
تقي زاده
Chiites célèbrent la naissance du Sauveur du monde, l'Imam Mahdi
Hazrat Hujjat ibn al-Hasan est également connu comme l'Imam Mahdi (le guide), Sahib al-Zaman (Time Lord), ou le Salvador attendu.
Imam Mahdi est né le 15 Shaaban en l'an 255 de l'hégire lunaire (869 AD) dans la ville irakienne de Samara et a vécu 5 ans avec son père, le onzième imam, Imam Hassan al-Askari (paix soit sur lui).
Les imams Mahdi et Hasan al-Askari rencontré des milliers d'obstacles, de sorte que les gens ne pouvaient pas prendre ses enseignements, d'où la sagesse divine a déterminé que le douzième imam est caché et rester à l'écart jusqu'à ce que les gens sont prêts pour présence.
Après que son père est tombé martyr huit mois rabi 'al-Awwal 260 du calendrier lunaire (1 Janvier, 874), l'Imam Mahdi a continué sa vie si caché pendant plus de 70 ans (la soi-disant "dissimulation" court entre l'année 260 HL / HL 874 AD et 329/939 AD), mais guidé ses disciples à travers leurs représentants.
Après la mort du dernier confié, a commencé la «dissimulation» de l'Imam Mahdi long, selon la croyance chiite, il sera de retour comme rédemptrice quand Dieu le veut et établir la règle de la justice et de la paix dans le monde.
Pour achever la mission de son ancêtre Imam Hossein (P) (le troisième imam des chiites, martyr tombé avec ses 72 disciples pour l'amour de la justice), l'Imam Mahdi va se battre, avec ses disciples, pour la justice et il valoir les droits des opprimés du monde.
En Iran, le village chiite ornés mosquées, des maisons, des rues et des magasins avec des ornements et des lumières colorées, en plus de distribuer des bonbons pour célébrer l'anniversaire du 12e imam des musulmans chiites.
ABNA commémorer ce grand jour et félicite tous les musulmans du monde entier, en particulier les chiites, qui attendent la venue du sauveur dans l'attitude du patient et dynamique dans le même temps, la lutte contre le mal et l'impérialisme vers la justice et la paix sur Terre.
Ayatollah Khamenei: "Il incombe à l’Ummah islamique de recourir au noble Coran"
Lors de cette rencontre l’honorable Ayatollah Khamenei a estimé que la foi en Dieu tout puissant et le désaveu des mécréants restent la principale base de l’autorité.
« Aujourd’hui les Etats-Unis sont le grand Satan », a-t-il réaffirmé soulignant : « Dans cette conjoncture le plus important devoir des Oulémas, des intellectuels, des élites consiste à faire élucider et dévoiler les stratagèmes des mécréants et il incombe à l’Ummah islamique de ne pas se laisser tromper par les promesses des puissances et ne pas avoir peur de leurs menaces ».
L’honorable Ayatollah Khamenei n’a pas manqué de rendre hommage aux organisateurs de ces compétitions avant de réitérer que le noble Coran reste l’axe de l’unité de l’Ummah islamique. « Dans cette conjoncture où les politiques de l’Arrogance reposent sur la dissension entre des Musulmans, il incombe à l’Ummah islamique de recourir à la grâce divine et d'avancer sur le chemin de l’unité et de la solidarité ».
En allusion aux vastes tentatives des puissances arrogantes pour porter préjudice à l’Islam et à l’Ummah islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei a affirmé : « Ils savent bien que si les Musulmans arrivaient au pouvoir, ils n’opprimeraient plus des nations et l’affaire de la Palestine ne serait jamais oubliée ».
Plus loin dans ses propos, le Guide suprême a souligné : « Des pays qui exécutent dans la région des politiques américaines, trahissent en effet l’Ummah islamique et aplanissent le terrain pour l’influence des Etats-Unis ».
Selon l’Ayatollah Khamenei, l’apparition des groupes terroristes takfiristes dans la région qui déclenchent la guerre par procuration et sèment la zizanie entre les Musulmans sont les conséquences de l’ignorance et du manque de sagesse avant de poursuivre : « Il faudrait profiter des milieux coraniques pour initier et il incombe à ceux qui participent à ces réunions d’en informer leurs nations ».
