تقي زاده

تقي زاده

"En collaborations avec les terroristes syriens, le régime sioniste cherche faire échouer la solution politique à la crise syrienne et l’Organisations des Nations unies doit y réagir, fermement", a affirmé le gouvernement syrien.

Le gouvernement syrien a tenu, hier, une réunion d’urgence, présidée par le Premier ministre de ce pays Waël al-Haqi. "L’agression du régime sioniste s’inscrit dans le cadre du complot auquel est confrontée la Syrie, et le moment où cette agression a eu lieu, témoigne de la coordination de l’ennemi israélien avec les groupes terroristes armés, qui ont pris pour cible la Résistance syrienne", a affirmé, lors de cette réunion, le Premier ministre syrien. Le ministre syrien de la Défense a dénié, fermement, la prétention de l’ennemi sioniste, comme quoi il avait attaqué une base, d’où des équipements et armes étaient transférés vers d’autres lieux. A la suite du bombardement d’un complexe militaire, sur le sol syrien, par les avions de chasse du régime sioniste, le secrétaire général de l’ONU s’est, seulement, contenté d’exprimer, dans un communiqué, ses inquiétudes, quant aux répercussions de ce bombardement, sans jamais le condamner.

Des sources israéliennes ont intoxiqué les médias occidentaux, en annonçant que leur armée avait attaqué un convoi militaire syrien transférant des armes au Hezbollah libanais. Selon les articles, il se serait agi de missiles Sam-7 ou d’armes chimiques prêtes à l’emploi.

En réalité, l’Armée de l’air israélienne a bombardé un centre de recherche à Jemraya, dans la grande banlieue de Damas, dans l’après-midi du mercredi 30 janvier 2013. Ce centre n’abritait, ni Sam-7, ni armes chimiques. En effet, la destruction de Sam-7 aurait provoqué des explosions visibles, depuis la capitale. Et la destruction d’armes chimiques prêtes à l’emploi (c’est-à-dire dont les composants ont, déjà, été mélangés) aurait provoqué une catastrophe.

Une source officieuse syrienne a indiqué au Réseau Voltaire que l’Armée arabe syrienne a saisi, il y a quelques jours, des matériels israéliens sophistiqués utilisés par les Contras et les avaient apportés, dans ce Centre de recherche, où ils devaient être démontés et analysés.

C’est probablement ce matériel, que les Israéliens ont voulu détruire, avant qu’il ne soit transporté, en Russie ou en Iran. Le Centre avait d’abord été attaqué par des commandos au sol de l’Armée syrienne libre, qui avaient été repoussés. Puis, l’Armée de l’air israélienne est intervenue, elle-même, pour effectuer le travail que les Contras n’avaient pas été capables de réaliser.

Les avions israéliens sont arrivés, en rase-mottes, par le Liban. Ils ont surgi, par l’arrière du Mont Hermon, et ne sont entrés que, très brièvement, dans l’espace aérien syrien.

 

Les exportations du brut iranien est en nette hausse en dépit des sanctions euro américaines, avec une exportation de 1/4 millions de barils par jour, a écritReuters en allusion aux tactiques dont use l'Iran pour contourner les sanctions occidentales.

ABNA: L'exportation du brut iranien au mois de décembre est à son niveau le plus élevé depuis le déclenchement des sanctions européennes contre l'Iran, en vigueur depuis Juillet dernier, a rapporté Fars, citant Reuters.

La hausse de la demande chinoise et l'amplification de la flotte pétrolière iranienne ont aidé ce dernier à contourner les sanctions, ont annoncé les experts.

Bismil-Lâhir-Rahmânir-Rahîm

Introduction:

La naissance du bien-aimé de Dieu (Allah), la meilleure des créatures, notre maître Mouhammad (que l'élévation en degré et la préservation de sa communauté lui soient accordées) est un heureux évènement. C’est pour lui que la lune s'est fendue, que la pierre a salué et à son appel l'arbre s'est déplacé. Sa naissance est une occasion que les musulmans fêtent de l’orient à l’occident, pour remercier Allah ta^ala d’avoir fait apparaître le dernier et le meilleur des Messagers.

Allah a fait l’éloge du Prophète Mouhammad (Que la bénédiction et la paix d'Allah soient sur lui et les siens) dans plusieurs versets par exemple Sa parole ta^ala :

و إنّك لعلى خلق عظيم

(wa ‘innaka la^ala khoulouqin ^adhim) qui signifie : « Certes, tu as l’excellence du comportement » [Al-Qalam /4]

Le Prophète(p) lui-même a fait son propre éloge en disant :

أنا سيّد النّاس

(‘ana sayyidou n-nas) ce qui signifie : « Je suis le maître des gens » et dans un autre hadith, il a dit :

أنا سيد ولد ءادم يوم القيامة ولا فخر

(‘ana sayyidou waladi ‘Adama yawma l-qiyamati wa la fakhr) ce qui signifie : « Je suis le maître des fils de Adam (‘Adam) عَلَيْهِ السَّلاَم au jour dernier et je ne dis pas cela par prétention.»

