
تقي زاده
Attaque contre les musulmans près d'une mosquée à Londres
"L'attaque a eu lieu alors qu'un homme recevait des premiers soins par les gens sur place et malheureusement il est mort. Tout lien de causalité entre sa mort et l'attaque va faire partie de l'enquête", a ajouté M. Basu ajoutant qu'il était "trop tôt pour conclure que sa mort résultait de l'attaque".
Il a répété que l'événement était traité "comme une attaque terroriste" et que le conducteur de la camionnette avait été arrêté pour "tentative de meurtre".
L'attaque a eu lieu à proximité de la mosquée de Finsbury Park, dans le nord-est de Londres alors que des fidèles en sortaient après avoir prié dans le cadre du ramadan et de la rupture du jeûne nocturne.
L'Iran reste debut avec notre grandeur face aux ennemis
Lesdits gardes-frontières ont été tués en pleine mission antiterroriste pour le Corps des gardiens de la Révolution islamique, l’armée ou les forces de l’ordre.
À cette rencontre étaient aussi présents des familles des défenseurs du mausolée et des agents de renseignement iraniens, tués lors des opérations antiterroristes.
L’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré que la Révolution islamique avait fait face, dès les premiers jours ayant suivi sa victoire, à une très vive hostilité.
« Ne prenez pas au sérieux les fanfaronnades de ce type qui vient d’arriver au pouvoir aux États-Unis. Ce n’est pas une nouveauté. Ces fanfaronnades existaient dès le début. C’est la rhétorique qui a changé. Près de 40 ans se sont écoulés depuis la victoire de la Révolution islamique, mais ils n’ont rien pu faire à notre encontre. Ils disent vouloir changer l’ordre de la République islamique. C’est ce qu’ils voulaient toujours, mais ils ont échoué à chaque fois et ils échoueront encore. Ils ne connaissent pas la nation iranienne. Toutes les personnes qui souhaitaient voir la chute de l’ordre de la République islamique sont mortes sans voir la réalisation de leur chimère », a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que l’Iran résistait de toutes ses forces et qu’il résisterait toujours.
« Ce n’est pas eux qui nous donneront une gifle. C’est nous qui leur administrerons une gifle cinglante », a-t-il affirmé.
Syrie : tir de missiles iraniennes contre le QG des terroristes à Deir ez-Zor
Les Emirates Arabes Unis menacent de poursuivre le blocus du Qatar pendant des années
Il a expliqué que les adversaires du Qatar, qui ont depuis deux semaines rompu leurs relations diplomatiques avec le Qatar "misent sur le temps".
Les trois pays du Golfe persique ont également fermé leurs frontières terrestres et maritimes avec le petit émirat et lui ont imposé de sévères restrictions aériennes.
M. Gargash a accusé le petit émirat gazier d'avoir "construit une plateforme sophistiquée de soutien financier, médiatique, et politique" des islamistes radicaux et d'abriter plusieurs de leurs dirigeants.
Il a indiqué que l'Arabie saoudite, les Emirats, Bahreïn et l'Egypte soumettraient "dans les prochains jours" au Qatar une liste de leurs demandes, qui comprendraient l'expulsion de personnalités radicales, sans plus élaborer.
M. Gargash a estimé que la crise ne pourrait être résolue que lorsque le Qatar "changera de politique" et qu'il s'engagera à "cesser son soutien aux insurgés et aux islamistes radicaux".
Mais il a réclamé la mise en place par les Occidentaux d'un "mécanisme de surveillance" pour s'assurer que l'émirat du Golfe persique respectera bien ses engagements.
L’Iran nous a créé des couloirs aériens (Ministre qatari des Affaires étrangères)
« L’Iran a créé des couloirs aériens pour les avions de ligne qataris, après l’éclatement de la crise entre ce pays et certains pays arabes », a affirmé le ministre qatari des Affaires étrangères Mohammed ben Abdulrahman Al-Thani.
Selon l’agence de presse Mehr News qui cite la chaîne Al-Sumaria, le ministre qatari des Affaires étrangères a affirmé que l’Iran avait créé des couloirs aériens pour son pays, ajoutant qu’en cas de la poursuite de la crise, le Qatar pourrait également compter sur la Turquie, le Koweït et Oman.
Mohammed ben Abdulrahman Al-Thani a aussi affirmé que son pays n’avait encore reçu aucune demande des pays du golfe Persique ayant rompu avec Doha :
« Nous ne négocierons pas avec les pays arabes, tant que le blocus économique [imposé à Doha] ne sera pas levé et en ce qui concerne les affaires intérieures de notre pays, dont la politique étrangère et la question de la chaîne Al-Jazeera, nous n’allons pas négocier. »
Pour rappel, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn, l’Égypte mais aussi, le gouvernement démissionnaire du Yémen, ont rompu, le 5 juin, leurs relations diplomatiques avec le Qatar qu’ils accusent de « soutenir le terrorisme ».
Pour sa part, le Qatar a démenti ces accusations et dénonce une campagne diplomatique injustifiable visant à isoler ce pays.
Législatives françaises: En marche! obtient une majorité absolue toute relative
Selon les résultats définitifs du second tour des élections législatives en France, le parti En marche! d'Emmanuel Macron a obtenu une majorité absolue toute relative.
