
تقي زاده
Un bébé palestinien de 14 mois tué dans les bombardements israéliens contre Gaza
Après que deux militaires israéliens ont été pris pour cible par deux activistes palestiniens, l’armée du régime israélien a bombardé Gaza, d’où la montée de la tension dans cette région.
En représailles, les groupes de la Résistance palestinienne ont tiré des dizaines de missiles sur les colonies israéliennes, suite à quoi les chars de l’armée israélienne ont tiré des obus sur la bande de Gaza.
Le gouvernement de l’Autorité autonome de la Palestine, présidée par Mahmoud Abbas, a demandé aux Nations unies d’intervenir immédiatement pour mettre fin aux agressions de Tel-Aviv.
Selon la chaîne 13 de la télévision israélienne, les groupes de la Résistance palestinienne ont tiré depuis ce matin plus de 200 missiles depuis Gaza en direction des territoires occupés.
Les Gilets jaunes français à nouveau dans la rue pour l’acte 25
Lors des manifestations du 1er mai à Paris les manifestants se sont réfugiés à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière pour se protéger des gaz lacrymogènes lancés par les forces de l’ordre.
Dans une tribune intitulée « Gilets jaunes : Nous ne sommes pas dupes ! » et publiée sur le site du journal Libération, de nombreux comédiens, écrivains, dessinateurs ou encore scénaristes saluent « un mouvement que le pouvoir cherche à discréditer et réprime sévèrement alors que la violence la plus menaçante est économique et sociale ».
Les signataires dénoncent également une « répression qui s’aggrave chaque semaine ». « Rien ne justifie la mise en place d’un arsenal législatif dit “anticasseur” qui bafoue nos libertés fondamentales », estiment-ils.
Quelques manifestants se sont rassemblés en fin de matinée à l’aéroport de Roissy, au nord-est de Paris. Ils entendent dénoncer la privatisation des aéroports parisiens et demander l’instauration du RIC, le référendum d’initiative citoyenne.
Du gaz lacrymogène est employé à La Roche-sur-Yon, où des manifestants se sont rassemblés, bravant l’interdiction de manifester prononcée par les autorités.
À Lyon, les Gilets jaunes, qui défilent avec Youth for Climate Lyon, un collectif de jeunes luttant contre le réchauffement climatique, viennent de s’élancer. « Un avenir juste, juste un avenir », peut-on lire sur une banderole en tête de cortège.
Dans le cortège toulousain, un manifestant brandit un drapeau français sur lequel le bleu est remplacé par un gilet jaune.
À Toulouse, les Gilets jaunes entonnent des chants hostiles à Christophe Castaner après ses propos sur l’incident survenu à la Pitié-Salpêtrière le 1er mai.
Les Gilets jaunes, nombreux dans le cortège syndical du 1er mai qui a rassemblé entre 150 000 et 300 000 personnes, se mobilisent à Paris et en province pour l’acte 25 de leur mobilisation.
La Macronie se prépare à dévoiler son vrai visage : une nouvelle politique de répression va être dévoilée ce 1er mai.
Depuis l’acte 22, mi-avril, les chiffres du ministère de l’Intérieur, contestés par les Gilets jaunes, montrent un fléchissement du nombre des manifestants qui battent le pavé chaque samedi.
Le week-end dernier, lors de l’acte 24, 23 600 manifestants, dont 2 600 à Paris, ont été recensés en France par les autorités. Le mouvement, lancé il y a près de six mois, comptabilisait de son côté au moins 60 132 manifestants.
Pour l’acte 25, trois manifestations déclarées ont été autorisées par la préfecture à Paris. La première, au départ de l’hôpital Lariboisière, doit rejoindre la place de la Nation.
Comme samedi dernier, une tournée des sièges des médias, dans les XVe et XVIe arrondissements, dans l’ouest de la capitale, est au programme. Le troisième cortège reliera Jussieu à la rue de Patay.
Par ailleurs, une « occupation festive » de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est prévue pour demander, entre autres, l’arrêt de la vente d’Aéroports de Paris.