Ainsi, ce ne sont que des actes de bien et des adorations par lesquels ils recherchent les bénédictions et l’agrément de Allah. Le mawlid est une occasion de faire du bien, beaucoup de bien et de partager sa joie.

tous les milliers de savants islamique dans le monde fêtent le mawlid et voient en cette évènement une grande célébration à part une minorité en Arabie Saoudite. Personne, parmis ces milliers, ne dit que c'est bid3a à part cette minorité d'Arabie Saoudite alors qu'une autre partie des saoudiens la pratique.

Dix preuves montrant que la célébration de la naissance du Prophète est acceptée dans la Charica

1. Dieu dit: Réjouissez-vous du Prophète (s)

Se réjouir à cause de la venue du Prophète (s) à l'humanité est une obligation ordonnée par Allah dans le Coran comme suit: «De la grâce d’Allah et de Sa miséricorde qu'ils se réjouissent donc!» (Younus 10:58).

Cet ordre fut révélé parce que la joie rend le cœur reconnaissant de la miséricorde d'Allah. Et y a-t-il plus grande miséricorde de la part de Dieu que de nous envoyer le Prophète (s), auquel Il s'adresse en ces termes: «Nous ne t'avons envoyé que par miséricorde pour les univers» (Les prophètes 21:107).

Du fait que le Prophète (s) a été envoyé comme une miséricorde à toute l'humanité, il incombe non seulement aux Musulmans, mais à tous les êtres vivants de se réjouir de sa personne. Malheureusement, aujourd'hui, certains Musulmans sont les premiers à rejeter cet ordre divin.

2. Dieu dit: Invoquez les bénédictions sur le Prophète (s)

L'anniversaire du Prophète (s) nous encourage à invoquer les bénédictions d’Allah sur lui et à faire ses éloges, ce qui est une obligation qui nous incombe selon l'ordre d’Allah dans le verset: «Allah et ses anges envoient les bénédictions sur le Prophète. O croyants! invoquez sur lui les bénédictions et les meilleures salutations!» (al-Ahzab 33:56).

«Les meilleures salutations,» ce sont les salutations pleines de respect et d'amour, pleines de louanges et d'admiration pour le haut rang du Prophète (s) et de son message. Se réunir dans le but de se rappeler le Prophète (s) nous amène à invoquer les prières sur lui et à le louer comme Allah le demande. Quelqu'un oserait-il nier l'obligation qu’Allah nous impose à travers le saint Coran? La récompense qu'on obtient quand on exécute un ordre divin, et la lumière divine que cette récompense apporte au cœur sont inestimables! Notons que le verset mentionne le pluriel: «Allah et ses anges envoient...» en assemblée. Il est donc incorrect de dire qu'invoquer les prières sur le Prophète (s) et faire ses éloges doit se faire individuellement.

3. Le Prophète (s) a souligné le lundi comme jour de sa naissance

Abou Qatada al-Anari raconte dans ai Mouslim, Kitib as-iayam, que le Prophète (s) avait été interrogé au sujet du jeûne du lundi et qu'il avait répondu: «C'est en ce jour que je suis né et c'est en ce jour que j'ai reçu la prophétie.»

Nous citons de nouveau Moutawalla Chacrawi:

Plusieurs évènements extraordinaires se sont déroulés le jour de sa naissance comme cela est mentionné dans les hadiths et les livres de sira, et la nuit de sa naissance n'est semblable à celle d'aucun autre être humain.

Ces évènements et les hadiths s'y référant, dont le tremblement de la court de Chosroès, l'extinction en Perse du feu vieux de 1000 ans, la lumière issue d’Amina l'honorable mère du saint Prophète (s), etc. sont relatés dans le livre al-Bidaya d'Ibn Kathir.

Nous citons pour vous un passage du Kitab al-Madkhal d'Ibn al-ajj (Vol. 1, p. 261): «C'est un devoir pour nous chaque lundi de Rabic al-Awwal d'augmenter nos actes d'adoration afin de remercier Allah de nous avoir accordé une immense faveur: celle de nous envoyer son bien-aimé Prophète pour nous diriger vers l'Islam et la paix... Le Prophète (s) répondit à quelqu'un qui l'interrogeait au sujet du Lundi: «En ce jour-là je suis né.» Ce jour du lundi honore le mois de Rabic al-Awwal parce que c'est le jour du Prophète (s) ... et il a dit: «Je suis le maître des enfants d'Adam et je dis cela sans orgueil»... et il a dit: «Adam et toute sa descendance seront sous ma bannière le jour du Jugement.» Ces hadiths ont été transmis par les deux cheicks [Boukhari et Mouslim]. Et, Mouslim cite dans son hadith que le Prophète(s) a dit: «Je suis né un lundi et le premier message m'est parvenu un lundi.»»

