تقي زاده

تقي زاده

Un haut responsable de l’administration américaine a souligné que son pays était en passe de négocier avec les pays de l’Afrique du Nord en vue d’y installer des drones.
Ce responsable américain ayant requis l’anonymat a ajouté que ces tractations sur le déploiement des drones dans une base en Afrique du Nord visaient à renforcer la soi-disant surveillance sur le groupe takfiri-sioniste Daech. Il a prétendu que la création de telles bases, à proximité du centre de stationnement des terroristes de Daech en Libye, aiderait les Etats-Unis à remplir les fissures entravant la collecte d'informations sur les activités de ce groupe takfiri-sioniste en Afrique du Nord. Jusqu’à présent, aucun pays de l’Afrique du Nord n’avait proposé aux Etats-Unis l'accès à ses bases.

Soutenue par des milices chiites et sunnites, l'armée irakienne a lancé lundi une opération militaire visant à reprendre la province d'Anbar, a indiqué l'armée. Daech s'est emparé il y a deux mois de Ramadi, capitale de cette province, la plus vaste du pays.
"A cinq heures du matin, les opérations pour la libération d'Anbar ont été lancées", a dit l'armée dans un communiqué lu à la télévision.


Il précise que l'offensive a été menée par l'armée, les Comités de mobilisation populaire (Hachid al Chaabi), des forces spéciales, la police et des groupes tribaux sunnites.


Falloudja, première cible
Le communiqué ne donne pas davantage de détails, mais selon des officiers irakiens et des commandants des Hachid al Chaabi, la première cible visée est la ville de Falloudja, située à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Bagdad.

Un attentat-suicide à la voiture piégée a fait au moins 25 morts et dix blessés dimanche dans le sud-est de l'Afghanistan, aux abords d'une base militaire américaine, a rapporté la police afghane. Les victimes sont toutes des civils.
L'attaque s'est produite à proximité d'un poste de contrôle, dans les faubourgs de la ville de Khost, où plusieurs véhicules étaient arrêtés, a déclaré le chef de la police de Khost, Faizullah Ghairat. Aucun membre du personnel de la base de Camp Chapman, où sont stationnés soldats afghans et étrangers, ne figure parmi les victimes, a fait savoir l'armée américaine.


Les victimes sont toutes des civils. Dans le conflit qui oppose les talibans au gouvernement de Kaboul depuis la chute de leur régime en 2001, ils payent en effet le prix fort. Près de 1000 Afghans sont morts dans des violences au cours des quatre premiers mois de l'année, selon l'ONU.


L'attentat-suicide de dimanche soir s'est produit "alors que les habitants se dépêchaient de rentrer chez eux pour l'iftar", le repas de rupture du jeûne du ramadan, a indiqué à l'AFP Faizullah Ghairat, le chef de la police de Kost.


Les rebelles talibans n'ont pas revendiqué l'attaque dans l'immédiat, mais les forces de sécurité afghanes et étrangères font partie de leurs cibles de prédilection. Camp Chapman avait été visé en décembre 2009 par un spectaculaire attentat-suicide revendiqué par Al-Qaïda, qui avait tué sept agents de la CIA.

Le porte-parole du bureau de Premier ministre irakien a demandé que la région du Kurdistan irakien respecte l’accord pétrolier Erbil-Bagdad.
Saad al-Hadisi, porte-parole du bureau du Premier ministre irakien, a déclaré dimanche à l’agence de presse Al-Maalouma, que la région du Kurdistan irakien devrait éviter de prendre des décisions unilatérales sans consulter ses partenaires politiques.
Saad al-Hadisi a ajouté que la région du Kurdistan irakien n’avait pas livré à la compagnie nationale de pétrole d’Irak le brut qui est destiné à être exporté et qui, selon l’accord et la loi du budget irakien, est estimé à 550.000 barils par jour. Le Kurdistan irakien doit livrer sa part de production de brut déterminée, au gouvernement central pour l’exportation, tout en recevant sa part de 17% du budget. En juin dernier, la région du Kurdistan irakien a livré au gouvernement central, 150.000 barils par jour, alors que selon l’accord pétrolier, elle doit livrer 550.000 barils par jour.
Selon Heysam al-Jobouri, membre de la commission des finances au Parlement, le Kurdistan irakien vend tous les jours des centaines de barils de brut illégalement aux parties étrangères. La crise pétrolière entre Erbil et Bagdad a toujours été un défi pour eux. Ce défi a créé alors une crise politique dans le pays. La démarche arbitraire de la région du Kurdistan irakien qui vend le brut sans en verser les revenus au Trésor du gouvernement central, est à l’origine d’une double souveraineté en Irak où certaines parties exploitent la situation pour assurer leurs intérêts personnels. Cette attitude de la région du Kurdistan irakien a aussi affecté l’économie du pays. Plus de 90% du budget irakien dépend des revenus pétroliers et tout désordre dans les exportations du brut, pourrait engendrer des problèmes pour le développement du pays. Le 2 décembre 2014, Erbil et Bagdad ont signé un accord pour régler la crise pétrolière. Tous les Irakiens espéraient ainsi que le conflit politique s’achèverait et que l’interaction remplacerait la divergence qui portait atteinte à l’unité et l’intégrité territoriale. Les ennemis aussi auraient tenté de profiter de ce conflit. L’Irak devra aujourd’hui relever des défis sur les scènes politique, sécuritaire et même économique. Par conséquent, l’unité et la solidarité nationale sont des éléments principaux pour que les Irakiens l’emportent sur le terrorisme de Daech ainsi que sur la crise économique due à la guerre et à la baisse du prix du brut.

