تقي زاده

تقي زاده

بسم الله الرحمن الرحيم
Grâce au Nom de Dieu,

Le Tout-Miséricordieux et Très-Miséricordieux

8. De Ali Ibn Mohammed Ibn Abdullah, selon Ibrahim Ibn Ishaq Al-Ahmer, selon Mohammed Ibn Soulayman Al-Daylami, selon son père déclarant avoir fait remarquer à Abu Abdullah , Imam Jafar as-Sadeq (s) : « Untel se glorifie de sa pratique, de sa Religion, et de ses bonnes grâces.

« L’Imam (s) : Quel est le degré de son Intelligence ?

« Le demandeur : La adri-Je ne sais pas.

« L’Imam (s) : La rétribution est fonction du degré de l’Intelligence. Parmi l’une des îles des océans, un homme des Bani Israël adorait الله-Allah. Cette île verdoyante était belle à regarder, très boisée et abondamment fournie en eau.

« Un Ange passant par-là, découvrit l’homme en question, il demanda à الله-Allah : O mon Seigneur ! Fais-moi connaître la rétribution de Ta créature vivant sur cette île.

« الله تعالى-Allah Ta’ala lui fit voir sa rétribution.

« L’Ange la considéra très modique.

« الله تعالى-Allah Ta’ala lui révéla d’aller lui tenir compagnie. L’Ange se présenta à lui sous une forme humaine.

« L’homme demanda : Qui es-tu ?

« La forme humaine lui répondit : Je suis un homme adorateur. J’ai été avisé de ton lieu et de ta pratique adorative. Aussi, je suis venu à toi pour adorer الله-Allah en ta compagnie.

« Ils demeurèrent ensemble une pleine journée.

« Le matin suivant, l’Ange lui dit : Ton lieu de séjour est splendide et agréable à vivre. Il convient parfaitement bien à l’adoration.

« L’adorateur enchérit par : Ici, il y a un désavantage.

« L’Ange : Quel est ce désavantage ?

« L’adorateur : Il n’y a, ici, aucun animal de notre Seigneur ? Si le Seigneur avait un âne ici, nous pourrions nous en occuper d’autant que les herbages se perdent.

« L’Ange : Ton Seigneur ne possède aucun âne ! ?

« L’adorateur : S’IL possédait un âne, cette herbe ne serait pas inutile.

« الله-Allah révéla à l’Ange : Je le rétribue en fonction du degré de son Intelligence ».

 
 Uçul Al-Kafi – Tome 1 – page 28.29., hadith 8. Adaptation de l’arabe au français par A. & H. Benabderrahmane.

À suivre.?????? allahuma sali allah mouhamamd wa Ali mouhamamd?

Une invocation de l’Imam as-Sajjâd(p)

« Ô Permanent, ô Perpétuel, ô Vivant, ô Sustentateur !

Ô Celui qui dissipe les chagrins !

Ô Celui qui soulage les soucis !

Ô Celui qui envoie les Messagers !

Ô Celui qui est Sincère dans la promesse !

Prie sur Mohammed et sur sa famille

Et fais de moi selon ce dont Tu es Digne ! »

  • يَا دَائِمُ يَا دَيْمُومُ
  • يَا حَيُّ يَا قَيُّومُ
  • يَا كَاشِفَ اَلْغَمِّ يَا فَارِجَ اَلْهَمِّ
  • وَ يَا بَاعِثَ اَلرُّسُلِ يَا صَادِقَ اَلْوَعْدِ
  • صل علی محمد و آل محمد 
  • وافعل بی ما انت اهله
De l’Imam as-Sajjâd(p), ‘Uyûn Akhbâr at-Ridâ(p), vol.1 pp62-63 citée par Diyâ as-Sâlihîna p531
Le chiisme contemporain et la cause palestinienne : 
 
La révolution iranienne et le Hezbollah libanais, deux freins du projet sioniste de Grand Israel.
Actualités, Cause Palestinienne / Par laye

