تقي زاده

تقي زاده

En réaction aux verbiages des parties occidentales avant le début de la bataille d’Idlib, le président syrien a affirmé que la libération de cette province déjouerait les plans des États-Unis et de l’Occident.

Le Comité central du parti Baath a tenu aujourd’hui une réunion présidée par le secrétaire régional du parti, le président Bachar al-Assad.

« La question du Deal du siècle est aussi ancienne que la cause palestinienne, mais elle s’est accélérée dernièrement en vue de bénéficier de la défection d’un certain nombre d’États du front anti-israélien », a-t-il fait savoir.

 

De retour de Moscou où il a rencontré de hauts responsables militaires russes, le commandant des forces armées indiennes, le général Bipin Rawat, a déclaré que l’Inde poursuivrait sa politique indépendante.

L’Inde, qui a toujours été proche de la Russie, a clairement défié les États-Unis, en achetant vendredi à Moscou le système de défense antiaérienne S-400 à l’occasion de la visite en Inde du président russe Vladimir Poutine. Ce contrat va à la fois agacer et embarrasser les États-Unis. La transaction s’élève à 5,2 milliards de dollars, selon des responsables diplomatiques indiens joints par l’AFP.Dans ce droit fil, le général Bipin Rawat a déclaré que New Delhi poursuivrait sa politique indépendante et qu’il comptait acquérir des hélicoptères Kamov et d’autres équipements russes.

« Suite à l’achat de S-400 à la Russie, l’Inde encourt des sanctions américaines. Néanmoins, les Russes se réjouissent de la coopération avec l’armée indienne. Ils savent que notre armée est puissante et capable de défendre nos intérêts », a-t-il souligné.

Au sujet du développement de la coopération indo-américaine, il a dit avoir assuré les autorités russes qu’il a rencontrées à Moscou de l’autonomie de New Delhi.

L’Inde cherche aussi à accéder à la technologie aérospatiale russe.

Un radar volant de l’OTAN a été intercepté par la DCA syrienne alors qu’il menait une mission de reconnaissance sur une base militaire russe en Syrie où sont désormais déployés des systèmes de défense antiaérienne S-300.

La DCA syrienne a intercepté l’avion de détection et de commandement de l’OTAN, Boeing E-3A Sentry, connu également sous le nom d’AWACS, qui de provenance d’Allemagne, a survolé pour une durée de 3 heures les eaux internationales de l’est de la Méditerranée à proximité du Liban afin de scanner la base militaire russe Hmeimim près de Lattaquié en Syrie, a rapporté Sputnik.

Depuis la livraison de systèmes russes de défense antiaérienne S-300 à l’armée syrienne, les avion-espions de l’US Air Force font régulièrement des tours à proximité des côtes syriennes où sont situées les bases militaires russes.

Ayant promis de renforcer les systèmes de guerre radio-électroniques en Syrie, Sergueï Choïgou, le ministre russe de la Défense avait fait état lors d’une réunion avec le président russe Vladimir Poutine et les membres du Conseil de sécurité de la fédération de Russie, du débarquement du dispositif de guerre électronique « Krassukha-4 » le 25 septembre en Syrie dans le cadre de la livraison des S-300.

Les médias syriens ont fait part, samedi soir, d’une opération héliportée de la coalition américaine lors de laquelle elle a sorti un nombre d’éléments supposément de Daech de la localité d’al-Shaafa, au sud-est de Deir ez-Zor, dans l’est de la Syrie. Au nombre de ces éléments, il se pourrait qu'il y ait des officiers occidentaux. 

En effet, ce sont les hélicoptères de la coalition américaine qui ont effectué l’opération de transfert des terroristes de Daech vers l’extérieur de Deir ez-Zor.

Les terroristes dont la plupart étaient blessés ont été transférés vers un endroit inconnu. La localité d’al-Shaafa est occupée par Daech, supplétifs takfiristes des forces US basées à Al-Tanf. 

