تقي زاده

تقي زاده

Netanyahu et les dirigeants de certains pays arabes du sud du golfe Persiques’opposent un accord nucléaire entre les 5+1 et l’Iran, quel que soit son contenu. 
A moins de vingt jours au délai du 24 novembre pour un accord nucléaire entre l’Iran et les 5+1, Robert Hunter, ancien diplomate américain qui était autrefois représentant de Washington auprès de l’OTAN et responsable des affaires du Moyen-Orient et de l’Europe occidentale au Conseil de la sécurité nationale des Etats-Unis, a écrit que si les six puissances et l’Iran n’arrivent pas à un accord global sur le programme nucléaire iranien avant le 24 novembre, il est possible qu’ils prolongent les pourparlers au-delà de cette date au lieu d’abandonner les discussions. « J’ai travaillé pendant plus de trente ans dans le domaine des évolutions politiques du Moyen-Orient, et j’ai appris que la réussite de ces négociations dépendent, en grande partie, du fait que les dirigeants israéliens cessent de croire que pour bénéficier du soutien de Washington, il faut qu’il y ait un ennemi commun pour les Etats-Uis et Israël », a-t-il déclaré.

Selon lui, les négociations nucléaires entre l’Iran et les 5+1 ont des enjeux très importants : écarter l’option d’une confrontation militaire en raison du dossier nucléaire de l’Iran, mettre fin aux inquiétudes des Israéliens concernant une éventuelle attaque nucléaire iranienne. En outre, il croit que la réussite des pourparlers nucléaires rapprochera l’Iran de la communauté internationale. Selon Robert Hunter, si l’équipe de la sécurité nationale du président Barack Obama réussissait à arriver à un bon accord nucléaire avec l’Iran, cela renforcera en même temps la sécurité nationale des Etats-Unis et du régime israélien. Mais selon cet ancien diplomate américain, le régime sioniste et les pays arabes du sud du golfe Persique ont des points de vue différents, notamment en ce qui concerne l’Arabie saoudite. Les dirigeants de ces pays arabes veulent que l’Iran reste éternellement isolé du monde extérieur. La propagation des pensées révolutionnaires de l’Iran dans la région soulèvent sérieusement une question importante sur la position et la puissance régionales de Téhéran. Comment ces pays arabes pourront-ils rivaliser la puissance iranienne si Téhéran voulait vraiment entrer dans la logique des rivalités régionales ?

La réponse du Premier ministre du régime sioniste à cette question est simple et claire : D’après Benyamin Netanyahu, il faut se passer de tout accord nucléaire avec l’Iran, même si cet accord assurerait, en partie, la sécurité des autres. L’Arabie saoudite et les autres partenaires silencieux de Netanyahu sont parfaitement d’accord avec le Premier ministre israélien. Dans ce sens, le régime sionistes et les pétromonarchies du sud du golfe Persique espèrent que le congrès américain soutienne leur position anti-iranienne en entravant le processus de la conclusion d’un accord nucléaire éventuel avec la République islamique d’Iran. En outre, Tel-Aviv fait tout pour empêcher l’allégement des sanctions imposées à Téhéran. Cependant en dépit de l’influence des lobbies pro-israéliens sur les congressistes américains, le président Barack Obama dispose d’une liberté d’action assez importante dans ce domaine.

