تقي زاده

تقي زاده

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) appelle la Russie à retirer immédiatement ses troupes et son personnel de la centrale nucléaire de Zaporizhzhya et à cesser toute action.

Dans la soirée du jeudi 18 novembre, le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique a adopté une nouvelle résolution appelant la Russie à se retirer de la centrale nucléaire de Zaporizhzhya en Ukraine et à stopper ses actions contre les sites nucléaires, ont affirmé les sources diplomatiques.

Le Conseil des gouverneurs de l’AIEA a exprimé sa vive préoccupation par rapport aux interruptions répétées de l'alimentation électrique externe de l'installation après des tirs d'artillerie dans les environs. D’ailleurs, la résolution s'est abstenue d’évoquer la question de savoir qui commettait ces attaques.

L'organisation a également attiré l'attention sur ce qu’elle appelle « les pressions exercées par la Russie sur le personnel opérationnel ukrainien de la centrale nucléaire de Zaporizhzhya », sans toutefois fournir de preuves concrètes à cet égard.

 

Sur fond de la hausse des prix à la consommation en Europe et en Amérique du Nord, les grèves et les manifestations se poursuivent en France, en Italie. Réclamant une augmentation des salaires, les grévistes contestent entre autres les décisions de leurs gouvernements. Au Québec, les professionnels de l’Institut national de santé publique vont débrayer les 28, 29 et 30 novembre.

En France, une grève des soignants a débuté jeudi 17 novembre au centre hospitalier privé de Saint-Grégoire, au nord de Rennes. Les discussions avec la direction n’ont pas abouti. Le préavis dure jusqu’à ce vendredi.

Les salariés s’inquiètent d’une réorganisation de leurs services. Les syndicats dénoncent une situation qui entraînerait moins de personnels auprès des patients. Ils réclament également des hausses de salaire.

Les discussions avec la direction ont duré plusieurs heures l’après-midi, mais n’ont pas abouti. La direction a proposé de reculer d’un mois la réorganisation, un temps considéré comme insuffisant par les représentants du personnel. Une prime de 150 € brute n’a pas été acceptée.

 

Le département du Trésor des États-Unis a annoncé jeudi avoir inclus dans sa liste de sanctions plusieurs sociétés pétrolières et gazières liées à l’Iran.

Le Bureau du contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du département du Trésor des États-Unis a sanctionné, jeudi 17 novembre, 13 entreprises dans plusieurs juridictions facilitant la vente de centaines de millions de dollars de produits pétrochimiques et pétroliers iraniens à des acheteurs en Asie de l’Est au nom de sociétés pétrochimiques iraniennes sanctionnées à savoir, Persian Gulf Petrochemical Industry Commercial et Triliance Petrochemical, ainsi que de la National Iranian Oil Company et de sa branche marketing, Naftiran Intertrade Company.

Les entreprises sanctionnées sont situées aux Émirats arabes unis, à Hong Kong, aux Îles Marshall et en Chine.

Les sanctions qui s’inscrivent dans le cadre du cinquième train de sanctions ciblant le commerce de pétrole et de produits pétrochimiques de l’Iran depuis juin 2022, démontrent, selon les mots du département du Trésor, la détermination des États-Unis à cibler les efforts de contournement des sanctions.

L'Iran a rejeté la résolution soumise par les États-Unis et ses alliés au Conseil des gouverneurs de l'agence nucléaire de l'ONU, affirmant que ses architectes entendent ainsi accroître la pression politique sur la République islamique.

Le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a approuvé jeudi 17 novembre une résolution exigeant la coopération de l’Iran avec l’organisme de surveillance nucléaire des Nations unies.

La résolution appelle l’Iran à coopérer immédiatement avec l’enquête de l’AIEA sur les particules d’uranium trouvées dans trois endroits non déclarés en Iran, rapporte Reuters, citant les diplomates présents à la réunion à huis clos du Conseil des gouverneurs de l’AIEA.

Mikhaïl Ulyanov, représentant de la Russie auprès des organisations internationales basées à Vienne, a annoncé sur son compte Twitter, jeudi, que cette résolution avait été approuvée par le Conseil de 35 membres avec 26 voix pour, 2 voix contre et 5 abstentions.

C’est la deuxième fois que le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique publie une résolution en la matière. La résolution précédente a été approuvée le 18 juin par 30 voix pour, 2 voix contre et 3 abstentions. Ulyanov s’est félicité que le nombre de partisans de la résolution actuelle ait diminué par rapport à la résolution précédente.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré que les ennemis cherchaient à porter préjudice à l’intégrité territoriale et à l’identité de l’Iran en fomentant le terrorisme à l’intérieur du pays, mais ils ont été frustrés par la vigilance la nation iranienne.

