تقي زاده

تقي زاده

Arrivé, samedi, à la tête d’une haute délégation parlementaire, le président du parlement omanais a rencontré les hautes autorités iraniennes. Samedi soir, il s’est entretenu avec le Président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, des relations bilatérales, ainsi que des sujets régionaux et internationaux. Faisant allusion à la convergence de vue entre l’Iran et Oman, au niveau régional et international, le président de la République islamique d’Iran a déclaré que les deux pays pouvaient coopérer, ensemble, et jouer un rôle constructif et fructueux, pour le renforcement de la paix et de la sécurité, dans la région. «L’Iran et Oman peuvent déjouer les complots des ennemis, dans la région, en se tenant aux côtés l’un de l’autre», a souligné le Président Ahmadinejad, avant de préciser : «Les ennemis ne cherchent qu’à assurer leurs propres intérêts, et le statu quo, dans la région, ne profite qu’aux Sionistes et aux Arrogants». Pour sa part, le président du parlement omanais a qualifié d’historiques, les relations entre l’Iran et Oman. Il a mis en exergue la bienveillance de la République islamique d’Iran, dans ses positions envers les questions régionales et internationales, tout en faisant part de la volonté de son pays de consolider ses relations avec Téhéran. Avant cette rencontre, il avait eu un entretien avec le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali-Akbar Salehi. Au cours de cette rencontre, le chef de la diplomatie iranienne a indiqué que Téhéran était favorable au développement de ses relations avec Oman, que ce soit, aussi bien, au niveau bilatéral, qu’à l’échelle régionale et internationale. Dès son arrivée, à Téhéran, le président du parlement omanais avait rencontré son homologue iranien, Ali larijani. Les deux hommes ont convenu d’accélérer le rythme de la promotion de la coopération parlementaire entre les deux pays. «La République islamique s’intéresse à accroître ses relations avec Oman, dans tous les domaines», a dit Larijani à son homologue omanais. La République islamique d’Iran et Oman sont deux pays importants, dans la région. Leur coopération, dans les domaines économique, politique, et militaire, est un modèle réussi à suivre, pour la coopération régionale. L’Iran et Oman partagent le même point de vue, quant à la sécurité de la région du golfe Persique, et c’est dans ce même cadre, qu’ils ont organisé des manœuvres conjointes, incluant un message de paix, dans les eaux du golfe Persique.

 

dimanche, 14 avril 2013 21:43

Les traîtres de la Syrie

Monsieur le Président Bachar al-Assad;

Depuis le début des tristes évènements, qui secouent la Syrie, je n’ai eu de cesse de vous inciter à ‘’liquider’’ cette soi-disant opposition, confortablement, installée, à Paris, London, Washington, Doha, Istanbul, etc….

Je me suis même proposé volontaire, pour liquider ces traîtres, avec l’aide de plusieurs personnes.

Voici, par ailleurs, comment je présente la situation, à l’intérieur de la Syrie, ici, en Algérie :

La nouvelle donne est que les groupes terroristes, en Syrie, commencent à s’affronter entre eux. Un noeud coulant, pour le Qatar, qui ne sait plus à qui livrer ses armes. C’est ainsi que, pour le contrôle du trafic de drogue, parce que ces gens sont des djihadistes de pacotille, qui n’ont pour ambition que de s’enrichir -de vrais mercenaires payés par le Qatar-, rien ne va plus et le Qatar a le blues, surtout avec son prochain échec, à l’ONU, lui qui veut que le siège de la Syrie soit octroyé à la vermine terroriste.

C’est ainsi qu’on a appris que des éléments du Front Al-Nosra aka Al-Qaïda, mécontents que le front al-Farouk ait refusé l’allégeance à l’organisation de Ben Laden, des affrontements entre eux se préparent. Du coup, ces poulains du Qatar mettent en difficulté leur financier. Il ne sait plus à quelssaints satans se vouer.

Sur le terrain, tout va de plus en plus mal et, malgré la multiplication des attentats, rien n’y fait, l’armée syrienne étant toujours au top…

:Alep : L’armée arabe syrienne élimine le Libyen, Sami Barq Allel, ainsi que d’autres terroristes, près de l’hôpital Al-Kendi.