Située au Proche-Orient, la Palestine est une zone charnière aux enjeux culturels, économiques et stratégiques énormes entre l’Afrique, l’Asie et l’Europe. En effet, cette petite région est à la fois le berceau de trois religions révélées (Judaïsme, Christianisme et Islam) et abrite depuis l’antiquité le Croissant fertile (Palestine-Syrie-Irak), une oasis dans un immense désert. 
Aujourd’hui, à cause de ces enjeux, deux peuples différents (arabes musulmans et hébreux juifs) luttent pour un même territoire : la Palestine. 
La création de l’Etat d’Israël sur les ruines de l’empire turc ottoman a ouvert un cycle de conflits entre sionistes juifs et différents Etats arabes musulmans condamnant la population palestinienne à une vie en exil sous les yeux impuissants de la communauté internationale.
 Si les relations semblent se normaliser entre Israël et certains Etats arabes, les musulmans de par le monde partagent encore le chagrin du peuple palestinien. Cependant la plupart des recherches abordant la cause palestinienne mettent rarement l’accent sur l’apport de la révolution iranienne et ses effets. C’est dans ce sens que ce présent article prend son originalité dans la mesure où il se donne comme objectif de revenir sur une histoire séculaire de la Palestine avec ses différents rebondissements et ses incohérences accordant une place centrale à la branche chiite dont les efforts, ne semblent pas être reconnus ou appréciés à leur juste valeur, par la communauté musulmane et au-delà, celle internationale. 
Cet article est mise en place à la suite d’une solide littérature dans le cadre des cours et séminaires que nous assurons depuis presque une décennie. Ces informations sont soutenues par l’attention particulière que nous portons à l’actualité liée à la question palestinienne et la ville de Jérusalem (Al-Quds). Enfin, un voyage d’étude au Proche Orient en décembre 2018 nous a permis de découvrir des facettes nouvelles de cette hostilité historique dont l’issue déterminera sans l’ombre d’un doute l’avenir des relations internationales.

RAPPEL HISTORIQUE : la Palestine, territoire musulman envahi par les juifs  sionistes.
De l’empire ottoman au mandat Britannique : la Palestine change de ‘propriétaire’ Pour plus d’objectivité et sans nous embourber dans les preuves souvent partisanes ou fanatiques des interprétations conflictuelles d’écritures saintes (Thora, Bible, Coran) sur la Palestine, cet article pend en compte l’évolution politique durant ces derniers 100 ans, c’est-à-dire à partir de la chute de l’empire turc ottoman. En effet, vers la fin du XIX° siècle, la Palestine est composée de 85% de musulmans, 11% de chrétiens et seulement 4% de juifs vivant paisiblement dans l’empire musulman turc ottoman qui contrôlait l’essentiel du Proche-Orient. Elle était donc une terre musulmane. 
Mais l’empire est vaincu par la Grande Bretagne lors de la première guerre mondiale. En 1920, la Société Des Nations (SDN), place la Palestine et la Mésopotamie (Irak) sous le contrôle de la Grande Bretagne et confie la Syrie à la France. Cette dernière, sépare le pays en deux : la Syrie musulmane et le Liban chrétien. La Grande Bretagne donne l’indépendance à l’Irak mais elle prépare la Palestine pour la remettre aux Juifs dispersés dans le monde et qui ont fondé un mouvement appelé sionisme. 
La trahison du peuple palestinien par les britanniques : le sionisme, véritable vainqueur des deux guerres mondiales Le sionisme est un mouvement juif fondé par le journaliste juif d’origine hongroise Theodore Herzl et qui prônait la migration des juifs du monde vers la Palestine appelée Sion pour y créer un Etat organisé (Israël). En pleine guerre mondiale, (mars 1916), le ministre Britannique des affaires étrangères Arthur James Balfour écrit une lettre à Edmond James Rothschild, un éminent sioniste. Balfour, pour avoir le soutien des Etats-Unis d’Amérique (USA) dans la première guerre mondiale par le biais des sionistes (juifs), lui affirme que la Grande Bretagne accepte de favoriser la migration des juifs en Palestine (sous possession britannique) pour y fonder un foyer national juif. Cette lettre appelée déclaration de Balfour est rendue publique le 2 novembre 1917 : par le bais des sionistes, les Etats-Unis s’engagent et assurent la victoire aux Britanniques qui sont alors obligés de tenir leur promesse de conduire les juifs vers la Palestine hypothéquant ainsi les droits élémentaires des arabes de la région. La migration juive vers la Palestine s’accélère. Entre 1919 et 1939, les sionistes, aidés par les Anglais, favorisent la migration des Juifs d’Europe et d’Amérique vers la Palestine : 55000 en 1919 et 500.000 en 1946. Le phénomène s’accélère après la seconde guerre mondiale et le génocide juif par les nazis. Les juifs paient les meilleures terres en Palestine, forment des milices (Haganah, Irgoun, Stern…) contre les arabes nationalistes (musulmans et chrétiens) ou les britanniques qui essaient de s’opposer à la migration d’autres juifs vers la Palestine. Ne pouvant plus gérer ce problème qu’elle a elle-même créé, la Grande Bretagne décide de  ‘‘rendre’’ la Palestine à l’Organisation des Nations Unies (ONU), qui a remplacé la SDN. Cependant, vu l’influence des USA sur l’ONU et celle des juifs sionistes sur les USA, donner un dossier à l’ONU revient à le livrer aux USA ou aux juifs sionistes de l’époque.

