
تقي زاده
Dévoilement du tout nouveau chasseur iranien
Le ministre iranien de la Défense a fait part du dévoilement, d'ici quelques jours, des toutes nouvelles productions dudit ministère.
«Pendant les jours de la décade de l'Aube, une base d'observation spatiale et l'observatoire spatial ''Imam Sadeq (Béni soit-il)'', seront dévoilés, avec, pour objectif, d'observer les missions de nos convois, dans l'espace extra-atmosphérique», a déclaré, aujourd'hui, devant les journalistes, le ministre de la Défense, le Général Ahmad Vahidi, cité par Farsnews. Le ministre a fait part, également, du dévoilement du tout nouveau chasseur construit, en Iran, et qui est tout à fait différent, selon lui, des avions de chasse jamais construits, dans le pays. «L'inauguration de lignes de production, en matière de défense anti-aérienne, figure, aussi, à notre agenda», a, également, affirmé le Général Vahidi. Et en ce qui concerne l'envoi d'êtres vivants, dans l'espace, il a émis l'espoir que cela, aussi, pourrait se faire, dans des jours à venir. «Nous avons, aussi, d'autres programmes, dans le domaine balistique, qui restent à annoncer, à l'avenir», a ajouté le ministre de la Défense iranien, le Général Ahmad Vahidi.
460 millions de dollars nécessaires à la Force africaine, au Mali
Le budget du déploiement de la force africaine, au Mali, s’élève à 460 millions de dollars, selon un projet de déclaration d’aujourd’hui (lundi 28 janvier 2013) des chefs d’Etat de l’Union africaine (UA), réunis, en sommet, à Addis Abeba.
Le commissaire à la Paix et la Sécurité de l’UA, Ramtane Lamamra, a dit, lors d’une conférence de presse : "La moitié de cette somme est, immédiatement, disponible et les 25 millions restants seront apportés, sous forme de contributions obligatoires des Etats-membres, sur la base du «barème de leurs contribution au budget ordinaire»". Jusque-là, aucune information concernant le budget nécessaire à la reconstruction de l’armée malienne n’a été communiquée. Des diplomates estimaient, ces derniers jours, à 700 millions de dollars, le besoin total en financement de la Misma et de l’armée malienne.
«L’Iran envisage des vols habités, dans l’espace», (ministre de la Défense)
Selon le ministre de la Défense, l’Iran envisage d’effectuer des vols habités, dans l’espace.
Cité par Farsnews, le général Ahmad Vahidi a fait allusion, aujourd’hui, au lancement et à la récupération réussie de la fusée de recherche Pishgâm, par les experts iraniens, pour dire que cela constitue le premier pas vers l’envoi d’un être humain, dans l’espace, dans des étapes suivantes. «Cette fusée de recherche est retournée intacte et à la vitesse prévue, sur la Terre, avec, à son bord, l’être vivant, un singe», a souligné le ministre. Les experts et scientifiques aérospatiaux iraniens ont, récemment, réussi à lancer en orbite la fusée de recherche Pishgâm, transportant l’être vivant, dans l’espace, accumulant, ainsi, une réussite, dans les recherches bio-spatiales, réservées, jusqu’ici, à un nombre limité de pays. Dans le même temps, le premier drone intelligent iranien, d’une envergure de 4 mètres, d’un empennage de 3 mètre et d’un poids de 22 kilos, a été dévoilé, dans une université, à Ispahan. La vitesse de ce drone est de 100 km/h et il est capable de photographier à une altitude de 2.000 mètres.
32 millions de dollars US pour la formation des militaires maliens !
La Porte- parole du département d'état vient de le confirmer : les Etats Unis ont décidé d'octroyer 32 millions de dollars à l'effet de former les militaires maliens qui " luttent contre les milices islamistes".
cette aide annoncée par Nuland intervient alors que les Etats Unis sont dans l'impossibilité juridique d'aider le Mali puisque son président esta rrivé au pouvoir via un coup dé'tat et il n'est ap slégitime.
