
تقي زاده
La principale peur des commandants sionistes?!
Le journal al Rai al Youm cite les milieux sécuritaires d'Israël pour souligner à quel point le récent discours de Nasrallah est pris au sérieux. " les israéliens attachent une importance de choix à ces propos et y voient la stratégie à venir du Hezb" " C'est ainsi que l'analyste militaire de Haaretz y revient en affirmant que Nasrallah a tenté en quelques sorte de rééulibrer les rapports de force en opposant au raid de Quneitara , celui mené contre Chebaa.
c'est un fait domais claire : la moindre attaque israélienne contre le Liban et la Syrie sera ripostée par le Hezbollah . Israël ne peut défendre tout et en dépit des mesures qu'il a prises , le Hezbollah saura toujours trouver une brêche à s'y infiltrer. d'où cette partie du discours de Nasrallah où il affirme pouvoir frapper l'armée israélienne n'importe où, n'importe comment. l'opération de Chebaa l'a montré : le Hezbollah est une organisation créative et experte en la matière
A Chébaa tout comme dans son attaque de 2014 contre une patrouille israélienne dans cette même région, le Hebollah n'a pas été loin de faire infliger de très grosses pertes à Tsahal. après la récente opération contre Chebaa, le calme est certes de retour mais n'empêche que les commandants de l'armée israélienne se sentent préoccupés . une question ne cesse de se poser à eux : comment pourrait-on faire face au Hebollah sans lui laisser l'occasion de faire recours à ses missiles et d'étendre la guerre à d'autres fronts en Israël ?
Des pays voudraient rouvrir leur ambassade à Damas mais...
Des pays européens voire du monde entier voudraient rouvrir leur ambassade à Damas et ce à un niveau inférieur à l'ambassadeur, mais ils craignent les Etats-Unis et Israël, a déclaré le vice-ministre syrien des Affaires étrangères.
Actuellement, des chambres d'opérations à Bruxelles, à Paris et à Londres sont en train d'aider les terroristes en matière de renseignement et d'armes de médias, a ajouté le vice-ministre syrien des Affaires étrangères en allusion aux aides des pays occidentaux aux terroristes.
La Révolution islamique a bouleversé les équations dans la région apportant de grands changements dans le monde. J'espère qu'avec l'aide des frères iraniens les territoires arabes seront libérés des mains des terroristes du régime sioniste, a affirmé jeudi dans la soirée Fayçal Meqdad lors d'un entretien avec la télévision iranienne en félicitant au peuple et au gouvernement iraniens la Décade de l'Aube, les dix jours marquant l'anniversaire de l'avènement de la Révolution islamique.
J'ai l'impression que cette crise prendra fin en 2015, a-t-il précisé en indiquant que le régime sioniste est derrière de tous les terroristes.
La crise syrienne s'explique par la résistance de Bahar al-Assad face aux arrogants et sa prise de position de préserver l'intégrité territoriale de la Syrie. Nous avons essayé de mettre de côté les divergences avec la Turquie et de préserver les intérêts des musulmans de la région mais les Turcs cherchent à nuire à ces intérêts. Erdogan était injuste envers la Syrie et ce alors que nous étions aux côtés du peuple turc. Les dirigeants des pays occidentaux comme la Françe et la Grande-Bretagne sont les serviteurs de Netanyahu, ils ne représentant pas leur peuple. Pour ce qui est des Nations Unies, elles aident le peuple syrien à sortir du pays pour que les terroristes aient de plus en plus de tranchées dans les villes et parfois se battre aux côtés des terroristes contre le gouvernement central. Certains pays européens ainsi que d'autre pays souhaitent rouvrir leur ambassade à Damas et ce à un niveau inférieur à l'ambassadeur. Des entretiens à huis clos ont eu lieu à ce propos cependant ils ont peur des Etats-Unis et du régime sioniste.
Rif de Damas: les avancées d'Assad...
