تقي زاده

تقي زاده

Le plan du régime sioniste qui visait à rendre policière l'affaire iranienne a été déjoué et détruit, avec les récentes négociations Iran/5+1, a déclaré le ministre iranien des Affaires étrangères.
Lors de la séance plénière du mardi de l'Assemblée islamique d'Iran, le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif a souligné: "La semaine dernière, en un tel jour, un accord historique a été signé entre l'Iran et les six pays apparemment puissants du monde, l'accord qui a retenu l'attention du monde entier, le qualifiant de victoire de la rationnalité et de la logique face au bellicisme, et le considérant une plaque tournante dans l'histoire des relations internationales, de ces dernières décennies." Le ministre iranien a ajouté: "De l'aveu même des amis mais aussi des ennemis, ce qui a été prouvé, c'est la dignité, la confiance en soi, l'autorité et la grandeur de l'Iran, grâce à la sagesse du peuple et du Guide suprême de la Révolution islamique." " Ce qui a été prouvé, via ces longues négociations difficiles qu'avait l'Iran avec les 5+1, c'est le fait que la RII négocie seulement avec ces six prétendue grandes puissances du monde sans céder à leur chantage." a poursuivi Zarif rappelant : "Il a été aussi prouvé que la RII accepte tolérer les sanctions les plus serrées et les situations des plus difficiles, alors qu'elle continue les négociations, pendant deux années entières, sans se plier devant les pressions et sans dépasser ses lignes rouges." Le ministre iranien des Affaires étrangères a remis ce mardi à l'Assemblée islamique d'Iran, le texte du plan global d'action commun et ses annexes pour y passer les procédures légales.

L’armée régulière syrienne et les combattants de la Résistance libanaise poursuivent leurs opérations contre les groupes terroristes à Zabadani et progressent sur divers axes, tandis que les terroristes y ont perdu des dizaines des leurs surtout leurs chefs, ont fait état des sources syriennes.
Les forces de l’armée syrienne en coopération avec la Résistance libanaise continuent de progresser à Zabadani sur divers axes, renforçant leur contrôle sur Darb al-Kalassa, Darb al-Hassaba et Marj al-Kessara, après avoir tué des dizaines de terroristes et détruit leurs armes et munitions.
Une source militaire syrienne a affirmé que plusieurs chefs des groupes terroristes ont été tués au cours des raids aériens de l’armée régulière syrienne contre leurs cachettes à Zabadani. Les forces de l’armée syrienne et de la Résistance libanaise ont étendu leur contrôle sur la plaine de Zabadani et ont infligé de lourds dégâts aux groupes terroristes.

Le nombre d’actes islamophobes répertoriés en France au premier semestre de l’année a explosé de plus de 280 %.

Il ne fait pas bon d’être ou de « paraître » musulman en France. D’après l’Observatoire national contre l’islamophobie cité par l’agence de presse AFP, le nombre d’actes et de menaces anti musulmans au premier semestre 2015 a augmenté de 281 % par rapport à l’an dernier : 274 contre 72. « Nous n’avons jamais vu un phénomène aussi élevé », s’inquiète l’observatoire, mis en place il y a quatre ans. Ce chiffre comporte 78 actes (actes, dégradations de mosquées…) et 196 menaces.

Pour l’organisme, dépendant du Conseil national du culte musulman, cette montée de haine n’est pas s’en rapport avec les attentats de janvier. D’ailleurs, le nombre de ces actes a surtout explosé au premier trimestre de l’année (222 enregistrements rien que pour les trois premiers mois).

Comme le rappelle LeMonde.fr, les actes antisémites sont eux aussi plus nombreux. Plus de 500 ont été enregistrés au premier semestre 2015.

Et ces chiffres sont sans doute sous-estimés puisqu’ils ne prennent en compte que les actes ou menaces ayant fait l’objet d’une plainte ou d’une main courante. Comment savoir s’il s’agit d’un acte islamophobe ? Selon la loi française, le caractère raciste est lié à l’appartenance réelle ou supposée à une ethnie ou une religion. Donc, un acte à l’encontre d’un non musulman peut quand même être comptabilisé comme un acte anti musulman.