Cependant, il faut dire que les Etats-Unis ne disent pas le dernier mot en ce qui concerne la levée des sanctions contre l’Iran, car dès la conclusion d’un accord éventuel avec Téhéran, les portes s’ouvriront sur les investisseurs et les hommes d’affaires qui attendent l’autorisation des autorités politiques pour reprendre leurs activités économiques et commerciales en Iran. Ce sont surtout les hommes d’affaires européens qui attendent ce moment, tandis que le secteur privé américain soutient à son tour la levée des sanctions qui les interdisent d’entrer sur le marché iranien. Il est certain que ce processus changera beaucoup l’opinion de la communauté internationale sur l’Iran. Pourtant, il faut admettre qu’un accord nucléaire avec l’Iran ne mettra pas définitivement fin aux inquiétudes des dirigeants américains. Si l’Iran et les Etats-Unis ont des points de vue qui les rapprochent l’un de l’autre à propos de la stabilité de l’Afghanistan ou la lutte contre les terroristes extrémistes de Daech, ils ont des positions radicalement opposés au sujet de la Syrie et le Hezbollah libanais. En outre le président des Etats-Unis Barack Obama doit rassurer le plus vite possible le régime israélien et les gouvernements arabes du sud du golfe Persique quant à leur sécurité. Si le monde était rassuré que l’Iran ne cherche pas à se doter de l’arme atomique, tout le monde comprendra que la très grande quantité d’armements que les pays arabes du sud du golfe Persique ont achetés aux Etats-Unis n’ont aucune utilité. Ce qui inquiète particulièrement ces pays c’est le dynamisme économique intérieur de l’Iran. De ce point de vue, aucun pays de la région ne peut rivaliser l’Iran. En outre, le pays a un très grand potentiel pour exporter sa culture au-delà du monde chiite.

La dépendance que les Israéliens ressentent par rapport aux Etats-Uins remonte à il y a plusieurs décennies. En 1979, quand l’Egypte et Israël ont signé l’accord de paix de Camp David, tout le monde a compris que l’éventualité d’une guerre éclair de la part des Arabes contre le gouvernement israélien était exclue pour toujours. C’est là que les Israéliens se sont inquiétés quant à l’avenir de leurs liens stratégiques avec les Etats-Unis. Dans ce sens, les Etats-Unis ont essayé de trouver une alternative au danger arabe pour renforcer leurs relations stratégiques avec Washington. Les Israéliens ne veulent pas que les Etats-Unis soutiennent Tel-Aviv et s’engagent à assurer la sécurité des Israéliens uniquement pour les questions culturelles, l’Holocauste, la religion ou les valeurs démocratiques. Les Israéliens souhaitent que le soutien à Israël devienne un principe de la stratégie militaire et défensive des Etats-Unis. Selon cette logique, les Etats-Unis et Israël doivent avoir les intérêts nationaux similaires.

Robert Hunter écrit : « Après l’accord de paix de Camp David en 1979, quand les forces de l’armée israélienne se sont retirées du Sinaï, une réunion stratégique entre les responsables américains et israéliens a été annulées. Le Premier ministre israélien a vivement protesté auprès du secrétaire d’Etat américain. A cette époque-là, j’accompagné le secrétaire d’Etat lors de sa visite en Israël. Il m’a demandé de trouver la raison de la colère des Israéliens. J’ai compris que le Premier ministre israélien était furieux car le Pentagone n’avait pas accueilli convenablement les officiers de l’armée israélienne à Washington. Après la conclusion de la paix entre Israël et l’Egypte. Les Israéliens sentaient qu’il fallait qu’il y ait un ennemi commun pour Tel-Aviv et Washington. Ils ont trouvé cet ennemi commun en la personne de Saddam Hussein, ancien dictateur de Bagdad. C’est pourquoi quand les Etats-Unis ont renversé le régime de Saddam Hussein en 2003, les Israéliens exprimé un double sentiment de joie et de regret ; car la chute de Saddam Hussein les privait de l’élément qui devaient rapprocher les intérêts américains et israéliens. Plus tard, les dirigeants israéliens ont décidé que cet ennemi commun pour les Etats-Unis et le régime de Tel-Aviv doit être cherché dans le programme nucléaire de la République islamique d’Iran.

