
تقي زاده
Pourquoi les mécréants sont-ils voués à un châtiment éternel en Enfer ?*
Au nom d’Allah le Très Miséricordieux le Plus Miséricordieux
*Pourquoi les mécréants sont-ils voués à un châtiment éternel en Enfer ?*
*Question :* Beaucoup de ceux qui critiquent l’islam considèrent la question du châtiment de l’Enfer, tel qu’il est mentionné dans les textes religieux, comme une preuve contre cette religion. Un châtiment long, sans interruption, des siècles et des siècles sans allègement ni fin... Y a-t-il un sens ou une utilité à cela ?
*Réponse :* La question portant sur l’éternité du séjour des damnés en Enfer et sur l’utilité de leur châtiment part, bien souvent, d’une conception inexacte de la nature de la justice divine — une justice fondée sur le principe que chaque être humain mérite une rétribution en fonction de ses choix et de ses actes dans cette vie.
C’est pourquoi répondre à cette question nécessite de déconstruire les prémisses erronées sur lesquelles repose ce soupçon, et de rechercher la sagesse divine dans le cadre de la justice et du libre arbitre.
En effet, Dieu — exalté soit-Il — a créé l’être humain pour l’éternité et non pour la disparition. Autrement dit, la nature même de l’homme est d’être destiné à l’éternité et à la permanence. Dès lors, Dieu lui a accordé la liberté de choisir lui-même l’une des deux formes d’éternité : soit la félicité éternelle, soit le châtiment éternel.
Ce choix est illustré dans cette parole divine : {Nous l’avons guidé dans le chemin, qu’il soit reconnaissant ou ingrat} [Sourate Al-Insân, verset 3].
Ainsi, le châtiment éternel n’est ni arbitraire ni le fruit d’une cruauté absolue ; il est plutôt la conséquence naturelle et directe des choix de l’être humain, lesquels déterminent son sort final.
Ainsi, lorsque le mécréant est châtié et voué à l’Enfer pour l’éternité, ce châtiment n’a pas pour but d’apporter un bénéfice nouveau ou une fonction éducative. Il s’agit plutôt d’une conséquence naturelle du chemin qu’il a choisi : celui du rejet et de la négation.
Le châtiment de l’Enfer ne doit donc pas être compris comme une peine visant simplement une utilité, mais comme une rétribution naturelle et équilibrée, en adéquation avec les actes commis par l’individu. Cela ressemble aux lois en vigueur dans notre vie quotidienne : lorsqu’une personne commet un crime, elle est punie, et cette punition ne vise pas nécessairement à produire un bénéfice nouveau, mais à établir la justice.
On peut approfondir cette idée en l’illustrant à travers les lois naturelles qui régissent le monde. Lorsqu’une personne commet une erreur — par exemple, en tombant d’un endroit élevé — et qu’elle se casse une jambe ou subit un autre dommage, personne ne se pose la question de savoir quel est l’intérêt de cette fracture. Car il ne s’agit là que d’une conséquence inévitable liée à la nature même de l’erreur commise.
De même, le châtiment éternel en Enfer est une conséquence inévitable du choix de l’être humain d’emprunter la voie de la mécréance et de l’égarement. Il ne vise pas à produire un bénéfice nouveau, mais constitue une punition proportionnée à ce que la personne mérite en raison de ses actes.
Par conséquent, l’éternité dans le châtiment est une conséquence naturelle et méritée pour celui qui a choisi délibérément la mécréance et la rébellion. Ainsi, la véritable question n’est pas de savoir quel est le bénéfice de ce châtiment, mais plutôt : pourquoi le mécréant a-t-il persisté à suivre le chemin de la perdition malgré toutes les occasions de guidance qui lui ont été offertes ?
Dieu — exalté soit-Il — a accordé à l’homme une vie et un délai suffisant pour déterminer son destin. Il lui a clairement montré la voie du bien et celle du mal, à travers les prophètes, les messagers et les livres révélés.
Ainsi, si l’homme choisit la voie de la mécréance et de la rébellion malgré toutes les preuves et les signes clairs, alors c’est en toute liberté qu’il opte pour le chemin menant à un châtiment éternel.
