تقي زاده

تقي زاده

Dans un message sur Twitter, le ministre iranien des Affaires étrangères a fait allusion à la menace de Washington d’empêcher l’Iran de vendre son pétrole, et a dit que « Téhéran vendra le pétrole à tous ses acheteurs. »

« Les États-Unis nous ont interdit les moyens de défense : nous avons construit des missiles et tout de suite après les États-Unis ont porté plainte. Les États-Unis nous ont interdit le combustible nucléaire : nous l’avons fabriqué et les États-Unis se sont plaints. Aujourd’hui, les États-Unis se livrent à des actes de piratage et à des menaces pour empêcher l’Iran de vendre du pétrole à des clients traditionnels. Arrêtez de nous harceler @SecPompeo : nous vendrons le pétrole à tous les acheteurs », a écrit M. Zarif sur Twitter.

L’ambassadeur de Russie au Liban a déclaré qu’Israël se trompait s’il croyait que sa victoire dans une guerre contre le Hezbollah était assurée.

Alexander Zasypkine a en effet annoncé lors d’un discours qu’établir des liens avec les différentes parties en conflit pour éviter qu’une guerre n’éclate entre le Liban et le régime sioniste est un devoir pour son pays, qui cherche aussi à créer une situation adéquate pour que des négociations puissent avoir lieu. 

« La Russie entretient des relations avec le Liban et elle ne veut pas qu’une nouvelle guerre éclate entre ce pays et Israël. [...] La Russie est en contact avec toutes les parties et c’est le devoir de la Russie que d’établir des liens avec les différentes parties pour éviter la guerre », a rapporté El-Nashra, citant l’ambassadeur russe. 

« Il y a de l’exagération dans les déclarations des responsables israéliens. Ils sont très alarmistes et nous nous sommes toujours prêts à prendre en considération les intérêts des voisins de la Syrie. L’éclatement d’une guerre entre Israël et le Liban entraînerait des tueries et des destructions des deux côtés et cette guerre ne résoudrait pas leurs problèmes », a souligné le diplomate russe, qui a ajouté : « Le fait qu’Israël soit convaincu qu’il va gagner la guerre ou encore que la Résistance est plus faible que lui, ça ne correspond pas à la réalité. Parce que les deux parties tentent d’accroître leurs capacités de confrontation. Nous devons créer les conditions politiques adéquates pour des négociations et un processus de paix et il ne faut pas qu’on se dirige vers une guerre. Les événements au Moyen-Orient nous ont beaucoup éloignés de ce chemin, mais nous faisons des efforts pour y retourner ».

Concernant la Syrie, Zasypkin a indiqué : « Parler de la sortie des alliés de l’armée syrienne comporte un préalable qui peut se révéler dangereux pour l’amélioration de la situation en Syrie. Il faut arriver à une solution politique sur le sujet. »

Le site El-Nashra a publié un article intitulé : « C’est pour ces raisons que la réponse du Hezbollah sera retardée », parlant précisément de la riposte du mouvement libanais aux récentes attaques sur ses positions, laquelle n’a toujours pas eu lieu.

En effet, le Liban a accusé Israël de menacer la stabilité régionale après le crash de deux drones dans la banlieue sud de Beyrouth, qui est un fief du Hezbollah. Et le mouvement libanais et son secrétaire général ont promis de riposter. Mais une question trotte dans l’esprit de beaucoup de gens depuis cette dernière attaque réalisée il y a quelques jours et c’est la suivante : quand est-ce que la riposte se fera ?

Certains sont convaincus que cette réponse pourrait bien arriver dans la semaine qui vient et d’autres imaginent qu’elle aura lieu au moment de l’Achoura. Entre les deux, il y a ceux qui pensent que la riposte du Hezbollah ne se fera pas de sitôt, ce qui semble le plus probable.