McDonald's condamné à payer 700.000 dollars aux musulmans
Dans la banlieue de Détroit, aux Etats-Unis, McDonald's et l’un de ses franchisés, Finley's Management Co., se sont mis d’accord pour verser 700 000 dollars, soit 525 387 euros, à la communauté musulmane, a-t-on appris récemment.
Selon notre source, si McDo a accepté de payer cette somme, c’est parce que le préjudice qu’elle a fait subir à la communauté musulmane est grand. En effet, dans l’un de ces restaurants situé dans la ville de Dearborn, McDonald's a affirmé proposer des produits halal alors que ce n’était pas le cas.L’affaire démarre en septembre 2011 quand Ahmed Ahmed, un habitant de Dearborn achète un sandwich au poulet dans l’un des restaurants McDo de sa ville, qui affiche des publicités annonçant que le restaurant vend exclusivement des Chicken McNuggets au poulet et des sandwiches McChicken halal. C’est la stupéfaction quand M. Ahmed apprend par une source travaillant dans la chaîne d’inventaire du restaurant que « souvent » on y vend de la nourriture non halal.M. Ahmed va alors se rapprocher d’un avocat, Kassem Dakhlallah, qui va mener son enquête. Il envoie une lettre faisant part de la découverte de M. Ahmed au groupe McDonald's et à la direction de Finley. Mais sans réponse de leur part, l’avocat décide de saisir la justice pour publicité mensongères en novembre 2011.Il y a seulement deux Mcdo qui vendent des produits halal aux Etats-Unis et tous les deux se trouvent à Dearborn, qui est l’une des villes où vit une très importante communauté musulmane. La banlieue de Détroit compte ainsi 150 000 musulmans.McDo aurait donc eu tout intérêt à y proposer une offre halal. Recourir à cette publicité mensongère ne peut que faire bondir les musulmans.Pourtant, le règlement de Finley stipule qu’il « dispose d'un système soigneusement conçu pour préparer et servir halal tels que les produits de poulet halal sont étiquetés, entreposés, réfrigérés et cuits dans halal zones réservées » et que les employés sont formés « à la préparation de la nourriture halal ».En acceptant de verser 700 000 € de dommages et intérêts à la communauté musulmane, McDo et Finley reconnaissent leur tord. Dès le départ, McDo a pris au sérieux cette affaire, précise M. Dakhlallah.L’accord sera finalisé le 1er mars. Cette somme sera partagée pour le faire bénéficier à l’ensemble de la communauté musulmane de la ville qui a pu être victime de cette tromperie depuis le démarrage de l’offre halal en septembre 2005.La Clinique Huda, qui a vu le jour grâce à la communauté musulmane, devrait recevoir 275 000 $ (206 402 €) et le musée national des Arabo-Américains (The Arab American National Museum), près de 150 000 $ (112 583 €). Quant aux avocats, ils devraient toucher 230 000 $ (172 627 €) et M. Ahmed, 20 000 $ (15 000 €).
La grande leçon de patriotisme d'Hassan Nasrallah, par Ghaleb Kandil
Le secrétaire général du Hezbollah, sayyed Hassan Nasrallah, a donné une bonne leçon de civisme et de patriotisme à tous ses détracteurs et adversaires qui le soupçonnent des plus mauvaises intentions et l'accusent des pires maux. Dans un discours qui peut être considéré comme le couronnement d'une série de prises de position, le chef du Hezbollah a proclamé son attachement à l'Etat et au Liban en tant que patrie définitive. S'adressant aux membres du parti, il a reconnu que par le passé, le Hezbollah a pu voir le Liban comme une création du colonialisme et une partie de l'Oumma. "C'était à l'époque la guerre civile, et aujourd'hui nous avons changé et nos priorités ne sont plus les mêmes, a-t-il dit. Nous voulons maintenant protéger le Liban et y préserver l'Etat. Ce pays est le notre et le drapeau estampillé du cèdre est notre drapeau".