Dieu — exalté soit-Il — dit : {Si tu les voyais, lorsqu’ils seront placés devant le Feu, ils diront : “Ah ! si seulement nous pouvions être renvoyés [sur terre], nous ne traiterions plus les signes de notre Seigneur de mensonges et nous serions parmi les croyants !” Mais ce qu’ils cachaient auparavant leur apparaîtra clairement. Et s’ils étaient renvoyés, ils reviendraient certainement à ce qui leur était interdit. Ils sont vraiment des menteurs.} [Sourate Al-An‘âm, versets 27-28]
Ce verset montre que ceux qui ont choisi l’Enfer étaient profondément enracinés dans la perversité et la mécréance. Même s’ils étaient ramenés à la vie à plusieurs reprises, ils répéteraient les mêmes actes. Cela prouve que leur décision ne résultait ni d’une erreur passagère ni d’une simple ignorance, mais bien d’une volonté profonde de renier la vérité.
On peut alors poser la question suivante : pourquoi le châtiment ne prend-il pas fin après un certain temps ?
La réponse réside dans la compréhension de la nature du mérite (ou du droit à la rétribution). La mécréance et le rejet de la vérité ne sont pas de simples actes passagers, mais un état constant de refus du droit chemin, qui traduit une attitude persistante d’obstination et de négation durant toute la vie.
Et puisque l’homme a été créé pour l’éternité, son refus persistant de la vérité jusqu’à la dernière seconde de sa vie justifie une rétribution éternelle, proportionnée à la gravité de son acte : un acte dont les effets se prolongent sur lui-même et sur son destin éternel.
De plus, l’accès au Paradis n’est accordé qu’à celui qui l’a choisi et s’y est préparé. Le mécréant, qui est châtié en Enfer pour ce qu’il a commis, ne peut entrer au Paradis une fois son châtiment terminé, car y entrer nécessite des œuvres vertueuses ou une disposition intérieure que le mécréant ne possède pas.
L’au-delà n’est pas un simple règlement de comptes : c’est la demeure du destin final, que chacun rejoint selon ce qu’il a semé durant sa vie terrestre.
En définitive, le châtiment éternel en Enfer est en parfaite adéquation avec la nature du crime commis par le mécréant. Ce crime ne se limite pas à un acte isolé ou à une position ponctuelle dans le temps, mais il reflète un choix constant et une persistance délibérée dans la rébellion et la mécréance. Ce choix, qui reflète les attitudes intérieures de l’homme ainsi que ses actes persistants, mène à une rétribution éternelle car dans ce cas, la mécréance n’est pas de simples comportements passagers pouvant être effacés ou corrigés, mais une orientation stable et constante dans la vie de la personne.
Par conséquent, si Dieu a créé l’être humain pour l’éternité, alors son choix de rejeter la vérité et de s’attacher au faux constitue un état existentiel qui ne peut être réduit à une courte période de temps. La rétribution éternelle liée à ce choix est donc une conséquence naturelle de ce mérite — ou plutôt de cette responsabilité — qui ne peut être condensée dans une durée limitée, car elle reflète l’éternité des choix que le mécréant a adoptés tout au long de sa vie.
Suivez ce lien pour vous abonnez à notre page Facebook https://www.facebook.com/alrasd.french/
Suivez ce lien pour suivre notre page Instagram
https://instagram.com/centredeveilledeladoctrine?igshid=MzMyNGUyNmU2YQ%3D%3D&utm_source=qr
Suivez ce lien pour intégrer notre Groupe WhatsApp : https://chat.whatsapp.com/FObDuiFYWgN1LchOIdS9DD
Suivez ce lien pour vous abonnez à notre chaîne Telegram https://t.me/alrasd_fr
Appel à la Conscience Universelle Face à l’Escalade de la Violence
Cette escalade n’est malheureusement pas isolée. Elle s’ancre dans une impunité persistante alimentée par des décennies d’atrocités commises en Palestine occupée :
Le silence complice d’une partie de la communauté internationale et l’inaction des instances multilatérales ont créé un terreau fertile pour l’audace du régime sioniste. Soutenu sans réserve par son allié américain, Israël instrumentalise cette impunité pour étendre son agenda expansionniste, menaçant ainsi la sécurité collective du Moyen-Orient et au-delà.
L’inaction n’est plus une option.
Nous en appelons à la conscience collective de l’humanité :
- Aux peuples du monde : rompez le silence médiatique et politique ! Votre indignation est un rempart contre la barbarie.
- Aux nations souveraines : exigez des sanctions immédiates contre les responsables de crimes de guerre et un embargo sur les armes à destination d’Israël.
- À la Cour Pénale Internationale : intensifiez les enquêtes sur les massacres perpétrés sous l’autorité de Benjamin Netanyahu, dont la politique incendiaire menace la paix mondiale.
