تقي زاده

تقي زاده

L’Espagne a annoncé jeudi que les entreprises israéliennes ne seraient pas autorisées à participer à la FEINDEF à Madrid, invoquant l’engagement du pays en faveur de la paix en Palestine et au Liban et son adhésion au droit international humanitaire.

La ministre espagnole de la Défense Amparo Valcarce a déclaré dans un communiqué qu’Israël et ses entreprises étaient exclus du FEINDEF, citant l’engagement de l’Espagne en faveur de la paix en Palestine et au Liban et son adhésion au droit international humanitaire.

La décision d’exclure le régime de Tel-Aviv serait due aux actions d’Israël dans les territoires occupés de la Palestine et au Liban, ainsi qu’à un incident au cours duquel des délégués internationaux, dont des Espagnols, ont été attaqués par des militaires israéliens en Cisjordanie.

 

L’Espagne a annoncé jeudi que les entreprises israéliennes ne seraient pas autorisées à participer à la FEINDEF à Madrid, invoquant l’engagement du pays en faveur de la paix en Palestine et au Liban et son adhésion au droit international humanitaire.

La ministre espagnole de la Défense Amparo Valcarce a déclaré dans un communiqué qu’Israël et ses entreprises étaient exclus du FEINDEF, citant l’engagement de l’Espagne en faveur de la paix en Palestine et au Liban et son adhésion au droit international humanitaire.

La décision d’exclure le régime de Tel-Aviv serait due aux actions d’Israël dans les territoires occupés de la Palestine et au Liban, ainsi qu’à un incident au cours duquel des délégués internationaux, dont des Espagnols, ont été attaqués par des militaires israéliens en Cisjordanie.

 

Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafaël Grossi, a annoncé jeudi 31 octobre s’être entretenu à la veille de sa visite en Iran avec le secrétaire général du Haut Conseil iranien des droits de l’homme, Kazem Gharibabadi qui assume également le poste de vice-ministre des Affaires étrangères, chargé des affaires juridiques et internationales.

Grossi a déclaré dans un message publié sur X qu’en préparation de sa prochaine visite dans la capitale iranienne, il avait eu un « échange opportun et constructif » avec Gharibabadi.

Il avait auparavant déclaré qu’il était prêt à collaborer avec le gouvernement iranien pour résoudre les problèmes de garanties en suspens.

Le leader du mouvement Ansarallah du Yémen affirme que la machine de guerre sioniste n'a pas réussi à s'infiltrer dans le territoire libanais malgré le soutien sans faille des États-Unis et des bombardements barbares.

« L’armée israélienne est confrontée à un dilemme dans ses attaques terrestres contre le Liban », a déclaré Abelmalik al-Houthi dans un discours télévisé jeudi soir 31 octobre.

« L’armée sioniste a subi de lourdes pertes dans la guerre contre le Liban », a-t-il ajouté.

« La machine de guerre sioniste a montré son véritable faiblesse lors des opérations terrestres contre le Liban », a déclaré le leader du mouvement yéménite Ansarallah.

Al-Houthi a salué les récentes attaques du mouvement de résistance Hezbollah qui a ciblé plusieurs sites militaires et colonies israéliennes avec des drones et des missiles dans la partie nord des territoires occupés.

« Les colons du nord de la Palestine occupée et de Haïfa passent une grande partie de leur temps dans des abris, dans la peur et la terreur », a-t-il déclaré.

Abdelmalik al-Houthi a également félicité le cheikh Naïm Qassem pour sa nomination au poste de secrétaire général du Hezbollah, qui s'est engagé à poursuivre la voie de résistance du martyr Seyyed Hassan Nasrallah.

Le commandant de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a exprimé ses félicitations à l’occasion de l’élection du Cheikh Naïm Qassem en tant que nouveau secrétaire général du Hezbollah, une « lourde et précieuse responsabilité », qui vient de lui être confiée, selon le commandant iranien.

Le jeudi 31 octobre, le général Esmaïl Qaani a souligné dans un massage adressé au leader du Hezbollah, l’importance de sa nomination dans le contexte actuel des tensions au Moyen-Orient, mettant en avant le rôle crucial que joue le Hezbollah au sein de l’axe la Résistance.

Le commandant de la Force Qods du CGRI a affirmé que l’Iran continuera de soutenir le Hezbollah de manière indéfectible, en insistant sur l’engagement de la République islamique à œuvrer aux côtés de ce mouvement jusqu’à l’éradication de l’ennemi sioniste. Il a également réitéré l’objectif ultime de la libération totale de la Palestine, considérée comme une priorité pour l’Iran et ses alliés au sein de l’axe de la Résistance.

 

La guerre génocidaire du régime sioniste se poursuit avec une intensité accrue à Beit Lahia. Dans le contexte des frappes répétées contre les des hôpitaux et les centres médicaux, l’armée du régime sioniste a de nouveau bombardé l’hôpital Kamal Adwan à Beit Lahia, causant la mort d’au moins quatre personnes dont deux enfants.

