
تقي زاده
Al-Sahifa Al-Sajjadiya, une œuvre en or pour affiner notre âme
Sur les mêmes pas que son père l'Imam Hussain (as), dont la révolution avait éveillé les consciences , l'Imam al-Sajjâd (as) mena une révolution intellectuelle et dogmatique . Composé d'invocations et de supplications, le livre « Sahifa Sajjadaya » ou « les psaumes de l'Islam », est d'un style et d'une éloquence unique en son genre. Son œuvre est similaire à celle de son grand-père l'Imam Ali (as ),qui a écrit « Nahj al-Balagha . Livre embelli d'un style de rhétorique magnifique .
Par cette œuvre , l'Imam al-Sajjâd (as ) veut affirmer l'importance de l'invocation dans la vie du croyant . Elle est considérée comme l'un des moyens de se rapprocher d' Allah et de manifester notre reconnaissance envers Lui . Allah est la source et l'expression de toute miséricorde . Il nous faut donc toujours sentir le besoin de recourir au seul Créateur en cas de difficultés ou de détresse .
L'invocation est un phénomène qui attire les chercheurs. Ils cherchent à l'étudier d'une manière psychologique sous certaines conditions, pour savoir quel est son impact sur l'âme. Le Coran et les hadiths d' Ahl-ul-bayt (as) regorgent d'invocations diverses, apportées par les Prophètes (as) et les Messagers. Allah a dit : « Invoquez-Moi , je répondrai à vos invocations ». Ce verset apporte de l'espoir à quiconque cherche la miséricorde d'Allah. Il donne à l'homme une sérénité, un raffinement psychologique et spirituel .
Il est rapporté :« L'invocation est l'arme du croyant ». Nous constatons donc qu'il existe une incitation à invoquer Dieu en tout temps et en tous lieux. Ses effets se reflètent positivement sur la personne, et c'est une manière efficace d'obtenir le consentement d'Allah .
L'Imam al-Sajjâd «as », se rend compte que la communauté islamique de son époque commence à perdre ses valeurs originelles . L'une des responsabilités dont il est chargé, est de guider les gens et de diriger la communauté islamique sur la voie qu'Allah lui destine . Outre les cours de Fiqh, les sciences du Coran et du Hadith qu'il dispense à ses adeptes, l'Imam al-Sajjad (as ) cherche à créer une œuvre qui garderait l'originalité de l'Islam et sa lumière. C'est ainsi qu'il a écrit cette collection d'invocations magnifiques .
Deux raisons pour l'écriture de cette œuvre .
L'un des plus grands dangers qui menacent les sociétés, sont la richesse et le luxe. Pourquoi ? tant que l'individu ressent qu'il vit dans l'opulence, sa foi commence à faiblir. Le fait de s'accrocher à la vie présente gagne son cœur et l'éloigne de Dieu. A plusieurs reprises dans le Coran, Allah nous met en garde contre la vie présente et ses séductions . Il nous avertit que quiconque est guidé par ses envies et ses désirs tombera dans les pièges d'Iblis . L'imam al-Sajjâd (as) a pressenti les impacts de ce danger sur la communauté islamique de son époque. Cette menace est une maladie qui occupe les âmes . Pour que l'homme se repente des péchés qu'il commet à l'encontre de son Créateur, il n'a que l'invocation d'Allah qui l'éloignera du mal. Dieu nous ordonne de l'invoquer dans toute situation difficile. Il nous garantit que notre invocation sera exaucée, car Il veut que Son serviteur revienne à Lui après chaque mal qui le touche .
Une autre raison importante est l'ouverture des musulmans sur les autres cultures. Beaucoup de peuples se convertirent à l'Islam , surtout en Europe, ce qui constitua une nouvelle ère dans leur histoire. Craignant que ces cultures n'influencent l'identité islamique ,il était très important qu'une œuvre protège cette identité, qui resterait pour les générations futures un témoin de l'héritage islamique .
Ce livre est un immense trésor moral, qui regorge de mots tels des perles, uniques en leur genre. Il est dommage de voir que les musulmans ne connaissent que peu de leur héritage islamique . Ils se doivent d'être fiers que celui-ci montre l'image authentique de l'Islam. Les ennemis ont toujours voulu le déformer, tout au long de l'Histoire .