La Mission d'assistance des Nations Unies en Afghanistan (MANUA) a salué dimanche l'instauration par le gouvernement afghan d'une commission chargée de la réforme du système électoral.
"Ceci est une étape importante", a déclaré le Représentant spécial du Secrétaire général pour l'Afghanistan, Nicholas Haysom, cité par un communiqué de l'ONU. "Nous attendons avec impatience un processus de réforme électorale crédible, inclusif et transparent".

M. Haysom a par ailleurs encouragé les autorités afghanes à prendre les décisions nécessaires concernant le calendrier électoral pour les prochaines élections législatives et les autres scrutins.

Le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter a promis lundi que Washington va augmenter l'aide militaire apportée au régime hébreu lors de la première visite d'un haut responsable du gouvernement américain depuis l'annonce de la conclusion de l'accord sur le nucléaire iranien.
Lors d'une conférence de presse commune avec son homologue israélien Moshé Yaalon, M. Carter a déclaré que les Etats-Unis feront tout ce qu'ils pourront pour ''contribuer à défendre Israël, en cas de nécessité'', y compris en utilisant ''[leurs] moyens navals et aériens les plus modernes, notamment des munitions sophistiquées pour lesquelles aucune cible n'est hors de portée''.

Il a précisé que l'année prochaine, Israël sera le seul allié américain de la région à être équipé d'avions de chasse F-35. Par ailleurs, les Etats-Unis continueront à soutenir le bouclier antimissile baptisé ''Iron Dome'' qui, l'été dernier, a aidé Israël à se protéger contre les roquettes lancées par des militants palestiniens, a ajouté M. Carter.

M. Yaalon a assuré que bien qu'Israël soit ''globalement opposé'' à l'accord conclu à Vienne.

Le chef du Pentagone se rendra également en Jordanie et en Arabie saoudite, également préoccupés par l'accord entre l'Iran et les puissances mondiales.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a entériné lundi l'accord nucléaire signé par Téhéran et les grandes puissances et a ouvert la voie à la levée des sanctions internationales contre l'Iran.
L'accord avec l'Iran a été conclu mardi dernier à Vienne par les cinq membres permanents du Conseil (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni), plus l'Allemagne.

Il prévoit une levée progressive et conditionnelle des sanctions en échange de garanties données par l'Iran .

La résolution adoptée lundi stipule que si l'Iran respecte strictement cet accord, les sept résolutions approuvées depuis 2006 par l'ONU pour sanctionner Téhéran "seront abrogées".

Le président américain, Barack Obama, s'est réjoui de ce "message clair" de l'ONU en faveur de l'accord de Vienne.

Pour le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, la résolution 2231 est "une étape importante dans la mise en œuvre (de l'accord) et son adoption à l’unanimité une bonne nouvelle".


Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, un des négociateurs de l'accord, a exprimé sur son compte Twitter l'espoir que désormais le Conseil "changera fondamentalement" d'attitude envers l'Iran.

Devant le Conseil, l'ambassadeur iranien, Gholamali Khoshroo, a invité les monarchies du Golfe Persique, préoccupées par l'accord de Vienne, à "travailler ensemble pour relever nos défis communs, dont l'extrémisme violent".

Les forces syriennes se sont approchées dimanche de la ville de Zabadani limitrophe de la frontière libanaise, tuant 20 rebelles, selon l'agence de presse syrienne SANA.
Des unités de soldats syriens se sont emparées de trois nouveaux quartiers à Zabadani, s'efforçant de reprendre la ville clé, qui se trouve au nord-ouest de la capitale syrienne Damas et aussi près de la frontière libanaise.

Vingt rebelles ont été tués alors qu'ils tentaient de sortir furtivement Zabadani dimanche, juste un jour après que les forces militaires ont tendu une embuscade à 40 rebelles dans la zone.

