تقي زاده

تقي زاده

Le coup ultra médiatique du président turc qui s'est refusé à recevoir le conseiller américain pour la sécurité nationale, John Bolton va-t-il apaiser la colère de l'État syrien et de ses alliés? Alors qu'à Idlib, on assiste toujours à des querelles de clocher entre al-Qaida (Al-Nosra) et les terroristes proches d'Ankara et que les agences d'information font état de "l'échec" des négociations entre le Front national de libération (al-Jabhat al-Wataniya al-Tahrir) et le Front al-Nosra (Hayat Tahrir al-Cham, HTC), al-Nosra a lancé, mardi 8 janvier dans la matinée, un assaut contre le sud d’Idlib, quitte à occuper six villages. À y voir de près, les terroristes d'al-Nosra occupent peu à peu le terrain perdu et se positionnent face à l'armée syrienne et à ses alliés, à Idlib, à l'ouest d'Alep et à Hama. 

Les soi-disant affrontements entre HTC d'une part et al-Jabhat al-Wataniya al-Tahrir, affilié à l’Armée syrienne libre (ASL), soutenu par la Turquie, d'autre part, sont entrés dans leur huitième jour. En effet, Hayat Tahrir al-Cham occupe une grande partie du Rif occidental du gouvernorat d’Alep, là où l'armée syrienne et la Résistance déploient le gros de leurs forces. À la lumière des récents événements, HTC a envoyé ses éléments vers la province d’Idlib, au sud-ouest d’Alep, afin de pouvoir l’occuper dans sa totalité.

 

Alors que des informations font état d'une hausse sensibles des activités des Américains en Irak parallèlement à l'annonce du retrait américain de Syrie, de nombreux analystes prévoient une escalade Résistance/USA dans les semaines à venir. Certaines sources évoquent le redéploiement des marines dans la ville pétrolifère de Kirkuk où lls veulent expulser les Hachd al-Chaabi.

Les agissements des États-Unis en Irak et sur les frontières de ce pays ont suscité la réaction des groupes politiques irakiens dont et avant tout ceux proches de la Résistance. Les Américains semblent vouloir ouvrir un nouveau front en Irak après la défaite de Daech, leur outil stratégique, selon Ramin Hossein Abadian, analyste iranien des questions politiques internationales.

Réaction de l’exécutif irakien

Lors de sa conférence de presse hebdomadaire, le Premier ministre irakien Adel Abdel-Mehdi a laissé entendre que les accords militaires signés avec les États-Unis ne sont pas éternels et qu'ils pourraient être revisités; "Le nombre de soldats américains et étrangers a nettement diminué sur le sol irakien", a lancé Abdel-Mahedi dont les propos pour de nombre analystes contiennent une mis en garde à peine voilée à l’adresse des États-Unis.

Les tensions montent au port stratégique de Haïfa : Selon Raï al-Youm, une société israélienne vient d'arracher un contrat de 15 millions de dollars pour assurer les équipements nécessaires à "la sécurité du port" alors que les mises en garde du Hezbollah sont bien présentes dans tous les esprits. Quelques jours plutôt, Tel-Aviv a annoncé avoir décidé de démanteler les réservoirs d'ammoniac de Haïfa pour les réimplanter dans le désert de Néguev.

Le secrétaire général du Hezbollah avait mis en garde Israël contre toute action militaire anti-Liban, laquelle déclencherait " une avalanche de missiles contre les réservoirs d'ammoniac de Haïfa", ce qui est la véritable "bombe nucléaire du Hezbollah". Mais le transfert des réservoirs d'ammoniac pourra-t-il mettre à l'abri le port israélien? Pas si sûr. Le gaz libanais qu'Israël continue à pomper au mépris total du droit international commence à faire sérieusement débat. La perspective d'une arrivée de la Russie au Liban via ses liens de plus en plus larges avec la Résistance a déjà mis en ébranle Israël qui a annoncé vouloir signer un contrat gazier dès le mois prochain avec les Chypriotes et Grecs dans l'objectif d'exporter du gaz en Europe. Si la Russie venait à être investi dans les projets gaziers du Liban, ainsi que le souhaite le gouvernement libanais, ce sera là un défi majeur à l'adresse de Tel-Aviv : un duo Russie-Hezbollah cherchera bien de noise au régime occupant qui exploitent illégalement les réserves gazières libanaises en Méditerranée. 