Trois listes déposées pour les Européennes sont liées au mouvement des Gilets jaunes
Un nombre record de 33 listes ont été déposées pour les élections européennes qui se dérouleront le 26 mai et publiées samedi au Journal officiel. Trois listes sont liées du mouvement social des Gilets jaunes : « Évolution citoyenne », « Alliance jaune » ou encore « Mouvement pour l’initiative citoyenne » qui entend organiser un référendum d’initiative citoyenne au niveau national et européen.
Moscou abandonnera la centrale de Bouchehr?
La Russie a annoncé que les sanctions américaines ne pourraient nullement affecter sa coopération avec l’Iran en matière nucléaire, sans manquer de souligner qu’elle donnerait de l’essor à ses relations et coopérations avec Téhéran.
Selon l’agence de presse iranienne Fars, faisant fi des menaces de sanctions américaines à l’encontre de l’Iran, la Russie a déclaré que les menaces US ne pourraient jamais mettre un terme à la coopération entre les deux alliés (Iran et Russie) dans le domaine nucléaire et que ce pays poursuivrait sa coopération avec l’Iran.
Contrairement au texte de l’accord nucléaire de 2015, le gouvernement américain a imposé, ce samedi 4 mai dans la matinée, des sanctions à une nouvelle partie des activités nucléaires à vocation civile de la RII.
Les États-Unis ont annoncé de nouvelles « restrictions » au programme nucléaire civil iranien pour renforcer sa « pression maximale » contre Téhéran.
« À compter du 4 mai, toute assistance pour étendre la centrale nucléaire de Bouchehr au-delà de son réacteur existant », construit par la Russie, « sera passible de sanctions » américaines, a annoncé la porte-parole du département d’État américain, Morgan Ortagus.
« En outre, toute activité pour transférer de l’uranium enrichi hors d’Iran en échange d’uranium à l’état naturel sera passible de sanctions », a-t-elle ajouté. Enfin, Washington assure ne plus tolérer que l’Iran stocke l’eau lourde produite au-delà des limites autorisées.
Par cette décision, les États-Unis ont pratiquement interdit aux autres signataires du PGAC de rester fidèle à l’accord, notamment en leur empêchant de faciliter le transfert de l’eau lourde supplémentaire de l’Iran à Oman, de réaliser l’échange d’uranium enrichi contre du yellow cake, tandis que la coopération de la Russie avec l’Iran dans le développement de la centrale de Bouchehr a été elle a aussi interdite.
Les nouvelles sanctions signifieraient que tout pays qui assiste l’Iran dans l’achèvement de sa centrale nucléaire serait soumis à des mesures punitives imposées par le gouvernement américain.
Le gouvernement du président américain Donald Trump s’est retiré unilatéralement de l’accord international, il y a un an. Mais les autres signataires, à commencer par les alliés européens de Washington, restent pour l’instant attachés à ce texte et Téhéran continue de le respecter, selon les inspecteurs internationaux.
En réaction au durcissement des sanctions US, le président iranien Hassan Rohani a appelé le pays à « résister et à s’unir » contre la pression américaine dans le cadre d’une « guerre contre l’espoir » menée contre la République islamique.
« L’Amérique abandonnera ce jeu seulement quand elle réalisera qu’elle ne peut rien obtenir », a déclaré Rohani dans un discours télévisé prononcé samedi.
« La guerre d’aujourd’hui est une guerre contre l’espoir. Ils veulent briser notre espoir et nous devons briser le leur. »
Rohani a déclaré qu’il avait promis que l’Iran continuerait à fournir du pétrole à ses principaux clients malgré les mesures unilatérales adoptées par les États-Unis.
L’Iran et l’Irak définissent les fondements d'une défense aérienne commune
Ce qui se passe en ce moment au Moyen-Orient est bien inoui : il s'agit d'un changement de paramètre qui tend à inverser la donne en défaveur des États-Unis et leur principal allié qu'est Israël. Alors que le régime israélien menaçait il y a encore quelques semaines de ne pas hésiter à frapper les positions de la Résistance irakienne, les Hachd al-Chaabi, si ces derniers contraient les efforts de guerre US/Israël visant à couper l'axe stratégique Irako-syrien, une évolution nouvelle attire toutes les attentions : en visite en Iran, le commandant de la DCA de l’armée irakienne a rencontré, vendredi 3 mai, le commandant de la Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique. Une rencontre qui est loin d'être un effet du hasard.