Damas: Découverte d’une usine de fabrication d’explosifs, dans les fermes de l’Ouest de Daria. Un stock d’une tonne de matières explosives, saisie.

Homs: L’armée arabe syrienne met en déroute des dizaines de terroristes et prend le contrôle intégral de Talet al-Nabi Mendo, près d’al-Qusair.

Damas: L’armée arabe syrienne a éliminé le terroriste Samir Edris, près de la mosquée al-Kabir à Jobar.

Damas: Un obus de mortier a été tiré par des terroristes se réclamant du groupuscule Al-Kabas. Heureusement, que des dommages matériels.

Idleb: L’armée arabe syrienne a éliminé à Hesh, un chef rebelle, dirigeant de la brigade d’al-Bara Omme, du nom de Abu al-Shishany, ainsi que la plupart de ses hommes.

Lattaquié: L’armée arabe syrienne a éliminé le Marocain, Ahmad Abed al-Nabi, qui se trouvait avec ses compères du Front Al-Nosra, dans un de leurs QG, près de Kensba.

Lattaquié: L’armée arabe syrienne a mis hors d’état de nuire le Saoudien, Ammar al-Dosary, ainsi que de nombreux terroristes, lors d’une opération d’envergure, à Khan al-Joz, dont un Soudanais.

Communiqué: L’armée arabe syrienne est en train de mettre en place une stratégie, pour contrer les terroristes du Front Al-Nosra, à l’Est du pays.

dimanche, 14 avril 2013 21:35

Syrie : les œillères françaises

Si vous voulez avoir la preuve qu’il existe un problème français,...

... en matière de politique étrangère, lisez les opinions des décideurs et des analystes de la situation actuelle, en Syrie. Ces opinions diffèrent, mais ce qui est frappant, c’est la façon dont le débat tourne autour de questions tactiques.

On échange sur le caractère fiable ou non des renseignements, sur les façons d’améliorer l’efficacité de la présence militaire, lors d’une occupation ou sur les manières d’intervenir, dans divers endroits du monde, sans s’embourber dans de longues et coûteuses opérations.

Bref, le débat se limite à déterminer comment intervenir. La question qui n’est jamais posée est : dans quel but intervenir ?

Dans quel but intervenir ?

Quel est le but exact de l’État français quand il envisage d’intervenir dans un autre pays ? Plus important encore, comment les interventions militaires de l’État contribuent-elles directement à la sécurité et la prospérité des citoyens français qui vont les financer et à ses soldats, dont les vies sont en danger ?

En ce qui concerne la Syrie, la combinaison de criminels, seigneurs de guerre, islamistes, qui finira par gouverner ce malheureux pays, importe peu. La Syrie a été gouvernée par des personnages peu recommandables, depuis plus d’un demi-siècle, et la France a réussi à bien s’en sortir, malgré cela, pendant toutes ces années.

Les intérêts stratégiques de l’État commandent-ils, soudain, au pays de s’appliquer, directement, à remodeler le paysage politique syrien ? A-t-on seulement un plan, pour y parvenir ?

Même si nous en avions un, il n’existe aucune garantie que le futur gouvernement syrien soit un allié de l’État français, étant donné la situation régionale complexe et la diversité d’opinion des principaux prétendants au pouvoir. Sans oublier le fait que la politique étrangère française passée au Moyen-Orient nous a aliéné beaucoup de personnes, dans cette région du monde.

Considérations humanitaires

Bien sûr, on peut justifier une intervention militaire pour des raisons purement humanitaires. Mais si telle était notre préoccupation principale, nous serions déjà en train de faire quelque chose pour aider le million de réfugiés syriens fuyant le conflit.

Même si l’intérêt était humanitaire, nous aurions besoin d’un plan solide et convaincant pour faire cesser la violence en Syrie. Nous aurions aussi besoin d’être sûrs que notre intervention ne ferait pas empirer le conflit. Et nous aurions enfin besoin de convaincre les Français de payer en vies humaines et en argent le sauvetage de vies syriennes. Inutile de dire que d’envoyer des armes supplémentaires, en Syrie, ne fait pas partie de ces considérations humanitaires.

