Pendant que les Européens et les Arabes sont absorbés par le coronavirus, les Anglo-Saxons changent l’ordre du monde. Sous commandement US, le Royaume-Uni a pris le contrôle de l’entrée de la mer Rouge ; les Émirats arabes unis se sont retournés contre l’Arabie saoudite et lui ont infligé une cuisante défaite au Yémen du Sud, tandis que les Houthis le faisaient au Yémen du Nord. Désormais, le Yémen est scindé en deux États distincts et l’intégrité territoriale de l’Arabie saoudite est menacée.

تقي زاده
Le cadeau empoisonné US à son pire ennemi ?
Un chercheur américain décrit le coronavirus comme une « arme biologique » et appelle l’Iran à être « très prudent » quant à toute offre d’aide des États-Unis pour contrôler l’épidémie de Covid-19 dont l’origine reste un mystère pour les scientifiques.
Dans une interview exclusive à l’agence de presse iranienne Tasnim, l’écrivain et chercheur américain, Michael Jones, a déclaré que la pandémie de coronavirus était provoquée par un « réseau mondial de contrebande d’armes biologiques », impliquant selon lui, Winnipeg au Canada, l’Université Harvard aux États-Unis et Wuhan en Chine.
« Les États-Unis avaient délocalisé en partie leur programme de développement des armes biologiques en Chine, mais les Chinois payaient des professeurs d’université américains comme Charles Lieber à l’Université Harvard pour faciliter la contrebande de ces matières dangereuses, qui se sont retrouvées finalement à Wuhan », a déclaré Michael Jones à l’agence Tasnim.
Exercices militaires US/Émirats: à quoi devront s'attendre l'US Navy et cie?
À peine 4 jours après avoir frôlé une nouvelle méga déculottée tout près du ciel iranien quand l'un de leurs F-18 Super Hornet a failli être pulvérisė dans par la DCA iranienne alors qu'il escortait l''USS Truman et l'USS Eisenhower en mer d'Oman, les USA et les petits Émirats s'exercent à des opérations de débarquement sur le sol iranien!
Trump veut se servir de la pandémie de Covid-19 pour sortir du bourbier irakien (Atwan)
« Aux prises avec la crise de la pandémie de Covid-19, l’administration Trump essaie de détourner l’attention de l’opinion publique de ses carences en matière de santé et d’économie, en déclenchant de nouvelles attaques contre la Résistance en Irak », estime l’éditorialiste de Rai al-Youm, Abdel Bari Atwan.
Dans un article publié ce dimanche sur le site du journal Rai al-Youm, Atwan a rappelé la révélation faite par le journal New York Times sur l’existence d’un plan américain pour mener des « opérations militaires sanglantes » contre les bases des Unités de mobilisation populaires irakiennes (Hachd al-Chaabi). Le journal a confirmé que le département américain de la Défense avait donné l’ordre à ses hauts commandants militaires d’élaborer un plan prévoyant l’envoi de milliers de soldats avec du matériel lourd dans les bases de l’armée américaine en Irak.
Atwan écrit : « Le président Trump a autorisé son secrétaire à la Défense, Mark Esper, et les commandants du Pentagone à organiser des représailles pour venger des militaires américains et britanniques tués lors de l’attaque menée contre la base al-Tajji il y a deux semaines. Maintenant, avec l’effondrement de l’économie et la vulnérabilité du système de santé aux États-Unis en raison de la propagation de la Covid-19, l’administration Trump cherche une sortie en essayant d’intensifier une guerre par procuration en Irak. »
Bio-défense: l'armée et le CGRI arment le secteur sanitaire
L’Organisation des industries de défense de la République islamique d’Iran a produit et remis, jusqu’ici, plus de 2 500 000 litres de désinfectants au secteur sanitaire, a-t-on appris du ministre de la Défense.
