تقي زاده

تقي زاده

Le ministre iranien des affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, s'est dit optimiste quant à la finalisation d'un accord de 25 ans avec la Chine dans un avenir pas trop lointain.
S'adressant à l'IRIB dimanche soir, M. Zarif a déclaré que son homologue chinois, Wang Yi, avait récemment annoncé que Pékin finaliserait une proposition pour l'accord de 25 ans avec Téhéran.

"Je crois que nous ne sommes pas loin de la finalisation de l'accord", a-t-il ajouté.

Interrogé sur le rôle de l'Iran dans le Caucase, M. Zarif a souligné les pressions exercées par les Etats-Unis et les tentatives de contournement de l'Iran dans cette région, affirmant que l'une des propositions faites par l'Iran et la Chine dans l'accord de 25 ans, du moins pour l'instant, est que l'Iran fasse partie des voies de transit dans la région.

Tous les voisins devraient adopter une approche gagnant-gagnant, a-t-il dit, ajoutant que l'Iran peut maintenant travailler avec un consortium pour établir une route dans le Caucase afin d'y instaurer le calme.

"Notre vision stratégique de la région doit être inclusive, et non basée sur l'omission. L'Iran est indispensable à la région. Personne ne peut omettre l'Iran dans les équations régionales", a souligné M. Zarif.

Il a également exprimé l'espoir que la coopération entre les six parties du consortium empêcherait la répétition des conditions précédentes.

Dans un tweet publié vendredi, l'ambassadeur d'Iran à Pékin a déclaré que le 50ème anniversaire des liens diplomatiques avec la Chine serait accompagné de bonnes nouvelles sur les relations entre les deux nations.

En 2020, l'Iran et la Chine ont élaboré un plan de coopération économique sur 25 ans.

Le vieux successeur de Donald Trump, Biden, qui se refuse obstinément depuis son investiture le 20 janvier au terme d'un spectaculaire hold-up électoral de donner un coup de fil au Premier ministre sioniste, un PM mort de peur à l'idée d'être largué par les "goys démocrates" alors qu'Israël patauge en pleine crise politique, militaire, économique et géostratégique, est tout sauf un imbécile : le lundi 9 février, presque au moment où Netanyahu s'entretenait au téléphone avec le président russe de l'Iran et de la Syrie, façon de se faire une idée de l'impact géostratégique de la lettre que le Leader iranien vient d'adresser au chef du Kremlin et où il est question de penser le Moyen Orient post -USA avec tout ce que cela comporte en termes de risques pour l'action militaire israélienne en Syrie, au Liban et ailleurs dans le golfe Persique, Biden faisait savoir sur CNN et par la voix de son secrétaire d'État Blinken qu'une "souveraineté israélienne" au Golan occupé n'a ni tête ni queue et que cette zone ultra-stratégique, "bien que vitale pour la sécurité d'Israël" n'appartient pas à l'entité sioniste. Double coup "fatal" en l'espace d'à peine quelque heures !

Le Pentagone accuse la Russie de vouloir éterniser sa présence en Syrie afin de défier la position des États-Unis en Asie de l’Ouest. 
« La concurrence entre les grandes puissances intensifie le niveau de risque et d’incertitude dans une partie du monde déjà risquée et incertaine : le Moyen-Orient », a déclaré le chef du Commandement central américain.

La force terrestre du CGRI tiendra plus tard cette semaine la phase terrestre de l’exercice « Le Grand prophète 15 » dans le sud-ouest du pays. Certains analystes estiment que ces manœuvres ont inquiété encore plus les Israéliens, car ils voient leur avenir en danger et incertitude.

Le commandant des forces terrestres du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a annoncé le début (vidéo ci-jointe) de la phase terrestre de l’exercice « Grand prophète-15 » du CGRI dans le sud-ouest du pays au cours du week-end.

Simultanément au 42e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique, le général de brigade Mohammad Pakpour, commandant des forces terrestres du CGRI, a annoncé la tenue de la phase terrestre de la manœuvre « Le Grand prophète-15 » plus tard cette semaine.