Avant les propos tenus par le Guide suprême de la Révolution islamique, l’hodjatoleslam Mohammadi, président de l’Organisation des œuvres pieuses et des affaires de charité, a estimé que le mot d’ordre de la 33e édition des compétitions internationales du noble Coran est « un livre, une Ummah ».
Rencontre des présidents iranien et croate à Téhéran
Au début de cette conférence de presse, le président Hassan Rohani a évoqué les bonnes relations entre Téhéran et Zagreb, dès l'annonce de l'indépendance de la Croatie.
"Nos deux pays ont des affinités historiques et culturelles considérables, et compte tenu de la situation géographique de la Croatie aux Balkans, ce pays peut devenir le pont du développement des relations entre l'Iran et l'Union européenne", a déclaré le président Rohani.
Il a insisté sur la possibilité d'un essor de la coopération irano-croate dans divers domaines, avant de rappeler que ces dernières années, en raison des sanctions internationales qui frappaient l'Iran, les deux pays n'ont pas eu l'occasion de développer leur coopération.
Le président Rohani a ajouté que le fait que la présidente croate soit accompagnée par une haute délégation économique et commerciale indiquait que le gouvernement de Zagreb faisait preuve d'une volonté manifeste de développer sa coopération avec Téhéran :
"D'ailleurs, lors de notre rencontre, nous nous sommes mis d'accord sur le début de notre partenariat dans le domaine de l'énergie et du transport, en attendant que le terrain soit plus favorable au développement de notre coopération dans d'autres domaines, comme les investissements communs, la technologie, l'ingénierie, l'industrie, le tourisme, les échanges socioculturels", a déclaré le président iranien qui a estimé que Téhéran et Zagreb pourraient également coopérer dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.
Le président Rohani s'est réjoui aussi de la décision de la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarovic de s'être fait accompagner, dans son voyage à Téhéran, par le grand mufti de Zagreb, signe, selon le président iranien, du principe du respect des religions et de la bonne coexistence des chrétiens et des musulmans en Croatie, pays qui célèbre cette année le 100ᵉ anniversaire de la reconnaissance officielle de la religion musulmane.
De son côté, la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarovic a déclaré aux journalistes que sa visite officielle à Téhéran pourrait devenir un tournant historique dans les relations entre l'Iran et la Croatie, favorisant le terrain aux échanges économiques et commerciaux.
"Nous devons tous essayer de saisir l'occasion qui nous a été offerte après les accords conclus entre Téhéran et les grandes puissances à Vienne l'été dernier. Je souhaite que cela soit le point de départ pour le développement des échanges économiques et culturels entre l'Iran et la Croatie", a déclaré la présidente Kolinda Grabar-Kitarovic.
Elle a ajouté que Zagreb soutiendrait avec force le projet de l'ouverture d'un bureau de représentation de l'Union européenne à Téhéran.
"Dans mon voyage officiel à Téhéran, je suis accompagnée de plusieurs ministres, mais aussi des représentants de 60 sociétés croates. Nos discussions d'aujourd'hui avec le président Rohani, et les rencontres que nous allons avoir avec les responsables de la Chambre du commerce iranienne nous aideront sans aucun doute à préparer davantage le terrain au développement des investissements communs", a déclaré la présidente croate.
Elle a ajouté que, pour commencer le partenariat avec l'Iran, la Croatie s'intéresse surtout à participer aux projets iraniens de la production d'électricité, de la fabrication de locomotives et de transformateurs.
Elle a mis l'accent ensuite sur la possibilité de la coopération de l'industrie navale de son pays avec l'Iran, ce qui serait facilitée par une coopération portuaire et le transit maritime des exportations iraniennes vers l'Europe.
La présidente Kolinda Grabar-Kitarovic a ajouté que les deux pays pourraient coopérer aussi dans le domaine du tourisme, étant donné l'expérience des sociétés agroalimentaires croates dans le domaine des produits halal.