Des avions de guerre de l’armée occupante ont bombardé jeudi 31 octobre l’hôpital Kamal Adwan, situé dans le nord de la bande de Gaza, selon un rapport de The Cradle, qui a également signalé plusieurs blessés parmi le personnel médical. Le bombardement a également causé de lourds dégâts dans un entrepôt contenant des médicaments et des fournitures médicales.

The Cradle, journal en ligne qui couvre l’actualité de l’Asie de l’Ouest, a précisé dans son rapport que les frappes israéliennes « ont visé une station de dessalement du département de dialyse rénale, les départements d’ingénierie et de maintenance, ainsi que les réservoirs d’eau de l’hôpital, en plus d’avoir incendié un entrepôt de médicaments et de fournitures médicales ». « Le bombardement a visé le troisième étage du bâtiment », ajoute le journal.

 

Au cours d’un échange téléphonique, le ministre iranien des Affaires étrangères, Seyed Abbas Araqchi, s’est entretenu jeudi 31 octobre avec son homologue algérien, Ahmed Attaf, concernant les évolutions récentes dans la région.

Les deux parties ont reconnu la gravité de la situation précaire dans la région et l’urgence d’un engagement fort pour mettre fin immédiatement au génocide perpétré par le régime sioniste à Gaza, ainsi qu’à son agression militaire contre le Liban.

Ils ont également souligné la nécessité d’une réaction unie de la part des pays islamiques face aux actes criminels perpétrés par Israël dans la région.

Cette déclaration revêt une importance particulière à l’approche notamment d’un prochain sommet réunissant les pays arabes et islamiques, où des discussions cruciales à ce propos seraient à l’ordre du jour.

 

Le Washington Post a constaté environ 500 rapports faisant état de civils blessés ou tués par les forces israéliennes utilisant des armes fournies par les États-Unis dans la bande de Gaza. Cependant, aucune action n’a été entreprise en réponse à ces rapports, selon les informations disponibles.

Le 30 octobre, le Washington Post ainsi que l’agence de presse Reuters ont rapporté que les événements en question avaient été documentés depuis le 7 octobre 2023 par le Civilian Harm Incident Response Guidance, un dispositif officiel du département d’État américain. Ce mécanisme a pour objectif de suivre et d’évaluer les cas d’utilisation abusive d’armements d’origine américaine qui ont été signalés.

Les responsables du Département d’État ont compilé des informations sur les incidents en s’appuyant sur diverses sources, y compris des rapports médiatiques, des organisations de la société civile, ainsi que des relations établies avec des représentants de gouvernements étrangers.

Établi en août dernier, le mécanisme a été conçu pour s’appliquer à l’ensemble des pays recevant des armements américains. Ce processus se divise en trois phases distinctes, qui englobent l’examen des incidents, l’évaluation des conséquences des politiques mises en œuvre, ainsi que la coordination des actions entre les différents départements concernés.

 

La récente agression israélienne contre la République islamique d’Iran constitue une violation flagrante des principes fondamentaux de la Charte des Nations unies, du droit international, de l’intégrité territoriale et de la souveraineté nationale du pays, a déclaré, le Groupe des Amis pour la défense de la Charte des Nations unies.

Dans un communiqué publié mercredi 30 octobre, le Groupe de l’ONU a fermement condamné l’« agression préméditée et odieuse » du 26 octobre du régime israélien contre l’Iran, qui a causé la mort de quatre militaires des forces armées iraniennes et d’un civil.

Utilisant l’espace aérien de l’Irak, l’armée du régime sioniste a tiré des projectiles sur des installations militaires dans les provinces iraniennes de Téhéran, Khouzistan et Ilam ; ce qui constitue une violation flagrante de la souveraineté nationale du pays.

 

Réponse

Il est évident que la sainte religion de l’islam est une religion universelle, planétaire et éternelle, et tant que le Noble Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– était vivant, la responsabilité de la conduite de la communauté lui incombait. Après sa mort, il faut confier cette responsabilité à la personne la plus compétente de la communauté.

Au sujet de la question de savoir si cette fonction après le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– est une dignité de droit divin, désignée sur l’ordre de Dieu et annoncée par l’Envoyé de Dieu –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– ou une charge octroyée par le biais d'élections, nous avons deux avis: Les chiites croient que la fonction de Guide est une dignité accordée par Dieu et qu’il faut que le successeur du Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– soit déterminé par Dieu, alors que les sunnites croient que la communauté, après le Prophète, doit élire quelqu’un pour la direction des affaires de l’État.

Les conditions qui prouvent le caractère divin du califat

Les savants chiites ont exposé dans leurs livres sur les principes chiites, des quantités de preuves sur la nécessité d'une désignation par Dieu, du dirigeant de la communauté, mais ce que nous exposons ici, est l’analyse des conditions que le chef régnant à l’époque de la prophétie, qui prouvent l’exactitude de l’opinion chiite.

