تقي زاده

تقي زاده

Au moins 44 personnes ont été tuées, le vendredi 21 mars, lors d’une attaque terroriste contre une mosquée au Niger.

Le ministre nigérien de l’Intérieur, Mohamed Toumba, a déclaré à la télévision d’État que les éléments du groupe terroriste Daech ont pris d’assaut une mosquée et ont ouvert le feu sur les fidèles dans le village de Fambita dans la région de Kokoro.

Selon le bilan provisoire, l’attaque terroriste a fait au moins 44 morts et 13 blessés, dont quatre sont dans un état critique.

Le ministère nigérien de l’Intérieur a condamné « cette attaque délibérée contre les civils, la qualifiant d’“acte lâche et inhumain” et a promis d’intensifier des efforts pour lutter contre le terrorisme dans la région.

Selon l’agence de presse Reuters, les assaillants ont encerclé la mosquée avant d’ouvrir le feu sur les fidèles. Ils ont, en outre, mis le feu au marché et aux maisons résidentielles au cours de leur repli.

Ce samedi, l’État nigérien a décrété un deuil national de 72 heures et les drapeaux sont mis en berne dans tout le pays.

Le commandant de la marine iranienne, le contre-amiral Shahram Irani, a affirmé que les intimidations et les menaces proférées contre l’Iran ne mèneront nulle part.

« L’ennemi doit savoir qu’il n’obtiendra rien par les menaces et l’intimidation », a déclaré samedi le contre-amiral Irani dans un discours à l’Université des sciences navales de Nowshahr.

« Les forces navales iraniennes ont remporté de grands succès malgré les hauts et les bas pendant l’année écoulée », a-t-il ajouté.

Irani a également souligné que les forces maritimes étaient vigilantes et prêtes à éliminer l’ennemi.

La République islamique d'Iran s’appuie sur les efforts et le savoir-faire nationaux pour réaliser des avancées significatives permettant de renforcer l’autonomie de ses forces armées.

Suite aux directives du Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, les responsables iraniens ont souligné à plusieurs reprises que le pays n’hésiterait pas à renforcer ses capacités militaires, entièrement destinées à des fins défensives et donc jamais négociables.

 

Le président libanais, Joseph Aoun, a dénoncé « les tentatives d’entraîner à nouveau le Liban dans un cycle de violence », à la suite de la mort d’au moins deux civils lors d’une frappe aérienne israélienne sur le sud du Liban, en violation flagrante de l’accord de cessez-le-feu.

Dans un communiqué publié ce samedi 22 mars, M. Aoun a demandé à l’armée de « prendre les mesures nécessaires pour préserver la sécurité des citoyens » et d’ouvrir une enquête sur l’incident.

« Ce qui s’est passé aujourd’hui dans le Sud, et qui se poursuit depuis le 18 février, constitue une agression continue contre le Liban et un coup porté au projet de sauvetage sur lequel les Libanais s’étaient mis d’accord à l’unanimité », a-t-il averti.

Le président libanais a également appelé toutes les forces concernées au sud du Liban, en particulier le comité de surveillance de l’accord de cessez-le-feu, et l’armée libanaise à suivre attentivement l’évolution de la situation avec « le plus grand sérieux afin d’éviter toute répercussion et de mettre un terme à toute violation qui pourrait menacer le pays ».

La Défense civile du Sud-Liban a annoncé que deux personnes avaient été tuées et dix autres blessées lors d’une frappe aérienne israélienne sur la ville de Touline.

Le commandant des forces terrestres de l'armée iranienne, le général de brigade Kiumars Heidari, affirme que ses forces sont vigilantes et prêtes à écraser les ennemis s'ils commettent une erreur.

« Les forces terrestres de l'armée iranienne sont toujours éveillées, vigilantes et prêtes à anéantir les vies honteuses de nos ennemis si ces derniers commettent la moindre erreur », a averti le commandant iranien ce samedi, lors d’une visite des zones frontalières dans l’est du pays.

Selon le général Heidari, il est impératif que les unités militaires iraniennes améliorent constamment leur préparation au combat et leur pouvoir de dissuasion afin d'assurer la sécurité durable de la République islamique d’Iran.

Le commandant en chef a également déclaré que les forces terrestres s'efforcent de maintenir une vigilance maximale, s'appuyant sur des dispositifs de défense et de sécurité de pointe afin de préserver la sécurité des frontières.