Le Prophète (s) commémorait donc le jour de sa naissance et remerciait Allah pour la grande faveur de l'avoir fait naître en jeûnant le lundi comme cela est mentionné dans le hadith de Abou Qataa. Cela signifie que le Prophète (s) exprimait sa joie pour ce jour par le jeûne, qui est une forme d'adoration.

Depuis ce temps, toute sorte d'adoration pour marquer ce jour est acceptable. Même si nous changeons la forme (de l'acte pour exprimer sa joie), l'essence reste la même. Partant de là, jeûner, nourrir les pauvres, se rassembler pour louer le Prophète (s) ou se remémorer ses vertus et son excellent caractère (s) tout ceci est considéré comme une commémoration du jour de sa naissance. (Voir plus loin le hadith «mourir le lundi».

4. Le Prophète (s) commémorait l'anniversaire des autres prophètes

Le Prophète(s) commémorait le jour et le lieu de naissance des Prophètes qui l'ont précédé. Parlant de la grandeur du vendredi, le Messager d’Allah a dit dans son hadith: «En ce jour, Allah créa Adam.» Ceci signifie que le jour du vendredi est commémoré parce qu’Allah créa Adam en ce jour. En d'autres termes, ce jour est important du fait qu'il vit la création d'Adam (s), prophète et père de tous les êtres humains. Qu'en est-il donc du jour où le plus grand des prophètes et le meilleur de l'humanité fut créé? Le Prophète a dit: «En vérité, Allah me fit le sceau des Prophètes pendant qu'Adam était entre eau et argile.».

5.Le Prophète commémorait le lieu de naissance des autres prophètes

Un hadith chez Bazzar, Abu Yacla, et Tabarani, déclaré authentique par Ibn ajar Haythami et Ibn ajar cAsqalani, relate qu'à la nuit de l'Isra' et du Micraj (l'ascension nocturne) l'ange Gabriel ordonna au Prophète (s) de prier deux rakcat à Bayt Lam (Bethléem), puis lui dit: «Sais-tu où tu viens de prier? Lorsque le Prophète lui demanda: où? Il lui dit: A l'endroit où Issa (Jésus) est né.»

6. L'obligation d'accroître notre amour pour le Prophète et de l'honorer

Allah demande au Prophète de rappeler à sa Communauté qu'il est primordial pour ceux qui prétendent aimer Allah d'aimer aussi le Prophète (s): «Dis-leur: Si vous aimez Allah, suivez-moi (et aimez-moi et honorez-moi) et Allah vous aimera» (3:31).

La célébration du Mawlid est motivée par cette obligation d'aimer le Prophète (s), de lui obéir, de se rappeler de lui, de suivre son exemple, et d'être fiers de lui comme Allah l’est, car Il l'exalte aux nues dans le Coran avec ces mots: «En vérité tu es (O Mouhammad) d'un caractère sublime (68:4).»

L'amour pour le Prophète est l'élément qui différentie les croyants dans la perfection de leur iman (foi). Dans un hadith authentique, le Prophète(s) a dit: «Nul d'entre vous n'est croyant jusqu'à ce qu'il m'aime plus qu'il n'aime ses enfants, ses parents, et tous les gens.» Et dans un autre hadith dans Boukhari il dit: «Aucun de vous n’est croyant jusqu’à ce qu’il m’aime plus que sa propre personne».

La perfection de la foi est liée à l'amour pour le Prophète (s) parce qu’Allah et Ses anges l'honorent continuellement, comme souligné dans le verset du Coran vu précédemment: «Allah et Ses anges envoient des bénédictions sur le Prophète». L'ordre divin qui suit immédiatement ce verset est «O croyants, invoquez des bénédictions sur lui,» ce qui signifie que la condition sine qua non d'être un croyant dépend et doit se manifester par l'invocation de prières sur le Prophète (s). Seigneur! répand Ta Bénédiction, Ta paix et Ta miséricorde sur le Prophète, sa Famille, et ses Compagnons.

7. L'effet du Mawlid sur les non-croyants

Exprimer sa joie pour la naissance du Prophète et célébrer son anniversaire comporte des effets bénéfiques, par la miséricorde d’Allah, même sur les incroyants. Ceci est mentionné dans Boukhari qui rapporte en effet: «Chaque Lundi Abou Lahab est libéré de son châtiment, dans sa tombe, parce que de son vivant il libéra sa servante Thouwayba lorsqu'elle lui rapporta la nouvelle de la naissance du Prophète (s) son neveu».