L’armée syrienne a réussi à avancer sur deux axes dans la province de Damas, et à sécuriser la route qui relie Homs à Salmiyeh. Selon le correspondant de l’agence iranienne Fars à Damas, les unités de l’armée syrienne ont mené de vastes opérations à Ghoutta oriental (près de Damas), à Doma et à Jobar. En même temps, l’armée de l’air syrienne a bombardé les lieux de rassemblement et les positions des groupes armés à Tal al-Sawan et à Tal Kurdi, ainsi qu’à l’intérieur de la ville de Doma dans la province de Damas. A l’ouest de Tal Kurdi, les soldats de l’armée ont attaqué les positions des groupes terroristes. Après d’âpres affrontements, les unités de l’armée ont réussi à encercler la région et resserrer l’étau autour des positions des groupes terroristes, en empêchant leur fuite vers la ville de Doma. En outre, les soldats syriens ont réussi à localiser et saisir les dépôts d’armes et de munitions des terroristes à Doma.
A Jobar, les forces de l’armée syrienne ont progressé vers la Mosquée Tayebeh et dans le quartier d’al-Barid. En même temps, les bombardiers de l’armée de l’air syrienne et l’artillerie de l’armée ont attaqué les positions des terroristes près du pont Zamalka et aux alentours d’al-Mutahaleq. Les combats se poursuivent maintenant près de la Mosquée de Qazwa al-Badr.
Dans la province de Homs, au centre du pays, des sources locales font état des raids de l’armée de l’air syrienne sur les lieux de rassemblement des terroristes de Daesh près de la Mosquée d’al-Mustapha dans la ville de Rastan, ainsi que dans les cités de Talbisseh, Saan et Ghantou. De nombreux terroristes takfiris de Daesh ont été tué dans ces attaques.
Les unités de l’armée syrienne ont neutralisé aussi les tentatives des groupes armés qui voulait s’infiltrer dans plusieurs villages et cités de la région d’al-Sultaniyeh. L’armée a sécurisé l’autoroute qui relie Homs et Salmiyeh, et a déjoué les plans des groupes rebelles qui voulaient prendre en main le contrôle de cette autoroute.
Kerry exige un accord d'ici fin entre l'Iran et le groupe 5+1
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a insisté vendredi, lors d'une rencontre avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif, sur la nécessité d'aboutir à un accord politique sur le programme nucléaire de Téhéran d'ici fin mars.
M. Kerry a réitéré son souhait d'avancer vers un accord politique d'ici la fin mars, a déclaré un responsable du Département d'Etat à l'issue de l'entretien, qui a duré près de deux heures, en marge de la Conférence sur la sécurité de Munich (sud de l'Allemagne).
Ils ont convenu de rester en contact étroit et d'essayer de se revoir prochainement, a ajouté ce responsable, alors que les négociations sur le programme nucléaire de Téhéran piétinent.
L'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Chine, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) négocient depuis plus d'un an un accord global, qui mettrait fin à plus de dix ans de crise diplomatique.
Mais les prises de position des durs à Téhéran comme à Washington, où le Congrès dominé par les républicains veut imposer de nouvelles sanctions contre l'Iran, compliquent la donne.
M. Kerry a rencontré M. Zarif à plusieurs reprises ces derniers mois. Les équipes ont également négocié au niveau politique, mais rien n'a filtré sur ces discussions.
S'exprimant à la Conférence sur la sécurité de Munich, le plus haut responsable de la diplomatie chinoise, Yang Jiechi, a estimé qu'il existe une occasion majeure pour résoudre la question nucléaire iranienne.
La Chine est prête à renforcer sa communication et coopération avec les parties afin d'oeuvrer à la conclusion rapide d'un accord juste, équilibré et global, a-t-il affirmé.
Les grandes puissances exigent que l'Iran réduise ses capacités nucléaires afin d'empêcher qu'il puisse disposer ''un jour'' de la bombe atomique. Téhéran qui dément tout caractère militaire de son programme revendique son droit à une filière nucléaire civile complète et demande la levée totale des sanctions économiques occidentales.
Ces négociations, qui ont redémarré en novembre 2013 sur la base d'un accord intérimaire gelant certaines activités sensibles de l'Iran en échange d'une levée partielle des sanctions contre l'économie iranienne, ont déjà été prolongées à deux reprises.
