تقي زاده

تقي زاده

Le chef du gouvernement d’unité nationale libyen (GNU), Abdul Hamid al-Dbeibeh, a rejeté les allégations selon lesquelles son gouvernement poursuivrait la normalisation avec Israël ou se préparerait à accueillir les Palestiniens déplacés de Gaza.

Lors d’un entretien avec Asharq Al-Awsat, le chef du gouvernement d’unité nationale libyen (GNU), Abdul Hamid al-Dbeibeh, a répondu à des questions traitant divers sujets.

À une question sur des spéculations sur une normalisation avec Israël, Dbeibeh a affirmé qu’« il n’y a aucune volonté ni aucun effort de normalisation avec Israël. C’est une question réglée pour les Libyens ».

À une autre question sur des informations selon lesquelles des Palestiniens de Gaza seraient accueillis en Libye, il a répondu en ces termes : « C’est complètement faux. Même l’ambassade des États-Unis à Tripoli a démenti ces allégations. Ce qui se passe à Gaza est une catastrophe humanitaire qui exige une action internationale pour protéger les Palestiniens sur leur propre territoire, et non pour les déplacer. »

 

Dans un contexte de guerre économique accrue, les entreprises de la Base industrielle et technologique de défense (BITD) française sont sous pression, avec 500 à 550 atteintes annuelles et plus de 750 alertes de sécurité économique en 2024, soit le double de 2020. Les États-Unis se trouvent au cœur de ce problème de défense.

Selon RT, le rapport parlementaire, présenté en juillet 2025 par le député Horizons Christophe Plassard à la Commission des finances, dresse un constat alarmant : « La France fait face à une intensification sans précédent de la guerre économique ».

Les petites et moyennes entreprises (PME) qui représentent des cibles vulnérables, subissant 80 % des cyberattaques, souvent orchestrées par des puissances stratégiques telles que la Russie et la Chine, mais également par d’autres pays comme les États-Unis.

Les menaces, qualifiées de « protéiformes », incluent espionnage, cyberattaques (en hausse de 15 % en 2024 avec 4 000 incidents recensés par l’ANSSI), sabotages, et « lawfare » américain, où des réglementations comme le Patriot Act ou le Cloud Act permettent l’accès à des données sensibles.

Le fonds souverain norvégien a annoncé qu’après des examens éthiques, il avait décidé de retirer de son portefeuille d’investissement six autres sociétés liées au développement de colonies illégales en Cisjordanie occupée et au massacre en cours à Gaza.

Le fonds, d’une valeur de 2 000 milliards de dollars, n’a pas dévoilé l’identité des entreprises concernées, mais a précisé que leurs noms, ainsi que les raisons précises de ces exclusions, seraient rendus publics une fois les désengagements finalisés.

Il est possible que ces entreprises incluent les cinq plus grandes banques israéliennes, actuellement passées en revue par l’organe de surveillance éthique du fonds.

Les exclusions les plus récentes ont porté le nombre total d’entreprises israéliennes dont le fonds a désinvesti à 23 depuis le 30 juin. Ce chiffre pourrait continuer à augmenter.

À l’heure actuelle, le fonds possède des participations dans 38 entreprises israéliennes, pour un montant de 19 milliards de couronnes (1,9 milliard de dollars) d’investissements, contre 61 entreprises avec un total de 23 milliards de couronnes au 30 juin, selon une lettre de l’opérateur du fonds, Norges Bank Investment Management, datée de lundi.

 

L’Iran et l’Arménie ont signé 10 protocoles d’accord sur la coopération mutuelle lors d’une visite d’État du président Pezeshkian à Erevan pour renforcer les relations entre les deux pays.

Les documents ont été signés mardi 19 août par de hauts responsables des deux pays à la suite d’une réunion privée entre le président iranien, Massoud Pezeshkian, et le Premier ministre arménien, Nikol Pashinyan, à Erevan, capitale de l’Arménie.