Rationalisation n’est pas stratégie

La vérité c’est que l’État français n’a ni la vision, ni le leadership ni l’argent pour mener une opération militaire dans un pays aussi complexe que la Syrie. Aujourd’hui, l’armée française donne aux présidents de la République la liberté de mener des guerres par choix ou par caprice, ce qui permet aux conseillers du Prince d’imaginer de nombreuses façons d’utiliser cette puissance. Ces ambitieux trouveront toujours une justification à une intervention militaire parce qu’étant intelligents, ils savent inventer des scénarios suggérant que si nous n’intervenons pas, il se pourrait que quelque chose de malheureux arrive à quelqu’un ou quelque chose dont nous nous soucions.

C’est ce genre de raisonnement qui a fait que nous sommes en Afghanistan depuis plus de 11 ans. Le problème, c’est que cette façon de penser n’est pas une stratégie. Il est plus que temps d’avoir un débat sur la politique étrangère de l’État français.

Imam Khamenei, Guide suprême de la révolution islamique, a assisté vendredi à des cérémonies de deuil organisées en l'honneur de Hazrat Zahra(SA).

cérémonies marquant le deuil du martyre de Hazrat Fatemeh(SA) s’est tenue hier soir, au Hosseiniyeh d’Imam Khomeiny, en présence du Guide suprême de la révolution islamique.

Lors de la cette cérémonie dans laquelle ont participé de différentes couches de la société et des responsables du pays, l’hodjat-ol-islam Saddiqui a prononcé un discours et Mohammad Reza Taheri, a récité des Marsiyas.

L’orateur y a évoqué les grandes vertus de la prestigieuse dame de l’Islam, la vénérable Fatima (bénie soit-elle), les souffrances qu’a vécues, celle qui fut la fille du Prophète(PSL), l'épouse de l'Imam Ali(AS), et la mère des Imams infaillibles.

Le président du Parlement du Sultanat d'Oman et le ministre iranien des Affaires étrangères se sont entretenus samedi soir sur des questions bilatérales et régionales.

Soulignant sur l'amélioration des coopérations commerciale et économique entre l'Iran et l'Oman, le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a précisé sur l'exportation du gaz iranien vers ce pays.

Indiquant les efforts de la République islamique d'Iran, au niveau régional et international, pour faire revenir le calme en Syrie, Ali Akbar Salehi a ajouté que la situation actuelle n'est en faveur d'aucune partie et certaines ingérences étrangères dans ce pays est à l'intérêt politique du régime sioniste.

Il a continué que la crise syrienne n'a pas une solution militaire et a affirmé que l'arrêt des conflits, le dialogue entre l'Etat syrien et les opposants, se reporter aux votes publiques et non-ingérence étrangère, sont les solutions qui pourront aider la Syrie.

"La République islamique d'Iran est prête à organiser un dialogue entre l'Etat et les opposants syriens", a ajouté le ministre iranien des Affaires étrangères.

Le président du Parlement du Sultanat d'Oman, Khalid bin Hilal bin Nasser al-Mawali, a déclaré, pour sa part, que la crise syrienne devrait se résoudre par la politique et non par la violence.

L'ambassadeur de l'Iran en France, Ali Ahani, a déclaré depuis Paris que "toute attaque israélienne menée contre le sol iranien et contre ses installations nucléaires est acte dangereux et fou en raison de ses conséquences dévastatrices, car elle provoquera une recrudescence de la violence qui conduira à une troisième guerre mondiale" a rapporté l'agence d'information iranienne Mehrnews.

En réponse à une question sur la raison de l'insistance de l'Iran à posséder la technologie nucléaire, le diplomate iranien a déclaré que "le programme nucléaire iranien est pacifique et soumis aux lois de l'Agence internationale de l'énergie atomique, sans compter que ses installations sont surveillées grâce à des caméras et des régulateurs nucléaires".

L'ambassadeur iranien a déclaré que "la coopération de l'Iran avec l'AIEA tient à l'engagement de l'Iran à afficher une transparence dans son programme nucléaire, mais les pays occidentaux exercent des pressions pour faire face aux activités nucléaires de l'Iran".