Daech affirme qu'une otage américaine a été tuée lors d'un raid de la coalition en Syrie
Daech a affirmé vendredi qu'une otage américaine avait été tuée lors d'un raid de la coalition internationale dans le nord de la Syrie, où des frappes aériennes ont tué au moins 30 combattants selon une ONG.
L'aviation de la coalition croisée a bombardé une position en dehors de la ville de Raqa. Aucun combattant n'a été touché mais nous pouvons confirmer qu'une otage américaine a été tuée par les frappes, a indiqué Daech dans un communiqué diffusé sur des sites extrémistes qui identifie la victime comme Kayla Jean Mueller.
Les Etats-Unis ont rapidement réagi en assurant qu'ils ne disposaient d'aucune preuve de la mort d'une de leur ressortissante retenue en otage.
Selon une ONG pro-rebelles, des frappes menées vendredi par la coalition internationale dans le nord de la Syrie ont coûté la vie à au moins 30 combattants, mais certainement plus. Ces raids ont visé des positions et des dépôts abritant des véhicules militaires et des chars, à l'est et à l'ouest de la ville de Raqa, capitale autoproclamée de Daech en Syrie.
Dans le titre de son communiqué sur la mort de l'otage, le groupe combattant mentionne que l'Américaine a été tuée par l'aviation jordanienne mais le texte du communiqué parle uniquement d'une frappe de la coalition comme cause du décès.
Un attentat suicide fait 12 morts dans un restaurant à Bagdad
Douze personnes ont été tuées et 30 blessées samedi dans une attaque suicide menée dans un restaurant de l'est de Bagdad, ont indiqué des sources de sécurité et médicales.
Cette explosion s'est produite dans la matinée alors que le couvre-feu nocturne en vigueur depuis des années à Bagdad ne doit plus être appliqué à partir de samedi minuit (21H00 GMT).
Cette mesure est destinée à rétablir une situation de normalité dans la capitale irakienne.
L'attaque menée dans le quartier Bagdad al-Jadida n'a pas été revendiquée dans l'immédiat mais ce type d'attentat suicide est généralement le fait d'extrémistes.
Pour autant, le Premier ministre Haider al-Abadi a ordonné la levée du couvre-feu nocturne à partir de samedi minuit, afin que la vie soit aussi normale que possible.
Selon un communiqué de son bureau, M. Abadi a en outre ordonné que les rues importantes de la capitale soient rouvertes afin de faciliter le mouvement des citoyens et que les quartiers d'Azamiyah et Kazimiyah, dans le nord de Bagdad, soient des zones démilitarisées.
L'instauration du couvre-feu visait à mettre un frein aux attaques qui ont été particulièrement meurtrières au milieu des années 2000. Les heures du couvre-feu ont varié au fil des années, mais il était récemment en vigueur de minuit à 05H00 locales (21H00 à 02H00 GMT).
Yémen: Ansarullah forme une commission incluant d'anciens ministres
Ansarullah au Yémen ont mis en place samedi une Haute commission de sécurité, incluant d'anciens ministres, pour assurer la sécurité du pays, où la présence d'Al-quaïda pose toujours des menaces dans le sud.
Cette annonce a été suivie par une explosion à l'entrée sud du palais présidentiel, ont indiqué des témoins, ajoutant qu'un policier et un civil avaient été blessés dans l'explosion.
Les ministres de la Défense et de l'Intérieur de ce gouvernement démissionnaire figurent parmi les 18 membres de la commission de sécurité, décidée par les miliciens d'Ansarullah, ont indiqué ces derniers dans leur premier communiqué publié depuis leur annonce vendredi soir de la dissolution du Parlement et de la création de nouvelles instances dirigeantes.
La commission de sécurité dirigera les affaires du pays jusqu'à la mise en place d'un Conseil présidentiel, précise le texte publié par l'agence officielle Saba.
Elle est présidée par le général Mahmoud al-Sobeihi, ministre de la Défense dans le gouvernement démissionnaire .