Les protocoles d’accord, signés le deuxième jour de la visite de Pezehskian, couvrent un large éventail de domaines essentiels. Parmi eux figurent la diplomatie, l’économie, ainsi que les secteurs des mines et des industries. De plus, les accords portent sur des initiatives de développement routier et urbain, de santé, d’environnement, d’éducation, de culture, d’interaction sociale et de tourisme.

De plus, Pezeshkian et Pashinyan ont élaboré et signé une déclaration conjointe. Plus tôt dans la journée, une cérémonie d’accueil officiel a été organisée en l’honneur du président iranien au Palais présidentiel d’Erevan.

 

Environ 300 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté en faveur de la Palestine lundi en fin de journée devant le Parlement wallon, à Namur, capitale de la région de la Wallonie, en Belgique. Elles demandaient un réel embargo sur les transits et exportations d'armes vers Israël via et depuis la Wallonie, de même que la reconnaissance de l'État palestinien.

L'action était organisée par le Collectif Solidarité Palestine Namur et la section locale de l'Association belgo-palestinienne (ABP). La date et le lieu n'avaient pas été choisis par hasard, puisque la commission parlementaire wallonne des Relations internationales se réunira mardi en urgence pour évoquer la guerre à Gaza, sur demande de l'opposition.

Durant environ une heure, les centaines de manifestants ont scandé des chants et slogans en faveur de la Palestine, en interpellant passants et automobilistes. Des représentants du CSPN et l'ABP ont ensuite pris la parole, de même que des Palestiniens vivant en Belgique et d'autres personnes sensibles à la situation à Gaza.

 

Le bilan des morts à Gaza s'élève à 62 004 alors qu'Israël poursuit son offensive militaire brutale, ciblant les civils à travers le territoire assiégé.

Les demandeurs d'aide affamés continuent d'être les principales cibles de récentes frappes du régime israélien. Depuis l’aube de lundi, au moins 30 Palestiniens ont été tués dans des attaques menées dans la bande de Gaza, dont 14 personnes qui cherchaient de l’aide.

 

Des médias algériens accusent Paris d’utiliser l’Institut français d’Algérie comme un « relais d’espionnage » et de se constituer une juteuse rentabilité en donnant des cours de français et en faisant passer des examens scolaires.

Accusée d’utiliser l’Institut français d’Algérie comme couverture à des activités de renseignement, la France fait l’objet d’une vague de dénonciations médiatiques en Algérie. Plusieurs journaux algériens pointent du doigt un système d’influence politique, économique et diplomatique masqué sous des initiatives culturelles.

L’Institut français d’Algérie, censé promouvoir la langue et la culture françaises, est aujourd’hui au centre d’une controverse majeure. Plusieurs grands journaux algériens, notamment L’Expression et El Khabar, ont affirmé que cette structure sert de « repaire d’espions », accusant Paris d’y mener des opérations de renseignement dissimulées sous des activités culturelles.

Selon L’Expression, un restaurant situé dans l’enceinte même de l’Institut français d’Alger est utilisé pour organiser des rencontres secrètes entre des agents de la chancellerie française et de jeunes Algériens. Ces derniers seraient souvent choisis pour leur « naïveté ou leur vulnérabilité ».

 

Le président iranien Massoud Pezeshkian est en Arménie pour signer des accords clés conformes aux intérêts communs et pour discuter des graves préoccupations concernant la présence des États-Unis dans la région.

À la tête d’une délégation de haut niveau, il est arrivé lundi à Erevan, première étape d’un voyage officiel dans deux pays qui le conduira également en Biélorussie.

Le président iranien a été accueilli à l’aéroport international de Zvartnots, à Erevan, par le vice-Premier ministre arménien, Mher Grigoryan.

Au cours de son séjour de deux jours en Arménie, le président Pezeshkian devrait s’entretenir avec le Premier ministre et le président arméniens et signer des documents de coopération bilatérale. Il rencontrera également les élites et les expatriés iraniens, et participera à une réunion avec des acteurs économiques.