C'est sans doute dans cette même perspective que la "société israélienne de défense électronique", Elbit Systems, a annoncé qu’un contrat de 15 millions de dollars lui avait été attribué par Energean Israël (qui contrôle le secteur gazier d'Israël) afin de fournir une "couverture sécuritaire complète" pour la plate-forme FPSO (Floating Production Storage and Offloading) des champs gaziers offshore de Karish-Tanin. Le contrat sera exécuté sur une période de deux ans, la garantie et le support logistique se prolongeant pour 10 ans supplémentaires, a rapporté Israël Defense le 7 janvier. 

Mais quels sont les services offerts par la société israélienne?

L'information est bien précise : "la suite technologique à fournir par la filiale de la société, Elbit Security Systems Ltd. (ELSEC), comprend un large éventail de capteurs, notamment des systèmes électro-optiques, des radars, des sonars, un centre de commande et de contrôle ainsi que des équipements d'interception rapide, des bateaux avec une suite dédiée de capteurs et tout ceci, pour détecter et identifier les menaces de surface et sous-marines et agir en conséquence".  

De quoi a peur Israël? Des opérations dirigées par des commandos marines de la Résistance ou/et d'une riposte en due et bonne forme de la Russie qui ne restera sans doute pas les bras croisés à regarder Tel-Aviv saper sa quasi omnipotence gazière en Europe? Les avis divergent. Certains analystes croient que la Russie de Poutine a tout intérêt à investir au Liban, un investissement qui pourrait l'aider à mieux contrôler ses intérêts au Moyen-Orient, note l'analyste des questions internationales Hadi Mohammadi. "Vu la protection que les Israéliens s'entourent à Haïfa, ils semblent avoir bien peur d'infiltrations cybernétiques. On tend à penser que la défaite israélienne à contrer les S-300 en Syrie, a provoqué de véritables remous au sein des milieux militaires et sécuritaires israéliens qui attendent avec inquiétude la réaction russe au projet gazier israélien. Or cette réaction pourrait aussi comprendre les paramètres de la Résistance". 

Ce qui vient de se produire en Jordanie n'a rien de rassurant pour Israël : Le régime de Te-Aviv est-il sur le point de perdre définitivement le Golan? Lors d’une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d’État américain Mike Pompeo, ce mardi 8 janvier à Amman, le ministre jordanien des Affaires étrangères a déclaré que le Golan appartenait à la Syrie et qu’Israël devrait s’en retirer. 

Pour les analystes du Moyen-Orient, le ministre jordanien n'aurait jamais pu se prononcer de la sorte sans le feu vert implicite préalable des États-Unis dont le conseiller pour la sécurité, venait juste, au moment de ce point de presse, de quitter Israël. En effet, la tournée israélienne de John Bolton qui aurait du conduire ce dernier sur les hauteurs occupés du Golan, a manqué cette étape et ce n'est sans doute pas sans raison. Lors de ses entretiens avec le conseiller, Netanyahu a exigé que Washington fasse tout son possible pour faire reconnaître par la "communauté internationale" la souveraineté israélienne sur le Golan occupé, la réponse de Bolton s'est fait attendre. Pour un État syrien qui compte se faire restituer à tout prix le Golan, c'est plutôt une bonne nouvelle, surtout que les alliés de l'armée syrienne sont bien partants pour contribuer activement à la libération du Golan. 

Soulignant la nécessité du renforcement des relations entre les groupes de résistance dans la région face à une armée israélienne totalement "démoralisée", le secrétaire général d’al-Nujaba, dont le groupe est l'une des principales composantes des Hachd al-Chaabi, conseille aux Israéliens d'éviter toute confrontation militaire avec le Hezbollah et se garder bien de provoquer la Syrie. 