En visite dans une usine de production de masques, de désinfectants et de combinaisons de protection destinées au personnel médical, le ministre iranien de la Défense, le général de brigade Amir Hatami, a déclaré, dimanche 29 mars, que l’Organisation des industries de défense et d’autres secteurs liés à la lutte contre le coronavirus faisaient de leur mieux pour aider le secteur sanitaire ainsi que la société. « Des infrastructures nécessaires pour produire des masques avaient déjà été mises en place il y a une vingtaine d’années, mais le ministère de la Défense a équipé encore davantage ses lignes de production juste après la propagation du coronavirus. Presque 1 500 000 masques filtrants M750 et N95 ont déjà été produits et remis aux responsables concernés », a déclaré Amir Hatami.
Le ministre a ajouté que si le secteur de la défense n’avait pas compté sur les capacités domestiques, il aurait rencontré aujourd’hui de sérieux problèmes pour produire des équipements médicaux en pleine crise.
Sanctions américaines: Moscou opte pour des mesures de représailles
La Russie se lance dans une campagne de lutte contre les sanctions des États-Unis.
Cela fait quelques semaines que le Kremlin se dit prêt à prendre des mesures de représailles vis-à-vis des sanctions imposées par Washington au moment où ce dernier se sent considérablement vulnérable sur fond de la propagation rapide du coronavirus à travers les États-Unis. Dans la foulée, la Russie a tourné le dos à l’OPEP+ et au prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane - déclarant ainsi la guerre au schiste américain.
d’autant plus qu’elle a protégé le géant du pétrole Rosneft par le biais d’un accord que celui-ci vient de conclure avec une entreprise possédée à 100% par le gouvernement de la Fédération de Russie afin de le protéger face aux sanctions américaines.
Samedi 28 mars, Rosneft a annoncé avoir vendu tous ses actifs pétroliers vénézuéliens à une entité publique russe anonyme. « Le gouvernement de la Fédération de Russie a acquis les actifs de Rosneft au Venezuela. Une entreprise détenue à 100% par la Fédération de Russie en est devenue propriétaire », a déclaré le Russe TASS.
Une déclaration de la société russe qualifie la décision de « cruciale » pour protéger les intérêts des actionnaires à un moment où l'administration Trump intensifie la pression sur Maduro et les entités étrangères qui font toujours affaire avec Caracas.
« Dans le cadre de l'accord conclu, tous les actifs et opérations commerciales de Rosneft au Venezuela et /ou liés au Venezuela seront vendus, résiliés ou liquidés », a déclaré Rosneft. « Nous avons pris cette décision dans l'intérêt de nos actionnaires, en tant que société internationale cotée en Bourse », a déclaré à TASS le porte-parole de Rosneft, Mikhaïl Leontyev. « Et nous avons le droit de nous attendre, en effet, à ce que les régulateurs américains tiennent leurs promesses publiques », a-t-il ajouté.
Irak : « les actions US vouées à l’échec »,(officiel russe)
Les États-Unis ont l'intention de reprendre leurs opérations en Irak selon le journal américain, le New York Times citant des sources bien informées auprès du département américain de la Défense.
« L'escalade des opérations américaines en Irak ressemble à un combat perdu à l'avance », a déclaré le samedi 28 mars le membre du Conseil de la fédération Alexei Pushkov sur son Twitter. Et de poursuivre : « Les États-Unis ne peuvent pas se débarrasser des mauvaises habitudes, même au milieu d'une épidémie, ils prévoient d'intensifier les combats en Irak. Cela ne finira pas par une victoire pour les États-Unis. Cela ressemble déjà à une bataille perdue à l'avance sur le territoire de quelqu'un d'autre ».
