
تقي زاده
Israël : une unité spéciale pour espionner l’Iran et le Moyen-Orient
L’apprentissage de la langue persane et la collecte et le décodage d’informations sur l’Iran ; voici l’une des missions principales de l’unité 8200 de l’armée israélienne.
L’agence de presse iranienne Mizan a écrit ce mardi 28 novembre que l’apprentissage de la langue persane et la collecte et le décodage d’informations sur l’Iran faisaient partie des plus importantes missions confiées à l’unité 8200, le plus grand service d’espionnage israélien.
Pour rappel, l’unité 8200, également appelée « Israeli SIGINT National Unit ou ISNU », constitue en réalité une unité de renseignement de l’armée israélienne. Cette unité est responsable du renseignement d’origine électromagnétique et du décryptage de codes. En 2016, l’unité 8200 aurait disposé d’un effectif de plus de 7 500 personnes, soit près de 80 % des effectifs de l’AMAM, le fameux renseignement militaire israélien.
Mais l’Iran n’est pas le seul point d’intérêt de cette unité militaire d’espionnage israélien. Certaines sources disent que l’unité 8200 de l’armée israélienne, qui mène ses activités d’espionnage sur les frontières de la Syrie jusqu’aux zones surplombant Damas, a eu un rôle central dans l’assassinat de commandants de la Résistance, dont Imad Mouqhnieh, dans le quartier de Kfar Sousa à Damas.
Les éléments de l’unité 8200 passent des formations spéciales d’entraînement militaire et de collecte d’informations dans les pays du Moyen-Orient, dont des pays arabes. Les membres de cette unité d’espionnage chargés de se déplacer sur les lignes de front des combats doivent aussi apprendre à collecter et à analyser les informations de l’ennemi.
Outre l’unité 8200, il y a au sein de l’armée israélienne une autre unité spécialisé en collecte d’informations, connue sous le nom d’unité 504. Elle est considérée comme étant le troisième bras du renseignement militaire du régime israélien.
Lutte antiterroriste : Macron compte sur l’Iran, le Qatar et la Turquie
En visite au Burkina Faso le président français, Emmanuel Macron, a annoncé ce mardi 28 novembre vouloir frapper les passeurs qui exploitent les migrants en Libye et a dénoncé les « crimes incontestables » de la colonisation européenne, entamant sa première tournée africaine dans une atmosphère tendue après une attaque contre des soldats français et des manifestations dans la capitale burkinabée.
Macron a réitéré sa volonté d’aider à la constitution d’une force multinationale pour lutter contre les groupes terroristes. Il a demandé à l’Iran, au Qatar et à la Turquie de s’engager fermement dans ce combat.
Lors d’un discours devant 800 étudiants de l’Université de Ouagadougou, Macron a annoncé qu’il allait « proposer une initiative euro-africaine » pour « frapper les organisations criminelles et les réseaux de passeurs » qui exploitent les migrants subsahariens en Libye. Il a également annoncé « un soutien massif à l’évacuation des personnes en danger » en Libye, qualifiant de « crime contre l’humanité » la vente de migrants comme esclaves.
Emmanuel Macron entend convaincre une jeunesse africaine de plus en plus hostile à la présence française sur le continent, sur fond de menace terroriste persistante au Sahel, que les troupes françaises installées dans la région ont du mal à combattre, et d’un flux migratoire croissant que l’Europe veut endiguer.
La Russie va diminuer le nombre de ses militaires en Syrie
La Russie réduira sans aucun doute le nombre de ses militaires opérant en Syrie, tout en maintenant les deux aérodromes à Lattaquié et à Hmeimim et un centre logistique des forces navales sur le port de Tartous.
Le site d’actualité russe Gazeta.ru a écrit ce mardi 28 novembre que la Russie commencera certainement à réduire le nombre de ses militaires opérant actuellement en Syrie, d’ici la fin de l’année en cours, sans toutefois préciser le nombre exact des militaires qui se retireront du territoire syrien.