Récemment, le président américain Donald Trump a amplifié son discours belliqueux contre l'Iran, avant de prétendre que les États-Unis pourraient soit recourir à l'option militaire contre la République islamique, soit conclure un accord avec elle.

Dans la foulée, lundi, Trump a mis en garde Téhéran contre les conséquences de toute opération yéménite contre Israël.

Cependant, le Leader de la Révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a déclaré vendredi que les menaces américaines contre l'Iran « ne mèneront nulle part ».

Le Leader a affirmé que les Américains « et les autres doivent savoir que s'ils portent atteinte à la nation iranienne, ils recevront une gifle sévère ».

L'ambassadeur d'Iran à l'ONU a rejeté les allégations américaines et israéliennes accusant l’Iran d'activités déstabilisatrices, affirmant qu'elles visaient à protéger Israël et à « maintenir l'impunité pour ses crimes ».

« Ces accusations sont totalement infondées et dénuées de toute crédibilité; elles ne constituent rien d’autre qu’une tentative calculée de détourner l’attention de la communauté internationale de la guerre génocidaire israélienne en cours, des crimes de guerre et des atrocités de masse contre le peuple palestinien à Gaza », a déclaré Amir Saïd Iravani. 

« Ces allégations visent également à occulter la complicité indéniable des États-Unis dans ces crimes et leur soutien indéfectible aux activités déstabilisatrices et malveillantes d’Israël dans toute la région », a-t-il réitéré.

En réaction à une série d'attaques meurtrières menées par le régime israélien contre la population de la bande de Gaza, les Brigades Al-Qassam, branche militaire du Hamas, ont annoncé avoir visé la ville occupée d'Ashkelon avec un barrage de roquettes.

Selon la chaîne d'information arabe Al-Mayadeen, des sirènes d'alerte ont retenti le vendredi 21 mars à Ashkelon, marquant le début d'un deuxième jour de tir de roquettes depuis Gaza vers les territoires occupés.

Des sources fiables ont confirmé que deux roquettes avaient été lancées depuis le nord de la bande de Gaza en direction de la ville occupée d’Ashkelon.

Du côté israélien, des alertes ont également été signalées, annonçant de nouvelles frappes aériennes, ce qui sème la peur et l’horreur parmi les colons israéliens.

L’Observatoire syrien des droits de l’homme basé au Royaume-Uni (OSDH) a indiqué dans un rapport que les éléments armés affiliés à Hayat Tahrir al-Cham (HTC), régime au pouvoir en Syrie, ont tué 72 personnes dans le pays en proie au conflit, au cours de ces dernières 24 heures.

Dans les provinces de Tartous et de Lattaquié, 58 personnes ont été tuées par des groupes armés et des factions militaires affiliés à HTC, selon l'OSDH.

Le rapport précise que les quatorze autres assassinats ont eu lieu dans les provinces d'Alep, de Deraa, de Deir ez-Zor, de Damas et de Homs. 

 

Le ministère palestinien de la Santé a fermement condamné le « crime odieux » commis par les forces israéliennes suite à la destruction de l'hôpital d’amitié turco-palestinien, le seul établissement de Gaza dédié au traitement du cancer. 

Dans un communiqué publié vendredi, le ministère a critiqué les forces israéliennes pour avoir délibérément ciblé l'hôpital, situé près du couloir de Netzarim, une zone récemment réoccupée par l'armée israélienne.

Le ministère a ajouté que lors des précédentes offensives israéliennes dans la région, l'hôpital avait été transformé en base militaire de l'armée du régime.

Le ministère a déclaré que le « comportement criminel » d’Israël reflète un effort systématique visant à démanteler le système de santé déjà fragile de Gaza.

L'hôpital a soigné des milliers de patients atteints de cancer qui risquent désormais d'être privés d'accès aux traitements, tant à Gaza qu'à l'étranger, en raison du blocus israélien en cours.

 

Dans la foulée de l'escalade militaire entre la Syrie et Israël, le régime d'occupation sioniste a procédé à de nouvelles agressions contre le sud syrien.

Un convoi militaire israélien a avancé ce vendredi 21 mars de Tal al-Ahmar al-Gharbi vers le village d'al-Asha, situé dans la campagne sud de Quneitra.