LA PROCLAMATION DE L’ETAT SIONISTE D’ISRAEL, SUR LA TERRE DU PEUPLE PALESTINIEN : cause des guerres chaudes (hard power) avec les Etats arabes.
S’étant saisi du dossier palestinien, l’ONU décide le 29 novembre 1947 de la résolution 181 pour donner entre 55 et 56% de la Palestine aux juifs qui ne représentent que 34% de la population, créer aussi un Etat arabe avec Jérusalem (Al-Quds) comme une zone internationale.
 Voici les résultats du vote à l’ONU : 33 OUI dont les USA et L’Union soviétique (les deux superpuissances d’alors), 13 NON dont les Etats arabes et 10 ABSTENTIONS dont la Grande Bretagne. Contrairement aux arabes qui ont rejeté ce plan, les juifs l’ont accepté même s’il ne correspond pas à leur objectif final. Ils vont profiter notamment de quatre guerres pour agrandir leur territoire. En effet, le 14 mai 1948 après le retrait des Britanniques de la Palestine, le dirigeant juif David Ben Gourion déclare officiellement à Tel-Aviv la naissance de l’Etat d’Israël. Cette indépendance juive est pour les arabes la ‘‘Nakba’’ (catastrophe). Ils se mobilisent quelques heures plus tard (le 15 Mai) contre Israël, une installation provocatrice soutenue par les plus grandes puissances du monde. Même si les Palestiniens ne sont pas restés passifs en créant notamment l’Organisation de Libération de la palestinienne (OLP) en 1964, le combat contre l’Etat sioniste d’Israël a dès les premières heures été porté par les Etats arabes sous la direction de l’Egypte de Gamal Abdel Nasser, un pan arabiste convaincu. Par exemple : La première guerre israélo-arabe (Mai 1948) a vu les juifs sionistes gagner les pays arabes (la Syrie, l’Egypte et la Transjordanie soutenues par le Liban et l’Irak) et agrandir leur territoire de 6.000Km² expulsant 900 000 Palestiniens de leur territoire. La deuxième guerre (crise de Suez en 1956) mobilise une coalition occidentale (Grande Bretagne, France, Etat d’Israël) contre l’Egypte qui a nationalisé le canal de Suez. Israël a alors pris le Sinaï égyptien. 
La troisième guerre (guerre des six jours en 1967) permet aux sionistes de multiplier leur territoire de 1947 par 4 en occupant le Sinaï égyptien, la bande de Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est et le plateau syrien du Golan. La résolution 242 de l’ONU somme Israël à quitter les territoires agressés en vain. La quatrième guerre (guerre du Kippour ou du Ramadan juif en 1973), est encore une victoire juive même si les arabes ont gagné la première phase du conflit (2500 juifs tués). La résolution 338 de l’ONU réaffirme celle 242 en vain. III.
 