« Le régime d’Israël s'est affaibli. Il ne dispose pas de marge de manœuvre suffisamment grand et n'a plus d'initiative. Vu cette fragilité organique qui les paralysent, les Israéliens ne sont pas en mesure de déclencher une guerre et de faire face à la Résistance. Al-Nujaba est convaincs que toute guerre israélienne contre la Résistance finira par un cuisant échec israélien », a déclaré le secrétaire général du Hezbollah irakien, al-Nujaba, dont les combattants participent à une armée baptisée "Armée pour la libération du Golan" et qui "se tient prête à suivre l'État syrien quand ce dernier donnera l'ordre de la libération du Golan". Et al-Nujaba d'ajouter : « Comme nous l’avons vu dernièrement, Israël n’a tenu que deux jours face aux forces de la Résistance à Gaza. Si une guerre venait à éclater, l’axe de la Résistance remportera la victoire», a affirmé le Cheik Akram al-Kaabi pour qui Israël manque cruellement de soldats "motivés" et " compétents". 

Les chefs militaires taïwanais ont annoncé la tenue de nouvelles manœuvres militaires d’envergure visant à défendre l’île contre une éventuelle « invasion chinoise ».

L’armée taïwanaise a annoncé une série d’exercices militaires à grande échelle pour « contrer la nouvelle menace de la Chine d’utiliser la force pour prendre le contrôle de l’île ».

Alors que les forces armées taïwanaises organisent régulièrement de tels exercices, les manœuvres de cette année annoncées, ce mercredi 9 janvier, sont « en cours d’élaboration sur la base de la tactique récemment adoptée pour se défendre contre une éventuelle invasion chinoise », a déclaré le chef de la planification du ministère de la Défense, le général Yeh Kuo-hui.

Le président chinois a affirmé mercredi dernier que l’indépendance de Taïwan mènerait à un « terrible désastre », sans manquer de dire que la Chine n’excluait pas de recourir à la force.

Il s’est toutefois dit disposé à œuvrer à une réunification pacifique entre les deux pays.

Les relations entre Pékin et Taipei se sont détériorées depuis la prise de fonction en 2016 de la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen, favorable à une indépendance officielle de Taïwan, une demande considérée comme inacceptable par Pékin.

Le conseiller à la Sécurité nationale de la Maison Blanche, John Bolton, s’est rendu le samedi 5 janvier en Israël, pour rassurer, apparemment, l’allié israélien du soutien de son pays face à la présence iranienne dans la région, après le « retrait » de troupes US de Syrie. Mais quel était le vrai objectif de la visite de Bolton à Tel-Aviv ? Il voulait informer son allié régional de l’inquiétude de Washington par rapport à la présence et l’investissement de la Chine en Israël et leurs effets négatifs sur les intérêts régionaux de Washington.

En effet, les États-Unis s’inquiètent beaucoup du renforcement des liens entre la Chine et Israël dans le domaine commercial et technologique. Les Américains ont exprimé ces dernières semaines leur vive inquiétude au sujet d’un accord qui confiera au Shanghai International Port Group la responsabilité du terminal à conteneurs du port de Haïfa à partir de 2021.

Haïfa, la plus grande ville portuaire d’Israël a régulièrement accueilli des exercices navals américano-israéliens et des navires américains. Cependant, l’accord de 2015 entre le ministère des Transports israélien et la société chinoise jette un doute sur l’avenir du partenariat américano-israélien. Les Américains ont peur que l’influence de la Chine dans un lieu d’une telle importance stratégique, non loin d’une base navale israélienne, mette en danger les moyens de renseignement israéliens et empêchent les navires militaires américains de faire tout arrimage à Haïfa.

Plus tôt, l’amiral à la retraite Gary Roughead, ancien chef des opérations navales américaines, avait averti qu’un port géré par les Chinois pourrait obliger la marine à amarrer ses navires de guerre ailleurs.