Des sources syriennes rapportent en même temps des frappes aériennes israéliennes sur l'aéroport militaire de Palmyre, dans la province de Homs.

La dernière offensive israélienne intervient quelques jours après d'intenses frappes menées lundi soir par l’aviation israélienne sur des zones à l'ouest de Deraa, dans le sud de la Syrie, qui ont tué au moins trois civils et blessé 19 autres.

 

À l'occasion du martyre d'imam Ali, le 21 Ramadan voici une courte récit de son martyre.


Au dix-neuvième jour du mois béni de Ramadan de l'an 40 AH, Imam Ali, Amir Al Mou'minine, Le prince des Croyants a été frappé, à son insu, à la mosquée de Kûfa(Iraq) à l’aube, pendant la prière de Fajr, par un kharijite, à savoir Abdurrahmân Ibn Muljim.

Ce soir-là, la veille de 19 du mois de Ramadan, Il fut l'invité de sa fille Sayeda Zeynab ( ps). Elle avait dressé une table composée du pain d'orge, du sel et du lait pour son Père.

Lorsqu'il s'installa près de la table il dit : « Quand as tu déjà vu ton père manger deux nourritures différentes sur une table ? »

Elle voulu retirer le sel pour qu'il rompe le jeûne avec du pain d'orge et du lait. Il lui ordonna plutôt d'enlever le lait.

Il rompit le jeûne avec du pain sec et du sel. Pourquoi ?

Parce qu'il ne fallait pas qu'au Hedjaz et Yamamah, il se trouve quelqu'un dont sa nappe soit plus pauvre que celui d'Ali (Le Calife des terres islamique).

Quand il arriva à la Mosquée de Kouffa pour ses prières du matin, il réveilla tous ceux qui dormaient là, Abdul Rahmane bin Mouljam inclus, qui dormait à plat ventre, cachant son sabre empoisonné.

L'Imam lui dit qu’il était mauvais de dormir face à terre alors qu’il avait un sabre sous ses vêtements qu’il allait l’utiliser pour de mauvaises intentions.

Puis, l'Imam Ali fit le Azane (Appel à la prière) et se mit à conduire la prière. À la 1ere rakaat, alors qu’il se relevait de la prosternation, il a été frappé sur la tête avec le sabre empoisonné par ibn Mouljam, qui causa une profonde blessure.

Dans la confusion, ibn Mouljam s’est enfui. L'Imam a fini son second soujoud (prosternation) et fait signe à son fils L'Imam Hassan de terminer la prière. Il prononça les mots " Fouztou birabbil Kaaba" ( Je jure sur Le Seigneur de la Kaaba qu’il m’a couronné de salut (j'ai réussi))! 

Le meurtrier fut attrapé et emmené devant l'Imam Ali. Quand L'Imam vit les cordes attachant ibn Mouljam trop serrées, il ordonna qu’elles soient rendues moins serrées et dit à ses compagnons de le traiter humainement. En entendant cela, ibn Mouljam se mit à pleurer ; l'Imam lui dit: "Il est trop tard pour se repentir. Est-ce que j’étais un mauvais Imam ou un gouverneur injuste?"
Il ordonna qu’ibn Mouljim ne soit pas torturé.

L'Imam fut emmené chez lui et quand il vit la lumière du jour il dit :" Ô jour ! Tu pourras témoigner que jamais de la vie de Ali, tu ne m’as trouvé endormi alors que tu te levais".

L'Imam Ali ( as) mourut deux jours plus tard le 21 du mois de Ramadan 40 Ap.H, succombant à sa blessure. Il fut inhumé à Najaf en Iraq, par l'Imam al-Hassan (as) et l'Imam al-Hussein (as).

Ainsi fut l’Imam des croyants, le cousin, le gendre et le frère du Prophète(Le Messager d'Allah sawas, l'avait choisi comme son frère), celui pour lequel Dieu révéla l’union de son âme à celle du Prophète (psl) :

« A ceux qui te contredisent à son propos, maintenant que tu en es bien informé, tu n'as qu'à dire : "Venez, appelons nos fils et les vôtres, nos femmes et les vôtres, nos propres personnes (Anfosana) et les vôtres, puis proférons exécration réciproque en appelant la malédiction d'Allah sur les menteurs ».(Sourate 3, verset 61).