Les résultats des élections législatives 2017 offrent une large majorité de 350 sièges à Emmanuel Macron. Dans le détail, en nombre de sièges, La République en marche obtient 308 sièges et son allié le MoDem 42 sièges, Les Républicains 113 sièges, l'UDI 18 sièges, les divers droite 6 sièges, le Parti socialiste 29 sièges, le PRG 3 sièges, les divers gauche 12 sièges, La France insoumise 17 sièges, les écologistes 1 sièges, le Parti communiste 10 sièges, le Front national 8 sièges, Debout la France 1 siège, les régionalistes 5 sièges de l'Assemblée nationale. L'abstention atteint 57,36% des inscrits, un record (chiffres du ministère de l'Intérieur). Le président de la République et son gouvernement pourront normalement disposer d'un nombre d'élus suffisant pour faire passer leurs réformes, selon les chiffres établis par différents titres de la presse française.
Le mouvement En marche! a donc obtenu une majorité absolue toute relative. Le « raz-de-marée » n'a pas eu lieu, du moins pas tel qu'on le décrivait cette semaine, constate RFI.
Avec les médias
Le 10 juillet, date des pourparlers sur la Syrie
Ni Moscou ni l'ONU n'indiquent comment et pourquoi organiser une réunion sur la Syrie le même jour dans deux villes différentes.
"Une nouvelle rencontre des participants (au processus de paix pour la Syrie, ndlr) aura lieu à Astana le 10 juillet", a indiqué M. Lavrov, cité dans un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères, lors d'une conférence de presse à Pékin.
"L'envoyé spécial de l'ONU sur la Syrie, Staffan de Mistura, va y participer", a-t-il ajouté.
« Les tentatives des USA ont toujours échoué » (Guide suprême)
Le Guide suprême de la Révolution islamique a reçu, ce dimanche 18 juin, un groupe de familles des gardes-frontières, tués lors des opérations antiterroristes.
Le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a rencontré un groupe de familles des gardes-frontières iraniens, tués lors d’opérations antiterroristes.
Lesdits gardes-frontières ont été tués en pleine mission antiterroriste pour le Corps des gardiens de la Révolution islamique, l’armée ou les forces de l’ordre.
À cette rencontre étaient aussi présents des familles des défenseurs du mausolée et des agents de renseignement iraniens, tués lors des opérations antiterroristes.

L’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré que la Révolution islamique avait fait face, dès les premiers jours ayant suivi sa victoire, à une très vive hostilité.
« Ne prenez pas au sérieux les fanfaronnades de ce type qui vient d’arriver au pouvoir aux États-Unis. Ce n’est pas une nouveauté. Ces fanfaronnades existaient dès le début. C’est la rhétorique qui a changé. Près de 40 ans se sont écoulés depuis la victoire de la Révolution islamique, mais ils n’ont rien pu faire à notre encontre. Ils disent vouloir changer l’ordre de la République islamique. C’est ce qu’ils voulaient toujours, mais ils ont échoué à chaque fois et ils échoueront encore. Ils ne connaissent pas la nation iranienne. Toutes les personnes qui souhaitaient voir la chute de l’ordre de la République islamique sont mortes sans voir la réalisation de leur chimère », a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que l’Iran résistait de toutes ses forces et qu’il résisterait toujours.
« Ce n’est pas eux qui nous donneront une gifle. C’est nous qui leur administrerons une gifle cinglante », a-t-il affirmé.
France/législatives : large majorité pour La République en marche
Le parti du président Macron, la République en marche, a obtenu, ce dimanche 18 juin, la majorité absolue à l’Assemblée nationale, selon les premières estimations.
Un nouvel axe Alger-Téhéran se dessine : Abdelkader Messahel reçoit Zarif à Alger
Le ministre des Affaires étrangères d’Algérie a rencontré, dimanche 18 juin à Alger, son homologue iranien accompagné d’une importante délégation. Les relations entre les deux semblent prometteuses et les domaines de coopération multiples.
Selon le correspondant de l’agence iranienne IRNA à Alger, Abdelkader Messahel et Mohammad Javad Zarif se sont rencontrés au siège du ministère algérien de l’Intérieur, dans le cadre de consultations bilatérales entre les pays musulmans.
Le chef de la diplomatie iranienne M. Zarif arrive à Alger dans un contexte particulier, marqué par une aggravation de la situation sécuritaire au Proche-Orient et une chute des cours du pétrole.
Après les salutations et les remerciements préliminaires, comme le veut le protocole, M. Messahel a souligné que l’Algérie prônait le règlement pacifique des conflits régionaux via le dialogue.

« Dans le monde arabe, les crises ont toujours existé. La crise syrienne en est un exemple. Si tout le monde respectait la souveraineté des nations, les principes de l’État de droit et les revendications des peuples, la donne changerait. Ce sont les ingérences étrangères qui ont fait de la Libye ce qu’elle est aujourd’hui », a-t-il fait savoir.
Pour sa part, M. Zarif a évoqué les évolutions régionales et déclaré : « Nous sommes d’accord avec l’Algérie sur le fait que le terrorisme est le principal problème du Moyen-Orient. Son remède est la démocratie ; une démocratie qui naîtrait de l’intérieur de chaque pays. »
« Téhéran tient au principe de “la non-ingérence étrangère” dans les conflits qui secouent de nombreux pays en Afrique, comme la Libye et le Proche-Orient, en référence à la guerre en Syrie, pays qui fait également face au terrorisme », a-t-il affirmé, estimant que les ingérences étrangères pérennisaient et aggravaient les conflits.
« Ce sont les extrémistes et les sionistes qui profitent de cette situation de haute tension. Les sionistes en profitent sans rien avoir à dépenser. L’Iran ne tombera pas dans cette machination et ne laissera pas la voie libre aux sionistes », a-t-il précisé.