تقي زاده

تقي زاده

samedi, 22 novembre 2014 01:00

Hezbollah-CPL: une alliance stratégique !!

Lorsque le secrétaire général du Hezbollah, sayyed Hassan Nasrallah, et le leader du Courant patriotique libre (CPL), le général Michel Aoun, ont signé, le 6 février 2006, à l'église Mar Mikhayel de Chiyah, le célèbre Document d'entente, leurs adversaires politiques pensaient -et espéraient- que cet accord ferait long feu. Huit ans après, les deux partis maintiennent toujours une relation privilégiée, qui a résisté à tous les événements, les crises et les guerres, qui ont secoué le Liban et la région. Ni les intimidations, ni les menaces ou les complots, et encore moins les incitations financières qu'ont fait miroiter certains pays, n'ont eu raison de cette relation. Avec le temps, ces liens se sont transformés en alliance, qui s'est renforcée au fil des années, pour prendre, aujourd'hui, une dimension stratégique. Le général Aoun l'a même qualifié d'«existentielle», au vu des événements exceptionnels que traversent le Liban et la région.

 La solidité de l'alliance entre les deux partis s'est manifestée, dernièrement, lors de la célébration du deuil d'Achoura, quand sayyed Nasrallah a déclaré, publiquement et officiellement, que le leader du CPL était le candidat du Hezbollah à la présidence de la République. Et pour couper court à tous ceux qui prétendraient qu'en prenant cette position, le Hezbollah était prêt à monnayer cette candidature, sayyed Nasrallah a dit que ceux qui souhaitent débloquer la question de la présidentielle devraient parler avec le général Aoun. Et pour ceux qui n'avaient pas bien compris la signification de ces propos, le Hezbollah a dépêché, auprès du général, une délégation de haut rang, conduite par le conseiller politique de sayyed Nasrallah, Hussein Khalil, qui a réaffirmé avec force le soutien du parti à la candidature du général. Un soutien motivé non seulement par la «loyauté» envers celui qui s'est tenu aux côtés de la Résistance pendant l'agression israélienne de 2006 -et après- mais par la «conviction» que le leader du CPL est la personnalité la plus adéquate pour être élue à la première magistrature de l'Etat.

Respect mutuel

L'alliance entre le CPL et le Hezbollah est un exemple rare, au Liban, d'une relation saine, équilibrée, basée sur le respect mutuel entre deux formations représentatives. Son succès est dû au fait qu'aucun des deux partis n'a essayé de manipuler, d'exploiter ou de phagocyter son partenaire. L'alliance a résisté à toutes les vicissitudes et s'est renforcée car ses deux acteurs n'ont pas tenté de s'imposer, mutuellement, leurs vues ou leurs options. Et celles-ci n'étaient pas toujours identiques. Le Hezbollah et le CPL ont su gérer leurs différences d'opinion, en faisant preuve de compréhension et en maintenant des concertations continues sur tous les sujets, y compris ceux où leurs approches divergeaient. La question de la prorogation du mandat du Parlement en est le meilleur exemple. Le CPL y était opposé alors que le Hezbollah y était favorable. Et pourtant, cette affaire n'a, en aucun cas, jeté une ombre sur leur relation. 
La solidité de cette alliance fait beaucoup de jaloux chez les adversaires des deux partis, surtout que l'expérience de la relation entre les Forces libanaises (FL) et le Courant du futur est peu encourageante. On se souvient tous, en effet, du grand déballage du linge sale entre ces deux formations lorsque les FL ont appuyé la loi électorale dite orthodoxe, en 2012, au grand dam du Moustaqbal. Alors que le Hezbollah a dit comprendre parfaitement le point de vue de son allié chrétien, les députés et les dirigeants du parti de Saad Hariri n'ont pas caché leur colère, allant même jusqu'à accuser Samir Geagea d'«ingratitude», et lui rappelant la «dette» que les FL doivent au Futur. Tandis que le Hezbollah a respecté et accepté jusqu'au bout le choix de son allié, même s'il ne le partageait pas tout à fait, le Courant du futur a exercé de fortes pressions sur les FL, qui ont été finalement contraintes de se retourner contre la loi orthodoxe et d'abandonner tous leurs engagements, au prix d'un grand discrédit auprès de l'opinion publique chrétienne.
Même chose pour la question de la prorogation du Parlement. Les FL, qui prétendaient ne pas être favorables à cette option, ont été contraintes, bon gré mal gré, d'assurer une couverture chrétienne au Courant du futur, principal partisan de l'extension du mandat de la Chambre.
La liste des exemples est longue.
Lorsqu'ils ont signé le Document d'entente, le CPL et le Hezbollah ont exprimé le souhait d'étendre cet accord à l'ensemble des forces politiques libanaises et ont invité les autres partis à se joindre à eux. Mais leurs adversaires, habitués aux relations dominants-dominés, ont fait la sourde oreille et ont commencé à attaquer l'initiative historique de Mar Mikhayel, avant même d'en avoir lu le texte.
Il est encore temps de changer d'attitude.