L'analyse de la politique étrangère et intérieure de l’islam à l’époque du Prophète, montre que le successeur du Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– devait être désigné par Dieu et présenté par le Prophète, car la communauté musulmane était continuellement menacée par le triple danger de l’empire byzantin, du royaume d’Iran et des hypocrites. Le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille–, en nommant des chefs politiques, avait réussi à unifier la communauté contre les ennemis extérieurs et avait empêché l’ennemi de s'ingérer dans les affaires intérieures et d'étendre sa domination.

Un des côté de ce dangereux triangle, constitué par l’empire romain, au nord de la péninsule arabe, a inquiété le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– jusqu’aux derniers instants de sa vie.

La première confrontation militaire entre les musulmans et l’armée chrétienne byzantine, la huitième année de l’Hégire, se déroula en Palestine. Cette bataille fut à l'origine de la mort de trois généraux, Dja‘far Tayyâr, Zayd ibn Hâritha et Abd Allâh ibn Rawâha, et d'une dure défaite pour l’armée de l’islam.

Le retrait de l’armée de l’islam encouragea l’armée byzantine qui devint une véritable menace d'invasion pour les régions islamiques. Pour cette raison, le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– se mit en route pour la Syrie avec une lourde armée, afin de commander personnellement les opérations militaires. Au cours de ce difficile voyage, l’armée musulmane retrouva son prestige et son influence politique.

Cette victoire relative n’avait pas cependant rassuré le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– qui, quelques jours avant sa maladie, confia le commandement de l’armée musulmane à Osâma pour qu’il se rende en Syrie et reste présent sur les lieux.

Le deuxième front ennemi était l'empire d’Iran. L'empereur d’Iran, en colère, avait déchiré la lettre du Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille–, et renvoyé ses ambassadeurs avec insolence, puis il avait ordonné au gouverneur du Yémen d’arrêter le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– et en cas de refus, de le tuer.

Bien que Khosro Parviz, le roi d’Iran, décéda à l’époque du Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille–, la question de l’indépendance du Yémen qui, à une époque avait été une conquête de l'empire iranien, ne fut jamais réglée pour les monarques iraniens qui par orgueil et par vanité, ne purent jamais supporter l’existence d’un tel pouvoir à leurs frontières.

Le troisième danger était le danger des hypocrites qui s'infiltraient dans les milieux musulmans, pour comploter et semer la discorde. Ils programmèrent même l'assassinat du Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– sur le chemin entre Tabûk et Médine. Ce groupe espérait qu’avec la mort de l’Envoyé de Dieu, le mouvement islamique prendrait fin et qu’ils en seraient débarrassés pour toujours.1

Le danger des hypocrites était tel que le Coran les mentionna dans les sourates «Âl-i ‘Imrân», «Nisâ’», «Mâ’idah», «Infâl», «Tawbah», «Ankabût», «Ahzâb», «Mohammad» –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille–, «Fath», «Modjâdilah», «Hadîd», «Monâfiqîn» et «Hachr».

Comment, avec un si fort opposition, le Prophète de l’islam –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– pouvait-il négliger la désignation d'un guide religieux et politique, pour la jeune communauté islamique?

La situation exigeait que le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– prévienne l’émergence d’oppositions après lui, en nommant un guide, et garantisse l'unité islamique en désignant une ligne de défense, ferme et sûre. Il fallait qu'il empêche qu’après sa mort, que chaque groupe revendique que le commandeur (l'Emir) soit des leurs, et cela était impossible sans la désignation et la nomination du futur dirigeant.

Ces considérations générales démontrent l’exactitude et la vérité de la thèse de la désignation explicite dans la désignation du Guide, après le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille–.

Témoignage énoncés explicites l’Envoyé de Dieu

Dans ce contexte, le Prophète –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– avait expliqué la question de sa succession dès les premiers jours de sa mission prophétique et jusqu’aux derniers jours de sa vie. Il avait désigné son successeur au début de sa prophétie, au cours de la réunion organisée pour annoncer officiellement sa prophétie à ses proches, et à la fin de sa vie, au retour du Pèlerinage d’adieux, à «Ghadîr Khomm». Trois exemples extraits des textes, ont été donnés en réponse à la deuxième question, accompagnés de leur chaîne de transmission et de leur adresse dans les livres des savants et des rapporteurs de Hadith islamiques.

Les conditions générales qui existaient au début de l'islam et les Hadith de l’Envoyé de Dieu –les bénédictions de Dieu soient sur lui et sur sa Famille– sur la désignation et la nomination de Amir al-Mo’minân en tant que successeur, montrent clairement que la question du califat était une question qui devait être réglée explicitement par voie divine, et était une question essentielle et incontournable.