Et à propos de l'enrichissement d'uranium , l'ambassadeur iranien a souligné que " la production de combustible nucléaire est très importante pour l'Iran parce que la République islamique ne veut pas dépendre des importations de combustible nucléaire sachant que ces opérations sont soumises à l'humeur politique internationale et Téhéran est déterminé à renforcer son indépendance et son autonomie dans son acheminement scientifique".

 

Le commandant adjoint des forces terrestres iraniennes le général Kiyoumarth Heydaria a annoncé les tests réussis de trois missiles ultra modernes fabriqués par l'industrie de défense nationale a rapporté l'agence d'information iranienne Farsnews.

Le général a ajouté qu'"au cours de la journée nationale de l'armée prévu jeudi prochain, l'Iran dévoilera plusieurs modèles de véhicules blindés".

Interrogé sur les missiles testés, le général n'est pas entré dans les détails et s'est contenté de dire qu'il s'agit de missiles sol-sol bien différents de "Nazeât 10" et de "Fajr".

Interrogé sur les menaces de plus en plus fréquentes des Etats Unis à l'encontre de l'Iran et surtout concernant cette fameuse formule "toutes les options sont sur la table", le haut-responsable iranien a répondu: "l'Iran a tout autant différentes options de défense nationale sur la table et elle n'hésitera pas à riposter de la manière la plus ferme à n'importe quelle attaque dirigée contre lui".

Le président de la République islamique d'Iran, Mahmoud Ahmadinejad, entamera dès dimanche prochain une visite d'amitié et de travail de 48 heures au Bénin, en vue du renforcement de la coopération bilatérale entre le Bénin et l'Iran, a-t-on appris vendredi soir de sources diplomatiques béninoises à Cotonou.

Selon cette source proche du ministère béninois des Affaires étrangères et de l'Intégration africaine, le chef de l'Etat de la République islamique d'Iran effectuera dans trois pays de l'Afrique de l'Ouest, à savoir le Bénin, le Niger et le Ghana, en sa qualité de président en exercice du mouvement des pays non alignés.

Au Bénin, Mahmoud Ahmadinejad aura un entretien tête à tête avec son homologue béninois sur les questions relatives à la coopération bilatérale, explique la source.

De même, cette séance de travail sera élargie aux autres membres de la délégation qui l'accompagne et aux autorités politiques du Bénin, en vue de définir les perspectives pour la coopération bilatérale entre les deux pays.

Par ailleurs, souligne la source, le président iranien visitera à Abomey-Calavi le projet de construction du bloc pédagogique de type R+2 de 600 places financé par le gouvernement d'Iran, avant de s'adresser à la communauté universitaire du Bénin.

La République islamique d'Iran et le Bénin ont établi leur relation diplomatique en 1983. Ainsi, les domaines prioritaires de cette coopération sont axés essentiellement sur les domaines de l'énergie, de l'agriculture, de l'éducation et de l'aide publique au développement.

Des centaines d'Égyptiens ont organisé vendredi un défilé devant une église dans le gouvernorat de Gizeh, pour condamner les récentes violences interconfessioinnelles qui ont fait au moins neuf morts, principalement des coptes, et plus d'une centaine de blessés, ont déclaré les organisateurs.

Cette marche devant l'Église de la Vierge Marie dans le faubourg d'Imbaba à Gizeh a été organisée par le Mouvement de la jeunesse du 6 avril, mouvement révolutionnaire, qui a été rejoint par des militants et partis politiques dont le Courant populaire et le parti Al-Dostour, a déclaré à Xinhua le membre du bureau politique du Mouvement du 5 avril Cherif Al-Roubi.

« Le principal objectif de ce défilé est de dénoncer les violences interconfessionnelles récentes et de souligner l'importance nationale entre les musulmans et les coptes du pays », a poursuivi M. Roubi.

« Ce défilé rejette la classification des Égyptiens entre musulmans et coptes », a-t-il souligné, « nous refusons de désigner les chrétiens comme une minorité, car les musulmans et les chrétiens ont posé ensemble les fondations de l'Égypte ».