Robert Hunter ajoute que pour des raisons politiques, Israël prétend toujours que son existence est un bien stratégique pour les Etats-Unis. Les Américains sont constamment préoccupés par les réactions et les comportements particuliers des dirigeants israéliens, mais ils évitent de le dire ouvertement car ils savent que cela vexera psychologiquement les Israéliens qui ont besoin de sentir qu’ils sont importants pour les Etats-Unis. Selon cette logique, si le président des Etats-Unis Barack Obama arrive à conclure un accord nucléaire global avec l’Iran, il se sentira obligé de donner quelques concessions aux Israéliens aussi : la vente de plus d’armements aux israéliens, des consultations régulières avec les autorités de Tel-Aviv à propos des questions régionales, et de donner une marge de manœuvre plus large à Benyamin Netanyahu au sujet de la bande de Gaza et l’avenir de la question palestinienne.

le journal israélien citant un responsable sécuritaire affirme :  " l'intifa a déjà commnecé et nous sommes en phase de prendre des mesures préventives et notre objectif consiste à calmer autant que faire se peut la situation" " la situation sécuritaire va de pire en pire et on s'attend à un pic vers le week end, dit ce responsable sécuritaire


"' sur le terrain le train urbain reliant Jafaat à Hathamousht traverse les stations Basqat zif et la mairie sans qu'un seul israélien se trouve à son bord, ce qui montre à quel point les colons ont peur d'avoir à revivre une nouvelle attaque similiaire à celle du mercredi. apès plusieurs tentative d'écrasement de colons par voiture, on peut très bien s'apercevoir qu'il y a quelques chose de changé: et bien l'intifada est là "jeudi de très violents combats ont eu lieu dans la garre à Naplouse . un gardien qui voulait fouiller un jeune palestinien a déclenché des heurts entre palestiniens et policiers.

samedi, 08 novembre 2014 01:00

Kobani : la nouvelle stratégie d'Erdogan?

Un haut commandant du PKK estime qu’après la défaite de Daech devant les portes de Kobani, la Turquie attend que la ville s’effondre de l’intérieur.

Selon le quotidien Al-Charq al-Awsat, le numéro deux du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), Cemil Bayik a déclaré que l’objectif d’Ankara est de faire réalisé sa proposition concernant l’envoi des forces de la soi-disant Armée syrienne libre (ASL, opposition) à Kobani, pour que la ville qui a longtemps résisté aux terroristes de Daech s’effondre de l’intérieur. Cemil Bayik a déclaré : « Les hommes de l’ASL étaient déjà présents à Kobani pour faire la guerre contre les Kurdes, mais le président turc Recep Tayyip Etrdogan veut envoyer à Kobani d’autres unités de l’ASL qui ont des relations très proches avec l’armée turque, pour que ces forces réalisent les politiques d’Ankara dans cette région kurde de la Syrie. Néanmoins, aujourd’hui tout le monde connaît le jeu des Turcs. »

Le numéro 2 du PKK a ajouté que la Turquie a ses propres éléments tant parmi les membres de Daech que de l’ASL. Il estime que le gouvernement d’Ankara entre dans un jeu très dangereux, mais n’obtiendra aucun succès, car la résistance des Kurdes à Kobani a trouvé une dimension internationale et le jeu de la Turquie ne pourra pas la faire briser. Il a estimé que la Turquie soutient les terroristes de Daaech plus que les pays comme la Jordanie, l’Arabie saoudite ou le Qatar. D’après Cemil Bayik, il est vrai que l’Arabie saoudite et le Qatar soutiennent financièrement les terroristes de Daech, et que la Jordanie leur offrent une aide politique, mais la Turquie les derrière les terroristes de Daech et leur offrent tous ses moyens politiques, militaires et financiers.

Par ailleurs, le journal turc Hurriet a écrit que le Moyen-Orient est aujourd’hui le théâtre de l’application d’un plan qui déterminera le sort des millions d’habitants de la région pour plusieurs décennies, et il est possible que dans ce processus certains Etats de la région soient effacés de la carte en tant qu’entité étatique. D’après le journal turc, si la Turquie avait été membre à par entière de l’Union européenne, elle aurait devenue un allié stratégique réelle de l’Europe et des Etats-Unis, mais ce n’en est pas le cas aujourd’hui. Par conséquent, la position adoptée par les Etats-Unis quant aux événements de Kobani montre que les Etats-Unis souhaitent des changements au niveau du leadership politique de la région, et que la Turquie pourrait faire partie des changements souhaités par la maison Blanche.

