement de six de ces appareils à Diego Garcia en Océan Indien fait état de l’atterrissage urgent de l'un de ces bombardiers nucléaires en Espagne.
Selon le site, le déploiement des bombardiers B-52 à destination de la base aérienne de Diego Garcia, s'est soldé par un incident dangereux : Pour des raisons inconnues, l'un des avions a effectué un atterrissage d'urgence sur une base aérienne en Espagne et ce alors qu'il pourrait y avoir des armes nucléaires à bord de l'avion.
"La panne et l' atterrissage d'urgence indiquent  que les B52 ne sont pas réellement du tout prêts à mener des opérations militaires", poursuit le site. 

Dimanche après-midi, les sources irakiennes ont fait état de tirs de roquettes contre la zone verte de la capitale irakienne, Bagdad. La chaîne BBC évoque ce lundi matin que l'ambassade US n'y a pas échappé.

À en croire la BBC, quatre roquettes ont été tirées, dimanche 26 janvier, en direction de l'ambassade américaine dont une aurait explosé non loin d'un restaurant, faisant des blessés. Le tir de roquettes n'a pas été revendiqué mais la Résistance irakienne a à plusieurs reprises affirmé que son face-à-face avec les Américains est désormais ouvert et qu'elle n'a rien à cacher.

 

Plusieurs personnes ont été blessés selon la chaîne irakienne Al-Sumaria qui se référait à des sources au sein des forces de l'ordre. Al-Arabiya indique pourtant qu'un haut responsable du département de la Défense US s'est refusé à rendre public le bilan de blessées mais il a affirmé qu'il n'y a pas eu de mort.

En cas de guerre USA/Iran que compte faire la Russie? Al-Monitor se pose la question et tente d'y apporter la réponse sur la base des donnés existantes. « La Russie semble être sur le point de revoir sa copie en termes de la vente d'armements à l'Iran surtout que l'embargo anti-Iran touche à sa fin. »

« Jusqu'ici les responsables russes se montraient bien réticents à ouvrir leur arsenal militaire et surtout balistique à l'Iran ; mais depuis que ce pays a engagé un bras de fer militaire contre les États-Unis et est entré en conflit direct avec les Américains à coup de missiles extraordinairement précis,  la Russie semble avoir changé son fusil d'épaule. Que ce soit au Yémen avec les missiles d'Ansarallah ou au Liban avec ceux du Hezbollah, les innovations et les optimisations apportées par les techniciens iraniens  ou pro-iraniens aux missiles soviétiques sont une chose qui n'échappe guère à la Russie. D’où ce virage pro-Iran en Russie. Depuis l'escalade des tensions USA/Iran dans la foulée de l'assassinat à Bagdad du général de corps d'armé Qassem Soleimani, le cercle des décideurs en Russie semble être convaincu que la vente d'armes à l'Iran profite non seulement à ce dernier, mais aussi à la Russie. Vladimir Volfovitch Jirinovski dirigeant des libéraux-démocrates russes a affirmé début janvier que la Russie a besoin d'ajuster « ses coopérations militaires avec l'Iran » et « de lui vendre des armements modernes » : « les batteries de missiles S-400 et S-500 pourront barricader le ciel iranien contre n'importe quelle menace et c'est cela que la Russie devra faire ».

Le 23 janvier, le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé qu’il dévoilerait très bientôt son plan de paix pour mettre fin au conflit israélo-palestinien (Deal du siècle). En outre, il a invité le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et son rival du Parti bleu et blanc, Benny Gantz à Washington.

Benny Gantz a accepté l’invitation de Donald Trump pour discuter avec lui de l’initiative de paix de l’administration américaine.

« Je peux déjà vous dire que le plan de paix conçu par le président Trump marquera l’histoire comme un jalon important permettant à différents acteurs au Moyen-Orient d’aller enfin de l’avant avec un accord régional historique », a déclaré Gantz.

Pour Benjamin Netanyahu, le « Dead du siècle » serait une « opportunité historique » exceptionnelle : « Une opportunité de la sorte n’arrive qu’une seule fois dans l’histoire et nous ne pouvons pas la rater. J’ai bon espoir que nous sommes au seuil d'un moment historique pour Israël », a déclaré Netanyahu dans un communiqué.

En revanche, des responsables palestiniens ont averti que le plan du président américain Donald Trump qui devrait être annoncé cette semaine, déclencherait une nouvelle vague de manifestations de masse en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza. Ils ont affirmé que l’administration Trump n’avait pas informé les Palestiniens de son intention de publier le plan.

Le mouvement palestinien ''Djihad islamique'' a demandé la mobilisation générale et la préparation des Palestiniens pour défendre Al-Qods et la mosquée d'Al-Aqsa.
Le mouvement palestinien ''Djihad islamique'' a demandé la mobilisation générale et la préparation des Palestiniens pour défendre Al-Qods, la mosquée d'Al-Aqsa et contrer les complots israélo-américains.
Ce mouvement palestinien a insisté qu'Al-Qods appartient à la nation palestinienne et cette nation le défend avec son sang.

Le Djihad islamique a une autre fois exprimé son opposition au Deal du siècle. Il a annoncé son opposition à tout plan qui atteint les droits et les principes nationaux de la Palestine.

Le mouvement  palestinien a demandé que tous les groupes palestiniens s'éloigner des divergences. Il a demandé l'unité de la nation palestinien dans la situation délicate actuelle où le Trump voulait dévoiler son projet appelé le Deal du siècle.

Un million de manifestations irakiennes contre la présence d'occupants américains ont eu lieu à Bagdad à l'invitation du dirigeant irakien Sadr Muqtada al-Sadr hier vendredi 25 février 2010.

Manifestations de millions d\'Irakiens contre le régime terroriste américain

 

Manifestations de millions d\'Irakiens contre le régime terroriste américain

 

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