Il va sans dire que le mouvement des Gilets jaunes est un appel à la source : les français ne veulent plus se soumettre aux valeurs anglo-saxones qui "affectent" toutes les strates de leur vie sociale, tous les recoins de leur système de gouvernance à commencer par l'économie qui touche directement leur quotidien. C'est d'ailleurs en ce sens que leur mouvement a dépassé les frontières de "l’Hexagone", pour atteindre d'autres pays d'Europe pas seulement au sein du peuple, mais aussi au sein de certains partis anti-système. En effet, en Italie, deux vice-présidents du Conseil des ministres italien, Luigi Di Maio et Matteo Salvini, ont réussi à provoquer l’ire de Paris, en endossant chacun un gilet jaune. La ministre française chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, a immédiatement condamné cet acte.

La Jordanie a reconnu la souveraineté du gouvernement syrien sur le Golan.
 
 
Lors d’une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d’État américain Mike Pompeo, ce mardi 8 janvier à Amman, le ministre jordanien des Affaires étrangères a déclaré que le Golan appartenait à la Syrie et qu’Israël devrait s’en retirer.

Ayman Safadi a déclaré avoir discuté avec son homologue américain de l’avenir de la région frontalière d’al-Tanf en Syrie.

« Le règlement de la crise en Syrie compte parmi les objectifs stratégiques de la Jordanie », a réaffirmé le chef de la diplomatie jordanienne.

Il a souligné que le rétablissement de la sécurité au camp de réfugiés d’al-Rukban et le retour des habitants de ce camp à leurs domiciles étaient deux conditions nécessaires pour la stabilisation des frontières syro-jordaniennes.

« Le Golan appartient à la Syrie. Il s’agit d’une région occupée et nous demandons à Israël de s’en retirer », a-t-il réaffirmé.

Le chef du bureau du Golan à la primature syrienne a appelé la communauté mondiale à passer à l’acte pour contrer un plan du régime israélien destiné à faire reconnaître l’occupation du Golan.

Madhat Saleh a déclaré que le régime israélien exploitait toutes les conditions et situations dans le cadre de ses plans d’occupation et expansionnistes.

« Le régime israélien entend séparer le Golan occupé du territoire syrien, mais tous ses plans sont jusqu’ici tournés au fiasco sur l’échiquier international. En plus, le fait que les habitants du Golan aient rejeté une loi appelée “les élections locales” a porté un coup sérieux au plan expansionniste des Israéliens. Après l’échec de ce projet, Israël a décidé de lancer un plan de production d’électricité dans les terres agricoles pour ainsi nuire à l’agriculture de cette région, mais les habitants du Golan ont neutralisé ce plan. Maintenant, le régime israélien coopère avec l’administration américaine pour faire reconnaître sa souveraineté sur cette région », a expliqué Madhat Saleh.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a récemment demandé aux États-Unis de reconnaître la souveraineté d’Israël sur le Golan.

Le responsable syrien a averti que la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté d’Israël sur le Golan entraînerait la reconnaissance de cette occupation par tous les autres pays.    

« Il faut contrer ce plan aux niveaux national, régional et international pour ainsi transmettre un message clair aux États-Unis et à Israël. Il faut contrer ce plan pour faire reculer Israël, même si cela aboutit à un acte de résistance, car cette terre nous appartient et nous avons le droit de résister », a déclaré le chef du bureau du Golan à la primature syrienne.

Le responsable syrien a ensuite réclamé la coopération de la Russie pour déjouer le plan d’Israël concernant le Golan.
Madhat Saleh avait auparavant déclaré que la Russie essayait de faire de sorte que la Syrie puisse récupérer la souveraineté du Golan.

Israël s’est emparé en juillet 1967 quelque 1 200 kilomètres du sol du Golan et l’a annexé en 1981, l’annexion qui n’a jamais été reconnue par la communauté mondiale. Le Golan constitue une région occupée conformément aux lois internationales. La résolution 242 du Conseil de sécurité stipule que le régime israélien devra se retirer du Golan.

Le consultant international et ancien conseiller au ministère français de la Défense et de l’Intérieur, Alain Corvez, était l’invité spécial d’une émission diffusée à l’antenne de la chaîne d’information continue iranienne IRINN, portant sur les exigences et les stratégies de la sécurité et de la défense.
 