« Le régime sioniste, les services de sécurité et certains politiciens de l’Occident, qui ont ourdi des complots pour déclencher une guerre civile en Iran afin de détruire et de désintégrer le pays devraient savoir que l’Iran n’est ni la Libye ni le Soudan », a déclaré Hossein Amir-Abdollahian dans un post sur son compte Twitter.

Il a ajouté que les ennemis ont décidé de porter préjudice à l’intégrité territoriale et à l’identité de l’Iran soulignant que la vigilance du peuple iranien les avait déçus.

 

Alors que la récession sévit au Royaume-Uni, le Premier ministre britannique Rishi Sunak et son ministre des Finances Jeremy Hunt ont dévoilé, jeudi 17 novembre, un budget d’austérité, un ensemble massif de 55 milliards de livres qui repose sur de hausses d’impôts et de réductions de dépense.

Hunt a dévoilé son plan budgétaire qui, selon lui, réduirait la dette publique en pourcentage de la production économique en cinq ans et a resserré un éventail de mesures fiscales.

La chancelière a également confirmé que les mesures sévères étaient nécessaires pour apporter la stabilité financière après les récentes turbulences, soulignant qu’elles atténueraient la récession plutôt que de l’exacerber.

Citant l’Office britannique pour la responsabilité budgétaire, Hunt a en outre déclaré au Parlement que « le Royaume-Uni, comme d’autres pays, est maintenant en récession ».

Les observateurs estiment que le silence international concernant les crimes de l’Arabie saoudite contre les immigrés africains l’encourage à continuer leurs crimes.

Selon des activistes et des médias yéménites, l’Arabie saoudite a commis des crimes partout sans se soucier du droit international, des normes reconnues par la société civile, les Nations unies ou les organisations humanitaires.

Les activistes soulignent que l’argent est ce qui contrôle les Nations unies et que ce qui s’est passé au Yémen a révélé la faiblesse des Nations unies devant l’argent, de sorte que cette instance est devenue subordonnée à celui qui paie plus.

« L’Arabie saoudite a retiré son nom à plusieurs reprises de la liste internationale des crimes, surtout en ce qui concerne les crimes commis au Yémen en versant d’énormes sommes d’argent », a admis l’ancien secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon avant la fin de son mandat.

Des véhicules blindés Amir de fabrication israélienne sont livrés aux forces armées ukrainiennes. Dès que l'un d'eux a été repéré sur la ligne de communication, une vidéo est immédiatement mise en ligne sur Internet montrant sa destruction par le drone kamikaze russe Lancet, selon Sputnik.

Ce véhicule militaire est fabriqué par une petite entreprise GAIA Automotive Industries et est conçu pour effectuer une variété de missions de combat, par exemple, pour effectuer des opérations de reconnaissance et de patrouille. Il peut aussi être utilisé comme véhicule blindé de transport de troupes.

L’adjoint au gouverneur d'Ispahan a annoncé la mort en martyr des deux combattants du Bassij dans le quartier de Khaneh, dans le chef-lieu de la province, mercredi soir 16 novembre.

Mohammad Jan Nessari, l’adjoint au gouverneur d'Ispahan, chargé des affaires politiques, sécuritaires et sociales, a annoncé la mort en martyr des deux combattants du Bassij (les forces volontaires) dans le quartier de Khaneh, au nord-ouest d’Ispahan. 

« Lors des émeutes déclenchées dans certaines régions de la province d'Ispahan mercredi, deux combattants bassiji ont trouvés la mort et deux autres ont été blessés. Des affrontements ont éclaté dans la ville de Semirom où trois personnes ont été tuées », a-t-il expliqué. 

« Malheureusement, lors des émeutes dans le quartier de Khaneh, un motard a tiré sur les forces de sécurité, et deux des combattants volontaires (Bassiji) ont été tués et deux personnes ont été blessées, dont l’une se trouve dans un état critique. » 

Une enquête est en cours et pour l'heure, la sécurité est rétablie dans la province d’Ispahan, a-t-il ajouté. 

Des analystes israéliens croient que Netanyahu et son futur cabinet ne seraient jamais à même de faire cesser la vague d'opérations individuelles des Palestiniens en Cisjordanie. 

Des analystes israéliens estiment que le nouveau cabinet dirigé par le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, ne pourra pas faire face à la vague d'opérations de résistance individuelle en Cisjordanie.

"Le futur cabinet de Netanyahu échouera dans le contrôle des opérations de résistance individuelles en Cisjordanie, puisque l'armée israélienne n'est pas capable de fournir des solutions adéquates", estiment-ils

Yossi Yehoshua, un analyste militaire du journal israélien Yedioth Ahronoth, affirme que "les chances de neutraliser de telles opérations avant qu'elles ne se produisent, sont faibles".