La bio-arme US Covid-19 met au pas l'Espagne qui jette du leste
En Italie, les laboratoires de bio-guerre que la Russie vient d'installer sous le nez de l'OTAN et des Etats-Unis, apportent des révélations inattendues. Des sources officieuses affirment que les militaires russes auraient découvert que la Covid-19 serait réellement "une bio-arme" et que son agent pourrait être autre que le coronavirus. L'information reste évidemment à confirmer mais ceci n'est pas le tout dans cette histoire : L'Espagne est désormais, après l'Italie, le seconde pays touché par l'épidémie. Quelque 800 morts par jour et les autorités, littéralement prises de court, craignent dépasser bientôt les 8000 morts italiens. Et bien c'est dans ce contexte que l'Amérique de Trump vient de mettre à prix la tête du président vénézuélien Maduro que l'Espagne ne portait pas certes dans le cœur mais qui refusait jusqu'ici de bannir.
On se rappelle fort bien que Madrid qui avait décidé sous pression US d'extrader son ancien chef du renseignement militaire, l’ex-général vénézuélien Hugo Carvajal, a tout fait en 2019 pour que cette extradition n'ait pas lieu. Mais ce fut avant l'épidémie : la bio-arme US vient d'avoir raison de la résistance de l'Etat espagnol qui se dit désormais prêt à extrader l'ex-général, sous la coupe de ridicule accusation de narcotrafic!
"La guerre contre le coronavirus peut être longue", Nasrallah
Abbas ibn Ali (a)
La première guerre de l’Otan-MO renverse l’ordre régional
Le président Donald Trump poursuit sa politique de retrait militaire du « Moyen-Orient élargi ». Pour ce faire, il déplace progressivement ses troupes, signe des accords avec les forces contre lesquelles elles étaient déployées (par exemple avec les Talibans) et négocie la libération de ses prisonniers. Simultanément, le Pentagone fait appel au Royaume-Uni pour prendre la tête des opérations de la nouvelle Alliance atlantique-Moyen-Orient et superviser la suite de la « guerre sans fin » au « Moyen-Orient élargi ». La Syrie est considérée comme zone d’influence russe tandis que la stratégie Rumsfeld/Cebrowski se poursuit avec la division du Yémen en deux États distincts et la préparation du démembrement de l’Arabie saoudite.
Rapatriement des agents de la CIA détenus prisonniers
Les 18 et 19 mars 2020, un citoyen US, Michael White, détenu en Iran, a été transféré de sa prison à l’ambassade de Suisse à Téhéran ; un autre citoyen US, Amer Fakhoury, détenu au Liban, a été exfiltré par les troupes états-uniennes ; enfin le président Trump a demandé publiquement l’aide de la Syrie pour retrouver un troisième citoyen US, Austin Tice.
Ces opérations sont supervisées par le discret conseiller de sécurité nationale, Robert O’Brien, qui dispose d’une solide expérience en matière de libération de prisonniers.
Michael White a servi 13 ans dans la Marine US. Il s’est rendu en Iran pour y retrouver sa fiancée. Il a été arrêté en 2018 et condamné à 13 ans de réclusion pour espionnage. D’autres citoyens US emprisonnés en Iran —dont Morad Tahbaz, Robert Levinson, Siamak et Baquer Namazee— ne semblent pas susciter le même intérêt de Washington. Michael White a été remis à l’ambassadeur suisse Markus Leitner pour « raison de santé ». Il n’est pas libre pour autant.
Amer Fakhoury est un célèbre collaborateur des troupes d’occupation israéliennes au Liban. Il fut membre de l’Armée du Liban-Sud, directeur de la sinistre prison de Kiam et tortionnaire. Il s’est enfui du Liban lors du retrait israélien et y est revenu, pour une raison inconnue, en septembre 2019. Il a immédiatement été reconnu et arrêté. Il a été libéré au motif d’une prescription de ses crimes, ce qui est juridiquement faux, mais interdit de quitter le territoire. Il s’est alors précipité à la méga-ambassade US d’Awkar sous la protection de l’ambassadrice Dorothy Shea, d’où il a été exfiltré en hélicoptère par les Forces spéciales US vers Chypre.