Le 12 du mois de Muharram, coïncide avec l'anniversaire de la mort en martyre d'Ali Ibn Hossein nommé Zayn al-Abidine (la perle des dévots) et As-sajjad, 4ème Imam des Chiites du monde. Né, en l'an 38 de l'Hégire lunaire, l'Imam Zein-ol Abedin tomba en martyr, le 12 du mois de Muharram de l'an 95 de l'Hégire lunaire (VIIe siècle de l'ère chrétienne). HAJIJ  tient à présenter, à l'occasion de ce triste événement, ses condoléances à tous les Musulmans, notamment, les Chiites et les hommes épris de liberté.

 

Les lois et les commandements de l’islam viennent de Dieu, le savant est le sage, et ces lois peuvent résoudre tous les problèmes de l’homme à condition que tous les membres de la société appliquent tous ces commandements. Bien que le mariage des jeunes aujourd’hui dans la société se retrouve confronté à plusieurs problèmes, il est sûr qu’on peut trouver une solution pourvu que la fille, le garçon et leurs familles respectives appliquent les commandements de l’islam, réduire leur désir, leur attente et tous les autres protocoles inutiles qu’ils avec lequel ils ont entouré le mariage. Alors, en se confiant à Dieu, il faut qu’il se prépare à résoudre les éventuels problèmes.
L’islam est un ensemble de lois, de dispositions et de commandements pour guider l’homme et lui permettre d’atteindre le bonheur ici-bas et dans l’au-delà. Etant donné que Dieu est savant et sage, il a décrété cet ensemble de lois. Et une chose est sûre, il parait complet exhaustif et peut résoudre tous les problèmes de l’homme ; à condition que tous les membres de la société mettent en application tous les commandements divins. Il faut surtout garder à l’esprit que l’application de n’importe quelle loi présente des problèmes et des restrictions propres à cette loi. Alors, si on ne peut accepter cela et se débrouiller pour trouver une solution, on ne peut pas profiter de cette loi. Si vous vous rendez compte que dans la société islamique les gens sont confrontés aux problèmes dans leur vie, c’est parce qu’ils n’appliquent pas entièrement les commandements de l’Islam. Ou alors, nous considérons de manière individuelle notre profit et notre perte. Et nous ne considérons l’islam que lorsque cela peut nous procurer un quelconque avantage. Raison pour laquelle nous ne parvenons pas à un résultat convenable. Dieu a montré la voie pour gagner de manière licite les richesses et le pain quotidien. Il a prévu des dispositions et des commandements allant dans ce sens. Mais cela ne produit un résultat que si toutes les personnes appliquent ces lois. Mais si une personne fournit les efforts et les autres croisent gentillement les bras sans rien faire espérant profiter des fruits de labeurs des autres ou s’accaparer de ces biens, il ne lui restera plus rien.
Ainsi, le problème du mariage des jeunes peuvent trouver des réponses à travers ces dispositions et ces commandements de l’islam, à condition que la fille, le garçon et leurs familles respectives appliquent les commandements de l’islam et réduisent sérieusement leurs attentes, leur espérance ainsi que tout le protocole inutile avec lequel ils ont entouré le mariage. Qu’ils ferment les yeux sur les coutumes inutiles.
Aujourd’hui, les femmes et les filles prêtes à se marier à un homme saint et bien sont nombreuses dans toutes les sociétés. Cependant, il faut savoir que dans beaucoup de cas, on commence la vie avec des manques, des difficultés et diverses autres peines. Est-ce que vous vous attendez à ce que l’islam frappe à votre porte ? Vous donne la femme que vous désirez, accompagnée d’une maison, d’une voiture…Ce serait une attente stupide. Connaitre les gens qui sont prêts à se marier à sa méthode et demander la main d’une fille a également la main d’une fille à sa voie particulière qu’il faut emprunter et il faut réduire le degré d’attente et d’espérances. Il faut fournir sérieusement des efforts pour atteindre ce qu’on désire. En islam, la vie est fondée sur les efforts et les travails. C’est avec le travail et les efforts que l’homme éprouve la joie de vivre et comprennent les bienfaits de la vie.