Lors de cette rencontre, le général de brigade Amir Ali Hajizadeh a évoqué le soutien de la Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique à l’Irak pour combattre Daech : « la Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique s’est rangée aux côtés de la nation, du gouvernement et des forces armées irakiennes, sur la demande de Bagdad, pour combattre les terroristes de Daech et d’autres groupes takfiristes. Cette Force a fourni à l’Irak des avions de combat et des renseignements et aux pilotes irakiens, une série de formations intensives. En revanche, la nation irakienne a exprimé sa solidarité envers le peuple iranien lors de la grande marche de l’Arbaïn et des récentes inondations en Iran. Ces bonnes relations entre l’Irak et l’Iran embêtent les États-Unis, Israël et les régimes fanatiques arabes de la région. D’où les tentatives vouées à l’échec des ennemis visant à semer la zizanie entre les deux grandes nations iranienne et irakienne ».
Golan-Gaza: pour la première fois depuis 58 semaines, la Résistance riposte à Israël
La 58e Grand marche de retour qui a mobilisé le vendredi 3 mai des milliers de palestiniens était placé sous le signe de "Golan". D'où sans doute la rage avec laquelle Israël s'est acharné sur les manifestants. Des commandos sionistes se sont mis à tirer mais leurs tirs ne sont pas restés impunis: la Résistance palestinienne a riposté. Dans la foulée, des drones israéliens ont pris d'assaut les sites de la Résistance à Gaza. Mais pourquoi cette panique? Les analystes politiques font relever la synergie de plus en plus vaste entre la Résistance libanaise et palestinienne, synergie suivie avec crainte et inquiétude à Tel-Aviv. Certaines sources israéliennes se disent particulièrement préoccupé que la libération du Golan, territoire syrien qu'Israël croit pouvoir annexer, puisse mobiliser les Palestiniens.
Jeudi 2 mai au soir, le secrétaire général du Hezbollah avait d'ailleurs bien mis en garde le régime israélien : « les combattants de la Résistance ont parfaitement la possibilité d'envahir la Galilée ». Israël veut la guerre? Allons-y. Les soldats israéliens qui oseront rentrer au Liban seront anéantis et exterminés et les images seront transmises en direct à la télévision, devant les yeux du monde entier", a fait remarquer Nasrallah. Ce discours, font souligner certaines sources israéliennes, a un message à faire passer : « la Résistance palestinienne et libanaise traitent de la même façon les dossiers que sont "l'annexion du Golan" ou encore "l'occupation du Gaza et de la Cisjordanie", dans le cadre du Deal du siècle qu'Américains et Israéliens s'apprêtent à dévoiler d'ici quelques semaines », note Hadi Mohammadi, analyste iranien des questions palestiniennes.
Le vendredi 3 mai, les militaires israéliens ont ouvert le feu sur les manifestants palestiniens qui participaient à la 58e tour de la Marche du grand retour dans la bande de Gaza, marche placée sous le signe du Golan. 50 palestiniens ont été blessés. Pour la première fois depuis le début de la marche, les snipers de la Résistance palestinienne ont passé à la riposte en tirant en direction des militaires israéliens, deux militaires sionistes ont été blessés, signe que la Résistance palestinienne ne compte pas éviter définitivement la confrontation.
Les drones de l’armée israélienne ont frappé par la suite plusieurs positions des groupes de la Résistance palestinienne sur les frontières entre la bande de Gaza et les territoires occupés en laçant deux missiles sur un poste d’observation appartenant aux brigades Izz al-Din al-Qassam, l’aile militaire du mouvement de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas. Les frappes ont fait trois martyres.
Lire aussi : Les habitants de la bande de Gaza appelés à participer massivement à la Marche du grand retour de demain
Vendredi soir, le Jihad islamique de la Palestine et le Hamas ont annoncé qu'ils vengeraient le sang de leurs trois martyrs et que le régime israélien pourrait s'attendrait aux contre-coups de son agression du vendredi.