Le afi Chamsouddin Mouhammad ibn Nasirouddin ad-Dimashqi a écrit à ce sujet dans son livre Mawrid as-ada fi Mawlid al-Hadi:

Si un kafir qui était condamné pour l'éternité à l'enfer avec «Tabbat yada Abi Lahab» (sourate 111) gagne un sursis tous les lundis parce qu'il s'était réjoui de la naissance d ‘Ahmad, que pensez-vous du serviteur qui, toute sa vie, fut heureux avec Ahmad et qui, mourant, dit: La ilaha illallah Mouhammadoun Rassouloullah?

8. L'obligation de connaître la vie du Prophète (s) et de l'imiter

Il nous est recommandé de connaître le Prophète (s), ses miracles, sa naissance, son caractère, sa foi, ses signes et miracles, ses retraites spirituelles, ses actes d'adoration, et tout ceci n'est-il pas obligatoire pour un Musulman? Par conséquent, qu'est-ce qui est meilleur que la célébration de sa naissance qui symbolise l'essence de sa vie? Se souvenir de sa naissance nous emmène, en effet, à nous souvenir des autres aspects de sa vie, et cela attire la satisfaction d’Allah sur nous, car ce faisant, nous connaîtrons mieux le Prophète (s) et nous serons mieux préparés à nous corriger, à l'imiter, et à le prendre comme modèle. Voilà pourquoi la célébration de sa naissance est bénéfique pour nous.

9. Le Prophète (s) acceptait la poésie en son honneur

De son vivant, il est bien connu de tous que les poètes venaient au Prophète (s) faire son panégyrique, décrivait ses campagnes et ses combats, et faisaient de même avec ses Compagnons. Abou Bakr, Ali, Fatima, et nombreux autres parents et proches du Prophète (s) ont composé des poèmes en son honneur. Cela est vérifié dans les traditions ainsi que les Sira ou livres biographiques dont ceux d'Ibn Hicham, al-Waqidi, et autres. Le Prophète (s) appréciait ces compositions et il est rapporté dans l'Adab al-moufrad de Boukhari qu'il a dit: «Il y a une sagesse dans la poésie.» L'oncle du Prophète (s) al-cAbbas a composé un poème où il célèbre la naissance du Prophète (s) en ces termes:

Lorsque tu es né, la terre brillait

et le firmament contenait à peine ta lumière!

Grâce à cette splendeur, et à cette lumière, et à cette voie bien guidée, nous pouvons espérer traverser le chemin.

Ibn Kathir mentionne aussi que d'après les Sahabas, le Prophète chanta ses propres éloges et récita de la poésie au sujet de sa propre personne en pleine bataille de Honayn dans le but d'encourager ses Compagnons et de faire peur à ses ennemis. Ce jour-là il dit: «Je suis le Prophète, en vérité! Je suis le fils de cAbd al-Moualib!»

Le Prophète (s) par conséquent était content de ceux qui faisaient son éloge et les récompensait avec ce qu’Allah lui donnait comme provisions. Si nous nous réunissons dans le but d'accomplir un acte qui nous rapproche du Prophète (s), cela veut dire que nous nous rapprochons d’Allah et bénéficions de Sa miséricorde.

• Chant et récitation de poèmes

le Prophète (s) autorisait la poésie à son égard. Anas (r) et les autres Compagnons louaient le Prophète (s) et récitaient ce poème avant la célèbre bataille des tranchées:

Nous sommes ceux qui avons prêté serment de loyauté à Mouhammad

pour la jihad aussi longtemps que nous serons en vie.

On mentionne aussi le long poème de cAbdoullah ibn Rawaqui où ce dernier chanta les éloges du Prophète (s) à son entrée à la Mecque, après cette audition le Prophète (s) pria pour lui. Il pria aussi pour un autre poète, assan ibn Thabit, afin qu’Allah le soutienne avec le Saint-Esprit. Similairement, Kacb ibn Zoubayr fut récompensé d'une robe par le Prophète pour son poème. Le Prophète demanda à Aswad ibn Sari de composer des poèmes louant Allah, et demanda à un autre de réciter le poème de 100 vers que Oumayyah ibn Abi al-al avait composé.

Au décès du Prophète, Hassan ibn Thabit récita cette éloge funèbre:

Je dis, et personne ne peux me taxer d’être dans l’ erreur,

Sauf celui dépourvu de tous les sens:

Je ne cesserai jamais de le louer.