Le takfirisme est le premier problème du monde musulman, a déclaré l’ayatollah Makarem Shirazi dans une rencontre samedi avec l’ayatollah Mohsen Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.
Se félicitant de la désignation de l’ayatollah Araki comme le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, l’ayatollah Makarem Shirazi a espéré le développement des activités du Conseil.

Je dois noter que le Congrès mondial des ‘’ Courants takfiris et extrémistes du point de vue des oulémas musulmans’’ tenu à Qom était une congrès complètement scientifique, ne pas politique, a expliqué l’ayatollah Shirazi.

Ce congrès était islamique et n’est pas appartenu au chiisme. Les sacrés de toutes les écoles islamiques doivent être respectés lors de la prochaine conférence de l’unité islamique, a-t-il insisté.

Je dois marquer que le Congrès a préparé des réunions spécifiques qui ont centré ces discussions sur le takfirisme, a-t-il marqué.

Le takfirisme est le premier problème du monde musulman. L’origine du takfirisme, les motivations des groupes takfiristes et les solutions pour sortir du takfirisme doivent être abordés dans le congrès, a-t-il souligén.

La marine américaine vient de déployer sa première arme-laser dans les eaux du golfe Persique, pour renforcer l'arsenal de sa 5ème flotte. Depuis le mois d'août, le bateau hybride américain USS-Ponce s'est doté d'un système laser de 30 kw, disent certains médias. Les Américains disent à leur tour qu'il s'agit d'une mesure efficace contre différentes cibles dont les vedettes à canon et les bateaux. L'USS-Ponce est capable d'envoyer un seul rayon laser, au lieu de 6, ce qui pourrait agir comme un facteur aveuglant ou une arme capable d'incendier de petits bateaux ou drones. Les spécialistes de l'unité des systèmes navals de l'US ARMY ont travaillé 7 ans durant sur ce projet et 40 millions de dollars ont été dépensés pour faire aboutir cette technologie. Il s'agit quand même d'une étape expérimentale ; les responsables de la Marine US souhaitent apprendre encore plus, sur cette nouvelle arme. Cela fait longtemps que les américains, à l'US NAVY, travaillent sur leur canon à laser, mais c'est la première fois qu'ils envisagent de l'envoyer en dehors de leurs eaux régionales. Cette mesure vise à écarter la menace des vedettes rapides et des objets volants. Bien qu'ils n'évoquent pas le nom d'un pays particulier, il est évident que cette mesure transfère un message à l'Iran.
Mais les sites lasers aussi ont leurs propres ennemis dont le pire est la mauvaise condition climatique. Le smog, les nuages, la tempête de sable et la fumée artificielle peuvent facilement réduire, faire dérouter et même détruire dans certains cas, le rayon laser. On se demande donc à quel niveau ce site laser serait efficace et fiable dans une région comme le golfe Persique où de tels phénomènes pourraient souvent arriver. A titre d'exemple, les drones iraniens sont capables de propager la fumée artificielle, faire un mur de fumée et rendre le site laser complètement inefficace. Il est aussi possible d'installer des couvertures réfléchissantes sur la surface extérieure des drones ou bateaux iraniens, une méthode qui, selon les experts, permet de ré-envoyer le rayon à sa source et détruire le site laser dont il est issu.
L'autre importante question c'est le renforcement et le développement grandissants des capacités en armement à distance de la RII : de différentes sortes de bombes et de missiles téléguidés lancés depuis des zones en dehors de la portée du site laser américain ou les drones vedettes rapides capables de quitter la région sans se mettre en danger, sans oublier les torpilles qui en principe restent à l'abri de ces armes.