« La Russie maintiendra ses deux aérodromes à Lattaquié et à Hmeimim et son centre logistique naval à Tartous. Le général Valéri Guérassimov, chef d’état-major des forces armées russes, a annoncé, il y a quelques jours, le retrait massif des contingents russes du territoire syrien d’ici la fin 2017. Selon le général Guérassimov, la décision a été déjà prise mais les détails devraient encore être débattus. Il a ajouté que la Russie maintiendrait des structures nécessaires à assurer la paix et la stabilité en Syrie.
Le ministère russe de la Défense affirme que des contingents russes, appuyés par les forces de la défense anti-aérienne, ont utilisé des systèmes de défense anti-aériens S-300 et S-400 afin de mettre sur pied un système de défense anti-aérien unifié et sûr qui sera capable d’assurer la sécurité des installations militaires en Syrie. C’est bien ces même S-300 et S-400 russes qui ont garanti la sécurité du gouvernement Assad et qui ont empêché les pays occidentaux d’appliquer le même scénario qu’ils avaient appliqué en Libye. Selon les experts militaires, la Russie pourrait optimiser le centre naval de Tartous et maintenir ses conseillers militaires et une partie de ses forces aérospatiales. »
La semaine dernière, le quotidien américain The Washington Post s’est référé à ses sources pour révéler le projet du Pentagone de maintenir sa présence militaire dans le nord de la Syrie.
À noter que la Russie a acheminé ses contingents en Syrie à la demande du gouvernement syrien pour l’aider à lutter contre les terroristes alors que la présence militaire américaine est illégitime et illégale aux yeux des autorités syriennes et du droit international.
Lutte antiterroriste : Macron compte sur l’Iran, le Qatar et la Turquie
En visite au Burkina Faso le président français, Emmanuel Macron, a annoncé ce mardi 28 novembre vouloir frapper les passeurs qui exploitent les migrants en Libye et a dénoncé les « crimes incontestables » de la colonisation européenne, entamant sa première tournée africaine dans une atmosphère tendue après une attaque contre des soldats français et des manifestations dans la capitale burkinabée.
Macron a réitéré sa volonté d’aider à la constitution d’une force multinationale pour lutter contre les groupes terroristes. Il a demandé à l’Iran, au Qatar et à la Turquie de s’engager fermement dans ce combat.
Lors d’un discours devant 800 étudiants de l’Université de Ouagadougou, Macron a annoncé qu’il allait « proposer une initiative euro-africaine » pour « frapper les organisations criminelles et les réseaux de passeurs » qui exploitent les migrants subsahariens en Libye. Il a également annoncé « un soutien massif à l’évacuation des personnes en danger » en Libye, qualifiant de « crime contre l’humanité » la vente de migrants comme esclaves.
Emmanuel Macron entend convaincre une jeunesse africaine de plus en plus hostile à la présence française sur le continent, sur fond de menace terroriste persistante au Sahel, que les troupes françaises installées dans la région ont du mal à combattre, et d’un flux migratoire croissant que l’Europe veut endiguer.
Rohingyas: Suu Kyi perd une autres distinction
"Aujourd'hui, nous avons pris la décision sans précédent de lui retirer la plus grand distinction de la ville en raison de son inaction devant l'oppression de la minorité rohingya", ajoute le texte, publié après cette décision votée lundi soir à l'unanimité.
Fin septembre, la prestigieuse université d'Oxford avait elle décidé de retirer de ses murs un portrait d'Aung San Suu Kyi, ancienne étudiante de l'établissement.
la dirigeante birmane, prix Nobel de la paix, est très critiquée pour son peu d'empathie envers la minorité musulmane rohingya, considérée comme une des plus persécutées du monde, et victime, selon l'ONU, d'un "nettoyage ethnique".
Quelque 900.000 Rohingyas de Birmanie sont entassés dans le plus grand camp de réfugiés de la planète, dans le sud du Bangladesh. Environ 620.000 d'entre eux ont fui depuis fin août leurs villages de l'Etat Rakhine (ouest de la Birmanie) pour échapper à des violences de la part des militaires de la Birmanie.