Si chaque fille et garçon voulant se marier étaient prêts à affronter les problèmes et se battre devant les difficultés, fournir des efforts pour s’unir par les liens du mariage avec une famille au niveau financier plus bas que la sienne sans aucune autre attente, aurons-nous toujours des problèmes de mariage dans la société ? Si les gens aisés utilisent une partie de leurs biens pour aider les nécessiteux à se marier, aurons-nous toujours les problèmes ?
Ainsi, il n’y a aucun doute que l’islam a prévu les voies pour parvenir à l’objectif. Cependant, il faut une bonne volonté et de sérieux efforts. Peut-être certaines voies de résolution de problèmes peut paraitre en forme avec nos (les hommes) goûts. Cependant, cela parait interdit auprès de Dieu. Et cela parce que Dieu connait parfaitement ce qui est mieux et ce qui est mauvais pour nous. Et si cela est interdit, c’est parce que Dieu connait les méfaits et les préjudices personnelles et sociales que cela pourra apporter à long terme. Si nous croyons sincèrement au fait que Dieu est clément et sage, qu’il est mieux informé que nous et qu’il ne profite ou ne perd rien si nous appliquons ou pas les commandements islamiques, et si nous croyons que lorsque Dieu veut quelque chose de nous, il le rend obligatoire pour notre intérêt, si nous le voyons nous interdire quelque chose, c’est parce que cela est mauvais pour nous. Alors, nous prendrons à bras le corps les difficultés de l’application de ces commandements et nous mettrons de côté les désirs et les passions qui sont contradictoires avec les lois de Dieu. En ce qui concerne votre mariage, bien qu’il soit possible que le début du chemin soit parsemé de difficultés, sachez que Dieu a promis d’apporter son assistance : « trouvez des épouses aux hommes et des époux aux femmes parmi vous qui sont célibataires. Et de même, les serviteurs et les servantes pieuses et croyantes s’ils sont pauvres et démunis, Dieu va pourvoir à leur besoin de par sa grâce. Dieu apporte les vertus et il sait tout »[1]
De toutes les manières, l’islam a une solution à tous les problèmes et il nous a montré comment parvenir à destination. Cependant, préparer la voie et écarter les problèmes ainsi que les obstacles nous incombent. Nous voyons par exemple les prophètes et les imams. Se retrouver dans leur vie confrontés à diverses difficultés personnelles et sociales. Cependant, ils ne fuient pas ces problèmes. Ou n’attendent pas les bras croisés pour qu’une force occulte vienne tout résoudre. Le coran leurs exhorte à la patience et l’endurance dans la voie menant vers leurs objectifs. Vous devrez savoir qu’il existe des personnes qui ont connu des problèmes plus complexes que les vôtres. Cependant, avec les efforts et la résistance face aux difficultés et aux peines, ils ont réussi à se frayer du chemin pour atteindre le sommet. Si quelqu’un fournit des efforts et se montre pieux, une chose est sûre, il recevra l’assistance divine.[2]
Retenez surtout que le caractère exhaustif et complet de l’islam ne signifie pas que la raison n’a plus son objet et que c’est l’islam qui tient le dernier mot pour résoudre les problèmes. Non, ce genre de problèmes est confié aux soins de la raison. Pour en savoir plus, consultez théorie de la pensée écrite, numéro de la question 900, site 988, et également la question 17, site 217.
RÉFÉRENCES :

[1] - Sourate Nour: 33.
[2] - Sourate Talaq: 2.

L’Imam Sajjãd (AS) et les membres de la famille prophétique, après la tragédie de Karbalã, furent transportés à Sham (Damas). C’est là qu’il dénonça de façon complète, avec Hazrat Zaynab (AS), la corruption du régime des Omeyyades et montra la juste voie de l’Imam Hussayn (AS) assassiné à Karbalã et la voie du salut.
Sur tout le parcours qui les conduisait de Karbalã à Sham, l’Imam Sajjãd (AS) expliquait les raisons du soulèvement de l’Imam Hussayn (AS). Les discours d’Hazrat Zaynab (AS) et de Fatima Soqra, sous la direction de l’Imam Sajjãd (AS), eurent aussi une grande influence.