Les responsables américains n'ont pas révélé la portée de cette arme, mais on n'attendrait pas à une longue portée. Avant toute autre chose, ce site laser aurait besoin d'identifier sa cible. Des images montrant les drones iraniens en train de survoler la plupart des navires US sans être reconnus illustrent la capacité des drones à s'infiltrer dans l'espace de protection desdits submersibles et lorsque vous ne pouvez voir l'ennemi, vous ne pourrez pas naturellement le viser par vos armements, qu'il s'agisse des obus de canon, des missiles ou des rayons laser.
Bien évidemment, des armes-laser seront utilisées à l'avenir dans une plus large mesure à des fins défensifs ou offensifs ; mais une chose est certaine : plutôt que de représenter une véritable menace contre l'Iran, ces armes agiront comme un instrument au service des guerres des nerfs visant la RII. Et avec les coûts lourds que subissent les Américains pour écarter la menace des drones et des vedettes rapides iraniens, on pourrait dire que l'Iran a mis un défi sérieux aux forces armées américaines, et cela, avec des coûts beaucoup moins chers. Cela dit, il parait que ce site laser a un long chemin à parcourir pour devenir un véritable système d’assaut et d’ici-là, les experts iraniens, non plus, ne cesseront pas leurs efforts et recherches afin de rénover les capacités du pays en termes d’équipements militaires.

Le plus grand siège de commandement souterrain de Daesh a été découvert, dans le Nord de Baaqouba, a annoncé, le gouverneur de la ville d’al-Khales.

"Daesh tente de mettre en pratique, en Irak, l’expérience des tunnels, en Syrie", a affirmé Adi al-Khadaran, le gouverneur de la ville d’al-Khales, dans la province de Diyali, en allusion à la découverte du plus grand siège de commandement souterrain de Daesh, dans le Nord de Baaqouba.

"Ce siège souterrain est situé à 75 km, au Nord de Baaqouba, et s’étale sur plusieurs dizaines de mètres", a-t-il expliqué.

"Une quantité d’explosifs, de drogues et médicaments et quelques cartes y ont été trouvés", a-t-il ajouté.

Daesh tente de mettre en pratique l’expérience des tunnels, en Syrie, dans les zones sous son contrôle, en Irak, pour, ainsi, réduire le nombre de ses victimes, face aux forces de sécurité irakiennes.

Alors que les tambours de guerre se font entendre un peu partout en Occident, un éditorial de la publication officielle chinoise Global Times, intitulé : « Puisque la possibilité d’une troisième guerre mondiale existe, la Chine doit se préparer », s’inquiète de la situation et met en garde contre le danger croissant « d’un affrontement militaire direct entre les États-Unis et la Russie », qui « s’élargirait probablement à toute la planète ». 



L’auteur de l’éditorial Han Xudong, professeur à l’Université PLA de la défense, insiste sur l’aspect maritime de l’affrontement potentiel :

Les océans Arctique, Pacifique et Indien ont été témoins des rivalités les plus féroces. Il est probable qu’une troisième guerre mondiale visera à s’arroger le contrôle des mers. A une époque où une guerre mondiale est susceptible d’avoir lieu, un sujet d’attention important pour les militaires chinois est de développer ses capacités à défendre ses intérêts nationaux. (…) Le développement de la capacité militaire chinoise devra s’adapter en conséquence, passant de la défense des droits territoriaux du pays à celle de ses droits maritimes. Alors que les États-Unis ont réorienté leur attention sur la région Asie-Pacifique, visant en particulier la Chine, les intérêts de la Chine sur les mers se trouvent de plus en plus menacés par les États-Unis. Sans capacité militaire de grande envergure, garantir la sécurité des intérêts de la Chine sur les mers serait un slogan sans réelle signification.