 LE RENOUVEAU DANS LA QUESTION PALESTINIENNE : la montée du chiisme La révolution islamique d'Iran et son antisionisme La plus part des textes historiques attribuent les négociations de paix et le recul relatif d’Israël aux conséquences de la guerre du Kippour suite au choc pétrolier (augmentation unilatérale du prix du pétrole) qui oblige l’Occident de chercher une paix au Proche Orient afin qu’une crise énergétique ne s’étale pas sur son économie et sa société. Mais la révolution islamique iranienne menée par l’Ayatollah Ruhollah Khomeiny (1902-1989) en 1979 basée sur le nationalisme islamique et surtout l’anti-impérialisme anglo-américain et l’antisionisme, menaçait fortement les intérêts des USA, de la Grande Bretagne et surtout l’existence de l’Etat sioniste d’Israël qui continue l’occupation et la colonisation de terres arabes.  Ayatullah Khomeiny a surtout initié en 1979 la Journée mondiale d’Al-Quds, un événement annuel célébré le dernier vendredi du mois de Ramadan et destiné à protester contre le contrôle israélien sur Jérusalem (dont le nom arabe est Al-Quds : القـُدْس) ainsi qu’à exprimer la solidarité avec le peuple palestinien, vivant dans l’occupation sioniste ou en exil. 
Pour les USA, l’exemple iranien ne doit pas être copié par les Etats arabes de la région (Egypte, Syrie, Irak, Jordanie, Liban par exemple). Il faut alors engager ou accélérer des négociations (en cours) pour que les Etats arabes acceptent Israël comme un Etat souverain qu’il ne faut plus attaquer. Prenons quelques exemples : Aux les accords de Camps David1 (1978), l’Egypte reconnait Israël (qui se retire du Sinaï) et pour cela elle est exclue de la ligue Arabe et son président Anouar Al Sadate est assassiné au Caire (Egypte) le 6 Août 1981 par les islamistes. Après les accords d’Oslo signés à Washington (1993), ce fut le tour de l’OLP de Yasser Arafat et du roi Hussein de Jordanie de reconnaitre Israël qui se retire de Gaza.
 
Plusieurs autres négociations ont été menées depuis lors mais forces est de reconnaitre que la stratégie sioniste en particulier et occidentale en général a changé depuis la révolution iranienne qui a accéléré et privilégié les négociations. En effet, Israël n’a pas encore atteint son objectif d’annexion appelé le grand Israel. L’inquiétude des occidentaux de voir la révolution iranienne hors de l’Iran prend forme avec le Hezbollah libanais dirigé par l’emblématique Saïd Hassan Nasrallah. L’extension de la toile chiite au Moyen Orient : Le Hezbollah libanais et sa politique antisioniste.
 
 En 1982, l’armée israélienne envahit le Liban alors en pleine guerre civile. Cette invasion sioniste favorise la naissance du Hezbollah (parti de Dieu en arabe), un groupe de résistants chiites pour libérer leur pays. Les sacrifices du Hezbollah finissent par payer avec le retrait des sionistes. Progressivement, le Hezbollah se structure davantage sur plusieurs plans sous l’égide d’Hassan Nasrallah. Sa notoriété est le fruit de leurs investissements militaires, sociaux, intellectuels, culturels, économiques et politiques au Liban. La révolution iranienne a inspiré les démarches du parti.
 
 En 2006, le Hezbollah fait échouer une nouvelle tentative d’invasion du Liban par Israël en un mois : c’est la guerre des 33 jours (12 juillet-14 Août). L’armée sioniste est obligée de battre en  retraite après la résolution 1701 de l’ONU. Cette fuite rappelle les mots du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah qui a affirmé le 25 Mai 2000, après avoir libéré le Liban des sionistes israéliens que : 
« Israël est plus fragile qu’une toile d’araignée », une sorte de géant aux pieds d’argile. 
 