Elle a estimé qu'outre la lutte contre le terrorisme, Téhéran et Zagreb pourraient travailler ensemble pour résoudre le problème de l'immigration.
"Je suis ravie de voir que le président Rohani est bien informé du 100ᵉ anniversaire de la reconnaissance officielle de la religion musulmane en Croatie. La coexistence pacifique des chrétiens et des musulmans en Croatie est un modèle pour toute l'Europe", a déclaré la présidente Kolinda Grabar-Kitarovic.
L'Iran rejette toute solution militaire pour la crise syrienne
« Nous avons traité la situation humanitaire à Foua et Kefraya et nous avons convenu d’accélérer le rythme de l’envoi des aides humanitaires vers ces deux régions. Le cessez-le-feu a été également discuté », a-t-il déclaré.
La conférence du Groupe international de soutien à la Syrie a eu lieu ce mardi 17 mai à Vienne en présence des représentants d’une vingtaine de pays arabes, européens et américains, ainsi que l’Iran.
Le GISS s'est penché sur l’envoi des aides humanitaires aux populations civiles, l’accélération du processus de la transition politique et la cessation des hostilités.
En marge de cette conférence, le ministre iranien des Affaires étrangères a rencontré le secrétaire d’Etat américain John Kerry avec qui il a discuté des dernières évolutions concernant le Plan global d’action conjoint
Libye: le gouvernement soutenu par l'Occident réclame des avions contre Daech
Il réagissait à la décision lundi à Vienne des grandes puissances et pays voisins de la Libye de soutenir le réarmement du gouvernement d'union, basé à Tripoli et qui tente d'asseoir son autorité dans un pays miné par les divisions et la menace extrémiste.
Pour cela, ils se sont mis d'accord pour appuyer la démarche de ce nouvel exécutif, reconnu par la communauté internationale, qui va demander à être exempté de l'embargo de l'ONU sur les ventes d'armes appliqué depuis la révolte contre le régime de Mouammar Kadhafi en 2011.
Les institutions étatiques se sont effondrées car l'armée elle-même s'est effondrée. Notre priorité est aujourd'hui d'unifier cette institution et de la faire renaître. Mais sans armes, nous ne pouvons pas y arriver, a insisté M. Kony.
Ce que nous voulons, c'est obtenir toutes sortes d'armes (...) mais la priorité pour nous, ce sont les avions, a-t-il poursuivi. Nous voulons des pilotes, des hélicoptères et des avions de guerre.
Présent lundi à Vienne, le Premier ministre du GNA Fayez al-Sarraj a sollicité de l'aide auprès des ministres présents, qui se sont dit prêts à répondre aux demandes du gouvernement libyen en vue d'entraîner et d'équiper la garde présidentielle et les forces autorisées.
Turquie: au moins 30 militaires tués dans une explosion à Ankara
Une explosion s’est produite dans une base militaire turque à Ankara. Au moins 30 militaires ont été tués et une soixantaine d’autres gravement blessés.
Les médias turcs ont interrompu leurs émissions et retransmis en temps réel la scène du drame. Pour l'instant, aucune information supplémentaire n’a été filtrée sur les raisons de cette explosion meurtrière.
Depuis quelques mois, la Turquie est devenue le théâtre d’affrontements entre les forces de la sécurité et la milice kurde du PKK d'une part et les terroristes de Daech de l'autre, qui jusqu'à présent ont fait des milliers de morts et de blessés.
Les chasseurs turcs violent 42 fois l’espace aérien grec
Des avions de combat turcs sont entrés à plusieurs reprises dans l’espace aérien grec, selon le chef d’état-major des forces armées de la Grèce.
Plus de 42 violations de l'espace aérien grec ont été réalisées par des avions de guerre et des hélicoptères turcs au-dessus des îles de l'est et du centre de la mer Egée.
Les cas de violation de l’espace aérien grec par Ankara se sont multipliés ces dernières semaines. Athènes s’est déclarée préoccupée par les agissements de la Turquie et les observateurs politiques ont tiré la sonnette d’alarme quant à l’éclatement d’un conflit armé entre les deux pays.