À la veille de son départ, le président iranien a tenu une réunion dans la capitale Téhéran avec de hauts responsables iraniens, laquelle a porté sur le développement des relations avec les pays voisins et alliés dans les domaines de l’énergie, des transports, du commerce, des investissements, de la santé, de l’environnement, de la science, de la culture et du tourisme. Un renforcement de la coopération avec les pays partageant les mêmes valeurs, figure parmi les objectifs et priorités importants de la politique étrangère du pays, a noté le président iranien.

« Au cours de cette visite, d’importants accords et protocoles d’accord seront signés, ils ouvriront de nouveaux horizons pour préparer le terrain économique et social approprié dans le pays et favoriser le progrès de notre chère nation. »

Depuis toujours Téhéran a eu un très haut niveau de coopération politique, économique, culturelle et sociale avec les pays amis et voisins, en particulier l’Arménie.

Le président iranien a expliqué que les relations Nord-Sud faisaient partie des principaux sujets de discussion, car elles peuvent offrir de nouvelles opportunités pour le développement de la coopération bilatérale.

Il a néanmoins exprimé la vive inquiétude de l’Iran concernant la présence des entreprises américaines dans la région : « L’expérience passée a montré que certaines de ces entreprises ont mené des actions inattendues et indésirables sous couvert d’activités commerciales. C’est pourquoi nous aurons des discussions sérieuses sur les préoccupations et les défis liés à cette question. »

 

L’Australie a condamné le régime israélien pour avoir révoqué les visas détenus par ses diplomates auprès de l’Autorité autonome palestinienne (AP), une mesure de représailles déclenchée par le refus de Canberra d’accueillir un homme politique israélien d’extrême droite.

La ministre des Affaires étrangères Penny Wong a condamné mardi les révocations de visas, les qualifiant de « réaction injustifiée » qui aggrave l'isolement du régime à un moment où, a-t-elle souligné, le dialogue doit être prioritaire.

« De telles mesures, de la part du cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont également sapé la diplomatie et les efforts internationaux en vue de la réalisation de la paix » , a-t-elle ajouté.

 

Le président iranien Massoud Pezeshkian est en Arménie pour signer des accords clés conformes aux intérêts communs et pour discuter des graves préoccupations concernant la présence des États-Unis dans la région.

À la tête d’une délégation de haut niveau, il est arrivé lundi à Erevan, première étape d’un voyage officiel dans deux pays qui le conduira également en Biélorussie.

Le président iranien a été accueilli à l’aéroport international de Zvartnots, à Erevan, par le vice-Premier ministre arménien, Mher Grigoryan.

Au cours de son séjour de deux jours en Arménie, le président Pezeshkian devrait s’entretenir avec le Premier ministre et le président arméniens et signer des documents de coopération bilatérale. Il rencontrera également les élites et les expatriés iraniens, et participera à une réunion avec des acteurs économiques.

À la veille de son départ, le président iranien a tenu une réunion dans la capitale Téhéran avec de hauts responsables iraniens, laquelle a porté sur le développement des relations avec les pays voisins et alliés dans les domaines de l’énergie, des transports, du commerce, des investissements, de la santé, de l’environnement, de la science, de la culture et du tourisme. Un renforcement de la coopération avec les pays partageant les mêmes valeurs, figure parmi les objectifs et priorités importants de la politique étrangère du pays, a noté le président iranien.

« Au cours de cette visite, d’importants accords et protocoles d’accord seront signés, ils ouvriront de nouveaux horizons pour préparer le terrain économique et social approprié dans le pays et favoriser le progrès de notre chère nation. »

Depuis toujours Téhéran a eu un très haut niveau de coopération politique, économique, culturelle et sociale avec les pays amis et voisins, en particulier l’Arménie.

Le président iranien a expliqué que les relations Nord-Sud faisaient partie des principaux sujets de discussion, car elles peuvent offrir de nouvelles opportunités pour le développement de la coopération bilatérale.

Il a néanmoins exprimé la vive inquiétude de l’Iran concernant la présence des entreprises américaines dans la région : « L’expérience passée a montré que certaines de ces entreprises ont mené des actions inattendues et indésirables sous couvert d’activités commerciales. C’est pourquoi nous aurons des discussions sérieuses sur les préoccupations et les défis liés à cette question. »