Il vient peut-être de détecter le talon d’Achille de l’Etat sioniste. Au sud du Liban (vers la frontière avec la Palestine), le musée à ciel ouvert de Mleeta exposant à l’air libre le butin de guerre pris aux sionistes  de 1982 à 2006 symbolise la faiblesse de l’Etat sioniste d’Israël. Ce retrait juif en 2006 n’a pas affaibli l’antisionisme du Hezbollah et sa résistance face aux tentatives des USA, allié historique d’Israel. Enfin, depuis la naissance du Hezbollah, Israël n’a pas annexé de territoire des pays voisins de la Palestine et sans le Hezbollah, une bonne partie du Liban actuel, notamment le sud, serait certainement à l’intérieur de l’Etat sioniste d’Israël, à l’image du plateau syrien du Golan. Pour les sionistes, tout comme la révolution iranienne, l’exemple libanais du Hezbollah ne doit pas être copié par des peuples de la région notamment en Syrie avec le Golan (Région de la Syrie annexée par Israël lors de la guerre des 6 jours) et peut-être même en Palestine. 
La réaction américano-sioniste face à la montée du chiisme : entre désinformation, sanctions économiques et attaques militaires Les USA et Israël ont beaucoup activé leur force et influence sur la communauté internationale et sur la plus part des pays pour bloquer la force chiite dont les stratégies risquent de gagner d’autres pays ou peuples, même par la sympathie. Les moyens d’actions d’Israël et des USA sont entre autres les assassinats ciblés (Général Qasim Soleimani), les enlèvements de dignitaires du Hezbollah, des sanctions économiques (ciblées), les sabotages médiatiques, politiques, technologiques ou physiques (attaques technologiques, surveillance/espionnage) etc. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre que les USA et certains de leurs alliés considèrent le Hezbollah libanais et les gardiens de la révolution iranienne (une partie de l’armée iranienne dépendant directement du guide de la révolution, chef de l’Etat iranien) comme des organisations terroristes, l’Iran comme un Etat voyou. 
En effet, l’Iran et le Hezbollah sont peut-être un modèle réussi dans la lutte contre l’antisionisme au sens élargi, celui spoliant d’abord les terres palestiniennes, pour atteindre, avec l’inertie, la naïveté ou même la complicité de certains Etats musulmans, au projet de grand Israel, intégrant en plus de la Palestine une partie de plusieurs pays arabes (Egypte, Jordanie, Syrie, Liban, Arabie Saoudite), la colonisation de la Palestine n’étant qu’une étape initiale. 
 
CONCLUSION 
Si plusieurs Etats arabes ont montré un soutien sans faille au peuple palestinien dès la création de l’Etat sioniste par les anglo-saxons (Grande Bretagne et USA), aujourd’hui les musulmans semblent oublier ce peuple expulsé ou tout simplement soumis. La révolution iranienne et la naissance du Hezbollah sont un signe de la prise de conscience et d’une réorientation de l’antisionisme au Moyen Orient, face à des adversaires peu soucieux et immunisés contre les règles et sanctions internationales. 
Pour tous les Etats ou âmes sensibles à la cause palestinienne, qu’ils soient musulmans ou non, la journée mondiale commémorative d’Al-Quds célébrée un peu partout dans le monde reste la principale force subtile contre l’antisionisme israélien.

Article présenté par Monsieur NDIAYE Bacary Kèba : Université Cheikh Anta Diop de Dakar, ED-ETHOS, Professeur d’Histoire et Géographie, chercheur en Géographie et en sciences islamiques. pour une publication à l’occasion de la journée mondiale d’Al-Quds organisée par le Conseil des Oulémas d’Ahlul-Bayt du Sénégal, Mai 2020.
samedi, 26 juin 2021 13:49

L'ÉCOLE APPELEE MARIAGE*

*L'ÉCOLE APPELEE MARIAGE*

*Le mariage est la seule école où vous obtenez un certificat avant de commencer.*