Il se peut que faire cela m’éternise au Paradis

Avec l’Elu dont mon espoir réside en son support.

Et pour atteindre ce jour j’applique tous mes efforts.

• Chant et récitation du Coran

Allah donna la permission au Prophète(p) de réciter le Coran mélodieusement. Abou Moussa al-Achcari récitait un jour le Coran d'une voix mélodieuse et le Prophète (s) l'écoutait. Lorsqu'il eut finit, le Prophète(p) le félicita pour sa belle voix …

le Prophète(p) a dit: «Décorez le Coran avec votre voix»

Ecouter une belle voix célébrer l'anniversaire du Prophète (s) procure la paix et achemine au cœur de l'auditeur la lumière du Prophète (s), et il boira de la source de Mouhammad (s) (al-cayn al-Mouammadiyya).

10. L'unanimité (ijmac) des oulama sur la permissibilité du Mawlid

Célébrer l'anniversaire du Prophète (s) est un acte que tous les oulama du monde musulman ont accepté et continuent d'accepter

© Fondation As-Sounna d'Amérique

pour terminer :

Lors de Dèce de noble Prophète (p) Ali ibn Abitaleb versait les larmes du deuil et au moment de laver le corps sacré du Prophète psl, il déclarait avec ces mots la grande tristesse qui emplissait son cœur et se consolait ainsi lui-même:

«بأبي انت و أمّي يا رسول الله. إنقطع بموتك ما لم ينقطع بموت غيرك من النبوّة و الأنباء و أخبار السماء»

«Que mon père et ma mère soient sacrifiés pour toi ô Envoyé de Dieu! Avec ta mort une relation est coupée alors que cela n’avait pas été ainsi avec la mort des autres; avec ta mort, la suite de la Prophétie est rompue et la descente des révélations célestes est interrompue.»

«و لولا أنّك أمرت بالصبر و نهيت عن الجزع لأنفدنا عليك ماء الشؤون، و لكان الدّاء مما طلاً والكمد محالفاً، و قلّالك، و لكنّه ما لا يملك ردّه ولا يستطاع دفعه. بأبي أنت و أمّي أذكرنا عند ربّك و اجعلنا من بالك»

«Si tu ne nous avais pas ordonné la patience et l’endurance et ne nous avais pas empêché de nous lamenter, nous aurions pleuré jusqu’à ce que nos larmes tarissent et cette douleur pénible aurait été perpétuellement renouvelée en nos cœurs, ma tristesse serait restée éternelle.

Bien entendu, ceci est insignifiant face à ta peine. Que puis-je faire? La vie ne peut revenir après la mort et on ne peut empêcher la mort! Que mon père et ma mère soient sacrifiés pour toi! Souviens-toi de nous en présence de Dieu et confie-nous aux souvenirs.»

 

 

Dans un communiqué, le commandement général de l'armée syrien et des forces armées du pays a fait noter qu'après la consécration par Israël, en collaboration avec les pays hostiles du peuple syrien, de ses outils à l'intérieur pour frapper des sites vitaux et militaires en Syrie en vue de minimiser son rôle soutenant la résistance et les droits légitimes dans la région et après le succès de ses outils, notamment les gangs et les mouvements d'obscurité, de viser certains de ces sites et leurs échec de cibler beaucoup plus d'autres, des avions militaires israéliens avaient violé l'espace aérien syrien et bombardé d'une manière directe à Jemraya dans la banlieue de Damas l'un des centres de recherches scientifiques responsables de rehausser le niveau de la résistance et de l'autodéfense, et ce, après l'échec des groupes terroristes armés de mener nombre d'attaques contre ce centre pour le contrôler.

Le communiqué indique que les avions militaires s'étaient infiltrés de la région nord des monts de Hermon à une hauteur baissée et au dessous des Radars, s'étaient dirigés vers Jemraya dans la banlieue de Damas où se trouve l'un des centres des recherches scientifiques et avaient exécuté leur agression flagrante en bombardant le site, soulignant que cette attaque avaient causé de grands dégâts matériels et la destruction du bâtiment, d'un centre du développement des véhicules et d'un garage situés à proximité de ce bâtiment et fait deux martyrs et cinq blessés avant que les avions hostiles s'y étaient retirés de la même manière de leur infiltration.

Selon sana, le communiqué affirme que les nouvelles véhiculées par certains médias sur le fait que les avions israéliens avaient visé un convoi en route de la Syrie vers le Liban sont dépourvues de tout fondement, faisant savoir que les avions israéliens avaient ciblé un établissement de la recherche scientifique dans une violation flagrante de la souveraineté et des espaces syriens.

