تقي زاده

تقي زاده

Le mouvement des "gilets jaunes" représente "une véritable catastrophe" pour les petits commerces, a estimé samedi sur France Inter le président de la Confédération des commerçants de France.
"C'est une véritable catastrophe et c'est une véritable catastrophe également psychologique, je pense, j'espère que ce samedi c'est le dernier des derniers pour la manifestation", a déclaré Francis Palombi, président de cette confédération.
 
La mobilisation s'annonçait plus faible pour le cinquième samedi de manifestations contre les taxes et la vie chère.

M. Palombi a ajouté que les chiffres de ventes "sont très mauvais", précisant que la baisse du chiffre d'affaires était comprise entre "40% et 70% selon les corporations", qui plus est en pleine saison des achats de Noël, cruciale pour le commerce.

La Confédération des commerçants représente 20 fédérations professionnelles indépendantes, avec des entreprises de moins de 11 salariés ou ne comptant pas de salarié, donc les petites entreprises du commerce et de l'artisanat commercial, a expliqué son président.
L’Iran envoie ses représentants aux concours internationaux du Coran au Koweït et en Jordanie.
Selon l'Hojat-al-Islam Ali Moqanni, député du Centre des affaires coraniques de l’organisation iranienne d'Awqaf et de la Charité, l'Iran a été invité à participer au concours.

Par conséquent, Hamid Reza Moqaddasi représentera la République islamique à l’événement international coranique organisé par le Koweït.

Selon l'Hojat-ol-Islam Moqanni, Moqaddasi, qui a terminé deuxième au concours national du Coran en Iran représentera l’Iran dans la catégorie de récitation.

Il a ajouté que Reza Golshahi serait le représentant de l’Iran dans la section masculine du concours international du Coran organisé par la Jordanie.

Dans la section des femmes, la mémorisateure Fatemeh Shirazi représentera la république islamique d’Iran, a-t-il poursuivi.
 
lundi, 17 décembre 2018 08:30

Les miracles du Prophète (sawas)

Concernant les animaux sont tous aussi impressionnants les uns que les autres. Des animaux qui le saluent, qui lui parlent, qui se plaignent auprès de lui au sujet de leur maître… Bref, que de beaux récits bouleversants !

Nous en évoquerons une, par le biais de l’ouvrage « Les miracles du Prophète » écrit par l’éminent savant Ibn Kathir.

 

 

 
   

Un autre chameau, quant à lui, s’est plaint à l’Envoyé d’Allah (sawa) du mauvais traitement de son maître. Ce miracle est tout aussi impressionnant car le chameau a reconnu le Prophète (sawa), il s’est approché de lui afin de se plaindre et il en espérait un réconfort, car le Messager d’Allah (sawa) était reconnu pour son comportement exemplaire et donc sa douceur, sa compréhension et son grand cœur.

C’est ainsi que  Ahmed ibn Hambal rapporte que ‘Abd Allah ibn Ja’far a dit :

« Un jour, l’Envoyé d’Allah (sawa) me fit monter en croupe et me tient des

propos que je ne devais divulguer à personne. Quand l’Envoyé d’Allah (sawa)

 allait faire ses besoins, il se dissimulait derrière un monticule ou dans une

palmeraie. Un jour, il entra dans une palmeraie appartenant à un Auxiliaire

Médinois quand soudain un chameau vint à lui en blatérant et en pleurant.

L’Envoyé d’Allah (saw) lui flatta la bosse et l’encolure et le chameau se calma.

 « Qui est le propriétaire de ce chameau ? » demanda le Prophète (saw).

 Un

jeune

Médinois dit : « Ce chameau m’appartient, ô Envoyé d’Allah ! – Ne crains-tu pas Allah dans ton comportement avec cet animal qu’Allah a mis en ta possession ? » lui demanda l’Envoyé d’Allah. « Il s’est plaint à moi en me disant que tu l’affamais et que tu l’épuisais. » Ce miracle met en évidence le fait que ce chameau savait que l’Envoyé d’Allah (sawas) pouvait arranger sa situation. De plus, ce récit met en lumière la grande compassion et la douceur du Prophète (sawas), tant avec les hommes qu’avec les animaux.

 

Les batteries de S-300 russes déployées à l'aéroport de Damas ont-elles été visées à nouveau dans la nuit de dimanche à lundi 10 décembre? 