D’après des rapports officiels, les Américains ont, à maintes reprises, aidé les terroristes de Daech à quitter la région dans la mesure où Daech n'est qu'un nom d'emprunt pour dissimuler la vraie identité des parties impliquées dans la guerre contre l'Etat syrien et ses alliés. 

La réaction américaine à la frappe balistique iranienne contre Hajin à Abou Kamal a été singulière : d'une hostilité ouverte, les Américains en sont désormais à proposer à l'Iran "une connexion au réseau commun de communication militaire américano-russe". À ceci s'ajoutent des rapports publiés par les Think Tanks américains qui font état, ces derniers jours, de l'incapacité US à faire face à une guerre généralisée ayant plusieurs fronts. Pourquoi? 

Dans son index sur la capacité de l’armée américaine, le laboratoire d'idées et lobby américain basé à Washington, Foundation Heritage écrit que malgré le budget alloué à l’armée américaine, celle-ci aurait du mal à se battre si elle était forcée à faire face à deux conflits simultanément . 

" Les équipements militaires modernes de l'armée américaine représentent les deux tiers de ce qu'ils devraient être. Les équipements utilisés sont également plus anciens et moins performants, et leur utilisation au niveau d’alerte engendrera des problèmes ", indique l’index de la force militaire américaine publiée par la Fondation Heritage qui propose des analyses des problèmes de politique de défense de l’année écoulée.

La coalition al-Fath en Irak met en garde les États-Unis et Israël contre la riposte écrasante à toute attaque qui viserait les positions de l’axe de la Résistance situées en Irak.

Entesar Hassan al-Moussaoui, le représentant de la coalition d’al-Fath auprès du Parlement irakien, a mis en garde ce samedi 6 octobre les États-Unis et Israël contre toute attaque visant les positions des forces de la Résistance en Irak.

« Washington et Tel-Aviv veulent relancer le terrorisme après la victoire des forces de la Résistance islamique et des Hachd al-Chaabi », a déclaré Entesar Hassan al-Moussaoui lors d’une interview accordée à l’agence irakienne de presse Al-Maalouma.

Pour Entesar Hassan al-Moussaoui, le consulat américain à Bassora dans le sud du pays représente « un sérieux danger » pour la sécurité et la souveraineté irakienne. 

La Palestine dénonce un complot israélien nouveau pour remplacer les services de l’UNRWA et expulser subrepticement dans la ville occupée d’Al-Qods (Jérusalem). 

Al-Qods israélien maire, Nir Barkat, a annoncé jeudi dernier qui avait produit « un plan détaillé » pour remplacer l’Office des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA, pour son sigle en anglais) et assumer les services fournis par cette Agence dans la partie orientale d’Al-Qods. 

« Cette décision fait partie d’une campagne agressive lancée par l’occupation israélienne de judaïser la ville d’Al-Qods et d’éliminer son identité palestinienne, agissant surtout sur le secteur de l’éducation dans la ville sainte », a déploré aujourd'hui samedi le ministère d’Éducation en Palestine. 

Le portefeuille des palestinien, a également examiné cette mesure dans le cadre de « une série d’étapes malveillantes » du gouvernement américain à bloquer les opérations de l’UNRWA et mettre fin à l’humanitaire et l’éducation prend en charge les réfugiés palestiniens. 

L’annonce du maire israélien survient près d’un mois depuis que Washington a annoncé la coupe de tout le budget alloué à l’UNRWA sous prétexte que c’est « une opération a irrémédiablement échouée ». 

Selon le nouveau plan israélien, les écoles de l’UNRWA, qui comptent environ 1800 élèves, fermera à la fin de cette année scolaire, et les enfants seraient transférés dans les écoles municipales. 

Le Ministère palestinien, cependant, croit que la décision controversée de fermer les activités de l’Agence dans la ville d’Al-Qods est « un défi flagrant à l’ONU et ses institutions ». 