« Les États-Unis finiront certes par sortir de la région », a affirmé Alain Corvez.
 
« Les États-Unis sont confrontés à d’innombrables questions. À l’intérieur des États-Unis, les forces de l’ombre se sont réveillées. De nos jours, les États-Unis ont compris qu’aucun de leurs alliés, pas même l’Arabie saoudite, n’était un allié digne de son nom. »
 
Le général Baqeri a déclaré que les États-Unis ne faisaient qu’alimenter l’insécurité dans le golfe Persique par leur présence dans cette région stratégique.
 
L’analyste politique français a ajouté qu’Israël, aussi, finirait par se trouver dans l’isolement dans la région ; « son Premier ministre Benjamin Netanyahu s’en est aperçu », a-t-il précisé.
 
D’après l’ancien conseiller du ministère français de la Défense, « l’Europe aussi est aux prises avec des problèmes ; les peuples ont mis en cause le leadership technocrate de Bruxelles ».
 

Le secrétaire exécutif de la première conférence internationale sur l'éducation religieuse dans les religions abrahamiques, a déclaré que nous recherchions des méthodes scientifiques d'éducation religieuse et que l'éducation religieuse était un des débats les plus importants et les plus difficiles des religions abrahamiques.

Lors de la première conférence de presse internationale sur l'éducation religieuse dans les religions abrahamiques, tenue le 8 janvier 2019, en présence de plusieurs représentants des médias, au bureau du vice-président académique de l'Astan Quds-e Razavi, Ali Serouri Majd a déclaré : 
« Cette conférence scientifique se tiendra en mars 2019 et nous envisageons deux colloques spécifiques avant cette conférence. L'Université internationale Imam Reza (a.s) est le principal exécutant du programme. D'autres universités et centres d'enseignement religieux iraniens, et des instituts de recherche participeront à la conférence. Concernant les objectifs de la première conférence internationale sur l'éducation religieuse dans les religions abrahamiques, nous avons pour objectif la coopération des érudits musulmans et des autres religions abrahamiques.»

« L'éducation religieuse, a-t-il dit, dans les religions abrahamiques, les échanges d'expériences entre les adeptes des religions abrahamiques, et le partage de ces expériences, ainsi que la préparation d'un champ pour l'acquisition des connaissances sur les religions abrahamiques constituent les autres buts de cette conférence. »

Serouri Majd a souligné : « Grâce à ses discussions avec les leaders des différentes religions, l’Imam Reza (a.s) a suscité le développement de diverses sciences au Khorasan et dans le monde islamique. Un autre objectif de la conférence est de présenter le mouvement scientifique d’éducation religieuse dans le monde, créé par l'Imam Reza (a.s) à la fin du deuxième siècle et au début du troisième siècle de l’hégire. »

« La philosophie de l’éducation religieuse, les théories et les modèles d’enseignement religieux, les expériences d'éducation religieuse dans l'enseignement public et les institutions gouvernementales, ainsi que l'éducation religieuse dans les enseignements de l’Imam Reza (as) figurent parmi les thèmes de cette conférence », a-t-il ajouté. 

Il a indiqué : « Notre objectif est de faire connaître au monde les enseignements de l'Imam Reza (a.s) axés sur l'éducation religieuse. L’appel à cette conférence qui aura lieu du 5 au 20 mars 2019, a été mis sur notre site et dans le cyberespace. »

« Une réunion de préparation a été organisée au Liban à Beyrouth, en présence de professeurs iraniens et libanais. Ce voyage nous a permis de nous familiariser avec les écoles religieuses et l’éducation religieuse au Liban, et de présenter ces expériences aux établissements d’enseignement iraniens », a conclu le secrétaire exécutif de la première conférence internationale sur l'éducation religieuse dans les religions abrahamiques.

Une autre réunion aura eu lieu les 9 et 10 janvier 2019, à Machhad, en présence de quatre personnalités chrétiennes de France.