La Chine n’est évidemment pas la seule à s’inquiéter du cours que prennent les événements. Lors de la séance d’ouverture de la Douma (Parlement russe) le 15 septembre, son président Sergei Naryshkine a lui aussi lancé une mise en garde contre les intentions belliqueuses de l’OTAN. Il estime que la promesse de l’Alliance atlantique de fournir des armes au régime de Kiev signifie une ingérence dans les affaires domestiques du pays et un consentement aux crimes de guerre qui y sont commis, tandis que la politique irresponsable des Etats-Unis conduit le monde au bord d’une nouvelle guerre froide.



Comme pour confirmer ces inquiétudes, le commandant de l’OTAN le général Philip Breedlove se trouve cette semaine à Washington pour discuter de la manière dont peut être abaissé le seuil d’intervention défini par l’article 5 de la Charte de l’OTAN, obligeant les membres de l’alliance à secourir militairement un autre membre. Le général a déclaré lors d’un passage au Conseil de l’Atlantique que l’OTAN se préparait à répondre à une prétendue « guerre hybride » pouvant être conduite par la Russie contre un de ses membres, en activant l’article 5.

Nous avons essayé, au cours des 12 dernières années, de faire de la Russie un partenaire. Nous avons décidé de la localisation de nos bases, de la structure de nos forces et de questions économiques, en présumant que la Russie serait une partie constructive de l’avenir de l’Europe. Nous observons aujourd’hui que la situation est différente, et nous devons en tenir compte.

L’Imam Sajjãd (AS), pour garder vivant le souvenir des martyrs de Karbalã, à diverses occasions, versait de chaudes larmes qui bouleversaient les gens présents et dénonçaient l’oppression qui avait été faite aux martyrs de Karbalã. Ces manifestations étaient en quelque sorte, une façon de poursuivre le mouvement d’Ashourã et cette méthode est encore utilisée de nos jours, dans les cérémonies de deuil et les manifestations affectives de millions de gens en deuil qui pleurent et évoquent les souffrances d’Abã Abdullãh (AS) à Karbalã.

Quand les gens interrogeaient l’Imam Sajjãd (AS) sur les raisons de ces pleurs, il répondait: «Ne me critiquez pas, Yaghub bin Eshagh bin Ebrãhim qui était un prophète et le fils d’un prophète, avait douze fils dont un disparut pour un certain temps sur l’ordre divin, suite à ce malheur, les cheveux de Yaghub devinent bancs et pleura tellement qu’il devint aveugle, alors que son fils était vivant. Mais moi, j’ai vu de mes propres yeux mon père, mon frère et dix sept personnes de ma famille, tomber sous les coups des ennemis. Comment pouvez-vous le demander que je pleure moins et que j’oublie cet évènement?

Source: Biographie de l’Imam Sajjãd (AS) et de l’Imam Bãqir, p.83

Maintenant, étant la plus difficile du parti qui domine le Sénat et la Chambre des représentants, il semble que nous devons dire adieu à une éventuelle résolution du conflit nucléaire et la levée de l'ouest de sanctions contre l'Iran.

Maintenant, les représentants des États-Unis, le Royaume-Uni, France, Russie, Chine et Allemagne dans le dialogue nucléaire se réunissent avec leurs homologues d'Iran, d'abord, après un an de dialogue, de l'esprit vers la date limite du 24 novembre pour sceller un accord sur la question nucléaire iranienne.

Cette semaine, le Président américain, Barack Obama, a déclaré que Washington avait présenté un cadre qui permettrait à l'Iran d'atteindre ses programme d'objectifs nucléaire pacifique et permettront de soulager le régime des sanctions imposées par l’occidentale puissance avaient le pays de Perse.

