تقي زاده

تقي زاده

Un ministre doit toujours répondre de ses actes. » François Mitterrand

Trois victimes civiles syriennes portent plainte contre Laurent FABIUS, qui s’est rendu complice, par abus d’autorité, d’exactions commises en Syrie.

Les plaignants estiment qu’à plusieurs reprises le ministre des Affaires étrangères de la France, Monsieur Laurent Fabius, a abusé de l’autorité qui émanait de ses fonctions de ministre, en promettant une intervention armée en Syrie et la livraison d’armes à la rébellion, en disant que le Front Jabhat Al-Nosra, organisation classée comme terroriste, « faisait du bon boulot », et en allant jusqu’à dire que le Président Bachar Al-Assad « ne mériterait pas d’être sur la Terre ».Ce faisant il provoquait la commission d’exactions en Syrie, parce qu’il œuvrait à faire perdre toute légitimité et à rejeter même dans l’illégalité tous ceux, qui, sur place, luttent contre le terrorisme, tout en tendant formellement à légitimer et même à rendre légales les exactions commises par la prétendue rébellion. Il a ainsi provoqué aux crimes et aux délits que des bandes armées ont commis ensuite en Syrie.

Madame Al-Kassem, Messieurs Al-Ibrahim et Salim ont été victimes, à Damas et ailleurs, de faits très graves, ils ont perdu des proches, morts ou enlevés. On rapporte des cas de crânes écrasés, d’un cadavre brandi par les tueurs qui en parlent comme d’un porc, d’enfants agressés. Les cas figurent en annexe de ce communiqué.C’est pourquoi les plaignants, assistés d’un collectif international d’avocats, portent plainte contre Laurent Fabius pour complicité de menaces de mort, de violation de domicile, de dégradation et de destruction, de mutilation, d’assassinat, de séquestration, d’enlèvement, de détention et d’atteinte à l’intégrité du cadavre à raison de sa supposée non-appartenance à une religion déterminée.

Madame Al-Kassem, Messieurs Al-Ibrahim et Salim déposent plainte devant la Commission des requêtes de la Cour de justice de la République. Cette procédure a été instaurée à l’époque du scandale du sang contaminé, précisément pour permettre à des particuliers de faire entendre le préjudice qu’ils subissent du fait d’un ministre dans l’exercice de ses fonctions.

Pétition : http://www.petitions24.net/appel_pour_la_paix_en_syrie

Contact : appeldu1ermars2013@outlook.com

Annexe 1. Le cas AL-KASSEM

Madame Joumana AL-KASSEM est mère de famille. Elle a eu six garçons : deux d’une première union : Mohammed et Morhaf TANBAKJI ; et quatre de son second mariage : Mohamad Yazan, Yaman, Moumen, et Rayan CHAMIYEH. Ils vivaient tous ensemble, ses enfants et son mari, dans une maison de Koudsaya Jamiyat, un quartier de Damas.

Au début des évènements leur position était claire : ils étaient pour l’État syrien et contre toutes destructions, sachant qu’aucun d’entre eux n’était en relation avec l’État ou n’était fonctionnaire ou employé de celui-ci. Ils participaient à toutes les manifestations et évènements de soutien à leur pays et à leur Président. Le plus jeune fils de Madame AL-KASSEM, Rayan, âgé de quatre ans, qui est surdoué et très éveillé, répétait tous les mots d’ordre et retenait rapidement toutes les chansons patriotiques. Et il les chantait, ce qui attirait l’attention des partisans comme des opposants.

Une année après le début des évènements, ils commençaient à recevoir des menaces. Certaines par Internet, d’autres par des écriteaux sur les murs de leur maison. Ils ne leur prêtaient aucune attention, pensant qu’on ne leur ferait de mal, puisqu’ils ne faisaient de mal à personne.

Le 19 juin 2012, à 3 heures du matin, un groupe d’une dizaine de terroristes, au milieu de tirs massifs, envahissait leur maison, dégradants meubles et murs. Les militaires du check point voisin accouraient, les terroristes arrêtaient de tirer et s’enfuyaient. C’est alors que l’on découvrait que le fils de Madame AL-KASSEM, Mohammad Yazan CHAMYIEH, était gravement blessé. Ils le transportaient à l’hôpital le plus proche (celui d’Al-Badr).