Sur la question de savoir pourquoi le Hezbollah n’a pas répondu dans les premiers jours suivant l’attaque terroriste, El-Nashra note en citant des sources informées : « Il faut tout d’abord que la réponse à l’ennemi soit calculée et douloureuse. Deuxièmement, le parti Amal prépare une cérémonie pour samedi à Nabatieh, en l’honneur de l’absence de l’Imam Moussa Sadr et de deux de ses compagnons. Et un discours du président du Parlement, Nabih Berry, est prévu à cette occasion. » 

Mais concernant cette semaine, les sources informées ont rapporté à El-Nashra : « Le Hezbollah ne répondra peut-être pas ces jours-ci, car la 1re dizaine du Muharram est consacrée aux cérémonies du deuil de l’Achoura et qu’il n’est pas très opportun que le Hezbollah réponde à Israël durant cette période [sacrée]. »

Ces sources ont ajouté : « Il est dans l’intérêt du Hezollah de maintenir la société israélienne dans l’état de panique dans lequel ils doivent très certainement être depuis l’annonce faite par Hassan Nasrallah. Il faut dire que le fait que les patrouilles israéliennes aient déserté les frontières sud [du Liban] et qu’il n’y ait plus de colons sionistes [dans cette zone], tout cela témoigne du fait que le Hezbollah a gagné la partie psychologique du conflit. Et il a même gagné en popularité dans la plaine de la Bekaa et à Dahieh Janoubyé, autant que s’il avait déjà riposté aux attaques. »

Quelques heures après la chute de deux drones ayant endommagé des positions du Hezbollah dans la banlieue de Beyrouth le 25 août, le leader du mouvement de la Résistance libanaise, Seyyed Hassan Nasrallah, a pris la parole. Dans des propos rapportés par Reuters, celui-ci a déploré la première attaque de Tel-Aviv sur le sol libanais depuis la guerre de 2006. Annonçant une nouvelle phase dans le conflit avec le régime sioniste, Nasrallah a promis que tout drone israélien dans le ciel libanais serait désormais abattu.

 

Des sources d’information ont indiqué qu’Abou Mohamed al-Joulani, chef du groupe terroriste de Tahrir al-Cham (anciennement appelé Front al-Nosra), avait été pris pour cible lors de frappes aériennes.

Abou Mohamed al-Joulani, a été visé lors du bombardement d’une ferme dans la banlieue d’Idlib. Selon des sources d’information proche des opposants, on ne s’est pas encore s’il est toujours en vie.

Après une attaque au drone menée par Israël contre Dahieh Janoubyé dans la banlieue de Beyrouth, le régime de Tel-Aviv a ordonné la fermeture de l’aéroport de Kiryat Shmona par crainte d’une riposte des combattants de la Résistance.

« Les médias israéliens ont annoncé que l’espace aérien au-dessus des régions des territoires occupés jouxtant la frontière du Liban a été fermé à tout vol », a écrit An-Nachrah.

Le commandant en chef de la Force de la Défense aérienne de l’armée iranienne affirme que les forces interarmées de la RII, surtout les forces des unités de la DCA de l’armée iranienne, sauront bien surprendre l'ennemi, le moment venu. Lors d'une cérémonie tenue en présence des officiers de l’Armée de l’air, ce samedi, le général de brigade, Alireza Sabahifard, a une nouvelle fois fait état de la disposition complète des forces armées iraniennes à défendre le pays avant d’affirmer :« Les fils du pays défendront, jusqu’à leur dernière goutte de sang, les intérêts suprêmes de l'Etat tout comme les causes de la Révolution islamique et son fondateur. »

Le commandant en chef de la Force de la Défense aérienne, le général de brigade Sabahifard/Tasnim

Selon le commandant Sabahifard, le secteur de la défense aérienne a fait "d'immenses progrès ces dernières années", progrès qui ont été au-delà des attentes. "L’Iran est en voie de devenir un pôle de fabrication de drones et de quadrirotors qui opèrent dans une gamme très différente".

« Notre système de défense aérienne ne cesse d'améliorer ses capacités. Il réserve de nombreuses surprises, qui assureront nos amis et effrayeront nos ennemis », a-t-il ajouté avant d'évoquer les batterie de missile anti-missile « Bavar 373 » et le radar Falagh, dévoilés ces derniers jours. 