Par ailleurs, une autre marche a également eu lieu, en partant de la mosquée musulmane d'Omar Makram en direction de l'église copte de Qasr al-Dobara près de la place Tahrir dans le centre du Caire, pour exprimer son soutien à l'unité nationale entre tous les Égyptiens quelle que soit leur religion.

Mahmoud Rozza, l'un des participants, a déclaré avoir rejoint ce défilé pour dénoncer les violences récentes comme « une manoeuvre politique », soulignant qu'il n'acceptait en aucun cas la discrimination entre musulmans et chrétiens.

Des affrontements interconfessionnelles ont éclaté tôt samedi dernier après une bagarre dans le gouvernorat de Qalyubiya dans le nord du pays, avant de s'étendre au Caire, faisant au moins neuf morts.

Ces violences récentes ont ravivé les craintes d'un retour de conflits sectaires qui pourraient menacer une unité nationale nécessaire pour assurer la transition démocratique et économique du pays.

Les Imams (AS) sont les versets à interpréter grâce au verset fixe et solide que représente Hazrate Fatemeh (AS).

L’Hodjat-ol-islam Mahdi Rostamnejad, professeur au centre Djame’at-ol-Mostafa (AS), dans un entretien avec l’agence internationale de presse coranique, a fait allusion aux noms qu’avaient donnés les saints Imams (AS) à Hazrate Zahra (AS) qu’ils avaient qualifiée de « preuve des preuves » c'est-à-dire de « preuve pour eux-mêmes ».

« Il est possible d’interpréter de différentes manières ces expressions, dont l’explication principale est que le Coran possède des versets absolus et des versets sujets à interprétation. Quand on parle du « Coran parlant » cela fait allusion aux saints Imams (AS) qui sont « la version parlante du Coran », cette version du Coran possède aussi des versets définitifs et des versets sujets à interprétation. Les Imams (AS) sont les versets à interpréter grâce au verset fixe et solide que représente Hazrate Fatemeh (AS).

Le verset 7 de la sourate « Ale Imran » parle de « la mère du livre », c'est-à-dire de la racine du livre, qui permet d’expliquer et d’interpréter les autres versets. Certains peuvent exploiter les doutes qui existent sur le sens de certains versets, il est donc nécessaire de se rapporter aux versets catégoriques et formels, et c’est une technique qui domine dans le Coran, et qui est aussi vraie au sujet des Ahl-ul-bayt (AS) qui sont le « Coran parlant ».

Par exemple nous voyons que l’Imam Reza (AS) a accepté la succession de Ma’moun, que l’Imam Hassan (AS) a signé un traité de paix avec Mo’avieh, que l’Imam Ali (AS) est resté silencieux pendant 25 ans, et que le prophète (AS) et les saints Imams (AS) ont parfois eu des comportements difficiles à expliquer. Pour expliquer ces comportements nous devons nous référer aux enseignements d’Hazrate Zahra (AS), qui avait été aussi appelée « la mère de son père ». Pour expliquer les raison du mariage du prophète (AS) avec certaines familles, la paix du prophète avec les mécréants de la Mecque, par exemple, nous devons nous référer à Hazrate Fatemeh (AS) qui dans ses discours et son testament, a donné les éléments et les réponses nécessaires. La question de Fadak aussi, a été l’occasion pour Hazrate Fatemeh (AS) d’éclaircir des phénomènes et des comportements apparemment antagonistes.

Le fait que Fatemeh Zahra (AS) ait été appelé « Kossar » dans le Coran, c'est-à-dire « une source pure » d’où sont issus les membres de la demeure prophétique (AS) et les bienfaits accordés aux gens de bien qui eurent une influence dans l’Histoire.

L’interprétation du mot « Kossar » par «source du paradis» et Hazrate Zahra (AS) sont les deux aspects d’une même vérité. Tous les gens qui suivent aujourd’hui la wilayat, le jour du jugement, boiront à la source paradisiaque de «Kossar» qui est le symbole de la Wilayat et est en relation directe avec Hazrate Fatemeh (AS) qui est « le critère » et « la référence » dans l’interprétation des enseignements et des comportements des saints Imams (As) », a-t-il dit.