Ces propos d'un franchise sans pareil constituent une gifle à tous ceux qui accusent le Hezbollah d'être une marionnette de l'Iran, de ne pas croire au Liban et de se comporter comme un Etat dans l'Etat.
Sayyed Nasrallah a également donné une preuve de sa bonne foi à ses partenaires et alliés politiques, notamment chrétiens, en levant toute ambigüité au sujet de ses options législatives en annonçant que son partit votera en faveur du projet de loi électorale orthodoxe parce qu'il faut "écouter et comprendre les craintes des chrétiens".
Dans un discours prononcé vendredi à l'occasion de la fête de la naissance du Prophète, le leader Hezbollah a affirmé "comprendre les appréhensions" qui animent les chrétiens et les poussent à rechercher une parité parfaite avec les candidats musulmans". "Le choix d’une loi électorale dans les circonstances actuelles est très délicat, plus délicat que jamais auparavant, en raison des circonstances que traversent le pays et la région et affectent tout particulièrement le Liban, a dit Hassan Nasrallah. Et tout naturellement, les appréhensions des chrétiens sont plus fortes, en particulier quand ils voient ce qui se passe dans la région, ce qui s’est passé avec les chrétiens d’Irak. Ils ont le droit d’avoir peur et de considérer que les événements sont déterminants et loin d’être ordinaires. C’est pourquoi ils abordent ces élections avec des idées fondatrices."
Les principales forces chrétiennes appuient le projet orthodoxe qui, pensent-elles, permet aux chrétiens de choisir leurs représentants authentiques. "Une fois que la chambre sera convoquée nous le disons sans détour, nous voterons pour le projet de loi orthodoxe", a assuré le chef du Hezbollah. "Les chrétiens affirment que le projet orthodoxe leur donnera l’occasion d’être représentés pleinement. Offrons-leur, comme musulmans, cette occasion et élisons un Parlement où personne ne pourra affirmer qu’il n’est pas équitablement représenté en fonction de son véritable poids électoral, et ce Parlement offrira peut-être au Liban l’occasion de corriger le système en place", a-t-il dit.
Hassan Nasrallah a qualifié de "fondamental" le mode de scrutin proportionnel, qui est le plus à même de donner aux différentes forces politiques "leur véritable poids électoral" et de permettre au maximum de forces significatives d’accéder au Parlement.
Pour Hassan Nasrallah, le découpage des circonscriptions vient en second lieu, du moment que le mode de scrutin proportionnel est adopté. "Le parti acceptera tous les projets basés sur ce mode de scrutin, que le Liban soit adopté comme circonscription unique où que le découpage soit au niveau des mohafazats, a-t-il dit, en soutenant également l'option du projet mixte, alliant la proportionnel au mode de scrutin majoritaire.
Hassan Nasrallah a réfuté les arguments avancé par le Courant du futur pour rejeter la proportionnelle, selon lesquels les armes avaient été utilisées pour influer sur l’issue du scrutin, en 2009. "Le type d’armes qui peut influer sur un vote ce ne sont pas les missiles, mais les kalachnikovs qui sont aux mains de tous", a déclaré Hassan Nasrallah. Selon lui, il existe, en revanche, une arme bien plus significative qui peut fausser les résultats du scrutin: celle de l’argent. "J'ai entendu dire de ma propre oreille un haut responsable, dont je tairai le nom, affirmer que lors de la campagne de 2009, l’autre camp a dépensé 3 milliards de dollars", a-t-il dit.
Sayyed Hassan Nasrallah a mis en garde les forces politiques contre le discours confessionnel et les a appelé à ne plus parier sur un effondrement du régime syrien. Selon lui, les conflits qui secouent le monde arabe sont d'ordre politique avant tout. "Ne jouons pas avec le feu, ne prenons pas le risque de libérer le génie de la discorde confessionnelle de sa lampe; nous ne pourrions plus l’y faire rentrer!", a-t-il conclu.
Pourquoi la Syrie est-elle la ligne rouge pour l'Iran?
Pour mieux comprendre les différents aspects stratégiques des liens entre l’Iran et la Syrie, il faut, d’abord, remonter aux origines de leurs relations.