Se réservant le droit de riposter à ces crimes, le porte-parole des Comités de la Résistance palestinienne affirme que les attaques intentionnelles de Tel-Aviv contre les Palestiniens participant aux manifestations de la Marche du grand retour et le bombardement d’une position de la Résistance ont pour objectif d’intensifier les hostilités du régime d’Israël, a rapporté Al-Mayadeen.
Le Front démocratique de libération de la Palestine a, pour sa part, affirmé riposter aux crimes commis par Tel-Aviv dans la bande de Gaza.
Après le 58e vendredi anti-israélien, les observateurs politiques n'écartent plus la possibilité pour les groupes palestiniens de participer directement à toute opération militaire visant la libération du Golan ni non plus une escalade des combats anti-israéliens à la fois à Gaza et en Cisjordanie.
Washington: « Il est impossible de réduire à zéro les exportations pétrolières de l’Iran »
Les autorités américaines reconnaissent la grande préoccupation de la Maison Blanche quant à la réaction de l’Iran à sa campagne de pression maximale.
Alors que l’administration américaine a commencé dès jeudi 2 mai à sanctionner les clients du pétrole iranien, certains responsables de la Maison Blanche avertissent que le fait de réduire à zéro les exportations pétrolières de l’Iran s’annonce plus difficile que prévu.
Ils ont révélé, dans un entretien avec la chaîne de télévision CNN, que l’administration Trump s’inquiétait de possibles réactions vigoureuses de la République islamique d’Iran aux sanctions pétrolières que Washington lui avait imposées. Les responsables ont averti que les États-Unis devraient se préparer à ces réactions.
Selon les mêmes sources, les États-Unis craignent que l’Iran ne prenne pas pour cible leurs avoirs et bases militaires au Moyen-Orient, en réaction à l’annulation par Washington des exemptions desquelles profitaient ses clients pour acheter le brut iranien.
Des responsables de la Maison-Blanche prévoient que les clients du pétrole iranien trouvent des solutions qui leur permettent de contourner les sanctions américaines, voire de réduire leur dépendance au système financier des États-Unis.
Dans la foulée, Elizabeth Rosenberg, ancienne conseillère en chef au département du Trésor américain, a déclaré: « Je ne pense pas que Washington puisse ramener à zéro les exportations pétrolières de l’Iran. Ces exportations pourraient connaître une diminution mais elles ne seront jamais réduites à zéro. Washington connaîtra un grand défi pour mettre en œuvre ce plan. »
Citant des analystes politiques et des économistes, la chaîne de télévision CNN a rapporté que les divergences de vue entre les responsables de la Maison Blanche en termes de politique américaine vis-à-vis de l’Iran risquaient d’affecter la politique extérieure des États-Unis, d’autant plus que ces derniers essayaient de se rapprocher de l’Inde et de la Chine en vue de conclure des accords commerciaux.
Hayat Tahrir al-Chaam attaque à nouveau Lattaquié
Les assauts contre les positions syriennes et la base aérienne russe de Hmeimim se multiplient alors qu’Ankara dit être tombé d’accord avec les USA sur sa zone tampon dans le Nord.
Les terroristes ont lancé le vendredi 3 mai une nouvelle attaque ciblant les positions de l’armée syrienne dans la banlieue du nord-est du gouvernorat de Lattaquié, a-t-on appris du site d’information libanais Al-Masdar News.
Dirigés par Hayat Tahrir al-Cham, les terroristes ont tenté de se frayer un chemin jusqu’aux positions de l’armée syrienne près de la ville de Nibh Almur ; cette attaque s’est soldée par la mort de quelques soldats syriens.
Après la tentative d’infiltration terroriste, une bataille acharnée a éclaté entre les deux parties belligérantes, occasionnant de lourdes pertes aussi bien pour les terroristes que pour l’armée syrienne.
Les affrontements se sont depuis apaisés après que de nombreux terroristes se sont repliés vers leurs lignes du nord de Lattaquié ; cependant, l’armée syrienne essaie toujours d’éliminer les derniers terroristes de Hayat Tahrir al-Cham infiltrés dans la région.