Au moins 21 personnes sont mortes et 62 ont été blessées dimanche à Bagdad dans une série d'attentats à la bombe, dont deux attentats suicide, dans des quartiers à majorité chiite, ont indiqué des sources policières et médicales.
Dans le quartier d'Al-Shaab (nord-est), deux explosions ont eu lieu, dont l'une lorsqu'un kamikaze a actionné sa veste bardée d'explosifs, ont indiqué un colonel de la police et un responsable du ministère de l'Intérieur.

Parmi les onze personnes tuées dans ces deux explosions, au moins trois personnes étaient des membres des forces de sécurité, a déclaré la police.

Les deux attentats, qui ont lieu près d'un marché, ont également fait 23 blessés.

Un attentat suicide à la voiture piégée sur la place Adan, près d'une entrée du quartier chiite de Kazimiya, a fait six morts et vingt blessés juste avant l'heure de la rupture quotidienne du jeûne du ramadan (iftar).

Dans le quartier d'Al-Bunuk, une autre voiture piégée a explosé près d'un restaurant très populaire, faisant au moins deux morts et onze blessés, selon les mêmes sources.

Deux autres personnes ont également été tuées et huit blessées dans l'explosion d'un véhicule chargé d'explosifs dans le quartier d'Iskan.

Les attentats n'ont pas immédiatement été revendiqués mais ce mode opératoire est fréquemment utilisé par le groupe extrémiste Daech, qui occupe de vastes pans de territoire irakien à l'ouest et au nord de Bagdad.

Indiquant la nécessité de la constitution de l'union islamique, le secrataire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques l'ayatollah Araki a dit: si les pays islamiques sont unis, une grande puissance politique, économique et culturelle sera constituée qui jouera des rôles positifs en faveur du peuple de la région.
Si les pays islamiques sont unis, une grande puissance politique, économique et culturelle sera constituée qui jouera des rôles positifs en faveur du peuple de la région et du monde, a déclaré l'ayatollah Araki dans une rencontre avec l'ambassadeur de Tadjikistan en Iran Namatollah Emam-Zadeh.

Si l'union islamique constituée de pays islamique est constitué, les pays membres pourront prendre une position unie dans les domaines économiques et politiques. Cela pourra servir le peuple de la région et du reste du monde, a-t-il souligné.

Insistant sur la constitution de la conférence de la Paix islamique, l'ayatollah Araki a poursuivi: les pays islamiques doivent constituer une conférence permanente de la paix pour restaurer la paix, créer l'unité et diminuer les tensions entre les pays islamiques.

Nous espérons le développement des coopérations entre le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique et le Tadjikistan. L'université des Ecoles islamiques, liée au Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, qui offre les sciences islamiques selon les écoles islamiques et dont les étudiants sont issus des pays de la région est prêt à accueillir des étudiants tadjiks, a-t-il ajouté.

L'Iran est l'axe de la résistance contre le terrorisme dans la région. L'Iran est toujours avant-garde dans la lutte contre le terrorisme, a déclaré l'ambassadeur tadjik au début de cette rencontre.

Il a également demandé le renforcement de la coopération entre le Tadjikistan et l'Iran, surtout avec le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques dans le domaine du l'enseignement religieux des étudiants tadjiks.

L'ambassadeur du Tadjikistan a également invité l'ayatollah Araki à participer à la conférence de la lutte contre l'extrémisme qui sera tenue dans des semaines au Tadjikistan.