« La technologie nationale qui préside à la fabrication de ce système de Défense nous permet d’en faire usage dans n’importe quelles circonstances climatiques et en fonction des menaces, quelle qu'en soit la nature. Mais le Bavar 373 n'est pas le seul élément de notre bouclier antimissile. Le système antiaérien iranien « 15 Khordad », dévoilé récemment peut aussi intercepter et détruire différentes cibles. Sans oublier le radar Falagh d’une portée de 400 km . »

Les Palestiniens ont organisé ce vendredi comme tous les autres vendredi depuis le 30 mars de 2018 la Marche du retour à la frontière de la bande de Gaza avec la Palestine occupée.
Comité d’organisation de la Marche du grand retour avait appelé dans un communiqué tous les Palestiniens à participer à cette marche baptisée « vendredi de la loyauté envers le sang des martyrs ».

« Cette marche se poursuivra tant que toutes les revendications légitimes du peuple palestinien et à leur tête, la levée du blocus de Gaza n’auront pas été satisfaites », a assuré le Comité d’organisation de la Marche du grand retour.

Cette marche a eu lieu dans l’après-midi après la prière du vendredi.

Les militaires de l’armée israélienne ont eu recours à balles réelles et au gaz lacrymogène pour réprimer les manifestations pacifiques des Palestiniens.

 D’après le ministère palestinien de la Santé dans la bande de Gaza 54 Palestiniens dont un journaliste ont été blessés.

Depuis le 30 mars dernier, plus de 320 palestiniens ont été tués et des milliers d’autres blessés.
 
Le président de la Commission eurasiatique et l’ambassadeur d’Iran à Moscou ont examiné les préparatifs de la mise en œuvre de l’accord de libre-échange.
 
Tigran Sarkissian, président de la Commission eurasiatique et Mahdi Sanaï, ambassadeur d’Iran en Russie, ont examiné ensemble les travaux de mise en application de l’accord sur une zone de libre-échange entre l’Union économique eurasiatique (UEEA) et l’Iran.

« L’adoption de cet accord est un événement historique. La création d’une zone de libre-échange avec l’Iran est la priorité de la Commission économique eurasiatique », a affirmé Tigran Sarkissian.

« Cet accord nous permettra d’entrer en négociation avec les partenaires iraniens. Bientôt le texte sera finalisé », a assuré le président de la Commission eurasiatique.

« Cet accord revêt une importance cruciale pour l’Iran. Il est dans l’intérêt de l’économie et du peuple iraniens. Le processus de négociation a été confronté à plusieurs défis mais il a finalement abouti et cet accord a été signé et adopté », a pour sa part déclaré Mahdi Sanaï.

L'Union économique eurasienne et l'Iran ont signé un accord intérimaire sur la zone de libre-échange le 17 mai 2018, accord qui a eu un impact positif considérable sur l’augmentation des échanges commerciaux entre l’Iran et les pays membres de cette union, notamment avec allègement du régime douanier. L'Union économique eurasienne a débuté ses travaux le 1er janvier 2015 et elle comprend la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan, l'Arménie et le Kirghizistan.
A la veille du mois lunaire de Muharram, une cérémonie à laquelle assistait le leader de la révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, a eu lieu samedi matin pour dépoussiérer le sanctuaire de l'imam Reza (AS), le 8ème imam chiite.
Les hauts dignitaires religieux et différents groupes de personnes étaient également présents au rituel, qui a lieu chaque année à Mashhad, dans le nord-est de l'Iran.

Muharram est le premier mois du calendrier lunaire hégirien, et les musulmans chiites et d’autres musulmans à travers le monde organisent chaque année au mois de Muharram des cérémonies commémorant l’anniversaire du martyre de l’imam Hussein (AS) et de ses compagnons.

Cette année le mois de Muharram commence le dimanche 1er septembre.
 