L’Imam Sajjãd (AS) profitait de chaque occasion pour faire revivre ces évènements tragiques et rappelait le souvenir de son père quand il buvait de l’eau, il pleurait quand il voyait les enfants d’Abal Fazl (AS). Quand on voulait tuer un mouton, il demandait si on lui avait donné à boire et ajoutait que son père avait été tué sans qu’on eût étanché sa soif. Ces rappels de ce qui s’était passé le jour d’Ashourã, étaient une manière de garder vivant dans les mémoires, le souvenir de ce soulèvement divin.
Le premier jour du mois de Safãr de l’année 61 de l’Hégire, les membres de la famille prophétique (AS) sont arrivés dans la ville de Cham qui subissait depuis quarante ans, une vaste propagande contre l’Imam Ali (AS). Mo’ãvia avait acheté certains prédicateurs qui insultaient et dénigraient l’Imam Ali (AS) du haut de leur chaire. Les habitants de Cham qui n’avaient pas vu le prophète (AS) connaissaient l’islam par le biais de Mo’ãvia. Ils considéraient les Omeyyades comme les descendants du prophète (AS) et s’imaginaient qu’un «étranger» à la religion s’était soulevé contre Yazid qu’ils appelaient l’émir des croyants, et avait été tué par l’armée du calife et sa famille faite prisonnière. Pour fêter l’entrée de la caravane dans la ville, ils avaient décoré les rues et se préparaient à une grande fête.

Le discours de l’Imam Sajjãd (AS) a profondément changé la façon de voir des gens de Koufa et leurs idées sur les Omeyyades. Au début de la réunion, Yazid ordonna à un de ses orateurs d’insulter Ali (AS) et ses enfants, et d’expliquer le bien fondé de l’évènement de Karbalã. L’orateur se rendit sur la chaire et fit la louange de Dieu, puis dit le plus grand mal de l’Imam Ali (AS) et de l’Imam Hussayn (AS). Il poursuivit son discours avec une longue louange de Mo’ãvia et de Yazid. L’Imam Sajjãd (AS) s’adressa alors à lui en disant: «Malheur à toi ! Tu as choisi la colère de Dieu et la satisfaction des gens. Regarde la place qui t’est réservée en enfer et prépare-toi à y entrer. Se tournant vers Yazid il dit: «Est-ce que tu me permets de dire un mot?»

L'Imam Sajad (P), dont la naissance remonte à l'hégire lunaire âgé de 38 an dans la ville saoudienne de Médine, a été malade pendant l'événement de l'Achoura, qui a eu lieu dans la ville irakienne de Karbala et lorsqu'il tomba martyr de son père, Imam Hussein (P).

Après le martyre de son père, l'Imam Sajad (P) a assumé la responsabilité de diffuser le message de l'événement de l'Achoura et continuer le chemin de son prédécesseur, en plus des efforts précieux pour montrer la nature et l'importance de cet événement.

Le quatrième Imam des chiites qu'une grande partie s'est efforcé d'établir la civilisation et la culture islamique et le développement de l'enseignement du livre sacré des musulmans, le Coran.

Il est également destiné à éduquer les scientifiques musulmans pour préserver le Coran et la tradition du grand Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (PSLF).

Chaque année, le peuple musulman iranien, marquant l'anniversaire du martyre de ce grand Imam, lieux de culte d'être dans le mausolée de l'imam chiite le huitième, l'Imam Reza (P), situé dans la ville sainte de Machhad (nord-est Iran) et le mausolée de la sœur de l'Imam Reza ( P ), la grande dame de l'Islam, Hazrat Masumeh (la paix soit sur elle) dans la ville de Qom, près de la capitale iranienne Téhéran.