Les forces gouvernementales cherchent à débarrasser la ville de Zabadani et toute la région de Qalamoun de l'emprise du Front al-Nosra et des militants affiliés à ce groupe extrémiste, lequel utilise cette ville pour faire passer des militants et des armes du Liban à la campagne située à l'ouest de Damas.

Le Centre de la culture et des relations islamiques a annoncé que cette conférence était organisée à Bombay au parc Ki dans lequel il a déclaré que l’objectif était de présenter la relation entre le Coran, les hadiths et la vie islamique.

L’Hodjat-ol-islam Hosseini Kararvi, a déclaré que le Coran insistait sur la nécessité de la réflexion en plus de l’adoration, et que le Coran concernait en grande partie, les questions politiques et sociales.

Zahir al Abbas, a déclaré que pendant le mois de ramadan, les musulmans lisaient le Coran mais n’accordaient pas assez d’attention aux versets qui concernent les affaires sociales contrairement au prophète et aux Ahl-ul-bayt (as).

Mahdi Zare’, responsable du Centre culturel iranien, a déclaré que l’objectif de cette conférence était de présenter les enseignements des Ahl-ul-bayt (as).
« Les meilleures règles pour une vie saine et équilibrée, au niveau individuel et social, ont été données dans le Coran. Nous devons extraire du Coran ces enseignements », a-t-il dit.

A la fin de cette réunion, les lauréats de la compétition coranique ont été récompensés.

" La volonté de toutes les parties impliquées dans les négociations nucléaires, en particulier la République islamique d’Iran, le Conseil de sécurité des Nations unies a approuvé l'accord nucléaire globale comme une première étape ", a-t-il expliqué Araqchi dans une interview à la Radio-télévision d'Etat iranienne (IRIB, pour son sigle en anglais), lundi soir.

Cela signifie, a continué, avant de commencer l'exécution de la procédure judiciaire du résultat du dialogue nucléaire dans les pays du sextuor, le CSNU a suspendu toutes ses résolutions antérieures et, donc, lever les antiranis de sanctions pour faire Téhéran à prendre des mesures appropriées afin de commencer la première phase du processus.

Selon le diplomate persan, dans la première phase, les pays du G5 + 1 dans un délai de deux mois effectueront le processus judiciaire, si après ce temps, le consensus global est approuvé dans ces pays, il passera à la prochaine de phase , qui est « le jour de l'accord », le jour où l'Union européenne (UE ) et les États-Unis lèvent complètement toutes les sanctions unilatérales contre l'Iran, cependant, a souligné, il y a une troisième phase, lorsque l'Iran doit se conformer à ses engagements, puis sera ratifié par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Selon lui, ils auront besoin entre 4 à 6 mois pour que le nucléaire globale face à l'exécution.

" C'est la première fois que le Conseil de sécurité accepte qu'un pays accède à l'enrichissement d'uranium, est également la première fois que l'application du chapitre 7 de la Charte des Nations Unies contre un pays sans guerre et par le dialogue et qui met en évidence la puissance et la grandeur de la République islamique d'Iran ", a-t-il ajouté.

Dans une autre partie de ses déclarations du vice-premier ministre iranien des affaires étrangères ont évoqué des déclarations également samedi le leader de la révolution islamique, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei, relative à la conclusion des pourparlers nucléaires.

Comme il a dit l'Ayatollah Khamenei, l'objectif principal de l'Ouest devait mettre fin au programme nucléaire iranien, cependant, elles ont été transférées à nos demandes et ils ont accepté l'activité des cinq mille centrifugeuses, l'enrichissement et la poursuite des enquêtes et le développement du programme nucléaire.

Interrogé sur le calendrier pour la suppression du dossier nucléaire iranien CSNU Araqchi a fait valoir que la résolution 2231 stipule clairement que si toute violation est constatée, le cas nucléaire iranien sera automatiquement fermé après 10 ans dans la sécurité de l'Etat de l’ONU.