Mais à l’entrée de l’hôpital, les terroristes s’attaquaient à eux à nouveau en ouvrant le feu. Un deuxième fils de Madame AL-KASSEM, Morhaf TANBAKJI, était blessé. Ils restaient assiégés à l’intérieur de l’hôpital, les terroristes étant à l’extérieur, jusqu’à l’arrivée des soldats qui leur permettaient de sortir. Mohamad Yazan CHAMIYEH succombait à ses blessures. Et à peine sortie de l’hôpital Madame AL-KASSEM apprenait qu’il en allait de même de son fils Morhaf TANBAKJI.

Madame AL-KASSEM et sa famille étaient exposés une troisième fois à des tirs d’arme à feu, lors des obsèques de ses deux fils.

En mai 2013 les terroristes se sont encore attaqués à leur voiture, qui a été complètement détruite. Madame AL KASSEM et sa famille sont toujours menacés, en particulier le plus jeune de ses fils, Rayan CHAMYIEH. Ils vivent dans la peur et l’angoisse.

Annexe 2. Le cas AL-IBRAHIM

Le 10 septembre 2013, à Maksar al-Hisan, la mère, le frère, la belle-sœur et les deux neveux de Mohammed AL-IBRAHIM étaient réveillés en pleine nuit par de violents tirs d’armes à feu. Le village subissait, ainsi que les villages voisins, l’attaque des hordes de Jabhat Al-Nosra.

Yahia AL-IBRAHIM, le frère de Mohammed AL-IBRAHIM, et Jinane TAKLA, sa belle-sœur, cachaient leurs enfants Habib Yahia, âgé de onze ans, et Ali Abib, âgé de dix ans, dans le grenier, et leur demandaient de ne plus bouger.

Les terroristes envahissaient la maison qu’ils arrosaient de tirs. Dans l’une des pièces, ils trouvaient la mère de Mohammed AL-IBRAHIM, Fatima, une femme très âgée. Ils l’abattaient froidement.

Ils fouillaient la maison et s’approchaient de la cuisine, où se tenaient enfermés le frère et la belle-sœur de Mohammed AL-IBRAHIM. Ils leur demandaient de sortir, leur disant qu’ils seraient en sécurité. Le frère de Mohammed AL-IBRAHIM leur répondait comment, alors qu’ils venaient d’abattre sa mère. Ils fracturaient la porte et tuaient les deux parents. Les enfants pouvaient assister à la scène depuis le grenier.

Après ce massacre, un membre du groupe soulevait le corps du frère de Mohammed AL-IBRAHIM et demandait à un comparse de « le prendre en photo avec ce porc ».

Les enfants restaient dans leur cachette, terrorisés, jusqu’au soir où l’Armée arabe syrienne les découvrait.

Outre les membres de la famille de Mohammed AL-IBRAHIM, ce jour-là furent massacrés : Mohamad Hassan Alali, 80 ans, paysan ; Mahmoud Yahia Al Khalil, 70 ans, enseignant retraité ; Ali Kamel Al Jouhni, 35 ans, ouvrier ; Mohammed Ibrahim Al-Johni, 70 ans, retraité ; Matira Ahmed Ghanoum, 70 ans, femme au foyer ; Kamal Mahmoud Al-Khalil, 20 ans, étudiant ; Mounzer Mahmoud Al-Khalil, 25 ans, ouvrier ; Mohamed Rachid Al-Ibrahim, 20 ans, étudiant ; Rabih Rachid Al-Ibrahim, 25 ans, ouvrier ; Khaled Nemr Al-Chebeili, 32 ans, ouvrier ; et Mia Al Ahmad, 54 ans, femme au foyer. Furent enlevés : Khalifé Khaled Al Jallab, 75 ans, retraité et Hazem Khalifé Al Jallab, 16 ans, étudiant.

Annexe 3. Le cas SALIM

Monsieur Talal SALIM est citoyen syrien, diplômé de l’École des bibliothécaires et des systèmes d’information. Il demeurait avec sa femme Awatef Maarouf et ses quatre enfants (Loujaïn, Hanin, Joy et Wajd), à DAMAS (Syrie), dans le quartier Mezzeh 86.

Il y a près de deux ans des tirs de mortiers commençaient à pleuvoir sur le quartier Mezzeh 86, avec des explosions de voitures piégées un peu partout. Le 6 décembre 2012, une voiture piégée a explosé sous son appartement à Mezzeh Madraseh. Toutes les fenêtres et certains murs ont explosé. Ce qui l’a poussé à transférer toute sa famille vers Lattaquié, fuyant la mort ambulante.