Il n’y aucun doute selon les chiites que l’autorité et la succession d’Amir-ul-mouminine communiquées par le prophète (ç) lors de l’évènement de Ghadeer Khom et dans bien d’autres occasion avant et après Ghadeer1]

, cette succession englobe toutes les situations du prophète (ç) et étant donné que le prophète (ç) a formé et dirigé l’Etat islamique, nous n’avons aucun doute que cela fait partie de l’un des aspects de la succession à savoir la succession politique de l’imam Ali (as).

 

Cependant, si nous voulons analyser votre question sous un autre angle, nous devons dire que compte tenu de ce qui s’est produit après la mort du prophète (ç) et que la califat ne s’est pas retrouvé dans la main de son propriétaire légitime, cela n’était pas acceptable pour les gens dans les générations d’après qui se demandaient comment avec toutes ces explications et ces éclaircissements sur la légitimité de la succession d’Ali (as), immédiatement après le prophète (ç), le gouvernement se retrouve entre les mains de quelqu’un d’autre. Ainsi, les écrivains qui militaient beaucoup pour la pensée des dirigeants de l’époque se sont débrouillés pour réduire et omettre de mentionner les mérites de l’imam Ali (as) dans leurs ouvrages. Ou alors de ne montrer que des bribes d’informations sur les mérites de l’imam Ali (as). Et lorsqu’un hadith est fréquemment rapporté, et que si l’auteur ne l’évoque pas cela mettra en cause son bagage intellectuel, il cherche des justifications et l’interprète de manière en sorte que ça rime avec ses convictions personnelles. Le hadith de Ghadeer fait partie des hadiths qui étaient impossible de censurer raison pour laquelle on ne voit que certaines parties de ces hadiths apparaitre dans les ouvrages authentiques sunnites.[2] Et il parle clairement  de la succession d’Ali (as) investi par el prophète (ç). Il est vrai qu’en lisant les hadiths aussi clairs et évident dans ces livres, cela suscite des questions dans la tête des lecteurs à savoir pourquoi Ali (as) n’a pas accédé au pouvoir malgré l’ordre du prophète (ç) ? C’est ici que les justificateurs entrent en jeu et essaye de faire croire que la succession dont il est question dans le hadith fait allusion à la succession gnostique, à l’amitié ou l’affection vis-à-vis d’Ali (as) et que cela ne concerne pas la succession politique. De telles explications apparaissent également dans un certain nombre de hadiths similaires. En guise d’exemple, on explique que le prophète (ç) a présenté Ali (as) comme Aroun c’est-à-dire qu’il est le ministre du prophète (ç) or ministre et représentant son deux choses différentes raison pour laquelle Ali (as) n’est pas le représentant du prophète (ç), il n’était que son ministre à l’époque où il était encore en vie. Et après la mort du prophète (ç), son mandat s’arrête là.

Nous mettons ce débat sur la table en nous inspirant des ouvrages sunnites et en évitant d’aborder la vie de nous autres les chiites. En effet, lors de l’évènement de Ghadeer Khom le prophète a commencé par demander aux musulmans : « Qui détient l’autorité des croyants et ainsi que leurs vies ? Tout le monde répondit  que c’est Dieu et son prophète. C’est après ces questions réponse que le prophète déclara que Ali est exactement comme lui ensuite il ajouta que quiconque dont lui le prophète était le maitre Ali aussi sera son maitre. Sachez en plus qu’après cela, Oumar se leva et félicita l’imam Ali en ces termes : « ô fils d’Abou Talib, mes félicitations car tu es devenu le maitre et le guide des femmes et des hommes croyants. »[3]

L’autre évènement approuvé par les savants sunnites et qui est mentionné dans leurs livres s’est produit lorsque le prophète (ç) voulait se rendre de Tabouk et avait choisi Ali (as) pour le succéder à Médine. L’imam Ali (as) manifesta un peu d’affliction et vint voir le prophète (ç) pourquoi m’a tu laissé entre les femmes et les enfants ? (et l’empêchait de participer à la guerre) le prophète (ç) répondit : « n’aimerait tu pas être pour moi ce que Aroun était pour Moussa ? Sauf qu’après moi il y n’aura plus de prophète ? »[4]  Donc nous devons dire que si la succession dont il est question à Ghadeer est la succession mystique, dans ce cas, on ne peut pas considérer comme une partie de la succession politique.