Dès l’indépendance de la Syrie, l’Iran a reconnu le gouvernement syrien et les deux pays ont toujours exprimé leurs intérêts réciproques, pour établir des relations amicales. Pourtant, il fallait attendre le début des années 1970, pour que Téhéran et Damas puissent développer des liens diplomatiques et politiques. La visite, à Téhéran, de l’ancien président syrien, Hafez Assad, en 1975, fut un tournant important, dans les relations entre les deux pays. Pourtant, avant la victoire de la Révolution islamique de 1979, en Iran, ces relations étaient en proie à différents défis dus aux relations du régime du Shâh avec israël, aux prises de position anti-arabes de Téhéran, ainsi qu'aux distances entre la Syrie et l’Occident.
Les relations des deux pays se sont développées, après la victoire de la Révolution islamique, en Iran. Depuis trois décennies, malgré des divergences de vue, sur certaines questions, Téhéran et Damas ont toujours eu de très bonnes relations. En ce qui concerne l’Iran, ce pays a obéi, pendant toutes ces années, à une logique réaliste, pour développer ses liens avec Damas, dans le cadre de ses intérêts nationaux :
1-Malgré toutes les pressions régionales et internationales, la République islamique d’Iran a toujours essayé d’établir des liens stratégiques avec les acteurs régionaux. Le rapprochement stratégique avec la Syrie en est un bon exemple. En effet, la promotion des coopérations stratégiques avec Damas a été, sans doute, l’un des facteurs indéniables du progrès des approches politiques et sécuritaire de l’Iran, dans la région. En effet, les deux pays ont toujours développé leurs relations bilatérales, en fonction des réalités de la région et de leurs besoins, de part et d’autre.
2-La situation géopolitique de la Syrie a fait de ce pays un acteur important de toutes les équations régionales. De sorte que certains analystes surnomment la Syrie «le plus grand petit pays du monde».
3-Après la victoire de la Révolution islamique de 1979, en Iran, surtout, après la guerre de huit ans que le régime déchu de Saddam Hussein avait imposée à l’Iran, un climat tendu s’était créé, dans la région, suggérant une rivalité entre l’iran et ses voisins arabes. Les relations étroites entre l’Iran et la Syrie ont permis à Téhéran de contenir ce climat.
4-En ce qui concerne la question de la Palestine, la République islamique d’Iran avait besoin d’un allié régional, pour compenser son éloignement géographique, par rapport aux territoires occupés de la Palestine.
5-Pour pouvoir mieux défendre les intérêts de la communauté chiite du Liban, l’Iran avait encore besoin de ses liens avec la Syrie, compte tenu du rôle important que Damas a toujours joué, dans les évolutions libanaises.
Il est, donc, évident que ce qui se passe, aujourd’hui, en Syrie, a, directement ou indirectement, des effets indéniables sur les intérêts nationaux de la République islamique d’Iran, car la Syrie joue le rôle de pont entre Téhéran et le front de la résistance anti-sioniste. C’est dans ce contexte que Téhéran annonce, explicitement, que la Syrie constitue la ligne rouge de sa sécurité nationale.
La fraternité est plus importante que l’unicité
Insistant sur le conseil de l’islam consernant l’importance de la fraternité au sein de la communauté musulmane Cheikh Akhtari a souligné que le saint Coran insiste dans beaucoup de ses versets sur la fraternité parmi les musulmans. Cela montre que la fraternité est un peu plus importante que l’unicité de point de vue de l’islam.
Selon le rapport de l’agence de presse TAGHRIB (APT), cheikh Mohammad Hassan Akhtari, secrétaire général de l’assemblée mondiale de l’Ahlulbayte (AS), félicitant l’anniversaire du Noble prophète de l’islam et de l’Imam Sadiq (AS) a souligné : les musulmans doivent prendre la vie comme un exemple dans leur vie.
Dieu a créé la société qu’on peut considérer comme une famille. Dans une famille, il y a un père et les autres sont frères et sœurs. Les membres d’une société musulmans sont frères et sœurs, a-t-il insisté.