La nomination du général Sobeihi et sa présence aux côtés des dirigeants houthis au moment de l'annonce de leur déclaration constitutionnelle ont été accueillies avec méfiance dans l'entourage de cet officier, considéré comme un fidèle du président Hadi.
L'Iran est le pays le plus puissant et le plus stable de la région
Aujourd'hui, les Etats-Unis craignent la puissance iranienne. L'Iran est le pays le plus puissant et le plus stable de la région et les Etats-Unis se sont mis à genoux face à la nation iranienne, a déclaré l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques lors d'une marche des familles en présences des oulémas chiites et sunnites dans la ville iranienne de Birjand.
Actuellement les musulmans subissent les propagandes des ennemis de l'islam. Les musulmans ont besoin des aides de Dieu et de son noble prophète, a-t-il souligné.
L'ennemi attaque les croyances, la culture, l'identité et les territoires des musulmans. Pour sortir de cette situation, les musulmans ont besoin des aides divins, a-t-il indiqué.
Nous prions Dieu et demandons à son prophète d'aider les musulmans s'unir pour vaincre les ennemis, a-t-il dit.
Pendant la guerre imposée par le régime de Saddam Hussein à l'Iran, de nombreuses villes iraniennes ont été détruites et de nombreux complots ont été programmés contre le pays. Mais la nation iranien, avec son unité et sa volonté, a pu être vainqueur dans tous ces domaines, a marqué l'ayatollah Araki.
Aujourd'hui, l'Iran est le pays le plus puissant et le plus stable de la région et les Etats-Unis se sont mis à genoux face à la puissance iranienne, a-t-il répété.
L’islamisation de la résistance palestinienne, un résultat de la révolution islamique d’Iran
Nasrollah Omarov, intellectuel du Tadjikistan, ancien directeur pédagogique d’un collège islamique de Moscou et professeur au centre Jame’at-ol-Mostafa (as), dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré que la résistance palestinienne s’était islamisée après la révolution islamique d’Iran.
Nasrollah Omarov a indiqué : « Le résultat des mouvements en Orient depuis le début du siècle, a été la révolution islamique d’Iran bien que ces mouvements n’aient pas eu un guide capable d’analyser la situation et de prévoir ce qui arriverait dans l’avenir. »
« L’apparition du Hezbollah, a-t-il dit, et d’autres mouvements palestiniens sont un autre exemple, ainsi que l’apparition des mouvements d’éveil islamique dans les pays musulmans.»
L’intellectuel tadjik a souligné : « L’imam Khomeiny qui était un spécialiste de l’islam, a eu une grande influence dans le monde, malgré les pressions économiques et politiques imposées à l’Iran, et son mouvement contre le front de l’arrogance, c’était un mouvement calculé et précis.»
« Au Tadjikistan, malgré la propagande communiste, les intellectuels essayaient de suivre les événements en Iran, et avec la chute de l’Urss, cet intérêt a augmenté et les gens du Tadjikistan qui parlent le persan, ne sont pas tombés dans le piège des Salafis. Beaucoup de gens au Tadjikistan, suivent avec intérêt ce qui se passe en Iran qui a offert une nouvelle expérience au monde capable d’encourager le développement de l’islam», a ajouté Nasrollah Omarov.
«La lettre de l’Ayatollah Khamenei, aux jeunes d’Europe et des États-Unis, a eu un écho important et les gens dans le monde, font une distinction entre certains groupes et la république islamique d’Iran », a déclaré Nasrollah Omarov qui est l’auteur de plusieurs articles sur le Prophète (PSL), l’Imam Sadegh (as), le Shâh-Nâme dans les programmes littéraires du Tadjikistan et le Golestân de Saadi, et est actuellement en train de traduire un livre sur l’Imam Hossein (as) intitulé : «ابو الشهداء الحسین بن علی(ع)».
Que pense Obama de l'arsenal nucléaire israélien ?