Une information diffusée par Reuters qui citait SANA a fait état de l'interception d'objectifs par l'armée syrienne près de l'aéroport de Damas. Or une attaque aérienne contre l'aéroport international de la capitale, ayant déclenché une riposte de la DCA syrienne, vient d'être démentie. 

Israël a bombardé le 29 novembre pour la première fois depuis la livraison des batteries de missiles S-300 à l'armée syrienne l'une des bases de l'armée syrienne dans le secteur d'al-Kiswah, au sud de la capitale syrienne. 

Un raid effectué à coup de missiles LORA qui a déclenché une ferme riposte de la DCA syrienne. Certaines sources avaient évoqué une tentative israélienne de brouillage des radars des S-300 ayant suscité une réponse rapide et disproportionnée de la DCA syrienne. Violant systématiquement le ciel libanais, Israël a mené des centaines de frappes en Syrie depuis 2011, affirmant à chaque fois avoir visé des "cibles iraniennes".

Les forces aériennes indiennes et russes entameront, ce lundi 10 décembre, un exercice commun dans la ville indienne de Jodhpour.

Les forces aériennes indiennes et russes vont entamer, ce lundi, à Jodhpour une manœuvre militaire de 12 jours visant à améliorer leur coordination.

L’exercice militaire « Aviaindra » sera unique en son genre dans la mesure où l’armée de l’air russe n’apportera pas ses dispositifs et participera à l’exercice en utilisant les équipements indiens, a déclaré un responsable de l’armée de l’air indienne.

La Russie est un partenaire majeur de l’Inde dans le secteur de la défense et cette coopération ne cesse de se renforcer. En octobre dernier, l’Inde et la Russie ont organisé pour la première fois, une manœuvre militaire de très grande ampleur impliquant l’armée de terre, la marine et les forces aériennes, afin de renforcer la coopération militaire. L’exercice « Indra », qui s’est déroulé en Russie, avait pour but d’assurer la coordination militaire entre les deux pays dans le cadre d’un scénario de commandement intégré aux trois services.

lundi, 10 décembre 2018 08:20

Bombe à retardement US en Irak ?

Une autorité locale en région autonome du Kurdistan irakien a levé le voile sur le rôle des États-Unis dans l’organisation et le fonctionnement du groupe terroriste Daech.

Rechad Galali, responsable du comité de l’Union patriotique du Kurdistan à Makhmour, a déclaré au site SNN que des dizaines d’éléments de Daech s’étaient retranchés dans les hauteurs de la région et qu’ils servaient de vassaux aux États-Unis pour défendre les intérêts américains en Irak.

 

Israël recommande à l’administration américaine de renforcer sa présence militaire à Djibouti pour « contrer la Chine ».

Selon le site web SomTribune, « des responsables des services de renseignement israéliens et des experts indépendants ont recommandé aux États-Unis de renforcer leur présence militaire à Djibouti et dans la région entourant le détroit de Bab-el-Mandeb pour contrer la Chine »

« L’utilisation de lasers par la Chine, en mai dernier, contre les pilotes américains est le plus petit des problèmes auxquels les États-Unis sont confrontés dans la région, prétendent les sources israéliennes. Selon le Pentagone, deux pilotes militaires américains ont été sérieusement touchés aux yeux par des lasers frappant le cockpit de leur avion de transport C-130.

 

Les ouvriers qui s’affrontent aux forces de sécurité françaises dans les rues de Paris auraient pu travailler dans des usines pour fabriquer les pièces détachées d’automobile, destinées au marché iranien. Et voilà le sort d’un État inféodé !

Les conséquences des politiques anti-iraniennes de la France, soit dans le dossier des négociations nucléaires, soit à propos de la restitution des sanctions américaines, ne passent pas inaperçues.

Elles se manifestent plus clairement que jamais dans les rues de Paris et celles d’autres villes de l’Hexagone. Cela fait deux mois que les constructeurs automobiles de France n’envoient plus de pièces détachées à l’Iran. Alors, où sont-ils les ouvriers qui auraient dû travailler dans les usines pour fabriquer ces pièces ? La réponse est facile à trouver ; dans les rues de France en s’affrontant aux forces de sécurité ! Et voilà la destinée d’un État qui suit aveuglément un autre État !