La région est à la croisée des chemins : la passivité garantira l’embrasement généralisé. Seule une mobilisation déterminée pour la justice, le respect du droit international, et la fin de l’occupation pourra éteindre l’incendie allumé par l’extrémisme sioniste.
Le sang des victimes crie vérité. Agissons avant que l’histoire ne nous accuse d’avoir détourné le regard.
L’Iran est engagé envers le droit international et ne cédera jamais à la coercition (président Pezeshkian)
Lors d’un entretien téléphonique avec le Premier ministre arménien Nikol Pashinyan, samedi 19 juillet, le président iranien Massoud Pezeshkian a affirmé que Téhéran reste engagé envers le droit international, mais ne cédera jamais aux pressions et ne renoncera pas à ses droits légitimes.
M. Pezeshkian a fait part, lors de cette conversation, de sa pleine confiance dans la transparence et la nature pacifique des activités nucléaires de la République islamique d’Iran précisant par la même occasion que c’est précisément la raison pour laquelle « nous n’avons aucune inquiétude concernant les inspections. »
Le président iranien a toutefois indiqué que l’imposition de la force et des pressions, ainsi que la privation de la nation iranienne de ses droits légaux sont totalement inacceptables, avant de souligner que Téhéran a constamment démontré la nature pacifique de son programme nucléaire sous la supervision de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
Les forces d’al-Jolani sont les responsables de l’attaque contre Soueïda (porte-parole des Druzes)
Les affrontements armés se poursuivaient toujours à Soueïda, dans le sud de la Syrie, a fait savoir Sheikh Fadi Badria, le porte-parole des Druzes de la province précisant que la ville était exposée à des bombardements sur tous les axes même après l’annonce d’un cessez-le-feu temporaire.
« Nous sommes désormais exposés à leurs tirs de roquettes et plusieurs snipers se sont infiltrés dans la ville, que les forces druzes tentent de contrer. Nous sommes assiégés depuis dix jours et aucune aide humanitaire n’est entrée dans la ville ; pourtant, nous résistons sur tous les fronts et tentons de reprendre le contrôle des zones tombées aux mains des forces affiliées à Damas », a-t-il indiqué.
Le porte-parole des Druzes a déclaré qu’après avoir capturé ou tué plusieurs miliciens (éléments armés), les cartes d’identité obtenues auprès d’eux montraient que ces individus avaient la nationalité tchétchène, turkmène, etc.
La Direction de la sécurité publique est entrée à Soueïda en tant qu’ennemie du peuple et, contrairement aux allégations, a tenté d’empêcher toute agression contre les Druzes, comme des pillages, des vols de maisons et de magasins, a-t-il ajouté.
L'Iran est « parfaitement préparé » à se défendre si Israël rompt le cessez-le-feu « fragile » (Araghchi)
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a déclaré que l’Iran était pleinement vigilant et prêt à se défendre si le régime israélien rompait le cessez-le-feu « fragile » qui a mis fin à 12 jours d’agression contre le pays le mois dernier.
Araghchi a fait ces remarques lors d’une interview accordée mercredi à China Global Television Network (CGTN) à Tianjin, en Chine, où il participait mardi à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS).
Il a souligné que la guerre de 12 jours lancée par le régime israélien contre l’Iran était une agression militaire non provoquée et non un simple « conflit ».
« Ce n’est pas un conflit. C’est un acte d’agression, une agression non provoquée d’Israël contre la République islamique d’Iran », a-t-il ajouté.
« Nous n’avions d’autre choix que d’exercer notre droit de légitime défense. Nous avons donc défendu notre pays. Nous l’avons défendu avec beaucoup de courage et avons contraint les agresseurs à cesser leur agression et à demander un cessez-le-feu inconditionnel, que nous avons accepté », a souligné le haut diplomate iranien.
Il a mis en doute la volonté d’Israël de respecter véritablement le cessez-le-feu, qu’il a qualifié de « fragile ».
« Le cessez-le-feu est, bien sûr, fragile et la raison est évidente : aucun cessez-le-feu de la part du régime (israélien) n’est fiable, car il a un très mauvais bilan en la matière », a-t-il expliqué.
« Nous sommes très prudents et pleinement préparés en cas de rupture du cessez-le-feu, mais ce n’est pas notre souhait. Ce n’était pas notre souhait depuis le début. Nous ne voulions pas de cette guerre, mais nous y étions préparés », a-t-il souligné.