" En se référant à ce qui précède, tout le monde sait qu'Israël est le seul bénéficiaire, et l'exécuteur dans certains cas, de ce qui se passe en Syrie des actes terroristes qui visent son peuple résistant", a affirmé le communiqué.

Le communiqué ajoute : "Le commandement général de l'armée et des forces armées qui souligne que cette agression flagrante s'ajoute à la longue histoire de l'entité sioniste dans l'agression contre les Arabes et les Musulmans, affirme que tels actes criminels n'affaibliront pas la Syrie et son rôle et n'obligeront guère les Syriens à ne pas poursuivre l'appui aux mouvements de la résistance et aux justes causes arabes, notamment celle palestinienne.

Trois États allemands (Brême, Hambourg, Hesse) ont décidé de reconnaître des associations musulmanes comme des institutions religieuses officielles.

La reconnaissance officielle de ces institutions et associations musulmanes ouvre la porte à des lieux publics tels que les prisons, les hôpitaux, ou encore les institutions. Cette reconnaissance, tant attendue, élargit le champ d’action, et offre une plus grande liberté à ces associations.

Cette reconnaissance montre non seulement que l’islam fait partie intégrante de l’Allemagne, mais permettra aussi à ces organismes musulmans de proposer des cours d’enseignement religieux dans les écoles. Alors que la ville de Hambourg, avait accordé trois jours fériés pour les fêtes musulmanes (Aïd el Fitr, Aïd el Adha, Achoura), suivi par la ville de Brême, c’est une nouvelle avancée pour la reconnaissance de l’islam en Allemagne.

L’Allemagne est le deuxième pays européen détenant la plus forte communauté musulmane, la France étant la première. L’Allemagne est souvent vu comme un exemple pour la France, mais dommage que cela ne concerne pas le traitement des communautés confessionnelles.

Les musulmans d’Allemagne espèrent que d’autres États emboiteront le pas à ces trois premiers.

Faire de la microfinance islamique un levier stratégique pour combattre la précarité, tel est le pari audacieux du gouvernement djiboutien pour cette nouvelle année qui s'inscrit dans un marasme économique mondial.Pour y arriver, la Banque Centrale de Djibouti a déjà adopté un ensemble de dispositifs réglementaire afin d'encadrer la finance islamique et compléter le texte de loi en vigueur.

Contrairement aux financements classiques, la finance islamique ne pratique pas des méthodes spéculatives et ne propose pas non plus des prises d'intérêts pour rémunérer les prêts. Les banques islamiques ont recours à d'autres leviers pour se faire rémunérer.

Dans le modèle de la finance islamique, l'on distingue essentiellement, "la Moucharaka", participation aux bénéfices, "la Mourabaha", un contrat de vente avec marge bénéficiaire, "la Moudaraba", forme d'association entre un financier et un promoteur qui mettent en commun l'un les fonds nécessaires et l'autre le savoir-faire et le labeur, "le Istisnae", qui est plutôt un contrat de sous-traitance où le financier s'engage à financer la production d'un bien ou d'un service dont le prix de vente sera payé à terme par le promoteur.

"La finance islamique est fondée sur cinq principes dont les interdictions de prise d'intérêt, de l'incertitude liés aux spéculations et des actifs illicites comme l'alcool, les jeux de hasards ou le tabac, tous prohibés par la Charia. Elle repose sur le partage des pertes et profits, et l'existence d'un actif sous- jacent. Elle n'exige aucune garantie en revanche et se consacre exclusivement aux besoins vitaux du pays. De même, elle est tenue de fournir assistance et accompagnement au promoteur", a expliqué le directeur général de l'Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS). Le gouvernement djiboutien, qui a reçu récemment une enveloppe d'un million USD par la Banque Islamique de Développement (BID), a démarré à travers l'unité pilote de micro-finance islamique de l'Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS) un vaste programme qui favorise l'accès de 10.000 ménages sans sources de revenus au financement islamique.

Il s'agit de petits crédits à taux zéro grâce auxquels des femmes et hommes sans ressources financières pourront se lancer dans des activités génératrices de revenus et réaliser des projets de micros entreprises. "Sur les 241 promoteurs qui se sont portés volontaires pour demander des prêts, une centaine de dossiers sont à l'étude auprès des comités de validation des crédits. Les différents projets dont les financements sont sollicités sont principalement des boutiques et épiceries, des restaurants et des petits commerces", a déclaré le gérant de l'unité du projet de microfinance islamique de l'ADDS, M. Amin. A en croire les responsables de l'ADDS, un plan d'action est en cours pour soutenir et développer ce projet de microfinance islamique dans tous les quartiers populaires de Djibouti. Celui-ci serait axé sur une vingtaine de points dont la réussite de la première face du projet pilote ainsi que l'assistance à la création et à la réalisation d'activités génératrices de revenus. "Aujourd'hui, les utilisateurs de la microfinance ont un nouvel outil qui est mis à leur disposition et qui accroit sensiblement leurs opportunités et leurs chances d'obtenir des financements faciles et simplifiés. Il faut tout de même garder à l'esprit que le développement de ce nouveau genre d'activité tend à soutenir le travail de la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale. En cela, il mérite toute l'attention des acteurs impliqués", a fait savoir pour sa part, le responsable de la microfinance à la Banque Centrale de Djibouti, M. Mohamed Robert Carton.