Enfin, Araqchi a fait référence à l'article 3 de la résolution 2231 sur les missiles balistiques de l’Iran. " Cette résolution abroge toutes les résolutions antérieures et approuvé par les embargos du Conseil de sécurité contre l'Iran et ajoute à la place un nouveau -limitations- (pas d’interdiction) cela, mais ils ne sont pas obligatoire, " a-t-il conclu.

Déclarations Araqchi se produisent le même jour que les 15 membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont approuvé à l'unanimité la levée des sanctions antiranis.

Cette décision montre l'approbation formelle de l'ONU à la fin du Plan d'action global conjoint atteint le 14 Juillet dans la capitale autrichienne de Vienne, entre l'Iran et le G5 + 1 (Etats-Unis, la Grande-Bretagne, France, Russie et Chine, plus l’Allemagne), après 22 mois de négociations.

La conclusion de ces dialogues a reçu l'approbation de la plupart des nations du monde, de l'Asie-Pacifique et le Moyen-Orient à l'Amérique latine. Cependant, les régimes israéliens et républicains de la Chambre des États-Unis opposent.

Le Conseil de sécurité de l'ONU doit adopter lundi une résolution ouvrant la voie à la levée des sanctions internationales contre l'Iran, à condition que l'Iran respecte à la lettre l'accord nucléaire historique qu'il a conclu avec les grandes puissances.
Le vote est prévu à 09H00 locales à New York (13H00 GMT) et ne sera qu'une formalité. Car ce sont les mêmes cinq membres permanents du Conseil (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni), plus l'Allemagne, qui ont mis au point l'accord de Vienne signé mardi dernier et la résolution.
Celle-ci donnera le départ d'un processus de levée progressive et conditionnelle des sanctions.

Par cette résolution, le Conseil "entérine" l'accord de Vienne, "demande instamment qu'il soit appliqué pleinement selon le calendrier mis au point" par les négociateurs et appelle les pays membres de l'ONU à en faciliter la mise en oeuvre.

Le Conseil charge l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) de "procéder aux vérifications et contrôles nécessaires des engagements nucléaires pris par l'Iran", comme la limitation du nombre de ses centrifugeuses ou de son stock de matière fissile.

Dès que le Conseil aura reçu un rapport de l'AIEA constatant que le programme nucléaire iranien est désormais totalement pacifique, les sept résolutions prises par l'ONU depuis 2006 pour sanctionner l'Iran (résolutions 1696, 1737, 1747, 1803, 1835, 1929 et 2224) "seront abrogées".

Ces résolutions interdisent le commerce de biens ou de services liés aux activités nucléaires iraniennes, gèlent les avoirs financiers de personnalités et de sociétés iraniennes et imposent des embargos sur les armes conventionnelles et les missiles balistiques.

Ces deux embargos resteront cependant en vigueur, pendant cinq ans pour le premier et huit ans pour le second.

Au bout de dix ans, durée de validité de l'accord de Vienne, l'ONU refermera le dossier Iran.

Mais si, selon les cinq pays membres Téhéran viole l'un ou l'autre de ses engagements, le Conseil pourra rétablir toute la panoplie des sanctions de manière quasi-automatique. Il suffira qu'un des cinq membres permanents du Conseil, qui disposent d'un droit de veto, dépose une résolution stipulant que les sanctions restent levées puis mette son veto à cette même résolution pour que les sanctions soient rétablies.

Ce mécanisme inédit, dit "snapback", s'appliquera pendant la durée de l'accord, c'est-à-dire dix ans. Mais les grandes puissances ont déjà annoncé leur intention de le proroger de cinq ans par une nouvelle résolution. Cette épée de Damoclès menacera donc l'Iran pendant quinze ans en tout.

Mais il reste à passer l'obstacle du Congrès américain, qui doit se prononcer dans les 60 jours et dont la majorité républicaine est hostile à l'accord.