"Il est très regrettable que le Président américain, Barack Obama, se soit abstenu d'exprimer son avis sur le conflit israélo-palestinien de longue date", a écrit, dans un rapport, le site d'information Gulf News. "Peut-être, aurait-il dit, avant l'interview, à Farid Zakaria, de ne pas l'interroger sur ce sujet, ou qu'il est plus intelligent de savoir qu'il n'y avait pas lieu d'évoquer ce sujet, en l'état actuel des choses, alors que les relations entre Israël et les Etats-Unis se sont dégradées. En tout état de cause, le Président américain, Barack Obama, et son Secrétaire d'Etat, John Kerry, s'abstiennent de s'investir, dans le conflit israélo-palestinien, à partir du moment où ils ont échoué à rapprocher les positions des Israéliens de celles des Palestiniens. Aux yeux des Palestiniens, cela s'explique par le fait qu'Israël jouit du soutien, sans faille, des organes et formations politiques, aux Etats-Unis. Cela étant dit, un institut de recherches, basé à Washington, dit l'institut de recherches sur le Moyen-Orient, a tracé, récemment, une image différente et attrayante de cette question. Dans un rapport, le Directeur de cet Institut, Grant F. Smith, a mis au défi l'approche confuse des Etats-Unis envers les arsenaux nucléaires israéliens. "On ne peut pas nier que cette attitude ambiguë et confuse a profité, largement, à Israël et au lobby israélien, aux Etats-Unis, et cela aura une conséquence très coûteuse, pour les contribuables américains", précise-t-il. Et lui d'ajouter : "Selon les résultats d'un sondage, effectué par Google, 64% des citoyens américains croient qu'Israël possède des armements nucléaires. Toujours, selon ce sondage 6 sur 10 des citoyens américains estiment que les aides étrangères des Etats-Unis à Israël sont très élevées". Et le directeur de l'Institut de recherches de Washington sur le Moyen-Orient de préciser, encore: "Washington met, annuellement, à la disposition d'Israël, des milliards de dollars des revenus émanant des contribuables américains. A cela s'ajoutent les aides et assistances, fournies par les Etats-Unis au régime de Tel-Aviv, en matière de renseignements". Et Grant F Smith de poursuivre : "Ce qui m'agace le plus, c'est que des documents importants US, en cette matière, sont dissimulés aux yeux des citoyens, des historiens et des chercheurs, et ils sont conservés aux archive nationales". "Les Etats-Unis observent, depuis des années, le silence, à cet égard. Helen Thomas, d'origine libanaise, éminent reporter américain d'une agence de presse, chroniqueuse, pour "Hearst Newspapers" et correspondante accréditée à la Maison-Blanche, de 1960 à 2010, n'a pas pu, également,amener Obama à accepter qu'Israël possède l'armement nucléaire. Début 2009, lors d'une conférence de presse, à la Maison Blanche, elle a interrogé Barack Obama pour savoir "s'il connaissait un pays, au Moyen-Orient, possédant l'armement nucléaire" ? Et Obama a répondu : "Je ne souhaite pas spéculer, dans ce domaine". "En dépit du fait que la majorité des élus du Congrès fait partie du lobby israélien, cela dit, l'administration Us ne désire pas présenter une approche claire et transparente concernant l'arsenal nucléaire israélien. Et Grant F. Smith de poursuivre : "Le seul moyen de défier Israël, c'est de saisir la justice. L'Institut de recherche sur la politique de l'Asie de l'Ouest a posé, le 23 septembre, plainte, auprès du ministère de la Défense. Il a demandé au juge du tribunal fédéral d'examiner et de rendre public le rapport confidentiel de 1987, intitulé " l'évaluation de la technologie sensible, en Israël, et dans les pays membres de l'OTAN. Selon Smith, à partir du moment où le Ministère de la Défense a accepté qu'Israël avait travaillé, en 1987, sur un programme secret miliaire nucléaire, en dehors du cadre du Traité de non-prolifération nucléaire, Tel-Aviv a perdu les conditions requises, pour recevoir l'aide de 82 milliards de dollars, prélevés sur les revenus des contribuables américains. Fort de soutiens financiers d'envergure, Israël continue, selon Smith, à contraindre l'administration US à obéir à ses politiques secrètes, dont le prix est payé, depuis des décennies, par les contribuables américains.