"C'est pourquoi, nous devons avoir une détermination à toute épreuve pour mener à bon port ces projets pilotes de microfinance islamique afin de les voir prospérer et gagner d'autres zones touchés par la vulnérabilité. C'est une lutte pour la survie des gens et un travail profondément humain qui se joue ici quand on sait que près de 60% de la population est touchée par le phénomène de la précarité. Je pense que cela doit suffire à nous motiver tous pour aller de l'avant", a-t-il dit. L'encours de la finance islamique est aujourd'hui estimé à 1. 000 milliards USD et a enregistré une croissance de plus de 20% sur les dix dernières années. Cependant, elle reste encore faible en Afrique malgré les 412 millions musulmans qui constituent plus de 50% de la population globale estimée à 850 millions d'habitants.

mercredi, 30 janvier 2013 22:31

Le Mali, une guerre sans images !

Depuis le début du conflit, les médias ont la plus grande difficulté à s'approcher des zones d'affrontement.

Seuls les journalistes embarqués à bord des blindés français ont droit à une visite guidée. Depuis plus de deux semaines, «il y a une guerre au Mali mais on ne le voit presque pas. Il y a une guerre au Mali mais on ne la comprend pas», lance l’envoyé spécial du Figaro Tanguy Berthemet. Les médias ont la plus grande difficulté à s'approcher des zones où se déroulent des affrontements. Certains journalistes sont à 30 kilomètres des fronts. Ils devinent de loin la marche des «armées françaises et maliennes vers le nord, vers Douentza, Gao puis bientôt Tombouctou». Seuls ceux qui ont pu «embarquer» avec les troupes françaises ont pu avoir une petite idée de la réalité de l'offensive. Les autres sont à plusieurs centaines de kilomètres des villes reprises aux Islamistes. Privés d’informations et livrés aux rumeurs invérifiables.Et le journaliste de raconter son vécu sur le terrain. Tenter de suivre l'avancée des troupes par ses propres moyens, c'est quasi mission impossible. L’armée malienne dresse des barrages étanches sur les routes. Pour éviter les infiltrations de djihadistes en déroute et les risques d'enlèvement d'Occidentaux. Même tenter de se rendre à Sévaré (à 580 kilomètres de Gao), une ville qui n'est jamais tombée entre les mains des islamistes, relève déjà de la gageure. Il faut parfois contourner les points de contrôle par la brousse et négocier des heures de passage. Que dire pour Konna, la ville que les forces spéciales françaises avaient reconquise aux Islamistes le 18 janvier dernier. Les journalistes ont pu y aller bien encadrés. En visite guidée.«On conduit donc le cortège de presse devant la préfecture, l'éphémère QG local des islamistes », relate Tanguy Berthemet qui détaille les mises en scène du dispositif de communication. Avec l’arrivée, tombant à pic pour la presse, de témoins des combats entre l'armée malienne et les islamistes. Ils racontent leur terreur face aux injonctions moyenâgeuses des Islamistes, puis enfin la «libération» avec l’entrée des soldats français. Soudain, l’ordre «est vite donné de partir». Et le cortège de journalistes reprend la route, avec une histoire à raconter. Rarement, nous dit encore Tanguy Berthemet, «une guerre aura été aussi peu accessible. Pourquoi? Nul ne le sait. (...) Il n'empêche, les blocages font que la guerre au Mali est pour l'instant très mystérieuse».

Barack Obama vient de dire qu'il était, plus que toute autre personne, conscient des limites en rapport avec une intervention militaire en Syrie.

