تقي زاده

تقي زاده

À 48 heures de son départ, le président sortant des États-Unis Donald Trump a signé, lundi soir, un décret visant à limiter l'utilisation de drones fabriqués par la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord qu’il considère comme « les pays rivaux des États-Unis ». 

Les agences américaines sont chargées d'enquêter sur les menaces posées par ces engins et, en fonction de leurs résultats, devront prendre des décisions.
La Maison-Blanche reconnaît, dans un communiqué, que l’utilisation des engins produits par « nos rivaux » menace la sécurité nationale et l’économie des États-Unis.
Mais pourquoi cette interdiction ? 

Qui a fait exploser une centrale atomique en Turquie? le jour où Biden prête serment, une centrale atomqiue vient d'exploser en Turquie au milieu du black-out total des médias. Un certain nombre de bâtiments résidentiels ont été endommagés lors d'une explosion survenue dans une centrale nucléaire en construction en Turquie. 

Le bureau du gouverneur de la province méridionale de Mersin a déclaré tard le 19 janvier qu'une «explosion contrôlée» avait eu lieu sur le site en construction de la centrale nucléaire d'Akkuyu, qui avait endommagé les maisons résidentielles voisines.

Le bureau du gouverneur a déclaré qu'une commission avait été créée pour «déterminer les dommages» dans la région de Büyükeceli sans manquer de préciser que «les citoyens ayant subi des dégâts seraient indemnisés» .Il a également indiqué qu'une équipe des forces de police avait été chargée d'enquêter sur l'explosion. «L'incident fera l'objet d'une enquête sous tous ses aspects et les procédures nécessaires seront des entreprises en ce qui concerne les responsables», indique le communiqué.

La déclaration officielle est intervenue après que Ali Mahir Başarır, membre du principal parti d'opposition, le Parti républicain du peuple (CHP), a annoncé sur les réseaux sociaux que deux grandes explosions s'étendaient sur le site en construction de la centrale électrique vers 18 h 20, heure locale.

Le ministre yéménite de la défense a déclaré que de nouveaux équipements militaires seraient bientôt dévoilés, ajoutant que ces systèmes entraîneraient des changements majeurs dans la stratégie de guerre et la contre-agression de la coalition saoudienne-émiratie.
Tout en qualifiant les Etats-Unis de terroristes, il a déclaré que Washington défend l'agression et tue des nations. Les groupes terroristes ont été créés par les États-Unis.

Le ministère de la défense et l'état-major interarmées du Yémen sont en train de moderniser les équipements militaires du pays sous la stricte supervision du Conseil politique suprême, a-t-il déclaré.

Il a souligné que l'oppression et l'agression contre le peuple yéménite ont conduit au développement de l'équipement militaire, notant que les forces armées yéménites ont été équipées d'un équipement avancé et d'une guerre militaire qui est utilisée pour défendre le pays.

Le ministre de la défense yéménite a déclaré que de nouveaux équipements militaires seraient bientôt dévoilés, ajoutant que ces systèmes entraîneraient des changements majeurs dans la stratégie de guerre et la contre-agression de la coalition saoudienne-émiratie.

Al-Atefi a souligné que l'invasion du Yémen ne sera arrêtée que par la force, soulignant que le Yémen jouit de cette capacité et a réussi à faire de bons progrès dans la fabrication d'armes lourdes, semi-lourdes et légères ainsi que de missiles balistiques surface-surface.

"Nous avons tous entendu dire qu'Ansarullah du Yémen a été qualifié de groupe terroriste par les États-Unis. Cela n'a pas d'importance pour nous au Yémen. Tout le monde sait qu'il s'agit de questions politiques. Personne n'a le droit et ne peut traiter de terroriste quelqu'un qui défend son pays et sa nation", a ajouté le ministre yéménite de la défense.
 
Des sources syriennes ont rapporté que les Etats-Unis ont transféré 70 éléments terroristes de Daech à la base militaire d'Al-Tanf dans le sud-est de la Syrie.
Des sources locales en Syrie ont rapporté lundi que les Etats-Unis ont transféré 70 terroristes de Daech des prisons de la province d'al-Hasakah à la base d'Al-Tanf.

Les sources ont déclaré à l'agence de presse SANA que les États-Unis ont transféré les terroristes de la prison d'al-Thanawiya al-Sanaiya à al-Hasakah, qui est contrôlée par des militants kurdes syriens, à al-Tanf. La base est située près de la frontière jordano-irakienne et est l'un des principaux centres des troupes américaines en Syrie.

Selon les sources, les forces américaines à Al-Tanf soutiennent les terroristes dans la région et leur fournissent des armes et des équipements, et le transfert des terroristes de Daech est destiné à servir les intérêts des États-Unis.

Al Mayadeen a récemment signalé que des hélicoptères américains transfèrent quotidiennement et en plusieurs étapes des prisonniers de Daech depuis un certain nombre de prisons du nord-est de la Syrie vers des bases américaines en Irak.
Le secrétaire de l'Association iranienne des fabricants d'équipements pour l'industrie pétrolière a déclaré que plus de 85 % des pièces et équipements de l'industrie pétrolière sont actuellement fabriqués dans le pays par des ingénieurs experts.
Ali Panahi a déclaré lundi et a estimé à 820 le nombre de sociétés affiliées à l'Association des fabricants d'équipements de l'industrie pétrolière iranienne.