*Elle est également une école où vous ne serez jamais diplômé.*

*Elle est une école sans pause ni période libre.*

*Elle est une école où personne n'a le droit d'abandonner.*

*Elle est une école à laquelle vous assisterez tous les jours de votre vie.*

*Elle est une école où il n'y a ni congés maladie ni vacances.*

*Elle est une école fondée par Dieu.*

*_1. Les fondations sont faites d'Amour._*

*_2. Les murs sont faits de Confiance._*

_*3. La porte est faite d'Acceptation.*_

_*4. Les fenêtres sont faites de Compréhension.*_

*_5. Le mobilier est fait de Bénédictions._*

*_6. Le toit est fait de Foi._*

*Ne jamais perdre de vue que vous êtes juste un étudiant et non le Principal.*

*Dieu est le seul Principal.*

*Même en temps de tempêtes, demeurez sage et ne vous éloignez pas.*

*Gardez à l'esprit que, cette école est l'endroit le plus sûr.*

*Ne jamais aller dormir sans avoir accompli vos missions pour la journée.*

*Ne jamais oublier le verbe ... COMMUNIQUER.*

*Communiquez avec votre camarade de classe et avec le Principal.*

*S’il vous arrive de ne pas apprécier quelque chose chez votre camarade de classe (conjoint), rappelez-vous que, il ou elle, n’est juste qu’un étudiant (e) comme vous et non un diplômé.*

*Dieu, le Principal, n’a pas encore fini avec lui ou elle.*

*Alors, prenez cela comme un défi et travaillez dessus ensemble.*

*Ne pas oublier d'étudier le livre principal de cette école: La parole de Dieu.*

*Commencez chaque journée dans l’assemblée collégiale et terminez de la même façon.*

*Parfois, vous aurez la paresse d’assister aux cours, mais ne baissez jamais les bras.*

*Lorsque vous êtes tenté d'arrêter, trouver le courage de continuer.*

*Certains tests et examens peuvent être difficiles, mais rappelez-vous que le Principal sait combien vous pouvez supporter et pourtant, il n’y a pas meilleure école sur terre.*

*La joie, la paix et le bonheur accompagnent chaque leçon de la journée.*

*Différentes matières sont enseignées dans cette école, mais l'amour reste la matière principale.*

*Après toutes ces années d’études de la matière, l'opportunité vous est à présent offerte de la pratiquer.*

*Etre aimé est une bonne chose, mais aimer reste un grand privilège.*

*Le mariage est un lieu d'amour, donc aimez votre conjoint(e).*
'
*C’est une preuve de la Grâce divine.*

_Envoyer ceci à tous vos amis mariés pour les encourager, et à vos amis célibataires en guise de conseil et d’éducation._

*Sa Grâce est tout ce dont vous avez besoin !*

*Courage et persévérance dans le dialogue permanent.*

Des centaines de manifestants pro-palestiniens se sont rassemblés à Londres pour demander la fin de l'occupation israélienne et de l'apartheid en Palestine occupée.
Cette manifestation massive a eu lieu alors que les dirigeants des soi-disant plus grandes démocraties du monde se sont réunis en Cornouailles pour le sommet du G7 afin de discuter d'un certain nombre de questions, notamment de la manière dont le monde peut se reconstruire et se remettre de la pandémie.

 
Lors de la manifestation, organisée par la coalition Resist the G7, les manifestants ont marché jusqu'à Downing Street pour exprimer leur solidarité avec le peuple de Palestine. Les manifestants tenaient des pancartes et scandaient "free, free Palestine". Ils ont également scandé : "Cinq, six, sept, huit, Israël est un État terroriste. Un, deux, trois, quatre, plus d'occupation. Que voulez-vous ? La justice ! Quand la voulez-vous ? Maintenant !

 Au cours du rassemblement, l'ancien leader travailliste Jeremy Corbyn s'est adressé à la foule et a appelé le G7 à soutenir les réfugiés palestiniens et à reconnaître les droits du peuple palestinien.

 Corbyn a déclaré que les problèmes rencontrés par le peuple palestinien devraient être reconnus par les dirigeants.

 Pendant son discours, Corbyn a déclaré que les demandes des partisans de la Palestine sont "claires" : "Mettre fin à l'occupation de la Cisjordanie, le retrait de toutes les colonies et la fin du siège de Gaza".

 Il a ajouté qu'il était "fier" d'inclure la reconnaissance de la Palestine en tant qu'État dans le manifeste travailliste de 2019, concluant que "nous devons faire front pour la liberté du peuple de Palestine".

 Parmi les autres orateurs de la manifestation figuraient la militante des droits de l'homme Leanne Mohamad et le rappeur et activiste Lowkey.