La suspension des contributions américaines à l’UNRWA a suscité des critiques de la part des Palestiniens et la communauté internationale. L’autorité nationale palestinienne (ANP) a décrit la décision de nous d’une « attaque flagrante » aux Palestiniens. 

La mesure, cependant, a été saluée par le régime de Tel-Aviv. Un représentant du Bureau de l’israélien premier ministre Benjamin Netanyahu, accusé, en fait, l’UNRWA de « perpétuer le conflit entre la Palestine et Israël ». « Consolider les réfugiés palestiniens statut est l’un des problèmes qui perpétue le conflit », il a soutenu. 

« La démolition du village palestinien de Khan al-Ahmar est un acte cruel et un crime de guerre », a déclaré Amnesty International.
L’organisation Amnesty International a écrit lundi 1er octobre sur son site web officiel que la démolition du village de Khan al-Ahmar en Cisjordanie et le transfert forcé de sa population pour laisser place à des colonies israéliennes illégales sont des crimes de guerre révélateurs du mépris qu’éprouve le régime israélien à l’égard des Palestiniens.

D’après le communiqué publié par le site d’Amnesty International, les habitants de Khan al-Ahmar, situé à l’est de Qods, risquent d’être expulsés de force et transférés par l’armée israélienne dans d’autres endroits.

Les autorités israéliennes disent que les villageois palestiniens pourront choisir entre deux destinations possibles : un site jouxtant l’ancienne décharge municipale de Qods, non loin du village d’Abou Dis, ou un site à proximité d’une station d’épuration, non loin de la ville d’Ariha.
À ce sujet, le directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient à Amnesty International, Saleh Higazi, a écrit :

« Après presque 10 ans de lutte contre cette démolition injuste, les habitants de Khan al-Ahmar redoutent de voir se concrétiser le jour terrible où les habitations qui sont les leurs depuis plusieurs générations seront mise en pièces. 

Cet acte est cruel et discriminatoire, mais aussi illégal. Le transfert forcé des habitants de Khan al-Ahmar équivaut à un crime de guerre. Israël doit mettre fin à sa politique de destruction des habitations et des moyens de subsistance des Palestiniens en vue d’installer des colonies. »


Khan al-Ahmar, où habite une tribu bédouine palestinienne, est entouré de plusieurs colonies israéliennes illégales. Cela fait plus de 60 ans que les habitants de Khan al-Ahmar se battent pour conserver leur mode de vie. Ils ont été expulsés de leurs terres dans le désert du Néguev dans les années 1950. Depuis lors, les régimes israéliens successifs leur font subir harcèlement, pressions et réinstallations, ajoute Amnesty International.

Le ministre israélien des Affaires militaires, Avigdor Lieberman, a annoncé, fin août 2017, que le gouvernement israélien allait évacuer tous les habitants de ce village en quelques mois.

La Cour suprême israélienne a statué à deux reprises en faveur de la démolition de tout le village de Khan al-Ahmar, le 24 mai puis le 5 septembre 2018, à la suite d’un ultime recours déposé par les villageois. L’arrêté de démolition concerne également l’école construite avec des pneus où sont scolarisés 170 enfants de cinq communautés bédouines différentes, ajoute le texte.

Le tribunal a prétendu que le village avait été construit sans les permis de construire requis, alors que, d’après le communiqué d’Amnesty International, il est presque impossible pour les Palestiniens de les obtenir dans la « zone C » de Cisjordanie, qui correspond aux zones administrées par Israël.

Le communiqué d’Amnesty International précise :
« La politique israélienne consistant à implanter ses civils dans les territoires palestiniens occupés, en détruisant arbitrairement des biens et en expulsant de force des Palestiniens vivant sous occupation, viole la Quatrième Convention de Genève et est un crime de guerre selon les termes du statut de la Cour pénale internationale. »

Depuis 1967, le régime israélien a expulsé de force et déplacé des communautés entières et démoli plus de 50 000 habitations et bâtiments palestiniens.