Les groupes armés qui opéraient ces explosions pratiquaient toutes sortes de terrorisme intellectuel et matériel contre les alaouites pour les contraindre à quitter Damas, et retourner dans leurs villages. Toutes sortes d’exactions étaient commises contre eux, assassinat, vol, viol, encouragées et payées par les pays du Golfe et par la France.

Le 4 août 2013 à 4h30 du matin, des bandes djihadistes salafistes armées jusqu’aux dents envahissaient le village de la commune de Lattaquié où Monsieur Talal SALIM et sa famille avaient trouvé refuge (trois autres villages de la même commune étaient envahis au même moment). Ils mettaient à mort les habitants, femmes, enfants, vieillards, hommes jeunes et moins jeunes, de manière absolument horrible, par égorgement, par découpage de membres, par écrasement des crânes, en commettant de terribles mutilations.

Étaient ainsi mutilés et tués de la manière la plus ignoble le père de Talal SALIM, Badih SALIM, trois de ses frères, Nazem SALIM, Kasser SALIM, Jassem SALIM, sa tante non-voyante, ses cousins et cousines.

La propre épouse, Awatef MAAROUF, et les quatre enfants de Talal SALIM (Loujaïn, Hanin, Joy et Wajd), étaient kidnappés. On est resté sans nouvelles d’eux.

Egalité et Réconciliation

Note de la rédaction-Le Collectif international d’avocats pour la paix en Syrie organise un rassemblement pour dénoncer la responsabilité du ministre des Affaires étrangères dans les crimes commis en Syrie le dimanche 8 décembre, à 16h00 place Saint-Michel à Paris.

Un tribunal fédéral des Etats-Unis accusant le gouvernement iranien d’avoir soutenu un attentat à la bombe en 1997 en Palestine occupée, l’a condamné à payer neuf millions de dollars. Ce verdict, émis le 27 novembre, permet aux familles des victimes américaines de l’explosion de 1997 à Qods, de recevoir plus de neuf millions de dollars de dédommagement d’un entrepreneur des affaires défensives, installé aux Etats-Unis qui travaillait avec l’Iran. Le secteur juridique de l’Organisation israélienne « Shorat Hadinde » qui représente les familles des victimes a rendu public lundi un communiqué dans lequel elle a annoncé : « Après dix ans de poursuite judiciaire auprès du tribunal fédéral de Saint-Diego, les familles des victimes ont enregistré un grand succès face au ministère iranien de la Défense et elles recevront bientôt plus de neuf millions de dollars de dédommagement ». Selon ce communiqué, les familles des victimes ont tenté de recevoir une partie de ce dédommagement via les avoirs bloqués de la RII par la compagnie « Cubic Defense Systemes » qui coopérait avec le gouvernement iranien avant la Révolution islamique d’Iran. Dans le même temps, le ministère iranien de la Défense a précisé que la confiscation des avoirs de l’Iran violait l’immunité de souveraineté du gouvernement iranien et contredisait le traité d’Alger. Auparavant, un tribunal américain avait annoncé que le frère d’un individu contre-révolutionnaire, tué en France, pourrait recevoir quelque huit millions de dollars de la compagnie « Cubic Defense Systemes » à partir des avoirs bloqués du gouvernement iranien. Pendant ces trois dernières décennies, Washington a imposé une vaste série de sanctions contre l’Iran en l’accusant de soutenir le terrorisme et de tenter de fabriquer la bombe atomique. Il a aussi décrété une « situation urgente nationale dans les relations avec l’Iran » le 15 mars 1995. L’Iran et les Etats-Unis ont signé, au début de l’an 1981, un accord, connu sous le nom du traité d’Alger. Conformément à cet accord, Washington s’est engagé à lever le blocus sur les avoirs de l’Iran. Mais les Etats-Unis ont transgressé leurs engagements, stipulés dans le traité d’Algérie, et ils n’ont pas mis à la disposition de l’Iran ses avoirs diplomatiques et consulaires aux Etats-Unis. Washington a même donné en location les bâtiments de l’Iran à la Roumanie et en Turquie. La récente démarche des Etats-Unis de retirer de l’argent des avoirs bloqués de l’Iran sous couverture d’un verdict tribunal fait preuve de la poursuite des politiques hostiles de la Maison Blanche contre la nation iranienne.

mercredi, 04 décembre 2013 21:47

Damas : "300 saoudiens capturés" !