La Grèce craint qu'Ankara n'utilise la crise des migrants pour renforcer sa présence en mer Egée où les deux pays membres de l'Alliance atlantique se disputent la souveraineté de certaines îles.
Irak: les opérations de la reprise de Fallujah vont commencer
Pour les opérations militaires d’envergure destinées à reprendre à Daech la ville de Fallujah, des milliers de forces militaires, policières et populaires ont été dépêchées sur les fronts aux alentours de la ville.
Des colonnes de chars et de blindés défilent à l’est et au sud de Fallujah située dans la province d’al-Anbar à l’ouest de l'Irak.
Depuis 2003 où l’ex-dictateur irakien Saddam Hussein a été renversé, cette ville s’est transformée en un fief actif des groupes terroristes bathistes et takfiristes dont al-Qaïda, Daech et la milice Naghshbandi.
Les médias irakiens ont appelé depuis ce mercredi la population de Fallujah à rester à l'écart des fiefs de Daech.
Les membres de l’armée de Saddam Hussein et sa garde présidentielle constituent la plupart des habitants de Fallujah.
Syrie: pas de nouvelles négociations de paix en vue
Les puissances mondiales et régionales réunies mardi à Vienne en vue de résoudre la crise syrienne ne sont pas parvenues à un accord sur le prochain tour des négociations de paix.
Selon l’agence de presse Fars, les ministres des Affaires étrangères du groupe international de soutien à la Syrie (GISS) réunis dans la capitale autrichienne n’ont pas trouvé d’accord sur la date du prochain tour des pourparlers de paix sur la Syrie.
Selon Reuters, les opposants syriens ont annoncé que si la situation sur le terrain ne s’améliorait pas, ils ne retourneraient pas à la table des négociations.
Il est à noter que la réunion du groupe international de soutien à la Syrie a débuté mardi avant midi à Vienne où était présent le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif et qu’elle s’est clôturée à 18 heures.
Arrivé lundi soir à Vienne, M. Zarif s’est entretenu, en marge de la réunion du GISS, avec certains responsables présents dans la capitale autrichienne et il est retourné mercredi matin à Téhéran.

Par ailleurs, l’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie Staffan de Mistura a, de son côté, insisté sur l’impératif de renforcer les coopérations internationales notamment celles des Etats-Unis et de la Russie afin d’accorder des aides humanitaires aux civils syriens.
« La crise humanitaire en Syrie doit être la priorité de tous les pays et acteurs régionaux et internationaux », a-t-il ajouté.
Casques bleus: 44 cas d’abus sexuels en 2016
Depuis le début 2016, 44 accusations d’abus sexuels qui auraient été commis par des Casques bleus ont été recensées par les Nations unies.
Selon l'AFP, 29 cas concernent la mission de l’ONU en République centrafricaine (Minusca), 7 autres ont aussi été recensés en République démocratique du Congo (RDC), deux en Haïti et d'autres en Côte d'Ivoire, Soudan du Sud ou Mali notamment.
Les soldats ou policiers soupçonnés viennent pour la plupart de République démocratique du Congo et du Congo-Brazzaville, ainsi que du Niger, du Maroc et d'Afrique du Sud, selon un décompte publié mardi par l'ONU.
Ce décompte n'inclut pas les accusations révélées début avril et mettant en cause la force française Sangaris en Centrafrique (RCA) ainsi que les contingents burundais et gabonais de la Minusca.
Pour rappel, l'ONU avait recensé 69 cas d'abus sexuels sur l'ensemble de l'année 2015.
Les pays fournisseurs de Casques bleus, seuls habilités à sanctionner les coupables, ne montrent aucun empressement à le faire. Ainsi, seuls 26 cas sur les 69 recensés en 2015 ont fait l’objet d’enquêtes abouties qui ont entraîné des peines de prison de quelques semaines contre trois soldats.
Pour les faits recueillis en 2016, trois enquêtes ont pour l’instant abouti et deux militaires ont été punis de peines de prison.