La Ligue Arabe a appelé les ministres de renseignement des Etats membres de consacrer une semaine au soutien à Al Qods.

Selon le site d’informationYoum7, la Ligue Arabe a demandé aux ministres de renseignements des Etats membres de nommer une semaine de soutien à Al Qods face aux agressions du régime sioniste, afin de définir les efforts déployés par ce régime dans le sens de la judaïsation d’Al Qods et du changement de l’identité historique et démographique de la ville.
Le représentant de la Palestine auprès de la Ligue Arabe a indiqué dans un communiqué publié le dimanche 12 juillet : « Le secrétariat de la Ligue Arabe a demandé aux ministères de renseignement et aux instances liées aux médias dans les pays membres de la ligue, de renforcer leurs projets et plans en soutien à Al Qods et de consacrer une semaine au soutien à Al Qods et à ses habitants face aux agressions de l’ennemi sioniste. »
La Ligue Arabe a également appelé tous les organes et toutes les instances dans les pays arabes à mener des efforts afin de garder vivant, la question palestinienne et la cause d’Al Aqsa et d’Al Qods ainsi que ses sacro-saints islamiques et chrétiens chez les nations arabes et musulmanes.
La Ligue Arabe a souligné la nécessité de soutenir Al Qods surtout au niveau des médias.

lundi, 13 juillet 2015 13:17

Le jeûne et la lutte contre le cancer

Le centre « Cancer Active » a annoncé que le jeûne permettait un renforcement du système immunitaire et de diminuer les effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie.

Le docteur Valter Longo du Centre de cancérologie de l’université de Californie, le professeur Thomas Seyfried de Boston, et Dominic D´Agostino, professeur de micro pharmacologie à l’université de Californie, et le Centre américain Max-Plank, ont démontré les effets bénéfiques du jeûne sur le traitement des cancers.
Des études effectuées entre 2008 et 2013 ont montré les effets positifs du jeûne et de la baisse d’apports en calories dans le traitement des cancers.
En 2007, une recherche a montré que la baisse de l’apport en calories entrainait une baisse du risque de maladies cardiaques et du diabète.
En 2013, la revue d’oncologie a publié des articles sur les effets positifs du jeûne sur le bon déroulement des radiothérapies et des chimiothérapies.
En 2014, Le docteur Valter Longo a montré que le jeûne faisait disparaitre les globules blancs vieillis et que trois jours de jeûne pouvait améliorer sensiblement le système immunitaire.
Dominic D´Agostino, professeur de micro pharmacologie à l’université de Californie, a montré que le jeûne privait les cellules cancéreuses de glucose et avait un effet positif sur la destruction des cellules cancéreuses.

dimanche, 12 juillet 2015 15:46

Profitez de l’occasion

En ce noble mois, maintenant que vous avez été conviés à la salle de réception divine, si vous n’avez pas trouvé la connaissance de la Réalité suprême ou si votre connaissance n’a pas augmenté, sachez que vous n’êtes pas vraiment devenus hôtes de Dieu et que vous ne vous êtes pas acquittés des devoirs d’un hôte. Il ne faut pas que vous oubliiez qu’en ce mois béni, qui est le mois de Dieu, les portes de la miséricorde divine sont grandes ouvertes pour les serviteurs et que, selon les hadiths, diables et démons sont ligotés et enchaînés. Si vous ne pouvez vous améliorer et amender, surveiller et contrôler l’âme qui pousse au mal, dominer les passions de l’âme et couper votre lien et attachement à ce bas monde et aux choses matérielles, il vous sera difficile de pouvoir réaliser ces choses après la fin du mois du jeûne. Profitez donc de l’occasion et employez-vous à améliorer, amender et purifier ce qui vous concerne avant que cette sublime effusion de grâces ne cesse. Préparez et apprêtez-vous pour accomplir les devoirs du mois du jeûne.
Ne soyez pas tels que, comme une montre remontée par la main de Satan avant l’arrivée du mois de Ramadhãn, vous soyez machinalement occupés, en cet unique mois où les diables sont enchaînés, à désobéir et à enfreindre les prescriptions de l’Islam. Parfois, en raison de son éloignement de Dieu et de la quantité de ses désobéissances, l’homme désobéissant et pécheur s’enfonce tellement dans les ténèbres et l’ignorance qu’il n’est même plus besoin que Satan le tente: il devient lui-même satanique.