Le représentant syrien auprès de l'ONU, Bachar Jafari a annoncé la mort des milliers de terroristes saoudiens en Syrie et la capture de 300 autres. selon CNN, citant Jafari, l'Arabie saoudite a libéré des centaines de prisonniesr d'Al qaida qui ont gagné la Syrie pour se battre contre l'armée nationale .ces qaidistes en question ont été ou bien condamnés à mort ou à de longues peines de prison. ces gens ont été libéré à condition de se battre contre la Syrie et les syriens. les qaidistes arrivent en Syrie depuis la Syrie et le Liban

mercredi, 04 décembre 2013 21:44

Assad et ses espions ....

Après la mort de 5 hauts commandants militaires de l'ASL dans des raids aux missiles de l'aviation syrienne, la panique la plus totale s'est emparée des rangs des "opposants" qui soupçonnent la présence des "espions d'Assad" dans leur camp. selon al Monitor , alors que les affrontements se poursuivent de plus bel à l'est et au sud d'Alep et que l'armée syrienne s'étend son contrôle aux routes stratégiques de cette ville, le camp de l'opposition est en proie au chaos. le plus haut commandant tué est Abdel Ghader al saleh , commandant de la milice Al Towhid liée aux Frères musulmans. " nous avons peur de tous espions qui travaillent pour Assad et qui sont partout à Alep et ailleurs "dit l'un des opposants. ces deux dernières semaines, les "opposants " ne cessent de se voir en chiens de faïence et on cesse de chercher les taupes dans notre camp. les opposants disent être inquiets que certains "groupes" aient choisi de se rapprocher de l'Armée assadiste au risque de provoquer un effondrement au sein de l'opposition armée .

les "rebelles " ne peuvnet toujours pas s'expliquer comment l'aviation syrienne a su l'heure et la date de la tenue de la réunion qui réunissait Abdel Aghader al Saleh et se lieutenants dans une école d'Alep, une réunion ultra confidentielle. les soupçons vont droit à l'endroit des commandants qui se sont absentés de cette réunion et les opposants se demandent jusqu'où les assadistes ont pu pénétrer leur camp.

sur le terrain les gens quittent par centaines les régions de l'est d'Alep , Kahiya, Tarigh al Bab, Al Mabssar. ces villages se transformeront certainement en ligne de front de l'armée syrienne. l'armée syrienne a adopté une attitude défensive à l'intérieur d'Alep, et une attitude offensive , au sud et à l'ouest d'Alep. Assad aurait reconnu , au cours d'une rencontre avec les avocats jordaniens, avoir des espions dans les rangs de ses opposants.

Le centre islamique Al Azhar a vivement dénoncé le nouvel acte islamophobe de Geert Wilders, islamophobe hollandais.

Selon le site vetogate, Al Azhar a vivement dénoncé la publication d’un article par Geert Wilders, islamophobe hollandais sur les sites Internet.

Al Azhar a indiqué : « De tels actes ferment la voie à l’interaction et affaiblit les efforts en vue d’établir un dialogue. »

Al Azhar a demandé aux hommes de bon sens dans les pays occidentaux d’empêcher les activités de tels gens, s’ils pensent à la coexistence pacifique et à l’interaction avec les musulmans.

Par ailleurs, le Dar-ul-Ifta égyptien a dénoncé dans un communiqué cet acte de Wilders, indiquant : « L’insistance de ce député du parlement néerlandais et des gens comme lui à offenser les religions, place les institutions protectrices des valeurs occidentales devant un épreuve et montre comment ces instances permettent de tels actes sans aucune justification. »

Pour sa part, Abdulhadi al Qassabi, chef du haut conseil des soufis en Egypte a dénoncé cette nouvelle islamophobie, indiquant : « Les sociétés et institutions religieuses à travers le monde doivent faire face à un tel qui a offensé le noble Prophète (PSL). »

Geert Wilders, député néerlandais a récemment publié des articles sur Internet offensant l’Islam et incitant à la haine contre les musulmans.

Un commandant du Hezbollah a été assassiné dans la nuit de mardi à mercredi devant son domicile dans la banlieue Sud de Beyrouth. Hassan Hawlo Laqqis était de retour de son travail vers minuit lorsqu’il a été assassiné devant sa maison située dans la région de Sainte-Thérése à Hadath.