Austin Tice est un capitaine des Marines devenu journaliste indépendant. Il a pénétré illégalement en Syrie avec l’aide des services secrets turcs avant de disparaître, en 2012, à Daraya (banlieue de Damas). Eva Filipi, l’ambassadrice de Tchéquie qui représente les intérêts US en Syrie, avait affirmé qu’il serait détenu non pas par des jihadistes, mais par les autorités syriennes. Ce que Damas a toujours démenti.
Ces trois citoyens US sont très probablement des collaborateurs ou des agents de la CIA.
Étrangement, les Émirats arabes unis ont brisé l’embargo US et apporté des médicaments en Iran.
Chaque faction libanaise accuse l’autre d’avoir cédé aux pressions US. Le Hezbollah assure ne pas avoir trahi la Résistance et ne pas avoir négocié secrètement avec Washington, tandis que le président du Tribunal militaire (pro-Hezbollah) a démissionné.
C’est la première fois depuis deux décennies qu’un président états-unien sollicite publiquement l’aide de la République arabe syrienne.
- Le secrétaire à la Défense US, Mark Esper, reçoit son homologue britannique, Ben Wallace, au Pentagone. La « relation spéciale » entre les deux pays est rétablie. Les « Cinq yeux » sont renforcés. Le Royaume-Uni prend le commandement des opérations de l’Otan-MO.
Transfert de l’encadrement militaire au Royaume-Uni
Le 5 mars, le secrétaire US à la Défense, Mark Esper, a reçu au Pentagone son homologue britannique Ben Wallace. Les deux hommes se sont partagés le commandement de la nouvelle Otan-MO [1].
Ben Wallace a ensuite prononcé un discours à l’Atlantic Council au cours duquel il a confirmé la solidité de l’alliance UK-USA et la disponibilité du Royaume-Uni. Il a également soutenu la nécessité de juger le « dictateur Bachar el-Assad » (sic), mais l’impossibilité de le faire compte tenu du soutien de l’« ours russe ». En d’autres termes, la Syrie reste un ennemi, mais on n’y touchera plus. La guerre sera déplacée [2].
- Le secrétaire britannique à la Défense, Ben Wallace, et son homologue turc, le général Hulusi Akar, inspectent les « postes d’observation » turcs qui servent de base de repli aux jihadistes à Idleb (Syrie occupée), le 12 mars 2020. Londres assure Ankara que le Pentagone ne détruira pas la Turquie, mais l’Arabie saoudite.
Les 12 et 13 mars, Ben Wallace s’est rendu en Turquie et en Syrie occupée par les jihadistes. Il a inspecté les postes d’observation de l’armée turque à Idleb et fait parvenir 89 millions de £ de dons « humanitaires » aux familles des jihadistes. Ceux-ci ont alors commencé à attaquer les troupes turques censées les protéger, tuant plusieurs soldats turcs.
La fin du Yémen et le début de celle de l’Arabie saoudite
Poursuivant leur politique de retrait militaire et de transfert de cette fonction à des proxys, les États-Unis sont en train de transformer la guerre du Yémen. Originellement, le Pentagone prévoyait de diviser ce pays en deux selon la ligne de partage qui existait jusqu’en 1990. Il avait encouragé l’Arabie saoudite et Israël à se lancer à l’assaut du pays pour en exploiter les ressources pétrolières de la région mitoyenne du « Quart vide » [3]. L’opération avait été conduite avec l’aviation israélienne, des mercenaires colombiens sous drapeau saoudien et des troupes émiraties. Elle avait été coordonnée par un état-major tripartite (Arabie/USA/Israël) basé au Somaliland.
Cependant, le Pentagone s’appuyant sur les rivalités tribales parvint à complexifier la situation jusqu’à aboutir à un pays effectivement divisé en deux, mais aussi à une Coalition Arabie-soudite/Émirats également divisée. Il lui fallait alors —sans engager ses propres troupes— terminer la division du Yémen en deux États distincts avant de se lancer dans la division de l’ancien allié saoudien en cinq États distincts. Le Pacte du Quincy lui fait obligation de protéger le roi d’Arabie saoudite, mais ni son pays, ni son héritier [4].