Cependant, Obama obliquement a ajouté: « si vraiment obtenir un accord est quelque chose que nous saurons au cours des trois ou quatre prochaines semaines ».

Maintenant, compte tenu qu’Obama juste perd le contrôle du Congrès pour le parti républicain, qui montre une profonde hostilité à toute solution diplomatique avec l'Iran, qu'il est extrêmement peu probable qu'un accord est possible.

Maintenant, compte tenu qu’Obama juste perd le contrôle du Congrès pour le parti républicain, qui montre une profonde hostilité à toute solution diplomatique avec l'Iran, qu'il est extrêmement peu probable qu'un accord est possible.

Avant la défaite des démocrates aux élections législatives de mi-mandat, Obama a dit qu'il est prêt appeler "pouvoirs exécutifs" indépendante du Congrès pour parvenir à un accord au sein du Sextet sur la question nucléaire iranienne. Mais maintenant, pensez-vous qu'Obama ferait face à un congrès hostile pour parvenir à un accord avec l'Iran est une illusion. Son mandat de six ans lors du salon de la maison blanche n’a rien dans le ventre d'une confrontation de ce genre.

Ces derniers temps, Obama a pris des positions de réconciliation avec les républicains. Le Washington Post a rapporté cette semaine qu’Obama veut « tisser des liens avec les républicains qui ont récemment accédé au pouvoir ».

En outre, pendant les deux années restantes de sa présidence, Obama va être plus intéressé à apaiser les opposants pour sauver son héritage national; réforme du système de santé. Il ne compromettra pas ce programme impliqué dans un conflit sur la question nucléaire iranienne.

Nous nous référons ici au haut responsable du renseignement russe, Nikolay Patrushev, qui, dans une conférence de presse tenue le mois dernier, a expliqué en détail aux médias de Russie comment les relations entre Washington et Moscou s'est détériorée.

Patrouchev, le chef de la sécurité nationale de la Russie, a déclaré à la politique de « reset » lancée par Washington en 2008-2009 sous la direction d’Obama, matérialisée dans un éventail d'Alliance diplomatique de la Russie. Mais la proposition, a déclaré, s'est avéré pour être une farce.

"Il est vite apparu que Washington n'était pas intéressé par une coopération réelle. Il est limité à simples déclarations d'amitié et le développement de certaines négociations que l'avantage de la Russie, en fin de compte, s'est avéré pour être quasiment nulle. Après un certain temps, même ces dialogues positifs non contraignants sont au-dessus et l'attitude des Etats-Unis vis-à-vis de notre pays a commencé une fois de plus à devenir dans ce qui était à l'époque de la guerre froide ", a expliqué.

La crise actuelle en Ukraine et le prétexte qu'elle fournit aux États-Unis d'imposer des sanctions de plus en plus contre Moscou, est un critère de l'intention implicite de Washington en ce qui concerne la Russie.

La vraie sale gueule du pays nord-américains a été révélée, parce que le Président russe, Vladimir Putin, a refusé d'accepter l'hégémonie géopolitique des États-Unis sur l'économie mondiale. Ces dernières années, Poutine a pris les devants avec des partenariats stratégiques avec la Chine et les autres membres des BRIC.

La vraie raison pourquoi Washington s'est engagé avec la Russie dans le cadre de la politique d'Obama n'est pas tellement « resetée » des relations avec Moscou, mais '' répression '' en voie de développement d'une économie mondiale multipolaire qui accélèrerait la disparition de l'hégémonie américaine et de la domination mondiale du dollar américain.

Le fait que Poutine a pas avalé l'appât et n'a pas suivi les plans américains, a conduit à la réaction de colère de Washington, qui s'est manifesté sous la forme de la crise actuelle en Ukraine.

La pertinence de l'affaire de la Russie que l'Iran est la même raison géopolitique qui a conduit à Washington d'une politique manifestement hostile contre l'Iran qui a suivi en vertu de l'engagement explicite de l'Administration Bush à l'ère d'Obama.