Depuis l’arrivée au pouvoir du démocrate Joe Biden, la tension s’exacerbe entre Pékin et Washington. La nouvelle équipe de la Maison-Blanche durcit le ton contre Pékin, l’accusant d’étendre sa suprématie dans la région de la mer de Chine méridionale. Elle a dans ce sens commencé une nouvelle tentative de défier la marine chinoise, en faisant de multiples exercices militaires dans la région non loin des eaux territoriales chinoises. Pékin ne garde pas le silence et met en garde l’US Navy contre tout agissement provocateur dans la région. 

La marine américaine continue de défier Pékin dans la région stratégique de la mer de Chine méridionale et a dans ce sens a mené un exercice avec deux bâtiments d’assaut.

Deux flottes offensives américaines ont mené mardi un exercice militaire conjoint dans la mer de Chine méridionale.

Selon l’US Navy, les porte-avions, l’USS Theodore Roosevelt et l’USS Nimitz, se sont entraînés à accroître l’interopérabilité entre les groupes de navires américains ainsi que les capacités de commandement et de contrôle.

Cette décision a été prise alors que le destroyer US John McCain a traversé le détroit de Taïwan jeudi dernier, provoquant une réaction négative de la Chine.

En réponse à la circulation successive de navires de guerre et d’avions militaires américains, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a averti que de telles actions n’étaient pas dans l’intérêt de la paix et de la stabilité de la région.

En visite à Moscou, le président du Parlement iranien dit que la nouvelle administration US n’est pas en mesure de prendre de décisions sur les questions majeures. Il a par ailleurs qualifié de satisfaisante sa visite en Russie. 

Le président du Parlement iranien a souligné que le but de sa visite en Russie était d’élever le niveau des relations bilatérales à un niveau stratégique. Il a déclaré : « La condition de cette coopération à ce niveau est le développement des relations bilatérales à tous les niveaux. »

Dans un entretien avec la chaîne Russia 24, au troisième et au dernier jour de sa visite en Russie, le président du Parlement iranien, Mohammad Baqer Qalibaf, a qualifié de « satisfaisante » la coopération Téhéran-Moscou dans les domaines sécuritaire et politique et économique, avant de préciser : « Lors de ce voyage, nous visons à élever le niveau des relations actuelles à celui de relations stratégiques. »

Les chefs des pouvoirs judiciaires iranien et irakien ont examiné le dossier de l’assassinat du général de corps d’armée Qassem Soleimani. 
Le chef du pouvoir judiciaire de la République islamique d’Iran, l’Ayatollah Ebrahim Raïssi, a rencontré ce mardi 9 février à Bagdad son homologue irakien Fayeq Zeidan. 
Lors d’une conférence de presse conjointe ayant suivi cette rencontre, l’Ayatollah Raïssi a salué l’essor des relations et des coopérations judiciaires et juridiques entre l’Iran et l’Irak. « Le déplacement des pèlerins et la lutte contre la corruption étaient aussi au menu de nos discussions », a-t-il ajouté. 

Dans la pétrolifère province de Maarib au nord du Yémen c'est la débandade pas tant de l'armée saoudienne et ses mercenaires, largués par les tribus qui s’apprêtent à faire allégeance à Ansarallah triomphant mais de la Royal Army... En effet l'annonce de la fin du soutien militaire US à Riyad tout comme le déblacklistage apparent du mouvement n'auront été entre choses des manœuvres destinés à faire cesser non pas seulement les attaques au missiles et a drones de la Résistance contre le territoire saoudien mais encore à stopper la progression de la Résistance à Maarib où sa Majesté détient depuis si longtemps des principaux sites d'extraction et de raffinage du pétrole.

Un accord stratégique de 25 ans signé avec la Chine finira-t-il par réveiller l’Inde et la pousser dans le camp auquel elle appartient historiquement ? C’est l’Iran qui pourrait en être le catalyseur.
Dans la foulée, Israël s’est dit préoccupé quant à la décision de l’Inde de reprendre ses importations du brut iranien et d’en augmenter même le volume en cas de l’allègement des sanctions imposées par les États-Unis. 
L’Institut pour les études sur la sécurité nationale (INSS), un institut de recherche et un groupe de réflexion israélien affilié à l’Université de Tel-Aviv, a exprimé sa préoccupation, dans un article, quant à la décision de l’Inde de poursuivre sa coopération pétrolière avec la République islamique d’Iran et de reprendre ses importations du brut iranien dès le moindre dénouement des affaires.