« Je dois me demander si nous serons capables de changer la situation en Syrie ? Si l'intervention militaire s'avèrera-t-elle efficace ? Quel sera l'impact d'une telle intervention sur nos capacités à soutenir les forces qui resteront toujours en Afghanistan ? », a affirmé le Président américain Barack Obama, dans une interview avec Neo Repubblica. Obama s'est refusé à tout autre commentaire sur ce sujet ; mais le quotidien Los Angeles Times a, entre temps, écrit que l'Iran avait transmis un message sérieux, plutôt, une alerte sérieuse au sujet de l'éventuelle intervention militaire en Syrie. « Le haut conseiller du Guide suprême iranien, Ali-Akbar Velayati a averti que toute attaque contre la Syrie serait considérée comme une attaque contre l'Iran ; c'est le plus sérieux message communiqué de la part de l'Iran en signe d'appui au gouvernement syrien », écrit LA Times. A ce propos, le quotidien arabophone Acharq Al-Awsat a écrit que l'Iran voyait en Syrie son maillon d'or de connexion avec la Résistance et qu'il serait prêt à défendre à tout prix le gouvernement syrien. Selon Aawsat, aussi, les déclarations de M. Velayati viennent corroborer cette question.

mercredi, 30 janvier 2013 22:22

Iran : "Adieu, dollar'!

Pour contourner les sanctions que les Etats-Unis veulent imposer à l’Iran à partir du 6 février l’Iran a déjà conclu des contrats pétroliers qui excluent le paiement en dollar. La République islamique d’Iran fait l’objet des sanctions économiques et politiques des Etats-Unis depuis 34 ans, mais en 2012, ces sanctions anti-iraniennes ont pris de nouvelles formes et des ampleurs jamais vues. Cette fois-ci, les Etats-Unis ont visé directement les exportations pétrolières de la République islamique d’Iran :

1- Dans les nouvelles sanctions qui seront mises en vigueur à partir du 6 février 2013, les Etats-Unis imposeraient des sanctions économiques et financières à toutes les banques qui s’impliqueraient dans les ventes du pétrole iranien, dans le cas où l’argent du pétrole soit transférés à l’intérieur de l’Iran. Autrement dit, les Etats-Unis veulent empêcher que l’Iran puis rapatrier l’argent de ses ventes pétrolières.

2- Le Trésor des Etats-Unis a été autorisé à bloquer les biens des personnes physiques et morales qui aideraient d’une manière ou d’une autre la République islamique d’Iran à se procurer des métaux précieux dont l’or.

3- Le Département d’Etat américain fera des exemption à une vingtaine de pays qui achètent du pétrole iranien, mais leur demandent de réduire progressivement le taux de leurs achats dans un délai de six mois à compter à partir de septembre 2012. Par ailleurs, les Etats-Unis demandent de ces pays de vendre des marchandises à l’Iran au lieu de payer par monnaie le pétrole iranien.

4- Le Département américain de la Justice a déjà commencé à ouvrir des procès contre les banques accusées d’avoir violé le régime des sanctions imposé à la république islamique d’Iran.

Mais quelles sont les mesures prises par Téhéran face aux sanctions ?

La commission du budget de l’Assemblée islamique d’Iran a annoncé il y a un mois que le gouvernement devrait réduire le taux de la dépendance budgétaire au pétrole à mesure d’un million de barils par jour, cette année.

En outre, le Parlement iranien a approuvé des mesures préventives contre les sanctions imposées au secteur du gaz et du pétrole, en décidant d’interrompre la vente d’énergie aux pays européens qui ont collaboré avec les Etats-Unis pour boycotter les hydrocarbures iraniens. Dans ce sens, l’exportation du brut et du gaz liquéfié aux 27 pays membres de l’Union européenne a été interdite. Le porte-parole du ministère iranien du Pétrole a annoncé que les pétroliers qui voulaient transférer le pétrole iranien vers les pays européens ont dû quitter les ports iraniens sans la moindre goutte de brut.

Selon le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie, publié fin 2012, les exportations pétrolières d’Iran a diminué d’un million de barils par jour. Pourtant la République islamique d’Iran a su garder ses anciens clients (Corée du Sud, l’Inde, Chine, Japon, Turquie) et s’est procuré de nouveaux acheteurs pour remplacer les pays européens. Les contrats conclus avec ces nouveaux clients sont fondés sur trois principes : durée du contrat entre 2 et 5 ans, absence de toute condition préalable, paiement rapide.

L’Iran n’est pas seul à essayer de contourner les sanctions unilatérales des Etats-Unis, car les clients du pétrole iraniens tentent eux aussi à trouver des moyens leur permettant de continuer leurs transactions pétrolières avec la République islamique d’Iran. La presse turque a révélé que depuis mars 2012, le gouvernement d’Ankara paie le pétrole iranien en or. En effet, depuis quelques mois quelques 60 tonnes d’or ont été transféré vers l’Iran. La Chine et l’Inde ont emboîté le pas aux Turcs ces derniers mois et plusieurs convois d’or ont été ainsi envoyé en Iran par les gouvernements chinois et indien. La Chine a annoncé même que si les Etats-Unis tentent de perturber les transactions pétrolières entre l’Iran et la Chine, Pékin pourrait décider de remplacer le dollar américain par le Yuan pour payer le pétrole iranien.