Au seuil d'une nouvelle bataille balistique que la Résistance palestinienne a toutes les raisons du monde de déclencher, au rythme de crimes commis en Cisjordanie où aucun jour ne passe sans que des civils palestiniens ne se fassent buter par les criminels de guerre sionistes, bataille qui tout compte fait pourrait commencer dès le mardi soir avec une première salve de missiles contre Qods occupé puisque la fameuse manif des "drapeaux" a été autorisée, l'ex-commandant en chef d'AMAN,  Aaon Libran, fait publier un article dans les colonnes d'Israel Hayoum. Après avoir jugé "impossible" l'idée d'une coexistence État Palestinien/Israël, l'intéressé écrit : ...S'il y a un État palestinien, il sera dirigé par le Hamas et ...s'il y a le Hamas en Cisjordanie cela veut dire qu'Israël  subira à chaque escalade bien plus que les 4300 missiles et roquettes tirés au mois de mai ... Et pourquoi? Pour la simple et bonne raison qu'il n'existe plus aucune contrainte pour que les Palestiniens dissimulent leurs lances-missiles en sous-sol, ou qu'ils cultivent des champs à missiles comme ils l'ont fait pour ce récent face-à-face. 

Biden exhortera les dirigeants du G-7 à s’allier contre la Chine et à rivaliser avec elle.

Les États-Unis prévoient de pousser leurs alliés occidentaux à critiquer publiquement la Chine pour "les pratiques de travail forcé" alors que les dirigeants du Groupe des Sept se réunissent pour le deuxième jour de leur sommet en Angleterre.

Selon The Independent, la proposition provocatrice fait partie de la campagne croissante du président Joe Biden pour amener les autres dirigeants du monde à présenter un front plus unifié pour concurrencer économiquement la Chine au cours du siècle à venir, selon deux hauts responsables de l'administration américaine sous le sceau de l’anonymat.

Les médias israéliens et occidentaux ont récemment publié des images satellites montrant un endroit, situé non loin du village Sanjarian (province de Téhéran), qui était auparavant un site nucléaire pour suggérer que de nouvelles activités y auraient été menées en catimini. Le fait a été couvert pour la première fois par Fox News.

Mais qu’est-ce qui montrent en réalité les images satellites capturées de Sanjarian ? La réponse est brève et plutôt comique ! Il s’agit du lieu de tournage d’une série télé qui a été diffusée par la télévision iranienne pendant les vacances du Nouvel An.

L'Égypte a bien la mémoire longue : depuis septembre 2020 elle suit avec anxiété les tribulations de l'axe US/Israël qui s'acharne à la priver de la position stratégique qu'elle occupe par canal de Suez interposé sur la scène de transit internationale. Évidemment le coup du supertanker en provenance de la Chine et en partance pour l'Europe qui a chaviré par un coup de vent pour bloquer le canal pendant une semaine et ce, sous les yeux satisfaits des amis et ennemis Le Caire n'y a pas cru un seul instant. Ce coup que l'Égypte a réussi seule à la surmonter ne pouvait que provenir d'un Israël qui ambitionnait il y a encore quelques semaines de faire transiter marchandise et énergie par Ashkelon et Eilat et depuis le golfe Persique. Les Accords d'Abraham visaient avant tout à tuer géopolitiquement l'Égypte. Mais le coup n'a pas marché.  

C'est le constat triomphal que vient de faire le conseiller du président Sissi.

« Israël n'a pas réussi à creuser un canal alternatif au canal de Suez », a dit le conseiller du président égyptien pour les projets de l'axe du canal de Suez, le lieutenant-général Mohab Mamish. Il a confirmé qu'Israël n'avait pas réussi à creuser un canal alternatif au canal de Suez, et qu'il a renoncé aussi à construire le canal d'Ashdod de 522 kilomètres.

Il faut enterrer l’idée d’un compromis entre Israéliens et Palestiniens, a déclaré un ancien officier de haut rang de la direction du renseignement militaire israélien (Aman).

« La leçon la plus importante que nous devons tirer de la récente guerre de Gaza est que l’idée d’un compromis entre Palestiniens et Israéliens est exclue et que la mise en place d’un État indépendant palestinien sera très dangereuse pour Israël », a écrit le général de brigade à la retraite Aharon Levran, ancien officier supérieur du renseignement militaire israélien, dans un article publié par Israel Hayom.