Maintenant, le délai accordé par Israël aux habitants palestiniens de Khan al-Ahmar pour l’évacuer a expiré. Les Palestiniens ont pourtant annoncé qu’ils contreraient tout éventuel travail de démolition du régime israélien dans les jours à venir.

Il serait utile de rappeler que vu l’emplacement géographique du village de Khan al-Ahmar, il est probable qu’une fois démoli, ce village sera remplacé par une colonie de peuplement juif qui séparerait les deux secteurs est et ouest de Qods, découpant ainsi officiellement la Cisjordanie en deux parties.
 
La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné mercredi aux Etats-Unis de mettre fin aux sanctions contre l'Iran visant des biens "à des fins humanitaires", un revers pour Washington qui a toutefois fermement récusé la compétence de la Cour dans cette affaire. 
 
La CIJ se prononçait sur la demande de Téhéran introduite en juillet de suspendre les sanctions américaines réimposées par Donald Trump après le retrait des Etats-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien, la République islamique dénonçant de graves conséquences sur son économie.
 

Les juges de la Cour basée à La Haye, plus haute instance judiciaire des Nations unies, ont décidé à l'unanimité que les sanctions imposées visant certains biens constituaient une violation d'un traité d'amitié conclu en 1955 entre l'Iran et les États-Unis, qui encourage les échanges commerciaux.

"La Cour indique, à l'unanimité, que les Etats-Unis (...) doivent, par les moyens de leurs choix, supprimer toute entrave que les mesures annoncées le 8 mai 2018 mettent à la libre exportation vers l'Iran de médicaments et de matériel médical, de denrées alimentaires et de produits agricoles", et de biens nécessaires à la sécurité de l'aviation civile, a déclaré le juge président Abdulqawi Ahmed Yusuf.

Les mesures adoptées par les Etats-Unis "risquent de nuire gravement à la santé et à la vie de personnes se trouvant sur le territoire iranien", a-t-il ajouté.

Les décisions de la CIJ sont contraignantes et ne peuvent pas faire l'objet d'une procédure en appel. Mais la Cour n'a aucun moyen de les faire appliquer.  Washington a déjà ignoré l'avis de la CIJ dans le passé.

La Cour a rendu mercredi des mesures conservatoires dans l'attente d'une décision finale, ce qui pourrait prendre plusieurs années selon les observateurs.

L'ordonnance de la CIJ intervient dans un contexte de tensions grandissantes entre l'Iran et les Etats-Unis, le président américain Donald Trump promettant une nouvelle fois la semaine passée devant l'Assemblée générale de l'ONU de nouvelles mesures punitives "plus dures que jamais.

- "Guerre psychologique" -
 
Accusant les Etats-Unis d'"étrangler" son économie, l'Iran a entamé une bataille judiciaire devant la CIJ après la réimposition par Donald Trump de sanctions unilatérales sévères contre Téhéran, suspendues depuis l'accord international sur le nucléaire iranien conclu en 2015.

Le président américain a retiré en mai son pays de cet accord signé par l'Iran et les grandes puissances, dans lequel la République islamique s'engage à ne pas chercher à se doter de l'arme atomique.

Les sanctions comprennent des blocages sur les transactions financières et les importations de matières premières, ainsi que des mesures pénalisantes sur les achats dans le secteur automobile et l'aviation commerciale.

L'Iran a accueilli mercredi l'annonce de la CIJ comme une "victoire du droit". L'ordonnance de la Cour est "un nouveau signe confirmant clairement que la République islamique d'Iran est dans son droit", a écrit le ministère iranien des Affaires étrangères dans un communiqué.

Peu avant la décision de la Cour, le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif avait qualifié les sanctions américaines de "guerre psychologique" à la BBC radio.