Cette escadre comprenant deux destroyers, «Jamaran», à la commande, et «Bouchehr», chargé de la logistique, est envoyée à cette mission. Cette flotte militaire commencera sa mission, depuis la zone 1 de la force navale de l'armée de Bandar Abbas. Lors de cette mission, elle traversera le port de Jask, la mer d'Oman, la côte du Makran, le Nord de l'océan Indien, le golfe d'Aden, et le détroit de Bab el-Mandeb.

La sécurité des lignes de navigation commerciales et pétrolières, celle des bateaux battant pavillon de la république islamique d'Iran et le secours aux bateaux étrangers demandant de l'aide, dans le golfe d'Aden, sont les missions de cette flotte.

depuis que le secrétaire général du Hezbollah a insisté sur le fait qu'aucune région d'Israël n'est à l'abri des missiles de la Résistance , Israël n'a plus qu'une angoisse suprême, celle des missiles hezbollahis!! Al Mayadin qui se penche sur le récent discours de Nasrallah prononcé mardi à l'occasion de l'Achoura , relève la plus importante question posée par ce dernier aux israéliens : Où vous évaderez-vous, quand aucune ville de la Palestine occupée ne se trouvera pas à l'abri de nos missiles? " et Al Mayadin d'ajouter :" il semble en effet qu'Israël est bien entre les mains de la Résistance et ce fait, les israéliens l'ont reconnu eux mêmes . en effet les talons d'Achille des israéliens se multiplient et ces failles se rencontrent à la fois en terre, en mer et en air. le front intérieur israélien revêt toute de même une plus grande importance en raison de sa position stratégique et des bases militaires qu'y détient l'armée sioniste. mais ce qui inquiète le plus Israël c'est son coeur nucléaire, Dimona. mais les points qui sont les plus exposés aux missiles de la Résistance ce sont les centrales atomique de Dimona, la base aérienne dans le nord d'Israël, la base Hessarim dans le sud et la base Kariya à Tel-aviv ainsi que la base aérienne Ramat David" " les israéliens sont hantés par les missiles hezbollahis . ils en sont désormais à se demander comment mettre à l'abri leurs raffineries pétrolières , leurs sites gaziers , leurs moyens de transport, leurs réseaux d'eau et d'électricité. en d'autres termes les dirigeants sionistes cherchent à sauvegarder les artères vitaux d'Israël et mais ils sont incapables de dire comment ils comptent le faire. Yaer Golan, ex commandant du front nord dit à ce sujet : la menace du Hezbollah contre le front nord est plus large que contre le front sud. sur le front nord, Israël ne peut pas compter sur le dôme de fer pour se protéger". et Al Mayadin d'ajouter : dans ce contexte, il convient de souligner que de nombreux officiers israéliens ne font confiance ni au dôme de fer ni au système anti missile Hitz. ces failles interviennent sur fond d'un Israël économiquement paralysée , d'une population israélienne qui préfère de plus en plus la fuite".

La Cour suprême libyenne a invalidé jeudi le Parlement issu des élections du 25 juin et qui est reconnu par la communauté internationale, alors que le pays est plongé dans l'anarchie.
La Cour était appelée à se prononcer sur la constitutionnalité du Parlement, après un recours déposé par un député.
La décision de la Cour suprême est définitive et son effet est immédiat. Aucun recours n'est possible.
La chambre était contestée par une coalition de milices, Fajr Libya, qui contrôle Tripoli, et par de puissants groupes qui ont pris Benghazi (est), la ville où devait initialement siéger le Parlement. Dominé par les anti-islamistes, le Parlement était obligé de se réunir depuis son élection à Tobrouk, dans l'extrême est de la Libye, estimant que sa sécurité ne pouvait être assurée à Benghazi, théâtre de violences quotidiennes.
Après l'annonce de la décision de la Cour, des concerts de klaxon et des tirs de joie ont résonné à Tripoli où les miliciens de Fajr Libya fêtaient leur victoire, selon un photographe de l'AFP.