Dans un communiqué, le département des relations médiatiques du Hezbollah a accusé l’ennemi israélien d’être derrière cet assassinat. « Le frère combattant Hassan Laqqis a passé toute sa vie dans les rangs de cette résistance honorable. Il fut un combattant créatif, un commandant qui aspirait au martyre. Il était aussi le père d’un martyr lors de la guerre de juillet 2006 », souligne le texte du communiqué. Et de poursuivre : « L’accusation directe est effectivement lancée contre l’ennemi israélien qui a essayé à maintes reprises et dans plusieurs régions de tuer notre frère martyr, mais ses tentatives étaient toujours vaines à l’exception de celle d’hier. Cet ennemi doit assumer la responsabilité et les répercussions de ce crime odieux et des assassinats répétitifs des dirigeants de la résistance et de ses cadres ». Le Hezbollah a enfin présenté ses condoléances à la famille du martyre : « Cette résistance qui a offert ses meilleurs commandants et combattants sur la voie de la liberté et de la dignité (…) affiche sa solidarité et sa fierté à la famille patiente du martyre ».

selon une dernière information, le marty Laqqis commandait les unités d'investigation aérienne du Hezbollah, les mêmes qui ont conçu les drones Ayoub, Mersad...

Youcef Al-Qaradawi a annoncé, lundi, sa démission du haut comité des oulémas d’Al-Azhar en guise de protestation contre la main mise des militaires égyptiens au pouvoir depuis la destitution du président Morsi.

Dans un communiqué rendu en la circonstance, Al-Qaradawi affirme qu’”Al-Azhar et ses institutions ont été violés par la force de l’arme”.

Il a soutenu que maintenant “le poste du cheikh d’Al-Azhar et les autres postes de ses collaborateurs sont violés au profit de l’armée”.

Al-Qaradawi n’a pas fourni d’explication sur le moment choisi pour démissionner d’Al-Azhar d’autant plus que cela survient quatre mois après le renversement du président Morsi par les militaires le 30 juin dernier.

Sur sa page Tweeter, Qaradawi a annoncé sa démission en la dédiant au peuple égyptien.

Après l’écartement de Mohammed Morsi du pouvoir et des récents événements survenus en Egypte, Qaradawi avait appelé les Egyptiens à descendre dans les rues et à protester contre le coup d’Etat.

Le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI) joue un rôle décisif dans les événements de la région , a déclaré le commandant de la division navale de l'IRGC , le contre-amiral Ali Fadavi .

Il a également salué les sacrifices des forces maritimes iraniennes partir de 8 ans de Saint Défense Iran ( guerre imposée par le ex-régime Irak entre 1980 et 1988 ), jusqu'à présent, les efforts pour changer les interactions mondiales en faveur de la République islamique d'Iran.

Au cours des dernières années, les ennemis avaient planifié plusieurs fois dans des complots contre le territoire de pays perse, mais elles ont été frustrés par la présence importante et puissante des forces navales de CGRI, a déclaré le haut militaire perse .

Il a également déclaré que l'intelligence et la force de dissuasion et de la puissance défensive des forces du CGRI a provoqué la panique des ennemis contre la Révolution islamique , ont rapporté des médias ce mercredi.

Iran , au cours des dernières années, ils ont fait de grandes réalisations dans le secteur de la défense et a atteint l'autosuffisance dans la production d'équipements et de systèmes de militaire essentiel.

L'Iran doit participer à la conférence internationale Genève II sur la Syrie, a déclaré le secrétaire général des Nations Unis, Ban Ki Moon, lors des propos tenus à Lima, capitale péruvienne.

On n'a pas encore décidé de la liste de participants à la conférence Genève II sur la Syrie qui devra avoir lieu 22 janvier prochain, a affirmé Ban Ki Moon, avant d'ajouter qu'il est d'avis que l'Iran doit participer à cette réunion.

« J'ai la ferme conviction que l'Iran est l'un des pays qui pourra jouer un rôle crucial lors de cette conférence mais je n'ai pas encore pris aucune décision.

mardi, 03 décembre 2013 21:52

Iran, grande puissance maritime régionale

Le commandant de la division missiles des forces navales de l'armée iranienne, le vice-amiral Ali Vafadar estime que les forces navales de la République islamique sont les plus puissants dans la région.

Le général iranien se référant à la forte volonté et la capacité de forces navales persanes, souligne que sa mission première est « pour escorter les navires commerciaux. »

« Dans les 3 dernières années, les forces perses ont escorté environ 3 mille bateaux et des pétroliers. »147 navires ont été attaqués, mais les forces iraniennes neutralisés agression ajoute.

En outre, il a évoqué les grands progrès des forces maritimes après la victoire de la République islamique d’Iran, en partie en raison de la formation. En fait, dit que les forces navales iraniennes ont assez de niveau pour former d'autres pays.