Plus de 3000 personnes ont signé le Code de l’Unité islamique, de grands scientifique comme le professeur Mohammad Ismaïl Osman qui a déclaré une fatwa pour le rapprochement entre les chiites et sunnites ont signé ce Code.
Les lettres du ministère syrien des Affaires étrangères à l’ONU
Selon la chaîne Al-Alam, le ministère syrien des Affaires étrangères a envoyé lundi, deux lettres séparées, à l’ONU, à fin d’expliquer à cette organisation internationale, le programme politique du gouvernement syrien, pour résoudre la crise du pays. Dans ces deux lettres, qui ont été adressées, respectivement, au secrétaire général et au président du Conseil de sécurité de l’ONU, le gouvernement syrien explique qu’il est en train d’exécuter le plan de Bachar al-Assad, dont les clauses ont été bien définies, lors de son dernier discours. Dans ces deux lettres, il est, ainsi, ont expliqué que le gouvernement de Damas est fidèle à la Charte des Nations Unies, aux lois internationales et au communiqué de Genève et qu’il se voit investi de l’obligation de les exécuter. Dans les mêmes lettres, il a été exigé des autorités de l’ONU, de prendre les mesures nécessaires, pour former un tribunal, qui enquêtera sur les complots de certains pays qui envoient des armes, en Syrie. Selon le plan d’Assad, le ministère de l’Intérieur de la Syrie doit préparer le terrain au retour des Syriens, qui ont quitté le pays, à cause de l’insécurité, et en annonçant une amnistie générale, il est précisé qu’il faudra réintégrer, à nouveau, tous ceux qui déposeront les armes, au sein du peuple syrien. Le Président syrien, Bachar al-Assad, dans un discours, prononcé, le 6 janvier 2013, à l’Université de Damas, a annoncé que les dialogues nationaux, ainsi qu’une préparation aux élections, sont les seules solutions à la crise syrienne. Les autorités syriennes sont d’avis que les complots des Américains et de leurs alliés empêchent le retour à la stabilité, en Syrie. Les Etats-Unis, en trouvant des alliés, parmi quelques pays arabes et occidentaux, ont cherché, dès le début, à renverser le gouvernement d’Assad, et après l’échec de ce scénario, ils l’ont remplacé par une guerre d’usure, en Syrie. C’est ainsi qu’au cours de ces deux dernières années, la politique des aides militaires, politiques et économiques aux opposants syrien, à l’intérieur et à l’extérieur du pays, a été mise en pratique, en Syrie, dans le but de briser la résistance du peuple et du gouvernement syrien. Aujourd’hui même, la réunion internationale des opposants syriens, a lieu, à Paris, en présence des leaders des coalitions et des responsables des organisations régionales et internationales. Au cours de cette réunion, la Coalition des opposants syriens a demandé à la communauté internationale de poursuivre son soutien logistique et financier à la coalition. C’est pour cette raison que le président syrien, affirme que les Etats-Unis se livrent à un jeu politique, dans la région, et ne s’intéressent à aucune solution, à propos de la Syrie. Les deux fronts des opposants syriens s’affrontent, maintenant, dans une guerre sans merci. Le pays est, désormais, visé par une guerre militaire et une guerre psychologique, en même temps que l’on essaye de mettre sous pression le peuple et le gouvernement syriens.
La cérémonie de fermeture de la 26e conférence de l’Unité islamique
La cérémonie de la fermeture de la 26e conférence de l’Unité islamique à Téhéran.
La cérémonie de la fermeture de la 26e conférence a lieu en présence de l’Ayatollah Mohsen Araki, secrétaire générale du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques ; l’Ayatollah Mohammad Ali Taskhiri, conseiller du guide suprême pour les questions islamiques et Cheikh Niki Maleki, directeur général de l’agence de presse TAGHRIB (APT)et des scientifiques musulmans commence ce soir.
Le président du parlement iranien, Ali Larijani aurait un discord dans cette cérémonie.