Le «baptême de Dieu» est à l’opposé du baptême de Satan. Quelqu’un qui suit les passions de son âme et emboîte le pas à Satan devient peu à peu satanique. Prenez la décision, au moins pendant cet unique mois, de vous surveiller, d’éviter les propos et les actes que Dieu le Très-Haut, béni soit-Il, n’agrée pas. Dès à présent, en cette séance même, prenez envers votre Seigneur l’engagement de vous abstenir, pendant le mois béni de Ramadhãn, de médire des autres, de les dénigrer et de les calomnier. Maîtrisez votre langue, vos yeux, vos mains, vos oreilles et vos autres membres.

Les négociateurs iraniens et ceux des 5+1 travaillent d'arrache pied à Vienne, pour parvenir à un accord nucléaire. Jeudi, les Etats Unis d'Amérique ont, soudain, changé leurs exigences, en pleines négociations, poussant Zarif à dire ceci : "On ne peut changer de cheval, en pleine course".. mais si cet accord, sur lequel a misé plus que la moitié de la planète, échouait, que risque-t-il de se produire? La revue américaine, "Foreign Affairs", revient sur la phrase fatidique du Congrès, celle qui dit qu'un "mauvais accord est pire que l'absence de tout accord", pour se pencher sur les impacts d'un échec éventuel des pourparlers nucléaires : "L'échec des pourparlers nucléaires ou l'annulation des accords passés par le Congrès mettront le Moyen-Orient face aux obstacles suivants :

l'extension du programme nucléaire iranien
l'amplification des risques d'une confrontation militaire
la perte des occasions de coopérer avec l'Iran, dans différents domaines

Du point de vue des Etats Unis, la signature d'un accord avec l'Iran contiendrait les dangers suivants :

la violation de l'accord nucléaire, par l'Iran
une reprise des activités nucléaires, après l'annulation de l'accord
la poursuite d'une partie du programme nucléaire iranien, de façon secrète, et loin de la surveillance des instances de surveillance.

Il existe de nombreuses évaluations de possibles difficultés qui risqueront de surgir. Le cilmat de confiance, qui régnait sur les négociations Etats Unis/Union sovétique, vers la fin de la guerre froide, n'existe pas. Ceci dit, ces divergences réelles ne devront pas nous faire perdre de vue les risques qui existent, si l'accord ne venait pas à être conclu.
Le premier, et de loin, le scénario le plus dangereux, qui risque de se reproduire, c'est que l'Iran pourrait reprendre ses activités nucléaires, celles, suspendues depuis deux ans, soit après la signature de l'accord de Genève, en 2013. Si les sanctions imposées contre l'Iran ne se réduisent pas, de façon sensible, l'Iran pourrait être tenté de reprendre ses activités d'enrichissement, de façon à ce que le délai de fabrication de la bombe se réduise. En l'absence d'un accord nucléaire, l'Iran pourrait se rapprocher de la bombe atomique, sans, d'ailleurs, violer le TNP.
Mais le scénario, encore, plus périlleux consisterait à ce que l'Iran finisse par claquer les portes des négociations, sans que ce soit à lui qu'en revienne la faute!! Dans ce cas, le consensus autour des sanctions anti-iraniennes va se briser; ces sanctions ne pourront se maintenir, sans le suivisme de la Chine, de l'Inde et de la Corée du sud et du Japon. Certaines estimations affirment que les exportations pétrolières iraniennes se seraient réduites de moitié, du fait des sanctions, faisant perdre à l'Iran près de 4 milliards de dollars de revenus pétroliers. Un échec des pourparlers nucléaires pourra, toutefois, mettre en cause le régime des sanctions anti-iraniennes, surtout, si le Congrès provoque cet échec. La pire des choses sera, alors, d'une part, la possibilité, pour l'Iran, de développer son programme nucléaire, tout en amortissant les pressions qu'il subit, depuis des années.
Par ailleurs, l'absence d'un accord amplifiera les risques des tensions militaires avec l'Iran. Si l'accord n'a pas lieu, les anti-Accord, en Iran, se renforceront, ce qui revient à dire que le Hezbollah, la Syrie et l'Iran bénéficieront de davantage de soutien iranien. Certes, Israël et le Hezbollah ne veulent pas en venir aux mains, mais dans un contexte de non accord, tout peut arriver. les tensions frontalières Israël/Hezbollah pourraient, très rapidement, virer à la catastrophe. Dans un contexte de non accord, Israël pourrait, aussi, être amené à bombarder l'Iran, et l'Iran à y répondre ...et les régimes arabes, à se lancer dans une course effrénée aux armements.