L’Iran remporte six médailles à la 66e Olympiade internationale de mathématiques
L’équipe iranienne de mathématiques a décroché six médailles lors de la 66ᵉ édition de l’Olympiade internationale de mathématiques (OIM), qui s’est tenue cette année en Australie, organisée par l’Australian Maths Trust.
Mehdi Aghajanlou et Bardia Khosheghbal ont remporté la médaille d’or, tandis que Mohammad-Sajad Memari, Mohammad-Reza Attaranzadeh et Amir-Hossein Zareï ont obtenu la médaille d’argent. Parsia Tajallaï a reçu une médaille de bronze.
L’équipe iranienne s’est ainsi classée 12ᵉ parmi 110 pays participants. Ce résultat marque une nette progression par rapport à l’année précédente, où l’Iran s’était classé 19ᵉ.
À ce propos, Zabihollah Tarasi, directeur général de l’éducation de la province de Zanjan, a salué cette réussite, en affirmant : « L’Olympiade internationale de mathématiques, en tant que compétition scientifique la plus prestigieuse au monde, a toujours été une scène d’émergence pour les talents les plus brillants ».
Selon le site officiel de l’événement, l’OIM est « la plus grande et la plus prestigieuse des Olympiades internationales, réunissant chaque année les représentants de plus de cent pays après avoir commencé avec seulement sept ».
Cette compétition rassemble « les jeunes esprits les plus brillants du monde et représente l’aboutissement de nombreuses années d’efforts mathématiques et de centaines de tentatives de résolution de problèmes ».
A noter que la semaine dernière, les six membres de l’équipe iranienne ont participé à un concours organisé par un camp d’entraînement scientifique compétitif en Chine qui réunissait 32 pays. Lors de cette compétition scientifique de haut niveau, l’équipe iranienne s'était classée deuxième ex æquo avec le Kazakhstan.
Bardia Khosheghbal a remporté la médaille d’or. Mehdi Aghajanlou, Parsia Tajallaï, Mohammad-Reza Attaranzadeh ainsi que Mohammad-Sajad Memari ont chacun obtenu la médaille d’argent. Amir-Hossein Zareï a décroché le bronze.

Au détriment de la France, la Chine a investi 39 milliards de dollars en Afrique
En 2025, la Chine et ses entreprises ont investi quelque 39 milliards de dollars sur le continent africain dans le cadre de l’initiative des « nouvelles routes de la soie », dont 21 milliards de dollars destinés au Nigeria et 3,6 milliards à la Tanzanie.
D’après un rapport de l’université australienne de Griffith, les investissements chinois en Afrique ont bondi de près de 400 % cette année, dans le but de renforcer cette initiative stratégique.
Cependant, aucun nouveau projet d’infrastructure financé par Pékin n’a vu le jour cette année au Cameroun, à Madagascar, au Zimbabwe ou encore en Afrique du Sud, contrairement à l’année 2024.
Selon l’Institut asiatique de cette université, Pékin cherche à minimiser les risques financiers tout en sécurisant son accès à des ressources stratégiques telles que le gaz naturel, le pétrole et les terres rares.
La Chine privilégie ainsi l’octroi de prêts aux pays capables de garantir ces ressources en contrepartie. C’est notamment le cas du Nigeria, qui a obtenu la plus grande enveloppe de financement pour un vaste projet de parc industriel gazier à Ogidigben, dans le sud de Lagos. La Tanzanie bénéficie également de projets chinois visant à faciliter le transport de minerais, y compris de terres rares.
Israël tue plus de 50 Palestiniens lors de raids aériens sur des centres de distribution d'aide à Gaza
Des dizaines de Palestiniens ont été tués lors des frappes israéliennes sur des points de distribution d'aide dans le sud de la bande de Gaza, dans un contexte d'aggravation de la crise alimentaire dans le territoire assiégé.
La chaîne de télévision qatarie Al Jazeera a rapporté que 41 Palestiniens ont été tués, samedi 18 juillet, lors de raids israéliens sur Rafah. 29 des victimes attendaient de l'aide humanitaire.
Selon les rapports, 10 autres Palestiniens ont également été tués et 70 blessés lors d'une autre frappe israélienne sur un point de distribution d'aide situé dans la rue Al-Tina à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.
Toujours à Khan Younès, au moins 20 personnes en quête d’aide alimentaire ont été tués, mercredi, lors d'une bousculade dans l'un des centres de distribution d'aide, géré par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une organisation controversée soutenue par les États-Unis et Israël.
Les Nations Unies (ONU) ont signalé que depuis fin mai, quelque 900 Palestiniens ont été tués alors qu'ils cherchaient de l'aide dans des centres gérés principalement par la GHF.