Comme indiqué Patrouchev, " dans le contexte de la crise financière et la croissance économique mondiale, les nouveaux acteurs majeurs sur la scène mondiale comme la Chine, l'Inde , le Brésil et l'Iran, ainsi que les économies en croissance d'Asie du Sud et la Corée Sud deviennent des facteurs de plus en plus importants aux Etats-Unis et voilà comment nouvelle conceptuel en tant que principes de partenariat sino-américaines particuliers se posent, le partenariat stratégique entre les Etats-Unis et l'Inde , l'établissement d'un dialogue direct entre Washington et Téhéran , entre autres " .

Par conséquent, la raison de l'engagement diplomatique de Washington de l'Iran n'a jamais été vraiment résoudre le différend nucléaire il y a dix ans, mais plutôt de réaffirmer leurs intérêts hégémoniques sur l'économie mondiale, tente d'empêcher la formation d'alliances entre l'Iran et les cercles de développement alternatif.

Après une année de dialogues ardues et des efforts louables en Iran pour trouver une solution, il est troublant que les négociateurs américains font pression encore sur l'Iran à « se rendre sur les objectifs pacifiques après sur son programme nucléaire ».

Ces vieilles objections que Washington du manchon, est devenu plutôt fastidieux que réellement met en évidence le désintérêt cynique de Washington pour trouver une solution au différend nucléaire et mettre fin aux sanctions contre l'Iran. Comme dans le cas de la Russie, les sanctions sont uniquement un instrument de contrôle politique de l'Iran à Washington.

Maintenant, le plus probable Congrès contrôlé par les républicains pour donner un coup dur pour le long de l'année avec des dialogues de l'Iran. Mais, cela ne devrait pas être une surprise en raison des motivations cachées de Washington envers l'Iran.

Cependant, la fin de la farce de G5 + 1 est une bonne chose, car elle permettra l'Iran libérer son pouvoir politique et continuer de renforcer ses liens avec les nouveaux partenariats mondiaux.

Né en 1963, Finian Cunningham, a beaucoup écrit sur les affaires internationales, avec des articles publiés dans plusieurs langues. Depuis près de 20 ans, il a travaillé comme éditeur et écrivain dans les médias traditionnels, y compris The Mirror, Irish Times et indépendant. Originaire de Belfast, en Irlande, maintenant en Afrique de l'est comme journaliste pigiste, qui reposent sur l'expérience des témoins oculaires, il écrit un livre sur le Bahreïn et le printemps arabe.

L'auteur a été expulsé de Bahreïn en juin 2011 en raison de ses articles critiques dans laquelle en surbrillance violations systématiques des droits de l'homme par les forces du régime bahreïni. C'est une politique internationale pour le chroniqueur PressTV et la Fondation de la culture stratégique.

dimanche, 16 novembre 2014 01:00

La CIA soutient les terroristes, en Syrie

Selon un nouveau rapport, Washington s’apprête à renforcer le rôle de la CIA, dans l’armement et l’entraînement des terroristes, en Syrie. Selon le rapport de Press TV, le journal "Washington Post" a indiqué, samedi, citant les responsables américains, que ce plan vise à accélérer les soutiens secrets des Etats-Unis aux terroristes, en Syrie, au moment où le Pentagone envisage de mettre sur pied ses propres bases d’entraînement. Les perspectives de progrès du plan de la CIA ont été débattues, la semaine dernière, lors de la réunion des hauts responsables de la sécurité nationale, à la Maison Blanche. Ce plan proposé intensifiera les activités secrètes de la CIA, qui s’étaient, déjà, multipliées, durant ces trois dernières années. La CIA s’est, pourtant, refusée à toute explication sur son rôle, quel qu’il soit, en Syrie. Le service d’espionnage américain procède, actuellement, à l’évaluation et à l’entraînement, mensuelle, d’environ, 400 terroristes, qui luttent contre le gouvernement de Bachar al-Assad.

dimanche, 16 novembre 2014 01:00

Des avions de combat français en Jordanie!