Lors d'audiences tenues fin août à La Haye, Téhéran avait affirmé que la politique de Washington a des "conséquences dramatiques" sur l'économie iranienne.
Le Leader de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei s'est adressé à quelque 150.000 membres du Corps des mobilisés ( Bassij) réunis dans le grand stade de la capitale, Téhéran. Il a évoqué " l'invincibilité de l'Iran qui est loin d'être un simple slogan". 
 
À quelques jours de la grande cérémonie de l’Arbaïn marquant l’anniversaire du 40ème jour du martyr de l’imam Hossein et alors que des millions d’Iraniens s’apprêtent à se rendre en Irak pour participer à ce grand deuil chiite, le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Khamenei a prononcé un discours devant des milliers de bassijis, soit les membres du Corps des mobilisés, cette composante des forces armées nationales iraniennes, spécialisées dans des combats asymétriques.

Quelque 150.000 bassijis, réunis au grand stade de Téhéran et prêts à partir aux quatre coins du pays pour participer aux projets infrastructurels, ont assisté au discours de l’Ayatollah Khamenei qui a évoqué «  la situation particulièrement névralgique de la région et du monde », et surtout de la « période délicate » que traverse la nation iranienne.

« C’est un contexte sensible marqué d’une part par des rodomontades anti-iraniennes des grandes puissances et ce, sur fond de manifestation de la puissance de l’Iran islamique et de l’autre par des défis économiques lancés à notre égard et les efforts de l’élite à y obvier.

Le Leader de la Révolution islamique a mis l’accent sur la « grandeur de l’Iran, la puissance de la République islamique et surtout sur l’invincibilité du peuple iranien : "ce que je dis est loin d’être un simple slogan, ou une parole creuse comme celle qu’ont l’habitude de prononcer nos adversaires. La grandeur de l’Iran est un fait historique et elle s’étend à toutes les époques et à tous les domaines. Quant à notre puissance, il suffit d’en indiquer la plus grande manifestation à savoir la fin de la domination américaine et britannique en Iran qui a commencé au 19 ème siècle et qui a durée 100 ans et qui se soldait par une impitoyable et arrogante ingérence dans nos affaires les plus domestiques. Notre puissance a consisté à sortir intègre d’une longue guerre (Irak-Iran) qui visait à provoquer le démembrement de l’Iran". 

Plus loin dans ses propos, le Leader de la Révolution islamique a mis l'accent sur "l’intransigeance" iranienne, intransigeance qui "a fait de l'Iran une puissance". " Nous allons vaincre les sanctions et l'échec des sanctions marquera la défaite des Etats-Unis et cette défaite sera une nouvelle gifle iranien infligée aux Américains". 

Le Leader de la Révolution islamique a fait allusion ensuite aux aveux d'impuissance des ennemis jurés de l'Iran dont certains sont bien significatifs : " Un officier israélien avait affirmé que je suis l'ennemi de l'Iran mais je ne peux que me lever et tirer mon chapeau face à un pays qui a conçu des missiles de cette puissance et il faisait allusion aux missiles qu'ont fabriqués nos techniciens à l'appui de leurs propres savoir et capacités"  

L'Ayatollah Khamenei s'en est pris à la "fausse image" que l'administration américaine tente depuis quelques temps véhiculer et à l'aide de quoi elle vise à convaincre l'Europe de renoncer à ses liens avec l'Iran : " J'ai entendu le président américain dire aux dirigeants d'Europe de n'avoir à attendre que deux ou trois mois pour voir le renversement de l'ordre politique en Iran. Cela m'a rappelé un discours déjà vieux de 40 ans. Depuis les années 80 les Américains et leurs sbires se promettent un effondrement de l'Etat iranien qui ne se produit pas et qui ne se produira jamais...Ce qui pose problème à nos ennemis c'est son total manque de connaissance à notre égard...Après avoir épuisé tous les moyens, il ne reste plus à cet ennemi qu'une seule arme, celle des sanctions. Mais cette arme est bien fragile comparée aux infinis potentiels de notre économie nationale. Notre économie nationale vaincra les sanctions".