Les Gilets jaunes sont, depuis trois semaines, dans les rues de Paris, transformés pour l'occasion en champs de bataille où jusque-là, trois personnes ont été tuées et 800 autres blessées.

Les protestations s’étendent même dans d’autres villes de l’Hexagone, voire dans d’autres pays de l’Union européenne tels que la Belgique et l’Allemagne. En France, la police se sent incapable de maîtriser la vague de protestation et fait appel à l’armée.

Le thème des protestations se résume en un mot : l'économie. Les manifestants réclament la réduction des impôts, l’augmentation des salaires, la baisse du prix du carburant, l’amélioration des conditions de retraite et voire la démission d’Emmanuel Macron et la mise en place d’une nouvelle République.

La décision du gouvernement français d’augmenter de 4% les taxes sur le carburant, qui aurait dû compenser les quatre milliards de dollars de déficit budgétaire de France, a allumé la mèche des protestations. Il est à noter que le prix du carburant est déjà très élevé par rapport aux revenus des Français.

Selon les chiffres officiels de l’État français, chaque Français gagne, en moyenne, 1 700 euros par mois. L’essence coûte 1,5 euros par litre et son prix a connu une hausse de 27% depuis le début de l’année en cours en raison de la hausse des cours de pétrole sur le marché mondial.

N'y voit-on pas là les traces de Donald Trump ?

Le locataire de la Maison Blanche s’est retiré de l’accord nucléaire et les sanctions ont de nouveau touché l’un des plus grands producteurs de brut au monde. En raison des politiques anti-iraniennes de Donald Trump, les cours de brut ont dépassé les 86 dollars le baril pendant les derniers mois, le prix le plus élevé depuis quatre ans.

Le ministre français des Affaires étrangères a appelé le président américain à ne pas se mêler de politique intérieure de la France.

Jean-Yves Le Drian a réagi, aujourd'hui, dimanche 9 décembre, à une série de tweets du président américain, Donald Trump où celui-ci avait critiqué la France dans le dossier des Gilets jaunes.

« Je dis à Donald Trump et le président de la République (Emmanuel Macron) lui a dit aussi : nous ne prenons pas partie dans les débats américains, laissez-nous vivre notre vie de nation », a-t-il déclaré dans l'émission Le Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI, cité par l’AFP.

Jean-Yves Le Drian s'est ensuite dit préoccupé pour la démocratie et les institutions françaises, après trois semaines de mobilisation des Gilets jaunes.

« Quand j'entends un certain nombre de déclarations, je suis inquiet (…) je sais combien la démocratie est fragile », a-t-il déclaré en évoquant des appels à « l'insurrection ». « Le danger, c'est la mise en cause de nos propres institutions, de notre vivre ensemble », a-t-il averti, selon l’AFP.

Hier, samedi 8 décembre, Donald Trump a fustigé, dans un tweet, l’accord de Paris sur le changement climatique, simultanément à la mobilisation des Gilets jaunes.

L’armée syrienne est en train de renforcer ses positions à l’est de la province d’Idlib, au nord du pays.

L’armée envoie des renforts et des équipements lourds ainsi que 35 véhicules militaires à al-Zahabiyeh. Le but de l’armée est de contrer les attaques de plus en plus nombreuses des groupes terroristes dans le nord du pays.

Selon des sources locales, les forces de l’armée ont été mises en état d’alerte pour réagir aussitôt au moindre agissement des groupes terroristes. L’armée est en train de se préparer pour une grande opération militaire dans le nord du pays en raison des cas nombreux de violation du cessez-le-feu par les organisations terroristes.

Selon l’agence syrienne SANA, une unité de l’armée a attaqué des terroristes qui étaient partis de Mork (dans la banlieue nord de Hama) vers la zone démilitarisée à Idlib. Plusieurs terroristes ont été tués dans cette opération de l’armée.

Une autre unité de l’armée a riposté à une attaque contre un point de contrôle militaire lancée par un groupe terroriste s’abritant dans le village de Skeik à Khan Cheikhoun au sud d’Idlib.

Au nord-ouest de la province d’Idlib, une unité de l’armée a pris pour cible un groupe de terroristes qui avait tenté de s’infiltrer depuis le village de Tal al-Sakheir à travers les terres agricoles et les oliveraies pour attaquer des points de contrôle militaire dans la zone de Muhardeh Chamali.