Après avoir passé en revue ces deux évènements, deux questions fondamentales viennent à l’esprit :

1 – La question que le prophète (ç) posée aux musulmans à savoir qui avait droit sur eux est -elle juste en rapport avec la gnose ou le côté mystique ou alors cela concerne  également la succession politique, pour qu’on considère la succession de l’imam Ali (as) qui s’est produite après comme une forme de succession mystique et exotérique ?

2 – Si la réponse à la première question est négative et que la succession change de situation, tout s’arrête là et est évident. Si on persiste à croire que la succession et l’autorité communiquées à Ghadeer est une forme d’autorité mystique, nous présentons la deuxième question à savoir : Après le prophète (ç) nous n’avons personne qui jouissait d’un tel rang gnostique aussi supérieur et du point de vue militaire, nous n’avons personne aussi courageux et qui a été l’un des commandants du prophète (ç). Du point de vue politique aussi, à la fin de la vie du prophète (ç), lors de la bataille de Tabouk, c’est lui Ali (as) qui le succéda à Médine et également, il fut un bout de temps dans la région du Yémen celui qui s’occupait des affaires militaires et politiques. Donc quelle que soit la situation, l’imam Ali (as) était celui qui méritait diriger la communauté après le prophète (ç). Et d’autre part, il y en avait qui pensaient que le prophète (ç) n’avait défini personne de manière particulière pour le succéder. Donc l’allégeance avec l’imam Ali (as) s’avère alors contraire aux ordres du prophète (ç). Et en plus de cela, nous remarquons clairement dans les ouvrages de hadiths sunnites que ce grand gnostique qui commandait mystiquement tous les musulmans s’étaient opposé avec celui qui avait pris le pouvoir après le prophète (ç) et il a fait presque six mois sans lui donner l’allégeance.[5]Alors ne peut –on pas donner d’importance à sa gnose dans ce domaine ou alors le manque d’intérêt par rapport à ces avis ne constitue pas une manière de ternir les ordres du prophète (ç). Et si dans une question aussi importance nous n’écoutons pas les propos d’un agnostique dont la succession gnostique est établie sur nous, alors à quoi servira son autorité gnostique ?

Donc la succession annoncée à Ghadeer qu’elle soit gnostique ou politique ne justifie pas cela. Et n’empêche pas l’imam d’accéder au califat. Bien que nous pensions dans ce cas que sa succession était à la fois gnostique, politique, de la même manière que pour le cas du prophète (ç). Et séparer cela de la part du prophète (ç) n’avait ni aucun sens et personne ne l’a évoqué. Ne parait-il pas étrange qu’avec la présence de celui que le prophète avait solennellement investi et qui détenait toutes les caractéristiques d’un guide on retrouve quelqu’un d’autre à la succession du prophète (ç) ?

 


[1] - Le jour de Dar, le jour de Moubahara, la guerre de Tabouk, lorsque certains protestaient contre sa manière de gouverner au Yémen…

[2] - En guise d’exemple, Mousnad Ahmad ibn Hanbal, vol 1, page 118 à 119, Darul Sadir, Beyrouth; Al sunnan d’ibn Marjâ Kazwini, vol 1, page 43 à 45, Darul fiqh, Beyrouth, Sahih Tirmizi, vol 5, page 297, Darul fiqh Beyrouth, 1403 hégire lunaire… Nous vous renvoyons à un livre Al Ghadeer d’Allamah Amini pour étudier les hadiths de Ghadeer car il a fourni beaucoup d’efforts pour réunir les sources de ces hadiths dans les livres fiables Sunnites.

[3] - Mousnad Ahmad ibn Hanbal, vol 4, page 281, Darul Sadir, Beyrouth.

[4] - Sahih Boukhary, vol 5, page 129, Darul fiqh, Beyrouth, 1401 hégire lunaire.

[5] - Confer Behar ul Anouar, Sahih Boukhary, vol 5, page 82 et 83.