Sur le total de 820 entreprises, 182 sont des entreprises basées sur la connaissance, a-t-il déclaré, ajoutant : "Ces entreprises ont généré au total 80.000 et 250.000 emplois directs et indirects respectivement.

Étant donné la grande capacité de ces entreprises, la capacité de fabrication d'équipements pour l'industrie pétrolière est estimée à 5 milliards d'euros, a-t-il ajouté.

Il a ajouté que 47 et 11 % de ces entreprises sont basées dans les provinces de Téhéran et de Khuzestan respectivement, tandis que le reste se trouve dans d'autres provinces du pays.

Ailleurs dans ses remarques, M. Panahi a souligné la coopération de l'Association avec la vice-présidence pour la science et la technologie afin d'organiser les entreprises basées sur la connaissance actives dans ce domaine et a ajouté : "Grâce à la coordination effectuée à cet égard, 100 autres entreprises basées sur la science  deviendront membres de l'Association l'année prochaine (à partir du 21 mars) à condition que le pays soit capable de contenir les effets néfastes du nouveau coronavirus, COVID-19, qui a créé de sérieux problèmes pour l'activité économique du pays".

Actuellement, plus de 85 % des pièces et équipements nécessaires aux industries du pétrole, du gaz, du raffinage et de la pétrochimie sont fabriqués dans le pays, a-t-il répété.

La République islamique d'Iran occupe la première place dans la région du Moyen-Orient en termes de fabrication d'équipements pour l'industrie pétrolière, a-t-il déclaré, ajoutant que "l'Iran jouit d'une capacité et d'un potentiel élevés pour devenir un centre régional à cet égard".
Le secrétaire de l'Association iranienne des fabricants d'équipements pour l'industrie pétrolière a déclaré que plus de 85 % des pièces et équipements de l'industrie pétrolière sont actuellement fabriqués dans le pays par des ingénieurs experts.
 
 

A peine quelques jours après la visite bien significative du ministre mauritanien de la Défense en Algérie où l'intéressé a visité des usines et des ateliers d'armements et où , dit-on, il a vu avec ses hôtes comment mieux prémunir le Front de Polisario contre ce qui semble de près et de loin à une fabrique de la guerre au Sahara  pour le grand bénéfice d'un Israël qui après avoir leurré le trône marocain, vient de semer le chaos en Tunisie, espérant pouvoir pousser l'Etat à se mettre à la table de dialogue, l'armée algérienne vient de lancer une méga manœuvre aérienne et terrestres sur les frontières avec le Maroc, qui accueille, on le sait, des officiers israéliens d'origine marocaine, en vue de préparer le grand coup contre l'Algérie.

Plus d'un observateurs aimeraient faire un lien plus ou moins directs entre ces manœuvres militaires à balle réelle que le chef d'état-major algérien avait promis et ces exercices d'envergure que l'Iran multiplie ces 20 derniers jours au sol, dans l'air et en mer. Selon des sources algériennes, l'armée algérienne à procédé à d'importantes manœuvres aéro-terrestres dimanche et lundi 17 et 18 janvier 2020 à Tindouf, province frontalière du Sahara occidental et du Maroc pour "développer l'expérience au combat".

 

Dans la nuit de 18 à 19 janvier, alors même que le Capitole est bouclé de toutes part par quelque 25.000 GI's prêts à en découdre avec la "menace potentielle étrangère" qui pourrait a dit le FBI, s'illustrer par des attaques aux missiles ou au drones contre le Congrès", le duo Tel-Aviv-Pompeo a fait une toute dernière "démonstration de force" pour prendre pour cible les positions de Kataëb Hezbollah à Jurf al-Sakhar à Babylone au centre de l’Irak qu'on sait être un haut lieu de la Résistance irakienne.

Après une longue période de déni, le service de renseignement du régime israélien a finalement reconnu que le Hezbollah disposait des dizaines de missiles de haute précision. Selon le quotidien libanais al-Akhbar, les rapports rendus par les différents services d’Israël l’ont finalement poussé à reconnaître que toutes ses tentatives destinées à empêcher le Hezbollah de multiplier ses missiles de haute précision avaient échoué. 
Les mêmes rapports révèlent qu’Israël n’a pas pu empêcher le Hezbollah de développer ses capacités et de se suffire en matière de fabrication et d’assemblage des missiles de haute précision à moyenne portée et à longue portée. 

Pour être inouïe, elle l'est cette annonce du Premier ministre syrien Hussein Arnous qui a fait part et pour la première fois depuis le début de la guerre 2011 que sept pétroliers en route pour la Syrie avaient été piratés ces dernières semaines et que deux d'entre eux avaient été mêmes pris pour cible avant de prendre feu en mer Rouge. Sans évoquer la partie qui serait à l'origine de ces attaques, le PM qui défendait son bilan devant l'Assemblée du peuple syrien, est revenu sur la double attaque contre les deux pétroliers syriens en mer Rouge "qui datent d'octobre 2020", et qui ont « retardé leur arrivée de plus d'un mois, à la suite de quoi la raffinerie de Baniyas a arrêté sa production, entraînant une pénurie des dérivés pétroliers nécessaires pour répondre aux besoins du pays en essence et diesel ».

Plus d'un observateurs relève l'accent mis par M. Arnous sur  e port stratégique de Baniyas qui abrite, comme chacun sait, les pipelines offshore et onshore syriens et qui  se trouve effectivement être le port de déchargement du pétrole  que l'Iran livre à la Syrie et ce, depuis bien longtemps et au grand mépris de Loi César et autres sanctions US anti syrienne.