Par ailleurs, selon le ministère de la Santé de Gaza, un nombre sans précédent de personnes affamées de tous âges ont été emmené aux services d’urgence dans un état d'« épuisement et de fatigue extrêmes ».
« Nous alertons sur le fait que des centaines de personnes, dont le corps est complètement décharné, sont désormais en danger de mort imminente », a déclaré vendredi le médecin Sohaib al-Hums, directeur de l'hôpital de campagne koweïtien situé dans la zone d’Al-Mawassi, à Khan Younès.
Iran: l’équipe féminine de basket-ball s’est qualifiée pour la finale de la Coupe d’Asie
L’équipe féminine iranienne de basket-ball a réalisé un exploit inédit en se qualifiant pour la finale de la Coupe d’Asie 2025, après trois victoires consécutives face aux Îles Cook, à la Mongolie et à la Thaïlande. En terminant première de son groupe en Division B, l’Iran s’offre une place parmi les quatre meilleures équipes du tournoi.
L'Iran a dominé dès le début, remportant le premier quart-temps 18-7 et conservant son avance jusqu'à la fin de la première mi-temps 42-21. Lors de la demi-finale, disputée contre la Thaïlande, les Iraniennes se sont imposées sur le score de 78 à 52.
Les scores des quatre quart-temps ont été les suivants :
1er quart-temps : 18 – 7 (Iran)
2e quart-temps : 24 – 14 (Iran)
3e quart-temps : 18 – 13 (Iran)
4e quart-temps : 18 – 18 (égalité)
Avant cette rencontre décisive, les joueuses iraniennes avaient déjà marqué les esprits lors des matchs de la phase de groupes, en battant les Îles Cook 82-32, la Mongolie 89-55 et puis la Thaïlande 80-62.
Le cinq de départ iranien face à la Thaïlande en demi-finale était composé de Mahla Abedi, Farnaz Khodamoradi, Sheida Shojaï, Negin Rasoulipour et Roxana Barahman.
Roxana Barahman s’est particulièrement illustrée en signant un double-double impressionnant avec 20 points et cinq rebonds, auxquels elle a ajouté deux passes décisives, quatre interceptions et une évaluation de 22, faisant d’elle la meilleure joueuse du match.
Selon le calendrier officiel, l’équipe iranienne affrontera Taïwan en finale ce dimanche 20 juillet. Notons que l’adversaire de l’Iran en final a éliminé la Mongolie en demi-finale.
À l’issue de la compétition, l’équipe championne de la Division B obtiendra son ticket pour la Division A du basket-ball de l’Asie en 2027. Une promotion qui représenterait un tournant historique pour le basket-ball féminin iranien, marquant son retour au plus haut niveau continental. Une éventuelle accession en Division A constituerait un événement sans précédent pour le sport féminin en Iran.
Au-delà de leur éclatante performance sur le terrain, les joueuses iraniennes ont particulièrement brillé par leur salut unifié et respectueux pendant l'hymne national, geste symbolique de fierté nationale après l'agression israélienne sur le territoire iranien le 13 juin dernier.
Voici quelques images du match entre l’équipe d’Iran et celle de la Thaïlande en demi-finale de la Coupe d’Asie féminine de basket-ball Division B, le samedi 19 juillet 2025. ©FIBA
Israël a tenté de détruire l’Iran, mais Téhéran a triomphé (Hezbollah libanais)
Le secrétaire général du Hezbollah, Cheikh Naïm Qassem, affirme que le régime israélien a cherché à faire avancer son projet destructeur contre l’Iran via la guerre qu’il a lancée contre la République islamique le mois dernier mais que Téhéran a réussi à déjouer ses complots et lui asséner un échec cuisant.
La guerre a eu lieu sous prétexte de viser les activités nucléaires iraniennes, a rappelé le chef du mouvement de résistance libanais, vendredi 18 juillet lors d'un discours.
Cheikh Qassem a souligné que le régime sioniste a lancé la guerre, alors que tous les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) avaient confirmé la nature pacifique des activités nucléaires de la République islamique d'Iran.
« Il est donc clair que le véritable objectif d’Israël était de détruire l’Iran; Téhéran a toutefois réussi à s’en sortir haut la main. »
Le 13 juin, Israël a lancé un acte d’agression flagrant et non provoqué contre l’Iran, assassinant de nombreux commandants militaires de haut rang et scientifiques nucléaires, ainsi que des civils iraniens.