- Le souverain de facto d’Abou Dhabi et président de facto des Émirats arabes unis, Mohamed ben Zayed, a été le mentor du prince héritier saoudien, Mohamed ben Salmane. Progressivement l’élève a voulu écraser son maître. En définitive, c’est le discret MBZ qui devrait écraser l’infatué MBS.
Cette semaine, le Pentagone a dépêché un navire de guerre au large d’Aden. Il a installé des troupes britanniques sur l’ile de Socotra pour en faire une base militaire permanente avec les Émirats arabes unis et l’a armé avec des missiles Patriot. Simultanément, les Houthis du Nord soutenus par l’Iran ont attaqué victorieusement deux bases militaires saoudiennes et fait prisonniers plus de 700 soldats saoudiens, tandis que les tribus soutenues par les Émirats ont attaqué les tribus soutenues par l’Arabie saoudite à Aden. Le gouvernement d’Abdrabbo Mansour Hadi, seule autorité officiellement reconnue par l’Onu mais siégeant en exil à Riyad, a perdu le contrôle d’Aden.
Le prince héritier saoudien, Mohamed ben Salman, après avoir torturé son ami d’enfance trop brillant, après avoir assassiné ses rivaux, après avoir exécuté le chef chiite de son opposition, après avoir embastillé et dépouillé ses frères et oncles, après avoir fait découper à Istanbul un Frère musulman trop bavard, n’a plus personne pour le soutenir.
Les départements états-unien, britannique et émirati de la Défense ne communiquent pas sur ces batailles. Seuls les Houthis le font. En l’absence de communication officielle, la presse internationale est aveugle et muette.
Le Yémen du Sud est une ancienne colonie britannique et les Émirats arabes unis étaient intégrés dans l’Empire des Indes. Le Royaume-Uni, sous parapluie états-unien, reconquiert son influence dans le Golfe et en mer Rouge.
L’opposition Arabie saoudite/Axe de la Résistance n’existe plus, faute de combattants. Désormais, après l’Iran (1953-78), l’Iraq (1979-90) et l’Arabie saoudite (1991-2019), les Émirats arabes unis (2020-), sous parapluie de l’Otan-MO, sont devenus les gendarmes de la région.
Ce retournement complet de situation correspond à notre analyse de la crise. Après leur échec en Syrie, les États-Unis poursuivent leur plan de 2001 et s’apprêtent à déstabiliser l’Arabie saoudite. Le président Trump a validé cette étape à la seule condition que les troupes US n’y participent pas directement, mais que les Émirats les représentent.
Le suicide de l’Union européenne
Pendant ce temps, l’Union européenne réagit de manière inadaptée à l’épidémie de coronavirus. Au lieu de lutter contre la maladie (tests généralisés, traitement des personnes infectées à la chloroquine, soins d’urgence aux malades avec respiration artificielle et interféron Alfa 2B recombiné), elle prévient l’engorgement de ses hôpitaux (assignation à résidence de la population saine) [5]. Son économie s’est arrêtée et la Banque centrale européenne annonce une récession de 5 % si cette situation se prolonge deux semaines, mais ce sera probablement six.
Lorsque le pic de l’épidémie sera passé, elle ne sera plus une grande puissance économique et le monde sera organisé d’une manière nouvelle, sans elle.
[1] « NATO Go Home ! », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 février 2020.
[2] « Quelle cible après la Syrie ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 10 mars 2020.
[3] « Exclusif : Les projets secrets d’Israël et de l’Arabie saoudite », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 22 juin 2015.
[4] « Le Pacte du Quincy ne protège que le roi d’Arabie, pas son héritier », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 23 octobre 2018.
[5] « Covid-19 : propagande et manipulation », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 20 mars 2020.