En effet, les tentatives d’infiltration de Hayat Tahrir al-Cham se sont amplifiées au cours de ces trois dernières semaines ; non seulement ils attaquent le gouvernorat de Lattaquié, mais encore ils visent plusieurs zones gouvernementales situées dans les gouvernorats d’Idlib, de Hama et d’Alep.
Le gouvernement syrien a demandé aux Kurdes de rompre leur alliance avec les États-Unis
Fayçal Meqdad, vice-ministre syrien des Affaires étrangères, a mis en garde la Turquie contre une éventuelle offensive en Syrie, tout en appelant les Kurdes à renoncer à leur alliance avec Washington.
« Nous ne permettons pas à la Turquie de contrôler un iota du sol syrien et Ankara doit savoir que nous n’acceptons pas le maintien des groupes terroristes à Idlib », a déclaré Fayçal Meqdad à la chaîne de télévision Al-Mayadeen.
« Le gouvernement est déterminé à libérer tout le territoire syrien, dont Idlib », a martelé Meqdad, en avertissant Ankara que son soutien aux groupes terroristes en Syrie et sa présence dans ce pays n’ont rien à avoir avec la sécurité et la stabilité de la Turquie.
Revenant sur le sujet des Kurdes syriens, il les a qualifiés d’instrument entre les mains des États-Unis, ajoutant qu’ils doivent faire preuve de loyauté envers leur patrie et non pas envers leurs ennemis.
« Lorsque le peuple est attaqué à Idlib, Hama et Lattaquié par les terroristes, il revient à l’armée et au gouvernement de le défendre », a-t-il indiqué.
Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères a également demandé au régime d’Israël de relâcher le prisonnier syrien Sedqi Suleiman al-Maqat, détenu dans les geôles israéliennes.
Deal du Siècle : « Nous n’accepterons pas l’inacceptable » (chef d’état-major jordanien)
En allusion au « Deal du siècle » américain, le chef d’état-major jordanien a affirmé que le gouvernement, les forces armées et le peuple de son pays n’accepteraient aucun diktat ni aucune menace.
En effet, le général de division Mahmoud Farihat a affirmé concernant ce que l’on entend ces derniers jours dans les médias : « La Jordanie, avec ses dirigeants respectables et ses puissantes institutions ainsi qu’avec son histoire et son peuple, s’oppose à tout précepte ou menace qui entre en contradiction avec ses propres positions, sa civilisation et son existence. »
« Tout ce qui se dit de ce plan, que ce soit les analyses ou les prévisions, montre que tout est flou concernant ce texte et ses objectifs. La nation jordanienne et ses forces armées sont averties, fidèles à leur pays, à leurs frontières et à leurs institutions. Elles ne sauraient tout accepter », a ajouté le chef d’état-major de l’armée jordanienne, qui a souligné aussi que l’armée était à son plus haut niveau d’alerte et qu’elle ferait face à tous les défis se présentant à elle.

Le plan appelé « Accord de siècle », initié par Washington et censé mettre un terme au conflit israélo-palestinien, dont personne n’a eu copie encore, semble d’après ce qui se dit dans les médias faire une croix sur le droit au retour des 6 millions de réfugiés et déplacés palestiniens à qui il serait proposé en échange « une patrie de substitution ». Il faut rappeler que des prémices de ce qui dessine ont été vues il n’y a pas si longtemps : la reconnaissance américaine de la sainte ville de Qods comme la capitale du régime israélien et le transfert de l’ambassade américaine dans cette ville.
« Les militaires israéliens seront anéantis sous les yeux du monde »
Le secrétaire général du Hezbollah libanais, Sayyed Hassan Nasrallah, a prononcé un discours ce jeudi 2 mai à l’occasion du troisième anniversaire du martyre du commandant du Hezbollah Mustafa Badreddine.
Le secrétaire général du Hezbollah a déclaré que les Américains, accompagnés de certains pays européens et des pays du golfe Persique, essaient de créer dans les médias une ambiance suggérant que les Israéliens ont l’intention d’attaquer le Liban.