Hermès 450 d'Israël abattu par le Hezbollah: l'an I de la naissance de la DCA intégrée de la Résistance
Une triple interception et capture de drones sionistes au Liban et à Gaza, plus la destruction en plein ciel du sud Liban d'un Hermes 450 de l'armée de l'air israélienne, et tout ceci en quatre jours, avouons que la réaction paniquée d'Israël dans la nuit de mercredi à jeudi 3 février contre ce qui marque ni plus ni moins la mort de "l'Armée de l'air sioniste", peut se comprendre : des missiles sol-sol et sol-air tirés depuis le Golan occupé contre l'aéroport de Damas, Mezzah, Kiswah et la banlieue de Deraa et de Quneïtra que Ynet décrit comme étant les bases du Hezbollah et de l'armée de libration du Golan composée de "milliers de combattants syriens, palestiniens et irakiens" entre autres et qui par malheur ont été dans leur quasi totalité interceptés par le système de DCA syro-sud libanais ... Mais reprenons les choses par le début ...
Des unités de guerre électroniques de la Résistance pourront détourner et employer les F-16 israéliens contre des "cibles israéliennes"?
Depuis l'octobre 2020, date à laquelle la "méga" manœuvre militaire israélienne, "Lethal Arrow", impliquant armée de terre, armée de mer, armée de l'air, renseignement sioniste, a été tourné en ridicule par ce "drone" ou ces "drones" Mohajer-6 du Hezbollah qui se sont infiltrés dans le ciel de la Galilée nord -secouée ces jours-ci par des événements bien inouïs genre "opération commando arabe" d’Israël à Tamra - et ont fait un trajet de quelques 70 kilomètres entre la Galilée d'une part et les fermes occupés de Chebaa de l'autre, tout en y tournant aisément en images casernes, sites sensibles et ce, au grand mépris de la division 91 Biranit et son commandant en chef de pacotille qui ne soupçonnait même pas qu'au seconde jour de "Lethal Arrow", les unités de cyberattaque de la Résistance parviennent à percer la DCA multicouche sioniste avec ses supposés radars imbattables, jusqu'à ce début de février 2021 où coup sur coup trois drones israéliens ont été interceptés et capturés à quelques heures d'intervalle dans le ciel du sud du Liban et de Gaza, il ne passe qu'à peine quatre mois.
Hassaké-Qamichli : l’aviation russe frappera Américains et alliés ?
Cela fait plus de trois semaines que les paramilitaires kurdes ont encerclé les villes de Hassaké et Qamichli dans le nord-est de la Syrie et y empêchent l’acheminement de carburants et nourritures. De ce fait, les habitants des deux villes sont exposés à la sérieuse menace de la famine. Une intervention de l'armée russe n'est pas à exclure.
Selon l’agence de presse Tasnim, les Forces démocratiques syriennes (FDS) continuent toujours d’encercler deux quartiers de Qamichli. Soutenues par les États-Unis, les FDS empêchent depuis trois semaines l’arrivée de tout véhicule transportant l’eau potable et les produits de première nécessité dans la ville de Hassaké.
Cela fait plus de cinq jours que les boulangeries de Hassaké sont en manque de farine, plus d’une centaine de milliers d’habitants locaux étant incapables de subvenir à ce besoin élémentaire : le pain.
Révolution colorée atteint le royaume des Salmane; Soros veut la tête de MBS
C'est l'heure! Les Démocrates arrivés au pouvoir à la Maison Blanche n'iraient pas descendre Ben Salmane tant pour ses liens viscéraux avec Trump, comme tentent de le faire croire certains analystes, que parce qu'il est grand temps qu'on se débarrasse d'un pion "brûlé": à l'interne, MBS avait pour mission de brader le pétrole saoudien sur l'autel des boursiers américains, de dilapider autant que faire se peut les derniers publics en échange des armements de pacotille made in USA, de surtout de faire infiltrer Israël en terre sainte des Musulmans, via une refonte des mœurs, Neom et autres projets fou; à l'international, il avait pour mission de remplacer Israël, ennemi juré des Arabes et des Musulmans par l'Iran, de financer au profit là encore les guerres au Yémen, au Liban, en Irak, ... voir au Qatar, soit tous les Etats-nations énergétiquement et géostratégiquement riches et imposants du Moyen-Orient.
Supplications de Washington, le refus net de Téhéran
Téhéran salue la décision de Bagdad de lancer une poursuite judiciaire contre l’ancien président américain Donald Trump et son secrétaire d’État Mike Pompeo.
Actuellement en visite à Téhéran, le ministre irakien des Affaires étrangères, Fouad Hussein, a rencontré, mercredi 3 février, le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranienne, le vice-amiral Ali Chamkhani.
Au cours de cette rencontre, Ali Chamkhani a salué les bonnes relations entre Téhéran et Bagdad et souhaité l’application complète et rapide de tous les accords et contrats signés par les deux parties.
Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranienne a souligné qu’il existait une étroite interdépendance entre la sécurité, la stabilité et la prospérité de l’Iran et de l’Irak, avant d’ajouter que la présence militaire des puissances étrangères, notamment des Américains, était à l’origine de l’instabilité et des crises innombrables de l’Asie de l’Ouest.
Ali Chamkhani a plaidé pour l’application, le plus tôt possible, de la loi approuvée par le Parlement irakien portant sur l’expulsion des forces militaires américaines d’Irak.
« Téhéran salue la décision de Bagdad de lancer une poursuite judiciaire contre l’ancien président américain Donald Trump et son secrétaire d’État Mike Pompeo », a déclaré Chamkhani en déclarant que l’Irak et l’Iran feraient tout pour traduire en justice les auteurs et commanditaires de l’assassinat du général Qassem Soleimani ancien commandant de la Force Qods et d’Abou Mahdi al-Mohandes, numéro deux des Hachd al-Chaabi.
Sepehr, le système anti-drone qu'envieraient Riyad et Tel-Aviv
En cette 4ème journée de la Décade de l’aube, marquant les jours allant de l’arrivée dans le pays du fondateur de la Révolution islamique de 1979 jusqu’à sa victoire, le premier site iranien de gestion et de supervision intelligente des petits aéronefs a été dévoilé en présence de responsables politiques et militaires, rapporte l’agence de presse Tasnim citant le service des relations publiques de l’armée de la RII.
« Sepehr » est le nom de ce premier site avancé et surtout indigène iranien de supervision intelligente des petits aéronefs qui vient d’être dévoilé ce mercredi 3 février dans la zone de la DCA du Nord-Ouest, ajoute la source.
« Le site Sepehr est capable d’effectuer la gestion informationnelle et la supervision en temps réel de toutes sortes de petits aéronefs, que ce soit des ballons ou des planeurs, ou tout autre objet volant à travers tout le pays », a indiqué le sous-brigadier Azimi, commandant de la zone de la DCA du Nord-Ouest.
A quoi rime l'offre militaire du nouveau chef du Pentagone à l’Algérie?
Pourquoi un LIyod Austin, fraîchement arrivé à la tête du Pentagone et qui n'a pas tardé à restituer dans leur poste la totalité des vrai-faux colombes militaires US, la plupart à l’origine de l'invasion de l'Irak en 2003, de celle de la Libye et de la Syrie en 2011, un Austin qui le jour de son audition devant le sénat a juré tout faire pour mettre à la porte du Moyen-Orient, la Russie et qui interrogée sur la démarche de Trump au sujet du Sahara occidental, s'est contenté d'une réponse bien trop vague, " on y reviendra, serait-il intéressé par vendre des AWACs à l'Algérie?
Les juges de la CIJ ont accepté d’examiner la plainte de l’Iran contre les États-Unis
La Cour internationale de Justice (CIJ), qui siège à La Haye, a rejeté officiellement à l’unanimité, mercredi 3 février, les exceptions préliminaires à sa compétence soulevées par les États-Unis.
Les juges de la plus haute cour de l’Organisation des Nations unies chargée de différends entre États ont accepté aujourd’hui d’examiner une plainte déposée par l’Iran contre les États-Unis concernant la levée des sanctions contre Téhéran.
Contrairement à l’opinion des autorités américaines, une majorité de la commission de 16 juges (15 pour et 1 contre) a estimé que la Cour internationale de Justice (CIJ) était compétente en la matière.
L'Iran a engagé cette procédure en 2018 lorsque l’ex-président américain Donald Trump a décidé d’abandonner l’accord nucléaire signé en 2015 en vertu duquel l’Iran avait accepté de limiter son programme nucléaire. La décision de Trump a été suivie par des sanctions américaines à l’encontre de l’Iran.
Deuxième drone intercepté en 48 heures, 4 ème en 4 jours
Un autre drone israélien a été visé ce mercredi 3 février, ce qui aurait causé aujourd’hui un bruit d’explosion dans le ciel du Sud libanais, rapporte la chaîne RT.
Le site web de l’édition arabe de la chaîne RT a écrit : « Une énorme explosion a été entendue dans le ciel de la région d’al-Zahrani, au sud du Liban. Le bruit aurait été en rapport avec l’explosion d’un drone de reconnaissance de l’armée israélienne dans l’espace aérien du sud du Liban. »
Par ailleurs, le porte-parole de l’armée israélienne a reconnu la violation de l’espace aérien libanais, et prétendu que la DCA [le Hezbollah libanais] avait visé un drone israélien au-dessus du Liban sans que [le missile de DCA] l’ait touché. Le journal israélien Yediot Aharonot aussi a prétendu que le drone en question n’avait pas été endommagé lors de l’attaque et qu’il avait poursuivi sa trajectoire.