Irak: l'archevêque d'Erbil veut l'accélération du retour des chrétiens
Daech avait fait massivement fuir ces dernières années les membres de l'une des plus anciennes communautés chrétiennes au monde.
Bashar Warda "espère" que 2018 sera l'année du retour des déplacés dans leur foyer. "Le plus tôt sera le mieux", a-t-il affirmé, soulignant que le mouvement a déjà commencé au fur et à mesure que les insurgés étaient chassés de Mossoul et d'autres territoires.
Mais, outre la reconstruction qui prendra du temps, d'autres obstacles subsistent.
Dans certains quartiers de Mossoul, a-t-il expliqué, "des chrétiens ont fait part de leurs inquiétudes au sujet de la sécurité". "On a battu Daech militairement mais son idéologie est encore là", il faut "changer les mentalités", a fait valoir l'homme d'Eglise.
L’attaque contre la mosquée égyptienne est une réaction des groupes takfiristes
Les chiites s'endorment pour le martyre de l'imam Hasan al-Askari (P)
Aujourd'hui, lundi, coïncidant avec le huitième jour du mois de Rabi al-Awwal (troisième du calendrier lunaire), les musulmans chiites portent le deuil du complot qui a fait de l'imam Hasan al-Askari un martyr en l'an 260 du hadj lunaire. (874 après JC).
Pour cette raison, des millions de croyants fidèles se rendent aux mosquées pour assister aux cérémonies de deuil du douloureux martyre de ce grand guide des musulmans - le fils de l'Imam Hadi (P) - alors qu'il n'avait que 29 ans.
L'imam Hasan al-Askari a été responsable de six ans de la responsabilité de diriger la communauté islamique sous la grande répression du califat abbasside, se consacrant à protéger et à préserver les préceptes de l'Islam, ainsi qu'à lutter contre les sectes qui déformaient les préceptes de ce bienheureux. religion
Malheureusement, il a été empoisonné dans une prison du calife après avoir fait face à de nombreuses difficultés et limitations que les califes abbassides ont imposées à son travail. Après sa mort, la sagesse divine a déterminé que son fils et douzième confié, Imam Mahdi, se cacher et rester absent jusqu'à ce que le peuple soit prêt pour sa présence.
Imam al-Hasan al-'Askarî (a)
La dissuasion nucléaire empêche l’attaque américaine (Pyongyang)
Pour le vice-président de l’Assemblée suprême populaire nord-coréenne, Ri Jong Hyeok, les armes nucléaires de Pyongyang sont nécessaires pour préserver la sécurité et la stabilité dans la péninsule coréenne, a rapporté l’agence sud-coréenne Yonhap.
S’exprimant à l’occasion d’une séance parlementaire, cette haute autorité nord-coréenne a déclaré que le programme de défense nucléaire de son pays est une sorte de garantie face aux menaces américaines avant de qualifier de « force dissuasive » les armes nucléaires de Pyongyang.
« L’armement nucléaire nord-coréen, est une force dissuasive contre le chantage et la menace nucléaire américaine, et ne visent que les États-Unis. Les autres pays ne doivent pas se sentir menacés. » a-t-il insisté.
En déplacement en Turquie, Ri Jong Hyeok, avait déclaré que « les armements nucléaires nord-coréens ont mis fin à la domination américaine dans la région de l'Asie-Pacifique ».

Ri Jong Hyeok ajoute que le peuple nord-coréen croit fermement que ses armes nucléaires sont la seule force dissuasive contre le chantage américain et qui peuvent rééquilibrer les rapports de force dans la région.
« En cas de guerre avec les États-Unis, si d’autres pays ne se rallient pas à Washington contre la Corée du Nord, il n’y aura aucune menace de la part de Pyongyang contre eux », a-t-il assuré.

Pour le vice-président de l’Assemblée suprême populaire nord-coréenne, les politiques américaines sur fond de menace, d’intimidation et de sanctions économiques peuvent être déclencheurs d’une guerre atomique.
« Mais la Corée du Nord saura faire face aux Américains grâce à sa force dissuasive nucléaire. Elle est prête au combat, c’est promis ! » a-t-il conclu.