تقي زاده

تقي زاده

Le Japon a perdu un F-35 dans le Pacifique et les États-Unis sont en difficulté si la Russie ou la Chine découvrent les épaves en premier.

Cités par Business Insider, des experts militaires américains et britanniques estiment que les débris du chasseur F-35A Lightning II des Forces aériennes d'autodéfense japonaises, qui s'est abîmé mardi 9 avril dans l'océan Pacifique, à l'est du Japon, représentent un intérêt particulier pour les Défense russe et chinoise.

 

De nombreux fiefs des terroristes ont été ciblés par l’armée syrienne.

L’armée syrienne a lancé une attaque d’envergure dans le sud d’Idlib, le sud-ouest d’Alep et le nord de Hama dans la nuit de jeudi à vendredi 12 avril.

Utilisant des missiles sol-sol et d'obus d'artillerie, l'armée syrienne a lancé plusieurs projectiles en direction des positions des terroristes du groupe Jaych al-Izza près d’un poste d'observation turc à Morek.

Elle a ensuite frappé plusieurs positions des terroristes à Khan al-Assal, au sud-ouest d’Alep et à Khan Cheikhoun, au sud d’Idlib.

Hayat Tahrir al-Cham a également tiré plusieurs roquettes et obus de mortier contre les positions de l’armée syrienne, au nord de la province de Hama.

La sonde spatiale d'Israël a échoué à sa première tentative d'alunissage. Le véhicule spatial s'est écrasé sur la Lune ce jeudi 11 avril. 

Le satellite israélien n'a pas réussi à atterrir à la surface de la lune et sa connexion au sol a été interrompue.

Selon l'Associated Press, le vaisseau spatial de SpaceIL a perdu sa connexion avec la terre jeudi 11 avril, juste avant d'atterrir sur la lune.

Selon le rapport de BBC, le moteur de ce petit vaisseau qui avait pour mission de photographier la lune a ​​été désactivé lors de son atterrissage.

Seules les agences spatiales des États-Unis, de l'URSS et de la chine ont réussi jusqu’à présent à faire alunir leur vaisseau spatial.

Le projet, géré conjointement par SpaceIL 100 et la société aérospatiale israélienne, a coûté des millions de dollars.

L'Europe met en garde les USA contre la prolongation des sanctions contre Iran. Ces derniers jours, des responsables européens ont averti la Maison Blanche que si le gouvernement américain ne prolongeait pas l'exemption des sanctions contre la coopération avec l'Iran, Téhéran pourrait se retirer de l’accord nucléaire, a confié une source au sein de la compagnie américaine de presse The McClatchy, selon Fars News.

Ces sanctions visent le noyau de l'accord de 2015 et si les exemptions viennent à être prolongées, Téhéran pourra alors reprendre certaines de ses activités nucléaires.

L’approfondissement des relations entre le Venezuela et les différents pays du monde a neutralisé les sanctions américaines contre ce pays, a-t-on appris du chef de la diplomatie vénézuélienne.

Évoquant sa toute récente tournée en Afrique, en Asie et en Europe, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères Jorge Arreaza a déclaré que la communauté mondiale ne se bornait pas uniquement aux États-Unis et à une cinquantaine de pays qui les suivaient.

« Les États-Unis tentent de faire croire au monde entier que le Venezuela serait un pays isolé sur la scène du géopolitique mondial », a-t-il indiqué.

Le haut diplomate vénézuélien a ajouté avoir discuté avec le président syrien Bachar al-Assad, lors de son déplacement à Damas, d’une stratégie permettant d'empêcher le déclenchement d’une guerre au Venezuela, similaire à celle ayant éclaté il y a huit ans en Syrie.

 

Vassili Nebenzia, représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, a souligné qu’à l’exception de l’Iran et de la Russie, les troupes des autres pays devaient quitter la Syrie.

Lors d’une interview accordée jeudi 11 avril au quotidien extrarégional saoudien Ashraq al-Awsat, basé à Londres, Vassili Nebenzia a déclaré que les forces des pays dont la présence était illégitime en Syrie, devaient s'en retirer.

« La présence russe en Syrie est légitime. Nous sommes en Syrie à la demande du gouvernement de Damas pour l'aider à lutter contre la menace terroriste », a-t-il assuré.

La cérémonie de l’ouverture de la 36e édition des compétitions coraniques internationales de la république islamique d’Iran a eu lieu mercredi après-midi au Mussalla Imam Khomeiny (ra) de Téhéran.
Lors de cette cérémonie, le chef de l’organisation iranienne des owqaf et des affaires caritatives a indiqué : « Cette organise cherche à promouvoir le développement de la culture coranique. »


L’hojat ol islam Sayed Mahdi Khamouchi qui s’exprimait lors de la cérémonie d’ouverture de ces compétitions a présenté ses felicitations à l’occasion des fêtes du mois de cha’ban.


Il a présenté le programme des compétitions qui se clôturera par une rencontre avec le guide suprême de la révolution islamique.


Citant un hadith de l’imam Sadegh (as) selon lequel « Quand le jeune fidèle lit le Coran, ce dernier entre dans sa chaire et son sang », l’hojat ol islam Khamouchi a souligné : « L’organisation des owqaf et des affaires caritatives de la république islamique d’Iran suit cette tâche à travers l’organisation des cours et des compétitions coraniques. »

Faisant référence au soutien des États-Unis, de l’Arabie saoudite et d’Israël aux terroristes, le chef de la diplomatie iranienne a affirmé qu’ils devaient voir la réalité de face, car ils ne peuvent plus restaurer les groupes terroristes.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a déclaré que la décision américaine de blacklister le Corps des gardiens de la Révolution d’Iran ne contribuerait en rien à son projet de réanimer les groupes terroristes Daech et al-Nosra.

« Les perdants de la guerre contre le terrorisme dans notre région ne peuvent pas effacer l’histoire. Cibler le CGRI ne ravivera pas Daech et al-Nosra — leurs clients et leurs créations », a écrit Zarif ce jeudi sur son compte twitter.

A tout moment où une catastrophe est survenue pour notre pays, les Iraniens ont pu la surmonter à cause de leur esprit de coopération et d'unité, a dit membre de la fraction des sunnites du parlement iranien.
l'unité entre les chiites et sunnites dans les inondations survenues, Syed Ahsan Alawi, député des villes Sanandaj et Divandareh a déclaré: à cause du manque de la gestion correcte, nous ne pouvons pas profiter des bénédictions divines.

A tout moment où une catastrophe naturelle est survenue en Iran, le peuple de notre pays l'a surmonté à cause de leur esprit de coopération et d'unité, a-t-il marqué.

Il y a de l'unité et de la fraternité entre toutes les écoles islamiques en Iran. Cela est un grand point positif pour ne pas laisser seul les Iraniens malgré les divergences dans les croyances, a-t-il suivi.

Nous avons vu l'image dans laquelle un religieux chiite aide religieux sunnite; cela est un symbole de l'unité et de la coopération de tout le peuple iranien et surtout nous devons faire attention que dans les crises, appartenir à une école islamique n'a pas d'importance, a-t-il poursuivi.

Malheureusement, dans les inondations des dernières semaines, de nombreuses infrastructures dont des routes, des ponts et des chemins de fer se sont sérieusement endommagés, a-t-il continué.

Les récents incidents ont montré que nous n'avons pas une direction unie pour faire face aux inondations et des organisations cherchent à suivre leur programme séparé des autres organisations. Toutes les organisations doivent diriger sous une direction, a-t-il ajouté.