Actuellement, le dispositif de l’opération Chammal, nom donné à la participation française à la coalition emmenée par les États-Unis contre l’État islamique (EI ou Daesh) en Irak et en Syrie, repose sur la frégate anti-aérienne Jean Bart et des avions basés à al-Dhafra, aux Émirats arabes unis, dont 9 Rafale, un Atlantique 2, un ravitailleur C-135 FR et un E3F Awacs.

Les missions notamment effectuées par les Rafale (reconnaissance, renseignement et frappes) exclusivement dans la nord de l’Irak durent en moyenne 7 heures. Du coup, il faut compter sur plusieurs ravitaillements en vol. Et cela d’autant plus que la distance à couvrir entre les Émirats et la zone d’intervention est relativement importante. En outre, ce n’est pas le plus économique…

Du coup, une autre solution est à l’étude. « Nous réfléchissons à un déploiement en Jordanie », a ainsi affirmé le colonel Gilles Jaron, le porte-parole de l’État-major des armées (EMA), lors de la traditionnelle conférence de presse hebdomadaire, ce 13 novembre. Cela permettrait de « réduire les délais de vol entre le décollage et la mission au-dessus de l’Irak », a-t-il ajouté.

Pour autant, rien n’est encore fait. « C’est à l’étude. Cela nécessite un dialogue entre la France et le gouvernement jordanien », a précisé le colonel Jaron. Plusieurs pays européens, membres de la coalition anti-EI, ont déployé leurs avions en Jordanie. C’est notamment le cas des Pays-Bas et de la Belgique.D’après Reuters, deux sources, l’une militaire, l’autre diplomatique, ont évoqué un possible déploiement de 3 à 6 Mirage 2000D en Jordanie, sans doute avant la fin de ce mois.« C’est dans notre intérêt d’être aussi proche de l’Irak que possible », a fait valoir un diplomate auprès de l’agence de presse. « Cela nous permettrait d’intervenir plus rapidement et de faire des économies » a-t-il ajouté.Pour rappel, en 2012, les forces françaises avaient déjà envoyé en Jordanie des éléments du Service de santé des armées (SSA) dans le cadre de l’opération Tamour, destinée à apporter un soutien médicial aux réfugiés syriens. Cette mission est désormais terminée.

Le diplomate, qui a fait cette déclaration vendredi lors d'une rencontre avec des étudiants et professeurs de la capitale National Université of Ireland, a souligné le caractère pacifique du programme nucléaire du persan et a soutenu que les rapports de l'Agence internationale d'Agence de l'énergie atomique (AIEA) n'ont pas détectés, pour l'instant, aucun détournement à des fins militaires dans les activités nucléaires de l'Iran.

Citant la fatwa (décret religieux islamique) du guide suprême de la révolution islamique d'Iran, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei, qui interdit la production, de stockage et utilisation d'armes de destruction massive, y compris les armes nucléaires, a déclaré que « la République islamique d'Iran aspire à un monde exempt d'armes nucléaires ».

Kachuian a également critiqué l'approche des deux poids deux mesures de l'Occident au sujet du programme nucléaire iranien et considéré comme un exemple clair de la violation des droits des gouvernements et des Nations Unies, en vertu des articles du traité de non-prolifération (TNP).

L'Iran et le groupe 5 + 1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Chine et Russie, plus Allemagne) mettent au point une série de dialogues pour parvenir à un accord global sur le programme nucléaire persan avant le 24 novembre, lorsque la date limite pour le Pacte initial, rendue en novembre 2013.

États-Unis d'Amérique et ses alliés occidentaux accusent Téhéran de poursuivre des objectifs militaires dans son programme d'énergie nucléaire et se cacher derrière ce prétexte, ont imposé des embargos larges sur le pays de Perse.

La République islamique d'Iran rejette ces accusations et souligne que, comme un membre de l'AIEA et de signataire du TNP, a le droit légitime d'acquérir et de développer l'énergie nucléaire à des fins pacifiques.